Largage de méthane-sulfane du sous-sol

Sommaire de la page

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Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Causes

Voir les causes. Le sous sol compressé par les déplacements tectoniques provoque des relâchements de gaz fossiles, le méthane (inodore, plus léger que l'air, très soluble dans l'eau) et le sufane (odeur souffrée d'oeuf pourri, légèrement plus lourd que l'air, faiblement soluble dans l'eau) tout 2 inflammables et potentiellement mortels.

Fuites de gaz fossiles du sous-sol

Depuis 2013 les scientifiques ont découverts des fuites d'hydrogène du sous sol un peu partout dans le monde. Ce pourrait être une source d'énergie intéressante à explorer, mais les décideurs, qui savent de quoi il retourne et n'ont pas envie qu'en grattant on trouve Nibiru derrière, ont gelé les recherches.

Depuis, plus aucune nouvelles de ces gaz relâchés subitement sans explication, excepté des articles périodiquement qui expliquent que les bulles de méthane sous marin seraient responsables des naufrages du triangle des Bermudes, on des dégagements gazeux dont l'homme serait bêtement passé à côté pendant ce dernier siècle (ne croyez pas ce qu'on vous dit, vu l'appétit de l'homme pour les hydrocarbures au point de pourrir les nappes phréatiques avec l'exploitation du gaz de schiste, si on ne les a trouvé que ces dernières années c'est que ces dégagements étaient auparavants nuls).

Quand ces dégagements gazeux sont sulfurés (sulfane) donc puent, il faut bien donner une explication quelconque. Ici à Rouen en 2013, il faudra un moment pour arrêter les émanations. Ici en janvier 2016 en Californie (ici une vidéo des fuites), mais il s'agit de méthane, inodore, mais à tellement haute dose qu'il a finit par intoxiquer les riverains, c'est pourquoi les médias ont dûs en parler 3 mois après les faits, en avouant qu'on ne pouvait empêcher cette fuite de gaz...

Ici un geyser de méthane en Ontario fin 2015.

Trous de méthane dans les nuages

Voir les causes. Le méthane largué du sous sol est invisible, incolore et inodore, mais quand il forme une poche en altitude on peut le voir car il expulse la vapeur d'eau des nuages sur les côtés, avec le léger effet "arc en ciel" irisé dû a l'indice de réfraction du méthane différent de celui de la vapeur d'eau.

Autre exemple de trou pouvant être conofondu avec un OVNI.

Explosions de gaz

Tungunska 1908 = explosion rarissime d'une poche de gaz naturel au sol

L'événement de Tungunska est la plus grosse explosion connue de l'histoire humaine (100 fois la bombe d'Hiroshima). Cette explosion était due à l'accumulation massive de méthane selon les ET. C'est pour cela qu'on ne retrouve ni impact, ni débris de comète.

Les conditions atmosphérique pour que le méthane s'accumule dans une poche proche du sol restent très rares. C'est pourquoi ce type d'événement, très destructeur, ne s'est rencontré dans l'histoire qu'à Tungunska. Mais c'était avant l'augmentation des effets de Nibiru depuis 1996...

Explosions de gaz croissantes

Explosions de nombreuses maisons aux Etats-Unis fin 2015, d'autres ici.

Explosion de maison à Rouen en France, janvier 2016.

De nouveaux phénomènes vont également apparaître et seront très dangereux : ce sont des explosions de gaz ou de vapeurs d'eau qui, sous la pression, risquent de refaire surface brutalement. C'est ce qu'on appelle des explosions hydrothermales. Dans le même ordre d'idée, le méthane, s'échappant en grande quantité dans certaines zones peut stagner en altitude et exploser (Tungunska). Tous les forages pétroliers/gaziers sont également en danger (Offshore ou continentaux, l'article cité n'est sorti qu'après l'annonce d'Harmonyum de ce fait), ainsi que les mines (coups de grisou, effondrement).

Le méthane est censé monter, mais si il dégaze en dessous d'une maison, celle-ci sert de cloche et empêche le méthane de monter en altitude. Il s'accumule mais comme il est inodore et incolore, les personnes ne remarquent pas sa présence. Elle se sentent mal, ont de grosses migraines et généralement le fait d'aérer suffit à évacuer le poison. Si ce n'est pas la cas, l'accumulation permet une concentration suffisante en gaz qui, mélangé avec la bonne quantité d'oxygène, explose sans besoin d'étincelle.

L'explosion de la Tungunska était due à une poche de méthane. Quand on voit le résultat, on comprend que le méthane est bien plus dangereux encore que ce qu'on peut imaginer au départ.

