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Nature Humaine (amocalypse)
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Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2019-02-01

Catastrophes climatiques

Sommaire de la page


Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Le réchauffement de la planète (masses océanes, atmosphère) déplacent les masses d'air, ou fait atteindre à l'océan une température suffisante pour enclencher les vortex. Pour rappel, ce réchauffement n'est pas provoqué par le CO2 de l'homme, mais par le réchauffement du noyau terrestre sous l'effet de Nibiru.

Fonte des glaciers, inlandis et banquises

Pour rappel : Arctique = pôle Nord, Antarctique = Pôle Sud. Glacier = glace sur les montagnes en Altitude, inlandis = glaces sur les continents des zones froides de la Terre, banquise = glace flottant sur la mer.

En 2016, pour la première fois, l'Arctique (pôle nord), pourtant en plein hiver, continue à fondre "alors que la température dans l'Arctique a dépassé cet automne de 20°C les moyennes saisonnières", de même que l'Antarctique (pôle sud), car même si le pôle sud est en été il ne subit pas habituellement de recul massif comme celui auquel on assiste. Les experts prennent peur car ils n'arrivent pas à expliquer cette bizarrerie. Dans le même temps, il neige en Arabie Saoudite et dans le Sahara... "Tout va très bien, madame la Marquise... A part ce tout petit rien!".

En 2019, un énorme trou sous les glaces de l'Antarctique s'est formé en moins de 3 ans. Encore des preuves que :

La fonte des glaces situés sur des terres + l'excédent de chaleur du noyau interne de la Terre ayant provoqué cette fonte, provoquera une élévation du niveau de la mer de 200 m d'altitude.

Tornades

Les tornades en Europe

Les mini tornades (selon les médias qui minisent) débarquent en France en 1997. Fin 2015 les médias ne peuvent plus cacher les tornades et les nomment par leur nom. Nous avons maintenant de vraies tornades en France, comme au Kansas. Plusieurs fois par an en 2015, par semaine en 2016...

Des exemples en France fin mai 2016 :

Dans la somme.

En Charente-Maritime : "Pour la deuxième fois en une semaine, une tornade a sévi dans le nord-est du département. Plus de 80 maisons ont été endommagées."

Dans le Lot : "première tornade recensée à ce jour dans le département du Lot."

A Troye.

Les trombes marines et tornades en hiver

En 2015, la première tornade en France (terme incongru il y a encore quelques années) s'était déclenchée fin avril, ce qui était déjà un record (mais nous avons maintenant l'habitude des records qui tombent chaque année...). En 2016 c'est mi janvier que s'est produite la première tornade. Sans parler des trombes marines (novembre 2015, fin février 2016) qui se produisent maintenant même avec des températures négatives.

Les cyclones qui se développent alors que l'eau/air sont à basse température n'ont rien à voir avec une nature électrique quelconque, mais avec la force de Coriolis. L'axe terrestre vacille et cela engendre des tourbillons parce qu'il y a alors des accélérations latérales.

Orages

Les orages même en hiver

Le 14 janvier 2016, des orages d'hiver très peu fréquents ont obligés les sites météo à sortir des experts du placard pour essayer de nous expliquer que tout restait normal... Le 21 janvier le phénomène très rare se reproduit, c'est le serpent "l'effet de mer" qui est mis à contribution ce coup-ci...

Des cellules orageuses plus grosses, des écarts de températures plus grands, et vous augmentez pluie, grêle, vents et nombre d'éclairs.

Augmentation des foudroiements

Beaucoup pensent que dons notre société il y a des paratonnerres partout. Mais comme pour Fukushima censé résister à tous les cataclysmes prévisibles à l'époque de sa construction, nous somme sortis de la normalité et entrons dans une période dangereuse. L'augmentation d'orages violents accompagnés d'éclairs nombreux et durant longtemps augmentent le risque de mourir électrocuté, sans compter le fait qu'avec les EMP les éclairs se propagent en amont de l'orage et se produisent avant que les nuages ne soient là, comme pour les 35 personnes foudroyées en allemagne lors d'un match de foot alors que l'orage était encore loin.

Comme le 28 mai 2016, 9 personnes foudroyées à Paris et 35 personnes foudroyées en Allemagne. Une EMP a été filmée le 30 mai 2016 lors d'un orage (voir l'explication). Moins d'1 semaine après, 82 personnes foudroyées, toujours en Allemagne.

