Nature Humaine (amocalypse)
Système solaire>Terre>Effets de
Nibiru>Deuxième passage
Première version: 2019-03-20
Dernière version: 2019-03-27
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Voyons le dernier passage de Nibiru, avant qu'elle ne reparte vers un long trajet de 3 600 ans.
Les mêmes évènements catclysmiques qu'au premier passage, mais amplifié à cause d'une croûte terrestre fragilisée (des forces 2 fois plus intenses, des effets 30% plus destructeurs).
Le volcanisme sera plus important qu'au premier passage, alors que question séismes ce sera moindre, les points critiques ayant déjà sautés lors du premier passage.
Terre entre les 2 passages.
Lors du 2ème passage de Nibiru (7 ans environ après le 1er), 72 heures de Soleil (ou de nuit) figé, 72 heures d'accalmie avec inversion du sens de rotation de la Terre, et 1 heure de catastrophes majeures quand la croûte terrestre se remet en place brutalement.
Peu après le moment où le soleil se lèvera à l'ouest au lieu de l'est, la surface de la terre va arrêter de tourner pendant 72 h (la France côté nuit). Ensuite, le sens de rotation terrestre va être inversé pendant 72 h (le soleil se lèvera à l'ouest), puis tremblement de terre généralisés (1h de catastrophe majeure, les continents se déplaçant très vite et les océans restant immobile, avec leur inertie ils vont submerger les terres avec un tsunami de 200 m de haut sur les côtes, localement possible que ce soit plus).
Par rapport au premier passage, comme les plaques tectoniques sont plus libres et bien abimées par le premier passage, le pole shift (inversion des pôles de surface) va se faire plus rapidement/violemment, 3 fois plus d'énergie dissipée (ce qui ne veut pas dire des effets 3 fois supérieurs). Les tsunamis et séismes étant plafonnés, toute énergie ajoutée dedans ne provoque que quelques effets en plus (on passe de tsunamis de 150 m de haut à 200 m de haut avec 3 fois plus d'énergie).
Les tsunamis et les séismes sont plafonnés par des données physiques : les vagues sont limitées par la capacité de l'eau à former des vagues (gravité, vitesse, énergie cinétique), tout comme les séismes sont limités par la capacité du sol à propager les ondes sismiques. C'est un peu comme dans l'air, le son ne peut pas dépasser... la vitesse du son ! C'est le genre de limite par exemple qu'on retrouve avec les explosifs : une explosion peut être colossale, les gaz émis ne peuvent pas dépasser une limite de vitesse : l'onde de choc ira toujours à la même vitesse, peu importe la quantité d'énergie stockées dans l'explosif.
Comme le niveau de la mer, lors des gros pole-shift, est montée de 200 m, les tsunamis se font sur des hauteurs 200 m supérieures à celles du premier passage (encore plus haut si les terres se sont enfoncées, et encore plus haut à cause de la puissance supérieure des tsunamis).
Les tsunamis au second passage seront éventuellement plus hauts et plus puissants à cause de la nouvelle géographie, la surface des océans étant notamment plus vaste qu'aujourd'hui. Il y aura donc moins de terres émergées et de reliefs pour freiner les vagues.
Comme les communauté de survivants auront l'expérience du premier passage, et que tous les freins au déplacement qui existent aujourd'hui auront disparus (travail, logement, argent, barrages militaires, terrains privés interdits...), les hommes se réfugieront sur les hauteurs et ce deuxième passage sera presque indolore, même s'il sera plus destructeur pour la terre.
Ils devraient être de 200 à 300 m de haut sur les côtes, 150 à 200 m dans les terres (le tsunami peut grimper les collines et monter plus haut). Mais il faudra rajouter à ces hauteurs le fait que l'océan a monté de 200 m, donc que des terres de 500 m de haut actuellement, plus proches des côtes suite à l'invasion de la mer, peuvent se faire submerger par ce tsnunami.
C'est surtout le volcanisme qui va se réveiller. Si un volcan s'était réveillé ou activé lors du premier passage, il y a de grandes chances que ça se reproduise de nouveau au second passage. La sous couche de la croûte terrestre, déjà bien échauffée par le premier passage, le sera encore plus lors du deuxième.
Moins importants que le premier passage (Toutes les zones qui doivent craquer l'auront déjà fait lors du premier passage), par contre faisant tomber les batiments affaiblis qui ne seraient pas tombés lors du premier passage.
Le mouvement du noyau étant plus important cette seconde fois, et les points de frictions avec la croûte ayant déjà sauté, les mouvements de plaques seront plus rapides et la formation de montagnes accélérée (pas instantanée, plutôt un grandissement progressif de quelques centaines de mètres par jour). C'est un phénomène qui existera déjà lors du premier passage, mais sur des zones déjà connues pour être des montagnes jeunes.
Cette montée sera cantonnée aux massifs les plus élevés, beaucoup moins aux pré-massifs (comme les pré-alpes et pré-Pyrénées). Les pré-massifs ne se soulèveront que de quelques dizaines de mètres.
Cette prise d'altitude est totalement indolore pour les observateurs car elle se fait sur des échelles géographiques très vastes, et très progressivement.
Il faudra juste se méfier des zones où les rochers et les falaises sont instables (zones sont déjà connues et repérées avant le premier passage).
En gros, la poussée des montagnes en progression lente pourra être de quelques centaines de mètres par jour, étalé sur plusieurs jours. Cantonnée aux massifs les plus élevés, là où il n'y a pas de populations (altitude trop élevée).
Ce passage de Nibiru particulier, comporte des spécificités à cause des restes de notre société technologique.
Voyons ce qui va se passer après le second passage au niveau des événements naturels.
à suivre...