Nature Humaine (amocalypse)
Faits "inexpliqués" :
Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2019-05-10
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
La Nasa est aux mains du congrès, des sénateurs qui reçoivent des millions par an de la part de lobbyistes pour faire voter les lois demandées par de riches privés.
La plupart des mensonges Nasa de cette page concerne la visibilité de Nibiru. Nibiru est secret défense depuis sa découverte en 1983 (voir l'article du Washington Post), décret déposé par Reagan.
Voyons les ratés de ces dernières années où la NASA s'est fait prendre en flagrant délit de triche, on est dans la partie des faits reconnus par tous je ne parle que des faits officiels repris par les médias main-stream ou la science officielle.
Voyez par exemple cette vidéo où un grand ponte de la NASA affirme doctement et sans sourciller que la planète Nibiru ne peut exister, qu'on l'aurait déjà découverte. A regarder maintenant que la planète 9 est reconnue par la Nasa (après des années de chipotages, d'acceptation puis de retour en arrière), même si ils n'ont pas encore voulu dire où elle se trouve.
En 2009, le nombre de météorites tombant sur Terre est doublé par rapport à l'année d'avant. L'armée, propriétaire de la Nasa, place alors sa flotte de satellites infrarouges dédiées à la recherche d'objets entrants sous secret défense. Par d'autres réseaux citoyens mis en place en 2006, nous savons que par rapport à 2008, le nombre de météorites en 2016 est 20 fois supérieur... (250 objets entrants en 2008, presque 5 500 en 2016). Pourquoi cacher ces données cruciales indiquant que nous allons être balayés par un nuage de météores destructeurs ?
Ne pas dire c'est mentir...
La NASA prise en flagrant délit de truquage par les derniers journalistes que le système n'a pas encore éradiqué : les dégagements de CO annonciateurs d'un gros cataclysme sur la faille de San Andreas, impactant la vie de millions de personnes, ont été minimisés.
Ne me demandez pas pourquoi c'est l'agence spatiale qui gère les capteurs pour détecter les séismes aux USA... Je vous répondrais que ça évite d'appliquer le secret défense à plusieurs organismes d'état.
Alors que le réchauffement climatique dû au CO2 émis par l'homme bat de l'aile, la NASA sort en 2013 une étude annonçant que depuis 2005 la température des fonds marins a arrêté inexplicablement de monter... (oui, c'est encore l'agence spatiale qui gère l'étude du fond des océans, comme elle gère les capteurs de séismes... Rien que là il y a des incohérences ! ).
Quand on sait qu'ils truquent les capteurs, on voit l'indice de confiance que l'on peut accorder à ce genre de résultats, qu'ils auraient bizarrement mis 8 ans à rendre public....
Les spécialistes sont aussi sceptiques sur le sujet, car si c'était vrai ça voudrais dire qu'il y a une énorme incohérence entre les températures relevées au fond des mers et en surface, et une grande quantité de chaleur disparaît on ne sais où. Bref, ils ont truqués les données sans maîtriser le sujet (d'où l'intérêt de normalement laisser ce genre d'analyse à une agence de spécialistes du manteau terrestre ou des fonds marins, et non a une agence censée s'occuper de l'espace...).
Début 2018 le satellite ZUMA est soit disant perdu dès son lancement, bien qu'on n'arrive pas vraiment à savoir, la Nasa est ambigue sur le sujet. On ne sait pas ce qu'il est devenu, et comme c'était un projet secret de la Nasa n'a pas été obligée de donner des détails... D'après Nancy Lieder, ce satellite pour observer Nibiru fonctionne parfaitement, mais je n'aurais pas d'autres sources pour le confirmer, le sujet étant sous le pratique "secret défense".
Au même moment où le sort de Zuma était occulté (merci les ET !), un radioamateur retrouve le signal du satellite IMAGE soit disant perdu par la Nasa en 2005. En fait il émet toujours ! Et ce qu'il émet en crypté est toujours accessible à ceux qui ont les codes, comme la Nasa. Ce satellite IMAGE était censé observer la "météo spatiale" autour de la Terre (terme assez flou, mais en gros des trucs entre le Soleil et la Terre...). Démasquée, la NASA a fait croire qu'il s'était relancé tout seul sans qu'elle ne s'en soit aperçue...
