Première version: 2002-11-23
Dernière version: 2019-04-03
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Cette page est un brouillon en attente d'éclaircissements et développement ultérieurs.
Notre connaissance actuelle du système solaire (2017) est actuellement imparfaite. On sait qu'il y a 2 planètes (planète 9 et planète 10) en plus qu'on n'a pas découvertes (3 si on rajoute les aberrations de Mercure), on découvre encore des lunes de Jupiter, on sait qu'il devrait rester une seconde lune autour de la terre qu'on n'arrive pas à voir, les modèles pour expliquer la Lune ou même le système solaire sont imparfaits et plutôt bancales, les galaxies se repoussent alors que sur terre les masses s'attirent, la sonde Pioneer ne va pas à la vitesse calculée, les points de Lagrange (gravitation annulée entre la gravitation de la terre et celle du soleil) ne donnent pas les résultats escomptés quand on y place un satellite, la ceinture principale d'astéroïde, connue depuis 1801, n'a fait l'objet d'aucune étude sérieuse, parce qu'on ne sait pas expliquer pourquoi ailleurs dans le système solaire les cailloux se sont agglomérés en planète et pas là, pourquoi ils ne s'agglomèrent pas si la gravitation est attractive. Les comètes viennent d'une multitude de nuages d'Oort qui ne tiennent pas debout dans les calculs et que personne n'a jamais vu. On ne sait toujours pas pourquoi les planètes ont acquis du premier coup la bonne vitesse évitant leur écrasement ou leur échappée. Bref, beaucoup d'imprécisions et d'inconnues.
La description du système solaire qui suit ne vient donc pas de la science humaine, mais de celle des Extra-terrestres Altaïrans et des Zetas (via leurs contactés).
Ce que la science ignore, c'est qu'à partir d'une certaine masse, des réactions gravitationnelles répulsives sont engendrées, bien supérieure à la gravitation attractive. Les gros corps célestes se repoussent (gravitation répulsive) alors que Newton ne décrit que la gravitation attractive, celle observée sur terre entre un petit corps (sans gravitation répulsive, donc soumis uniquement à la gravitation attractive) et le gros corps qu'est la terre. Ce qui explique que les galaxies ou les planètes se repoussent entre elles, alors que les petits corps ne sont qu'attirés par la matière. Un humain est attirée vers le centre de la terre et tombe, alors que la lune est repoussée par la terre et "s'envole" jusqu'à ce qu'il y ai un équilibre entre la répulsion terrestre et la répulsion du reste de l'univers.
De par ces lois gravitationnelles, les planètes ne peuvent se placer que dans des rails gravitationnels précis autour d'un astre massif. La loi de Titius Bode donne la relation mathématiques entre les planètes du système solaire, mais sans expliquer pourquoi cette organisation s'observe. Par analogie, on pourrait comparer aux niveaux d'énergie autorisés autour du noyau des atomes.
On peut encore préciser qu'un gros astéroïde suit un chemin laissé par les gravitations répulsives des autres astres. Si on déviait son chemin avec une bombe nucléaire par exemple, il sortirait de sa trajectoire que temporairement avant d'y retourner rapidement.
Enfin, les astres comme le soleil entrainent la rotation des astres plus petits qui gravitent autour, par l'intérmédiaire de sortent de bras de particules qui viennent régulièrement donner une impulsion de mouvement aux astres liés. C'est pourquoi, pour une raison ou pour une autre, une planète peut être freinée par une autre planète avant de repartir à la même vitesse que précédemment une fois libérée. C'est ce qui explique aussi la variation de vitesse de la terre sur son orbite, en plus de la variation naturelle de vitesse le long d'une ellipse.
La gravitation n'est pas ce qu'on croit.
Les corps suffisamment massifs (plus d'1km de diamètre) émettent des gravitons, qui repoussent les masses, ainsi que les gravitons émis par les autres corps suffisamment massifs.
Du coup, les corps massifs se repoussent (pas de collisions de planètes).