Eclairs plus nombreux et plus intenses

En mai 2018, j'ai personnellement assisté, dans ma vallée où je n'ai normalement que 2 orages par ans, à 1 mois et demi d'orages non stop. Au mois de mai 2018 en France, il n'y a eu qu'un jour sans orage. Un orage notamment à commencé à 10 h 30 du matin, pour finir à 23h le soir. Et des éclairs en permanence, alors qu'un orage c'est un front où une dizaine d'éclairs tombent localement puis la réserve électrique est épuisée, ça va péter plus loin avec l'orage qui avance.

Les éclairs sont amplifiés par des phénomènes EMP, la proximité de l'eau, de failles sismiques et de roches containtes par les mouvements de plaques tectoniques.

Le 07/08/2013, en plein pic EMP, le viaduc de Millau est frappé au même moment sur tous ses piliers (7). Ça montre déjà la puissance des éclairs à l'époque (plus il y a de chemins pour l'éclair, plus il faut des watts derrière pour alimenter tout ça). Imaginez déjà à l'époque ces 7 éclairs qui se concentrent sur un seul pilier au lieu de diviser leur énergie...

La tragédie du Viaduc de Gênes en aout 2018 est la suite logique de ces viaducs frappés par les éclairs : un pont mal entretenu et pas assez redondant lors de la conception, en cisaillement suite à la déformation tectonique de la baie (limite de plaque adriatique) matérialisé par des séismes le jour d'après et des ruptures de canalisations les mois qui précédaient. Ça s'est passé un 14 aout, le jour le plus intense du pic EMP. Arrive là dessus un orage intense avec un fort vent transversal augmentant le cisaillement latéral, arrive là dessus un éclair d'une "rare intensité" selon les témoins, et toutes les fixations métalliques fondent d'un coup : les 2 tabliers tombent suivis du pilier fondu à la base.

Nancy Lieder explique ce qui provoque cette hausse de capacité électrique, provoquant des éclairs plus nombreux et puissants.

La foudre est causée par une répartition inégale de l'électricité entre les conducteurs naturels, entre une accumulation dans les nuages ​​et la nappe phréatique sous la Terre. Qu'est-ce qui permet à la foudre de trouver son chemin? Elle utilise un chemin, encore peu compris par les scientifiques, formé par des particules subatomiques, une sorte d'ondes électriques, pas encore découvertes par la science humaine. Ces particules émanent de n'importe quel champ hautement électrifié, et lorsqu'elles se touchent l'éclair est désormais possible.

La foudre est provoquée par les couches de l'atmosphère qui se déplacent rapidement, comme lors de l'arrivée d'un front, de l'air froid qui tombe soudainement dans l'air chaud, etc. C'est pourquoi la foudre est associée aux tempêtes et aux fronts mobiles. De la même manière, les éclairs thermiques se produisent lorsque la haute atmosphère se refroidit après le coucher du soleil alors que l’air au niveau du sol est encore assez chaud, provoquant ce même type de mouvement de l’air, provoquant ainsi des éclairs. La Terre oscille, bien sûr, en poussant le Pôle Nord de la Terre chaque jour, avant qu'il ne revienne en arrière tous les jours, et cela fait vibrer/rouler l’atmosphère, donc plus de foudre.

Déjà, lors du passage de Nibiru, le nombre d'éclairs augmentera beaucoup (contrainte accrue dans la roche suite au déplacement accéléré des plaques sur le manteau), au point qu'en certains endroits la foudre semblera ne jamais s'arrêter.

Les roches sous grosse tension (en étirement, cisaillement ou compression), facilitent la circulation de l’électricité à travers la roche, provoquant des arcs électriques entre le sol et la queue cométaire chargée de la planète X (Nibiru étant toujours entre Soleil et Terre, la Terre est toujours située dans la queue de Nibiru). La science à reconnue en 1965 ces lumières de séismes, observés juste avant un séisme, seraient dûs des frottements entre les parois d'une faille libérant des charges électrostatiques, ou encore la libération par pression de charges électriques contenues dans le basalte et le gabbro, qui une fois libérées dans l'atmosphère, ioniseraient leur environnement et formeraient des poches de plasma lumineuses. Ce phénomène, bien qu'observé et photographié à de nombreuses reprises, n'a pour l'instant pas d'explication satisfaisante par le science humaine.

L'eau, que ce soit dessous, à côté ou un air humide, favorise le phénomène d'éclair (les zétas ne donnent pas de détail, c'est un fait observé mais mal compris, surement une histoire de conductivité accrue du milieu).

Un bateau, frappé par la foudre intense en Suède, a coulé incroyablement rapidement à cause du trou provoqué.