C'est un peu comme Stéréo B (voir plus bas), un satellite pointé droit sur Nibiru, qui est perdu, mais des fois on arrive à retrouver le signal, bien que jamais la Nasa ne retransmette au public ses données (alors que son frère, Stéréo A, de l'autre côté du Soleil, a ses images retransmises au public, bien que la Nasa n'explique jamais pourquoi lors des éruptions solaire un bord du nuage de Nibiru devient visible...).
La synchronicité entre la perte de ZUMA et le retour de IMAGE doit vous alerter, même si ce n'est pas une preuve en soit-même !
Lors d'une visite de Georges Bush père à la NASA (Georges Bush en bas de l'image, sur une chaise roulante), le cameraman filme par erreur une vidéo NASA de l'ISS en cours de montage (le gros écran en haut au milieu), où l'on voit l'astronaute de l'ISS avec un fond bleu quadrillé en blanc :
La vidéo en cours de retouche de l'image, diffusée par la suite par la NASA, a été présentée comme étant une vidéo venue directement de la station, sans retouche vidéo...
Ces magouilles de la NASA sont nécessaire car Nibiru est visible des hublots de l'ISS.
En septembre 2015, lors d'un panoramique de la station, un opérateur à volontairement monté l'image de quelques degrés pour que Nibiru apparaissent en haut de l'image. La Nasa a depuis coupé toutes les images, et n'a pas commenté cette fuite malgré la reprise de l'image dans plusieurs journaux Main-Stream comme 7sur7 et Daily Mail.
Elle s'est contenté de bidouiller une image et de publier ce qui semblait être une ville dans le ciel, pour détourner l'attention.
Les astronautes ne sont pas envoyés sur l'ISS pour bien se marrer, mais pour observer Nibiru à 80% de leur temps, tout en truquant les images pour qu'on n'aperçoive pas Nibiru par les hublots. Depuis mi 2016, il est trop dangereux aux spationautes de rester dans l'ISS à cause de la hausse des météorites, ils n'y restent plus que quelques jours hstoire de prendre le max de selfie et de réparer ce qu'ils peuvent, avant de redescendre.
Chaque fois qu'un OVNI passe devant les caméras, au bout de quelques secondes la Nasa coupe l'image, et explique ensuite dans un communiqué officiel que la caméra est tombé en panne. Jamais d'explication sur l'OVNI observé, ni sur le fait que ces pannes sont toutes liées à l'apparition d'un OVNI.
Depuis 2014 ça n'arrête pas (les pannes électriques ou informatique au moment où un truc bizarre s'amuse avec la station spatiale). Le 6 octobre, encore une énième lumière devant les caméras de la station spatiale internationale. ET vous savez quoi, les caméras ont encore subies une panne quelques secondes après l'apparition de cette lumière!
La dernière en date, du 19/02/2017, montre si boules lumineuses passant à côté de la station spatiale, avant que l'image soit brutalement coupée et remplacée par celle d'une salle de contrôle. Dans ce cas-là, il s'agissait de l'astéroïde anormal 2016-WF9 qui annonçait l'entrée de la terre dans le nuage principal de Nibiru.
Si au début les images étaient souvent coupées, le service de retouche de la Nasa est devenu plus habile à retoucher les images. Mais il y a parfois des loupés, comme cette souris qui apparait sur les images, des faucons, des morceaux de bois taillés, des crânes de chèvres, voir même un nid de souris qui apparait sur une image là où il était absent 12 jours avant... Sans compter que les teintes bizarres montrent que la Nasa supprime des couleurs sur ses images. Pas facile de tout gérer pour le service du mensonge ! On retrouve aussi des artefacts fabriqués, comme des pyramides ou le fameux visage martien soigneusement évité de survol avant que le service de retouche numérique ne soit créé...