Nous (les corps dits neutres, trop peu massifs pour émettre des gravitons, mais dont la matière subie la pression gravitationnelle) sommes plaqués au sol par les flux de gravitons venants de tout l'Univers, et non attirés par la masse du centre de la Terre comme le veulent nos croyances.
Ce qui explique que pour les marées, il y ai un creux dans les océans sous la Lune (les gravitons de la Lune repoussent les gravitons de la Terre, augmentant la gravité localement), et non une bosse comme le voudrait la théorie de Newton (la Lune étant censée attirer la masse de l'eau de mer). Le renflement de l'océan pour les marées est donc en avant de la Lune (poussé par elle), pas en dessous.
Ça explique aussi les incohérences de mesures de la gravité sur Terre, ou la forme de l'Univers en bulles de Savon, ou encore l'expansion accélérée de l'Univers, les anomalies Pioneer ou des satellites instables sur les points de Lagrange, etc.
La gravité est une force qui pousse, pas qui tire. Mais l'effet est le même au final, ce qui explique que les équations de mécanique de Newton marchent si bien sur Terre, plus dans l'espace, pour les gros corps, ou aux interfaces gravitationnels de ces gros corps.
Ce qui explique la loi de Titius-Bode (il existe des rails gravitationnels autour des gros corps, par exemple les orbites des planètes), une loi constatée dans la pratique mais inexpliquée par nos théories actuelles.
Des bras gravitationnels du Soleil (tels que représentés sur la svastika indienne ou la croix basque) poussent les planètes sur leurs orbites (Newton disait que c'était Dieu qui les relançait régulièrement).
Un système solaire est un équilibre entre toutes les répulsions (celle du Soleil versus celle de l'Univers). Si une planète errante fait intrusion dans ce système solaire, elle va bousculer un peu l'équilibre lorsqu'elle se force un passage, mais une fois partie l'ensemble se remet à tourner comme avant.
Selon Harmonyum (infos reçues des ET) la gravitation n'attire pas les corps célestes mais les repoussent, ce qui explique de manière fort convenable l'expansion de l'univers actuellement observée, sans faire intervenir d'hypothétique matière noire, sombre ou autres.
Je copie colle ses explications, si j'ai le temps un jour j'essaierais de développer... Sachant que les ET resteront volontairement flous sur le sujet, d'un parce que l'humanité doit découvrir toute seule les propriétés de l'univers, et deuxièmement parce qu'il serait suicidaire de donner l'énergie libre à un système gangréné comme le notre, qui construirait des bombes encore plus puissantes et donnerait encore plus de pouvoir à l'élite contre le peuple. C'est pourquoi cette vraie gravitation n'est qu'esquissée ici, il faudrait pour la valider et expliquer tous les détails prendre les 96 types de particules connues de la science Zeta alors que la notre n'en connait pas 10...
Suite à des questions fort à propos posées sur NNSPS évolution, je me suis aperçu que j'avais omis de parler de choses fondamentales à propos de la planète X. Il me semblait que j'avais abordé les problèmes de gravitation et de comportement des planètes mais je ne retrouve rien à ce sujet ici. Je comprends mieux maintenant les réticences de certains à propos des ralentissements et accélérations de la planète X qui sont contraire au modèles communément admis par la Science officielle.
Je vous donne les explications qui ont été publiées sur NNSPS Evolution :
Gaia : Je viens de lire ton dernier article sur FB et je note ce passage :
« Ce qui est important de retenir, c'est que la planète X est toujours freinée quand elle arrive vers le Soleil qui a tendance à la capturer : elle arrive très vite dans le système solaire puis semble être "aimantée" par le Soleil qui la "garde au chaud" si on peut dire. Elle avance très lentement et a mis plusieurs années avant de commencer à s'en éloigner. Selon les ET, la Planète X est entrée dans le système solaire en 2003 à toute vitesse depuis le sud, est venue se coller vers le Soleil fin 2003-début 2004 et qu'elle a réussi à se décoller seulement depuis fin 2012. Elle est donc en phase d'accélération, même les certains ET freinent cette reprise de vitesse de façon artificielle. »
Là je suis complètement perdue…
D’une part, d’après la loi des aires (2ème loi de Kepler), une planète a sa plus faible vitesse à son apogée pour accélérer jusqu’à son périgée puis ralentir après celui-ci jusqu’à l’apogée et aussi, même si elle était capturée sur une orbite moins allongée par le soleil, ce serait à une vitesse proche de celle de son périgée donc la plus élevée.Pourquoi la planète X fait-elle l’inverse : de plus en plus lente à l’approche du périgée pour accélérer en s’en éloignant ?
