Nature Humaine (amocalypse)
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Nibiru>Entre les 2 passages
Première version: 2019-03-20
Dernière version: 2019-03-27
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Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Voyons les effets durables que les cataclysmes provoqueront durant les 7 ans entre les 2 passages.
La position sur terre des continents n'est plus la même qu'avant.
Le climat général est modifié, il sera très pluvieux et plus chaud (sauf aux pôles). Soleil occulté à 30% de sa luminosité actuelle à cause des nuages. Mais à cause des tempêtes de l'après passage, les poussières volcaniques retombent assez vite.
Le réchauffement généralisé, les terres glacées se retrouvant sous un ciel plus clément, les anciens pôles et glaciers fondent. Cela dépend de la distance du déplacement : Le groenland par exemple, un ancien pôle, n'a pas fondu, malgré sa latitude assez basse (quand on regarde une carte, c'est la seule terre à cette latitude qui soit encore recouverte par des kilomètres de glace).
Dans les gros pole-shift, que toutes les glaces du monde fondent, le niveau de la mer monte d'environ 200 mètres, en 2 ans maximum après le premier passage.
Séismes records, tsunamis dévastateurs, position des continents modifiées, noyau surchauffé : le premier passage laisse la Terre dans un sale état.
Le réchauffement de la croûte terrestre et du noyau, qui sollicités de la sorte, se seront bien échauffés par frottement, tout comme ils le font déjà dans une moindre mesure aujourd'hui et qui contribue à ce fameux « effet de serre », qui n'a rien à voir avec l'atmosphère mais à la montée en température du fond des océans : c'est le coeur de la Terre qui se réchauffe et perturbe le climat et ses moyennes, pas l'atmosphère.
De manière générale, les températures sont douces (à cause du réchauffement du noyau), excepté aux pôles.
Le ciel sera obscurcit et pratiquement tout le temps couvert, pas toujours pluvieux, pendant ces 7 ans. Des éclaircies pourront poindre de temps à autre.
Les températures seront plus homogènes du nord au sud de la planète et bien plus douces. Seuls les pôles (précédemment situés dans des latitudes plus équatoriales) seront affectés par un refroidissement important et brutal.
A noter que durant les 50 ans qui vont suivre le premier passage, la température globale de la planète sera plus chaude et relativement uniforme (c'est surtout le noyau terrestre qui va fournir la chaleur), l'atmosphère étant saturée de nuages de pluie qui vont occulter les 2/3 du rayonnement solaire.
Les nouveaux pôles géographiques (on ne sait pas qui ce sera), à cause du climat chaud sur toute la planète le froid ne seront pas mortel tout de suite. Il faudra bien sûr que les survivants se rapprochent un peu de l'équateur, car au bout de quelques semaines ces terres seront de nouveaux gelées.
De manière générale, le climat de chaque partie du monde va changer, il faudra s'adapter.
Dans ce qu'en sait de la sciences aujourd'hui, si tous les volcans de la planète entraient en éruption (ce qu'ils vont faire, y compris les volcans que l'on croit éteints et qui ont été actifs dans les 10 000 dernières années), le nuage généré bloquerait tous les rayons solaires pendant une centaine d'années, détruisant toute vie sur terre. Ce serait le cas aussi en cas de météorites (trop gros ou trop nombreux, ce qui va se passer aussi).
Les poussières des volcans retombent assez raidement, notamment lorsqu'il pleut. Sachant que le basculement des pôles va complètement remuer l’atmosphère, ces poussières seront très rapidement ramenées au sol. Les océans seront extrêmement fertiles à cause de cela et de toutes les eaux qui auront drainé des minéraux. Par contre, ces cendres en trop grosse quantité sont toxiques, c'est pour cela qu'il faudra prendre ses distances avec les volcans. Le problème ne se pose pas en France, mais il sera majeur en Amérique du sud par exemple.
Est-ce que lors de l'exode d'Egypte, rapportée aussi bien par les hébreux (Bible) que par les Egyptiens (Ipuwer), il est fait question d'une nuit sans fin ? Non, les gens et les animaux survivent parce que le retour à la normale est suffisamment rapide. Sinon, tous les 3 660 ans, la vie reprendrait de zéro.
Globalement, tous les glaciers vont fondre beaucoup plus vite que ne vont se regénérer de nouveaux glaciers, provoquant une élévation du niveau des mers de 200 m.
Tous les icebergs reposant déjà dans l'eau ne rajouteront rien au volume global d'eau. En effet, leur masse d'eau est déjà dans l'eau, et via la loi Archimède le volume d'eau liquide déplacée est égale à la masse de l'eau gelée. Comme l'eau gelée à plus de volume que l'eau liquide, on voit une partie de l'iceberg qui sort hors de l'eau, mais une fois fondu il n'y aura pas de volume rajouté.
Toute l'eau solide (glace) reposant sur de la terre va rajouter de l'eau à l'océan dès lors qu'elle fond, car pour l'instant elle ne déplace pas d'eau de l'océan. C'est d'autant plus traître avec les vieux inlandis très hauts où la glace est compressée par son propre poids, et qui va rajouter plus de volume que de la glace normale.