Autre chose, les éclairs sombres, c'est à dire les particules sub-atomiques qui constituent le courant électrique traversent l'espace entre Nibiru et la Terre, pour évacuer le surplus généré par l'atmopshère terrestre en mouvement dans la queue de Nibiru (cela amplifié par le vacillement journalier). Ces éclairs sombres sont invisibles, car dans l'espace les particules ne peuvent interagir avec la vapeur d'eau et d'autres particules rencontrées dans l'air, il n'y a pas de libération spontanée de lumière et de chaleur, pas de flash et de craquements. Ces éclairs sombres de haute altitude, décrit par Nancy en 1995, ne sont découverts q'u'en 2002 puis étudiés depuis 2013, notamment pour connaître le danger appliqué aux passagers des avions bombardés par ces rayonnements gamma de haute altitude. Les zétas disent qu'au moment où ces rayonnements seront le plus intense, lors du passage, nous aurons d'autres soucis plus urgents à gérer.

Idem, les sprites et autres jets, les éclairs de haute altitude situés au dessus des nuages, n'ont été observés que tardivement en 2010 en Chine, à environ 35 degrés de latitude (bien plus haut que les régions subtropicales où il avait été aperçu de temps à autres par les aviateurs) avant de pouvoir être étudié plus avant en 2013 avec l'augmentation de leur nombre. Peu étudiés avant, parce qu'ils étaient super rares et uniquement situé sur l'équateur. Depuis qu'ils apparaissent en masse au dessus de nos contrées, les scientifiques s'y intéressent de très près !

Pour les zétas, ces éclairs augmentent à cause du vacillement journalier plus important qui génère plus de frottements atmopshérique. Auparavant limités aux régions sub-tropicales à cause des turbulences élevées, le vacillement mets sous une atmosphère subtropicale des régions normalement plus haute. De plus, l'agitation accrue de l'atmopshère favorise tout ça pour que ce phénomène soit observé toujours plus près des pôles.

Les tempêtes, ouragans, cyclones

vague "irréelle" 19/12/2012 écosse

En 1999, nous avons eu la tempête du millénaire. 10 ans après, de nouveau une tempête (Klaus) qui ne se produit théoriquement que tous les 1000 ans. Et l'année d'après rebelote avec xynthia.

L'hiver 2013-2014, c'est une grosse tempête d'hiver qui a duré 2 mois en Bretagne (au lieu de 2 jours habituellement). Les côtes océaniques françaises ont plus reculé en 2 mois qu'en 40 ans.

En octobre 2014, les pluies "cévenoles" (c'est rassurant ce mot-là, ça fait croire que le phénomène est connu et ancien...) ont localement apporté 800 mm d'eau en 3h, soit plus que les précipitations moyennes annuelles dans ces régions.

Les pluies diluviennes anormales ou la neige qui tombent sur le proche Orient, jamais vues depuis au moins 100 ans (date des premiers relevés écrits, mais en réalité, jamais vu depuis plusieurs milliers d'années).

En mai 2015 c'est 4 grosses tornades qui se forment en allemagne le même jour.

Début 2016, c'est toutes les 2 semaines que les USA sont frappés par une tempête de neige record, suivi quelques jours plus tard d'une tempête record (pire que celle de 1999) qui traverse l'europe. Avec à chaque fois des merveilles naturelles qui disparaissent. Mi janvier, c'était un sequoia millénaire qui tombait. Mi mars, c'est une arche naturelle maltaise emblématique qui tombe.

En mai 2018, pour la première fois dans cette partie du monde (températures de surface de la mer dans le sud-est de l'océan Pacifique sont généralement trop froides) un cyclone tropical s'est formé près des rives du Pérou, en même temps que, près de la Nouvelle-Zélande, la vague la plus élevée de l'histoire de l'hémisphère sud a été enregistrée. Plus tard, un cyclone très rare, Sagar, s'est formé dans le golfe d'Aden.

Les médias nous rassurent en mettant une date (depuis 1880) mais il faut savoir que 1880 c'est le début des enregistrements météo. C'est à dire que ces événements se sont peut-être rencontrés il y a des milliers d'années (3600 ans pour être exacts!). Et il faut se rappeler que ces événements dont on ne trouve pas trace dans la mémoire ou les écrits de l'homme (excepté dans les anciennes légendes traitant du précédent passage de Nibiru) se repoduisent actuellement d'année en années, voir d'une semaine à l'autre.

Les médias pourraient en profiter pour mettre tout ça sur le dos du réchauffement à cause du CO2. Ils ne le font pas, car ils ne peuvent pas : un air qui se réchauffe plus vite que l'océan provoque moins d'ouragans, hors c'est le contraire qui est observé ! :) C'est donc que l'océan se réchauffe plus vite que l'air, donnant ces cellules dépressionnaires qui enflent, de la même façon qu'on a plus d'orage.