Malheureusement, le risque d'une super-explosion d'une poche de méthane est présent et même probable. Il y a des zones qui sont plus propices que d'autres. En France, le bassin parisien est particulièrement concerné, parce qu'il y a énormément de gaz en sous-sol piégé dans les sédiments. Rappelez vous la fuite de sulfane nauséabond à Rouen, et la maison qui explose dans le même secteur. C'est donc toute la vallée de la seine qui est concernée, et c'est le même topo de l'autre côté de la manche (avec de nombreuses poches de méthane observées dans le ciel). Malheureusement, peu de mesures peuvent être prises pour éviter de tels dégagements et leurs dangers. Pour une maison, une bonne aération journalière peut servir (en hiver les gens ouvrent peu, d'où l'accumulation menant à l'explosion), mais pour les super-explosions type Tunguska, l'unique critère est la météo.

Si les conditions sont défavorables (avec un vent qui ne dégage pas l'accumulation de méthane, un relief en cuvette, le bon taux d'humidité etc...), le méthane forme une poche géante qui ne s'évacue pas :

1. si la poche stagne au niveau du sol (pression atmo faible, froid...), on peut observer de nombreux malaises et il y a alors un risque grave d'anoxie de masse (comme au lac Nios en 1986 mais avec du méthane, quoique, il est probable que le gaz mortel sur ce cas ait été du méthane et non du CO2 comme l'affirment tous les enquêteurs de cette affaire).
2. si la poche stagne au dessus du sol, sous la couche nuageuse, il y a un risque élevé de mort de masse si un vol d'oiseau passe à l'intérieur. Cela a été observé à de nombreuses reprises.
3. si les conditions sont réunies, cette poche peu également exploser d'elle même, puisque le méthane explose instantanément (sans déclencheur extérieur type flamme etc..) si il est mélangé avec la bonne proportion d'oxygène. L'explosion est alors spontanée. Cela reste rare (beaucoup de conditions particulières requises) mais possible (Tungunska provient de ce type d'explosion). Ainsi, des explosions bizarres le 19 décembre dans le pas de calais en même temps que des incendies.

En aout 2017, plusieurs personnes présentes qui ne détectent aucune fuite de gaz... Encore une fois, surement parce qu'il ne s'agit pas de gaz industriel avec l'additif odorant permettant de détecter une fuite de gaz...

En juillet 2018, une vidéo impressionnante où un homme allume une cigarette et enflamme tout un magasin. Partout dans le monde, le méthane utilisé par l'homme contiennent un additif odorant pour détecter les fuites de ce gaz très inflammable. Donc, soit les 3 gars étaient idiots et suicidaires, soit il ne s'agissait pas de gaz industriel, mais du gaz naturel issu du sous-sol à cause des contraintes tectoniques accrues...

Evanouissements, malaises, odeurs d'égoûts

Méthane

Le méthane qui s'accumule dans une habitation provoques des nausées, des malaises, des évanouissements, comme dans une école du Royaume-Unis. Il est inodore, ce qui explique la dangerosité de ce gaz, car seuls les effets sont ressentis.

En temps normal, il monte en altitude où il peut se créer des poches. De même que pour les oiseaux, quand un avion passe dans une poche de méthane suffisamment large, sachant que l'air pressurisé intérieur est pompé dans le milieu extérieur, on peut avoir des malaises du personnel navigant et des passager (sur plusieurs avions a 1 jour d'intervalle) . L'intoxication avec mal de tête et malaise est typique d'une diminution d'oxygène sévère et rapide du milieu environnant. En décembre 2017, ces phénomènes s'amplifient, touchant même un grand nombre de pilotes de l'US navy, sans qu'aucune explication officielle ne soit jamais donnée, excepté pour les militaires un "épisode psychologique". C'est dans leur tête s'ils ont été soudainement victimes de malaises en vol. Dans leur tête peut-être, mais dans le même temps quand ça se produit tous les autres avions sont cloués au sol en attendant que ça se passe. Plusieurs morts de pilotes ont été attribuées à cet épisode psychologique dont nul ne sait d'où il vient. 155 cas répertoriés en 2016 juste par la Navy, et encore on n'a les chiffres que sur 2 types d'avions.

il peut se produire une anoxie de masse. Un poche de méthane inodore qui reste au niveau du sol (conditions atmosphériques créant la poche très bas) et des milliers de personnes pourraient mourir, à l'image des morts massives d'animaux. Si quelques mini poches et un dégagement localisé entraine déjà de nombreux malaises, imaginez si ce gaz arrive à stagner au niveau du sol.