D’autre part, j’avais cru comprendre que la planète X faisait son 1er passage à son arrivée en direction du soleil et le 2ème à son départ. Je vois dans ton schéma qu’elle s’éloigne du soleil J’ai peut-être lu trop vite mais je ne comprends plus comment elle pourra faire un 2ème passage 7 ans après le premier. Voudrais-tu m’éclairer ?
Harmonyum : (1)
L'astrophysique humaine est complètement à côté de la réalité, elle ne fonctionne que pour des cas particuliers. Elle fonctionne pour les planètes du système solaire parce que celles-ci ont servi de modèles et qu'ensuite les scientifiques ont généralisé leur modèle à l'ensemble des corps célestes.
En réalité, les planètes du système solaire sont très banales et fades, il existe de très nombreuses variantes dans l'Univers, c'est à dire des centaines de modèles de planètes bien différentes des nôtres.
Le comportement d'une planète est lié à trois éléments principaux :
1 - sa composition : les planètes du systèmes solaire sont assez homogènes de ce point de vue là parce qu'elles sont toutes issues du même géniteur (le Soleil et son nuage de poussières/gaz originel). La proportion de chaque élément n'est pas la même dans tous les systèmes solaires.
2 - les mécanismes chimiques/physiques internes : chaque planète a une vie interne différente, et ces réactions chimiques/nucléaires sont liées au point numéro un et au point numéro 3.
3 - la classe planétaire : si les briques de base sont assez homogènes dans chaque système solaire, il n'en est pas moins que certaines planètes sont plutôt gazeuses, d'autres telluriques etc... la classification officielle est très restreinte car elle pousse les scientifiques à croire que les seules possibilités sont celles que l'on observe dans le système solaire, et que partout ce doit être la même chose. Les points 1 et 2, combinés à d'autres, font que les possibilités sont quasi infinies puisque les planètes ne sont pas limitées à des classes bien séparées, mais peuvent au contraire avoir des caractéristiques de plusieurs classes en même temps en proportions variées.
Dans le cas de la planète X, les lois astronomiques appliquées par nos scientifiques ne tiennent pas en compte le fait que cet astre n'est ni une naine brune, ni une planète tellurique, ni une planète gazeuse. Elle est les trois à la fois puisqu'elle est le cœur d'une géante qui s'est disloquée, géante qui était elle même une sorte d'intermédiaire entre une naine brune et une gazeuse (un mini soleil raté). De ce fait le champ magnétique de la planète X est disproportionné par rapport à sa taille et agit comme une force qui peut contrer la gravitation. Quand elle passe à côté du Soleil, gravitation et attraction/répulsion magnétique se combinent et s'opposent, ce qui complique le comportement de la planète X dans cette zone.Plus la planète X est proche du Soleil, plus son comportement est imprévisible et perturbé, plus elle s'en éloigne et plus elle se rapproche du comportement classique.
Nous (humains) ne connaissons pas la véritable nature de la gravitation, nos calculs sont uniquement basés sur ce que nous observons. Or, ce que nous voyons d'ordinaire est une mécanique bien rodée, stable dans le temps à notre échelle. L'erreur est de penser que cette stabilité est généralisable à tout l'Univers et dans le temps, et donc nous pensons que les lois qui s'appliquent au système solaire sont universelles. C'est totalement faux, ce sont des cas particuliers.