En cause, non seulement le fait que les Océans se réchauffent plus vite que l'air ambiant (ce qui donne les tornades même en hiver) mais aussi le vacillement journalier qui remonte des masses d'eau chaudes dans un air gacial. Dès 1995 Zetatalk prédisait des ouragans plus nombreux et plus fort alors que le GIEC (réchauffement cause CO2) prédisait le contraire. Voyez qui a raison dans le temps...

Les ouragans s'amplifieront donc à mesure que Nibiru se rapprochera et que le vacillement s'amplifiera.

Le réchauffement global

L'atmosphère terrestre devient chaque année plus chaude : depuis 2013 (année record ayant dépassé tout ce que nous avons jamais connu), la température moyenne de la température s'éleve en continu, chaque année battant le record de chaleur de l'année d'avant. 2015 à battu tous les records de chaleur, devant les années 2014, 2013, 2010, 2009, 2005, ... 2015 ou 2016 aura été l'année aux 2 printemps des prophéties apocalyptique, les fleurs printanières repartant en décembre et janvier. 2016 bat lui-même de très loin 2015... Il faut être aveugle pour croire que ça va s'arrêter...

Dans le sud-ouest de la France, cela fait 2 ans (en 2015) que la pluie tombe sans interruption, et il y a eu 14 mois consécutifs sans gelées en hiver. La végétation repart dès décembre au lieu d'avril.

Inondations en Norvège en décembre 2015 (parce qu'il n'a toujours pas neigé, malgré seulement 1 heure de soleil rasant par jour à cette période de l'année).

La sécheresse en certains endroits pendant 20 ans, les excédents de pluie ailleurs dpu aux changements des flux atmosphériques comme le Gulf Stream.

Vacillement du cercle polaire arctique

C'est l'effet le plus visible de la variation journalière de l'axe de rotation terrestre (ou plutôt de l'oscillation de la croûte terrestre autour de son noyau).

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Voici par exemple, ci-dessus, la belle sinusoïde formée par le vacillement terrestre en 2017. On nous explique que c'est le Jet Stream atlantique, mais comment expliquer que c'est également réparti sur toute la surface de la Terre, indépendamment des océans puisqu'on a une remontée du centre de la Russie ? Il s'agit en fait de l'oscillation journalière (le centre de l'Atlantique est attiré plus au Sud ou plus au Nord à chaque fois qu'il passe devant Nibiru), expliquant ces 3 lobes qui ne sont pas une descente de l'air arctique, mais plutôt le fait que dans la journée, ces terres remontent trop au Nord et sont recouvertes d'un air polaire, tandis qu'à côté, le centre de la Russie descend plus au Sud et bénéficie d'un air réchauffé.

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A droite, le cercle arctique habituel. Depuis 2014 (image ci-dessus), on assiste à un vacillement du cercle du vortex arctique (phénomène inédit auparavant), qui forme une sinusoïde comme si le Terre vacillait sur elle-même tous les jours... Des vagues de froid extrêmes, comme si les terres se retrouvaient 1000 kms plus au Nord. A remarquer qu'en 2014 (image ci-dessus) les lobes froids étaient au même endroit qu'en 2017 (2 images au dessus).

Une autre vidéo où on voit bien l'oscillation, ou encore un article sur le vacillement 2015. Ça c'est aussi produit en 2016 et 2017.

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Le cercle polaire arctique de Saturne, qui se mets lui aussi a bouger. Comme on le verra dans la page sur les changements observés dans le système solaire, Saturne, planète magnétique, est elle aussi soumise depuis quelques années à des vacillements.

Les variations climatiques extrêmes

Le vacillement journalier provoque ces nuits très froides et ces journées très chaudes en France, on a facile plus de 10°C d'écart par jour.

Le vacillement mensuel provoque cette alternance de froid et chaud d'une semaine à l'autre. Je prends cette semaine de mi mai 2015 qui vient de passer : 22 °C le matin pendant 5 jours, 32°C la journée avec une canicule rappelant les grosses chaleurs d'août, pendant 5 jours, puis d'un coup grosses pluies diluviennes et des températures qui reviennent pour quelques jours à 12°C.

En 2016, nous avons un changement de temps tous les 2 jours (on passe de 9°C le matin et 14°C l'après-midi à 22°C le matin et 35°C l'après-midi en 1 jour, avant de nouveau de la pluie et du froid le lendemain), contre 1 mois et demi en 2014, 2 semaines en 2015.

Les variations de températures par rapport aux moyennes de saison vont se rapprocher et devenir plus fortes si bien que les saisons vont faire le "yoyo", si bien qu'on ne saura plus vraiment si le printemps a commencé ou si l'hiver se prolonge. Les saisons vont se chevaucher, l'instabilité journalière prévalant.

à suivre...


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