Etant soluble dans l'eau, le méthane provoque l'eau du robinet qui prends feu (vu à côté de l'exploitation du gaz de schiste).

Sulfane

Le méthane est souvent accompagné d'autres dégagements (gaz soufrés extrêmement toxiques et nauséabonds, comme le sulfane), comme ça s'est produit à Rouen. Le problème c'est que les autorités étouffant l'affaire, les gens ne sont pas prévenus du caractère extrêmement toxique et nocif de ces gaz.

C'est le sulfure d'hydrogène, ou sulfane, qui est en cause dans "l'incident" nauséabond qu'ont connu la France et l'Angleterre. Ce n'est pas un thiol ou mercaptan. Le sulfane a la même odeur que certains thiols (ou mercaptans), et le nez humain ne fait pas la différence entre tous ces gaz à base de soufre. Le sulfane se fixe sur les récepteurs olfactifs du nez humain et a une odeur d'oeuf pourri (comme tous les produits à base de soufre). Cette capacité de l'homme a le détecter est naturelle car le sulfane est un indicateur de fraîcheur des aliments. Il est aussi présents dans les excréments. Quant aux oeufs, le jaune contient beaucoup de souffre et quand ils ne sont plus frais, les bactéries transforment ce soufre en sulfane.
Le sulfane est dangereux pour la santé et peut laisser des séquelles définitives au niveau olfactif. C'est ce même gaz qui a tué plusieurs animaux sur une même plage bretonne :

- 2 chiens en 2008

- 1 cheval et son cavalier en 2009, les 2 s'enlisent, l'homme tombe rapidement dans le coma tandis que son cheval, faisant des efforts plus importants pour se dégager, inhale plus de gaz et meurt. L'homme sera sauvé in extremis par des spectateurs qui interviennent rapidement.

- 15 sangliers sur la même plage en juillet 2011

- plusieurs ragondins en aout 2011, quelques semaines après les sanglier.

- au 6 aout 2011, l'hécatombe continue : c'est 36 sangliers et 1 ragondin qui meurent en un mois...

- Ensuite, plus rien ne filtre dans les médias, si ce n'est ce petit entre-filet du 04/04/2017 pour annoncer que le procureur de la république classait sans suite la mort d'un joggeur le 10/09/2016 (traitée de manière discrète par les médias, et pas mise en avant dans les actualités, les comptes-rendus de tribunaux doivent être moins censurés...). Ce décès est arrivé dans le même secteur que les sangliers et le cheval, victime envasée dans les algues comme le cavalier de 2009 (en 2016, c'est son chien envasé que l'homme avait essayé de secourir). L'état ne fait rien à cause du balck-out sur les vraies causes, et il finit par y avoir des morts (et encore, combien d'autres se sont déroulés à cet endroit sans qu'on ne le sache?). Après le décès, il avait été mesuré un fort dégagement d'hydrogène sulfuré (sulfane) sur les lieux du décès, à un niveau mortel. Et là encore, les rapports préliminaires officiels ont, comme en 2009 et 2011, cherchés à cacher l'intoxication au sulfane. Alors, qu'est-ce qui provoque cette émission importante de sulfane, dans cette zone devenue soudainement très active sismiquement ces dernières années, et soumise à l'écartement du rift atlantique suite à Nibiru ? La piste des algues vertes ne peut être retenue car ces algues sont là en permanence et les émissions de sulfane pas systématiques, les 2 phénomènes ne sont pas corrélés... Et ça, il faut éviter de trop faire d'enquêtes là dessus...

Ce gaz peut stagner au niveau de la mer (il n'est pas beaucoup soluble dans l'eau et un peu plus lourd que l'air). Cette accumulation permet d'atteindre parfois des doses très dangereuses, parfois mortelles. Attention ce gaz est très dangereux : si vous sentez très fortement une odeur d'oeuf pourri, éloignez vous de la zone le plus rapidement possible.

C'est du sulfane qui provoquent les symptômes des victimes de la fracturation hydraulique pour extraire le gaz de schiste : Ils perdent l'odorat, les poils tombent.

Un cas hallucinant s'est produit à Boston le 13/09/2018, plus de 70 maisons ont explosées en chaîne, les résidents évacués dans la panique.

Trous de l'enfer sibériens

Ces trous, ressemblants à des sink-Hole, sont en fait produit par le même phénomène que les volcans de boue ou les dégagements de méthane : le gaz chaud remonte des réserves du sous sol, et atteint le permafrost. Le gaz ronge le permafrost et créer une cavité qui gonfle, jusqu'à que le couvercle explose sous le pression.

à suivre...