Bizarrement, à chaque anomalie, la Nasa ne revient pas en arrière pour contrôler si la souris est toujours là, ne veut pas redonner d'autre photo du visage martien avant que son service de retouche numérique soit performant, etc.
Depuis 1976, les analyses du sol montrent qu'il grouille de vie microbienne.
Sous l'effet des éruptions solaires, le nuage de Nibiru s'illumine et devient bien visible de l'espace.
Les satellites STEREO permettent d'observer le Soleil sous tous les angles. Le problème, c'est que ces images montrent pleins d'incohérences (des OVNIS gros comme 100 fois la Terre qui sortent du Soleil, une explosion sortant de Vénus qui s'étend sur 100 millions de kilomètres jusqu'au Soleil, le nuage de Nibiru visible toute une journée avant que les images soient censurées, etc.).
Sans compter que c'est bizarrement le satellite pointant sur Nibiru dont le public n'a pas le droit d'avoir les images...
Ce ne sont pas ces images qui sont des mensonges (bien que Nibiru et ses lunes soient effacées des images, comme quand on voit ce nuage rond dont le centre est forcément un amas plus solide...). C'est le fait que la Nasa refuse systématiquement de commenter ou de chercher une explication à ces aberrations.
Il y a toujours une conférence mystérieuse de la NASA juste au moment où l'annonce de la découverte de Nibiru pointe le bout de son nez. On avait déjà eu le cas en février 2014, conférence de la NASA qui avait fait monter le suspens pour finir dans un flop resplendissant (travaux invalidés par la suite sur les ondes gravitationnelles).
En fait, chaque fois que Obama à fait une tentative pour dévoiler l'existence de Nibiru, la Nasa a programmé une conférence de portée mondiale juste derrière, pour démentir ou minimiser la portée de l'annonce d'Obama.
La NASA est tenue par le secret défense suite à diverses décisions, notamment un classement de Nibiru dans le plus haut degré de secret par le Président Reagan dans les années 80. Depuis lors, la NASA étant sous la tutelle de l'US army, elle devint, comme avec la présence ET également soumise au secret défense mais depuis plus longtemps (Eisenhower), un des bastions du débunking systématique. On sait aujourd'hui que la NASA a un service spécialisé de retouche photo, qu'elle a probablement fait refaire en studios des scènes des périples lunaires des missions Apollo, qu'elle utilise un filtre qui enlève les couleurs bleues et vertes de toutes les images et vidéos martiennes, qu'elle connait l'existence de Nibiru depuis 1983 et celle d'Hécate depuis les années 90, etc.
Le problème c'est que tous ces mensonges sont un danger permanent pour l'agence et ses directeurs, surtout avec l'annonce sur Nibiru qui est imminente. Ils se font énormément de souci, parce que tout le système de censure est sur le point de tomber à l'eau, et ils ont peur que si l'on détricote une maille de leur filet, tout l'ensemble vienne à sa suite. Quelle serait alors la réaction du public américain très à cheval sur la dépense des millions versés par le contribuable fédéral, millions utilisé pour leur cacher des vérités essentielles ?! La réponse est simple, c'est limogeage généralisé voire fermeture de la NASA, purement et simplement, sous la pression du public, et cela, ce n'est pas une bonne option pour l'agence spatiale américaine qui tente le tout pour le tout afin de brouiller les pistes. Cela fait suite à plusieurs fuites involontaires de leur part et notamment des images en direct de Nibiru vue depuis une des caméras de la station spatiale.
Dona Hare est une dessinatrice industrielle chez Philco Ford aeropace, un des contractants de la NASA, de 1967 à 1981. Mais la plupart du temps elle travaillait dans le Bâtiment 8 du centre spatial Johnson. Elle avait une accréditation pour circuler dans les zones réservées, et il lui est arrivé de pénétrer dans un labo photo de la NASA, et de parler avec des techniciens.