La gravitation n'est pas homogène dans l'Univers, elle est liée à des flux de particules qui peuvent augmenter ou diminuer d'un point de vue local. Lorsque la planète X est présente dans le système solaire, l'écoulement des particules liées à la gravitation change, modifiant du même coup les équilibres de tout le système solaire.
Qui plus est, de nombreuses particules et sub-particules sont mal connues voire totalement inconnues de nos scientifiques et leurs interactions ne sont pas prises en compte.
Pour montrer tout cela, prenons simplement l'exemple du flérovium, un élément qui se trouve sous forme cristalline sur la planète X et qui est utilisé par les annunakis afin de créer de l'antigravitation. Cet élément a la particularité de ne pas émettre ses particules dans le même sens que le reste de la matière connue, un peu comme un pôle sud face à un pôle nord mais appliqué à la gravitation. Cet élément n'est pas présent naturellement sur Terre, d'où notre ignorance à son sujet. Cela ne veut pas dire que sur d'autres planètes avec des conditions adéquates, il n'a pas pu se former en abondance. Pour trouver un parallèle, on pourrait dire que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de pétrole sur l'île de Pâques qu'il n'y en a pas ailleurs.
De même/plus, la gravitation n'est pas comme le champ magnétique, c'est à dire bipolaire, elle est "pentapolaire" (quatre pôles positifs et 1 négatif). Le Soleil tout comme la Terre ont quatre bras "gravitationnels" qui forment une spirale et constituent les pôles positifs. Ces bras sont très fins et représentent la sortie groupée des particules venant du noyau (sortantes). Le diamètre de ces bras n'est que de quelques dizaines de mètres. Le reste de la surface (du Soleil ou de la Terre ou peu importe) constitue le pôle nord, le pôle entrant : 99% de la surface d'un astre aspire les particules "gravitationnelles" et ce que nous nommons la gravité, ce qui attire les corps vers le sol, c'est tout simplement un effet d'aspiration : nous sommes entraînés par le courant. Les particules entrantes sont ensuite expulsées par les quatre bras/pôles à grande vitesse, et au sol la gravité y est inversée.
Les quatre bras sont localisables sur Terre, ce sont des zones connues pour leurs phénomènes paranormaux/anormaux. Cependant, l'expulsion de particule est quantifiée et correspond à des cycles : les particules sont rejetées par à-coups (pulses). Cela s'explique par le fait que la plupart du temps elles sont aspirées au centre des planètes et qu'il faut qu'elles atteignent un point où elles sont assez concentrées pour contrer l'aspiration : elles sont expulsées par rayons sur de faibles durées mais de façon très concentrée, à la manière de geysers dont le débit varie dans le temps. (j'essaie de mettre des mots sur les images et descriptions ET, j'espère que j'ai été assez clair...).
La gravitation n'est donc pas la même à notre échelle qu'à celle des planètes. Nous sommes pris dans l'aspiration engendrée par les planètes : cette aspiration est très bien décrite par les lois physiques repérées par les humains en général. Par contre à partir d'une certaine taille, les objets deviennent des émetteurs de particules gravitationnelles, notamment grâce leur noyau interne : il faut une pression interne énorme pour qu'un tel flux sortant se mette en place, il y a donc une taille minimum qui différencie un objet actif (la Terre, la Lune, le Soleil etc...) d'un élément passif (un humain, un avion, un astéroïde...). L'objet actif est capable de créer de la gravitation, l'objet passif subit simplement et bêtement l'effet d'aspiration sans y participer.
Ce qui à notre échelle reste une contrainte et une attraction inéluctable se transforme en répulsion à l'échelle des planètes. De ce fait, les planètes ne peuvent pas entrer en collision car à une certaine distance minimum elles se repoussent. Si la Lune reste autour de la Terre, c'est parce qu'elle se situe à un point d'équilibre entre la répulsion gravitationnelle générale de l'Univers et celle de la Terre. C'est complètement l'inverse de ce que nous pensons généralement aujourd'hui.