Dès qu'on fait chuffer de l'eau, elle gonfle (c'est pour ça qu'il faut un vase d'expansion dans un moteur thermique). Quelques degrés suffisent, sur un volume si vaste, pour avoir des effets monstrueux.
Le climat général de la terre sera plus chaud que maintenant, les montagnes, surtout celles qui ont perdu en altitude, vont perdre en masse leur glacier. Les montagnes de pays nordiques se retrouvant à l'équateur seront encore plus touchées.
La croûte terrestre et donc les continents vont changer d'orientation, les pôles nord et sud géographiques actuels ne seront plus à leur place et vont se retrouver plus vers l'équateur. Couplé avec le réchauffement généralisé de l'atmosphère, les centaines de mètres de glace actuels vont fondre en 2 ans.
Pour reconstruire un inlandsis (banquise), il faudra des centaines d'années. En attendant que l'eau soit re-stockée sous forme de glace, le niveau des mers restera supérieur.
Glaciers et banquise participent à monter le niveau des mers de 100m.
Les océans vont être beaucoup réchauffés par le basculement des pôles qui va créer énormément de frottements noyau-manteau-croûte. La croûte océanique étant très mince, elle va servir de radiateur et le fond des océans, d'ordinaire très froid, va voir sa température grimper en flèche. Cette hausse provoque une importante dilatation qu'on considère très négligeable à notre niveau, mais qui sera énorme sur des masses d'eau aussi gigantesques. En moyenne les ET considèrent que le réchauffement des océans participera pour moitié à l'élévation des mers (soit 100 m d'élévation).
Au niveau de la dilatation, ce phénomène est déjà en cours puisque le noyau réchauffe déjà la croûte. C'est cela qui explique aujourd'hui la légère montée des eaux que les scientifiques observent, alors que la fonte des glaces actuelle est encore négligeable en comparaison. Ce phénomène va juste s'accentuer à cause du basculement polaire qui fait quand même faire un tour presque complet à la croûte en 24 heures. La production de chaleur va être très importante sur ce très court délai, et le fond des océans va parfois bouillir. Ces masses d'eau vont absorber cette chaleur et gonfler par le fond sur toute la planète, ce qui contribuera à un climat global bien plus humide et doux comme je l'avais déjà expliqué. Pas de panique, à notre niveau ce phénomène va juste se concrétiser par la montée de la mer et l'adoucissement du climat global qui sera plus uniforme. Cette chaleur n'atteindra pas le haut de la croûte où nous habitons, les océans vont tout absorber avant comme de gros radiateurs.
Il n'y a pas d'océans en deça de la croute terrestre. C'est une erreur d'interprétation des densités mesurées par les scientifiques dans cette partie de notre planète qui reste très très mal connue (à cause des gravitons répulsifs que nous n'avons pas encore découverts). Même la croûte qui n'est que la couche superficielle conserve la plupart de ses secrets, comme par exemple le fait qu'elle est un vrai gruyère (à l'origine des mythes sur la Terre creuse). Il existe d'énormes quantités d'eau comparables à des mers dans la croûte terrestre elle même, mais ces mers internes sont protégées dans leurs immenses cavités souterraines au milieu des roches plutoniques. Tout au plus gagneront elles quelques degrés elles aussi, mais pas plus, car elles sont isolées du manteau par la roche. Ce n'est pas le cas des océans de surface, car la croûte océanique est très fine et ne suffit pas à les isoler de la chaleur du noyau.
Pendant une longue période, le niveau de la mer sera bien supérieur à celui actuel. Il devrait atteindre les 200 m de haut, mais il faut compter que les façades face aux rifts océanique qui s'écartent (ex : le rift Atlantique) auront peut-être 15 m d'enfoncement des terres, la plaque continentale s'effondrant.
A l'inverse, la où le rift est compressé (comme le rift Pacifique), il y a création de montagnes sur ce rift, et les façades exposées (Japon), verront un basculement (une partie s'enfonce, l'autre se réhausse).
A noter que les zones sous les 200 m et isolées de la mer seront transformées golfes ou en lac, comme le loch Ness aujourd'hui. Seules les plaines dans les milieus désertiques pourront se trouver sous le niveau de la mer et ne pas se remplir d'eau.
L'eau douce sera ensuite de nouveau stockée sur les nouveaux pôles géographiques (neige puis glace). Quelques années après le second passage, le niveau des mers devraient redescendre de nouveau sur une centaine d'années, avant de se stabiliser.
Cette altitude de 200 m est une estimation, tout dépendra de la nouvelle géographie (surface de terres aux pôles géographiques) et de la vitesse de fonte des anciens pôles (suivant leur position relative à l'équateur terrestre).
Pour ce passage qui nous intéresse (celui de l'apocalypse), on trouvera les spécificités liées à notre civilisation industrielle, comme les pollutions industrielles et nucléaires seront très importante, ou les déplacement quasi impossibles suite aux voies de transport détruites.
Lesecond passage est dévastateur, car il se fait sur une croute terrestre fragilisée par le premier passage. Paradoxalement, il est moins meurtrier, vu que les espèces vivantes survivantes sont averties et se réfugient sur les hauteurs.
à suivre...