Dona Hare témoigne dans le cadre du Disclosure Project (révélations diverses de la part de plus de 400 personnes ayant travaillées dans des postes hauts placés ou stratégiques, comme Edgar Mitchell, un astronaute ayant voyagé sur la Lune ou encore Mgr Corrado Balducci, théologien membre du Vatican et proche du Pape). L'un de ses collègues avait pour rôle de les détruire ou d'effacer les vaisseaux observables, avant une présentation au grand public. Elle révèle avoir été menacée ainsi que toutes les personnes ayant vu ces engins et pouvant compromettre le secret. Elle indique aussi la disparition définitive de l'une de ces personnes.
Un autre témoignage du sergent Karl Wolfe raconte la boulette d'un technicien qui révèle à Wolf, un autre technicien envoyé en renfort technique à la NSA (mais sans habilitation), que les sondes avaient pris en photo des bases ET lunaires. Le technicien pensait Wolf habilité, et avait visiblement besoin de parler de ça. Tout le monde avait peur d'apprendre ce genre de chose à cause des disparitions qui s'en suivaient. Wolf s'étonnait aussi de l'étrangeté d'avoir des images officielles basses résolution de Mars et la Lune alors que dès 1960 ils avaient les moyens techniques (et ils les utilisaient réellement) pour avoir des images haute résolution (mais seules les basses résolutions et retouchées étaient divulguées).
Ce ne sont que des témoignages, dont la véracité peut-être mise en doute, du moins ils sont moins certains que celui de Gary McKinnon (voir paragraphe suivant) qui lu ia fait l'objet d'une enquête judiciaire, et qui vient confirmer l'existence de ce service de retouche photo.
Gary McKinnon est un de ces enfants des étoiles qui fait avancer le monde (surprise ! Encore un autiste asperger ! :) ). Sans gros moyens, il a patiemment infiltré pendant 2 ans les serveurs de la Nasa et de divers services US, à la recherche d'infos sur les ET. Avec son petit modem 56 ko, il y a passé ses jours et ses nuits, et il estime que 1% seulement de sa laborieuse recherche lui a donné des pistes réellement intéressantes pour aller plus loin.
Il tombe sur le témoignage de Dona Hare (voir au-dessus) qui parlait des retouches faite par la Nasa sur les images satellites pour les nettoyer des OVNI avant distribution officielle.
Après beaucoup de chances, il finit par accéder a un ordinateur encore allumé et sans mot de passe du service dont parle Dona Hare, le fameux Bâtiment 8 du Centre Spatial Johnson. Il a ouvert la première image du dossier "non retouché". L'image s'est affichée par saccades et montrait une vue au-dessus de l’hémisphère terrestre où se trouvait un grand objet en forme de cigare aux extrémités légèrement aplaties avec des dômes sphériques au-dessus, en dessous, sur les côtés et à ses extrémités : « Il n'y avait aucune soudure, aucun rivet, pas d'antennes télémétriques, rien du genre. Il est évident que ça ne ressemblait à aucun satellite que j'avais vus. Je suis accro à l'espace depuis l'âge de 14 ans donc j'en ai vu, des photos de satellites ».
Malheureusement, une personne a repris l'ordi en main et a coupé la connexion. La police est rapidement remonté à lui et l'a arrêté.
Il a aussi découvert une liste intitulée « agents non-terrestres » (Non Terrestrial Officers), avec des noms, des grades, en tout une vingtaine de personnes nommées.
Une autre liste mentionnait des transferts de matériel de « vaisseau à vaisseau » ou de « flotte à flotte ».
De l'interview qu'il a donné, on comprends qu'il a trouvé bien plus mais que sa liberté voir sa vie ont été échangé contre une divulgation tronquée (on peut penser que ses révélations, issues de l'enquête, sont vraies car il est très difficile à un Asperger de mentir).
Actuellement, c'est à la science même en général qu'on ne peut plus faire confiance, tout simplement parce qu'elle est au mains de financiers qui ne sont pas des scientifiques, et qui cherchent à assoir le mensonge qui les a rendu ultra-riche plutôt qu'à libérer leurs esclaves humains. Il est estimé par des chercheurs lanceurs d'alerte que la moitié des études sont actuellement fausses :
à suivre...