Dans la théorie officielle, la Lune est attirée par la Terre et c'est sa vitesse de rotation autour de notre planète qui compense l'attraction par force centrifuge. La réalité c'est que la Lune est coincée entre deux forces de répulsion et qu'elle glisse sur un rail poussée par la force de Coriolis (rotation du système solaire et de la Galaxie sur elle même). Le résultat est visuellement le même mais les fondements théoriques sont complètement différents.
Nous ne sommes encore pas au point sur tous ces sujets mais la "Science" a souvent tendance à croire qu'elle a déjà tout découvert. C'est loin d'être le cas, notre propre évolution au cours du temps le prouve ! La planète X suit les lois de l'Univers, pas celles de l'Homme ! Notre incapacité à créer de l'antigravitation ou à en comprendre les mécanismes devrait nous pousser à remettre en question nos théories, mais comme par le passé, la science pêche par excès de certitude !!
Harmonyum : (2)
La planète X suit une boucle autour du soleil : sa trajectoire est elliptique (un cercle très écrasé pour simplifier). Le Soleil se situe à l'extrémité de la boucle. Donc la planète X passe le Soleil (avec difficulté) puis va faire demi tour au niveau de la ceinture d'astéroïdes, puis repart sur sa boucle en sens inverse. Elle repasse vers le Soleil (encore avec difficulté) et finit par repartir là d'où elle est venue.
La planète X met 3600 ans pour faire toute la boucle et seulement 7 ans pour faire son demi tour vers la ceinture d'astéroïde. Ces sept ans séparent les deux moments où elle coupe l'orbite terrestre, le moment fatidique où planète X et Terre s'opposent gravitationnellement/électromagnétiquement.
C'est cette bataille que la Terre perd à chaque fois et qui la force à faire des basculements de pôles chaotiques. Vu que la planète X fait demi tour, elle coupe deux fois la trajectoire de la Terre, il y a donc deux batailles.
C'est aussi pour cela qu'on parle de 2 "passages", une fois dans un sens et une fois dans l'autre, une fois à l'aller et une fois au retour !
Pourquoi seulement 7 ans pour faire demi tour alors que la planète X met des années à passer le Soleil ?
La planète X est piégée par le Soleil à cause des interactions magnétiques. Il ne faut pas oublier que la planète X est un super aimant ambulant. Elle est d'ailleurs contrainte de s'aligner près du Soleil qui est encore plus puissant qu'elle: elle opère une rotation sur elle même qui lui permet de faire baisser la pression électromagnétique engendrée par notre étoile. Cette rotation est lente et finit par faire pointer le pôle sud de la planète X vers le Soleil alors qu'au départ la planète X arrive tête en bas. Une fois cette pirouette effectuée, la planète X repart libérée de l'emprise gravitationnelle solaire.
Cela lui permet de prendre rapidement sa vitesse de croisière normale si bien que, quand elle coupe la trajectoire terrestre, elle va très vite et ne reste que quelques jours à cette position. Ensuite son demi tour se fait presque à pleine vitesse : elle ne met donc que 3.5 ans pour faire Terre-ceinture d'astéroïde et autant pour faire l'inverse.
Harmonyum : (3)
Je pense (tu me diras si j'ai vu juste*) que ce sont les changements de vitesse de la planète X sur son orbite qui te turlupinent.
*Note : Gaia a effectivement confirmé !
Comme je l'ai expliqué, la gravitation est mal comprise par notre science.
Nous (les scientifiques humains) pensons que les planètes sont "lancées" à une certaine vitesse sur leur orbite dès l'origine. Par exemple, le consensus actuel dit que la Terre tourne autour du Soleil parce qu'au départ elle avait une certaine vitesse qu'elle a conservé dans le temps. Pour notre science, la Terre ne s'écrase pas sur le Soleil parce qu'elle va assez vite pour compenser l'attraction avec la force centrifuge.
La réalité c'est que la Terre est coincée sur son orbite par deux forces de répulsion qui s'équilibrent. Celle qui vient du Soleil et celle qui provient de l'extérieur du système solaire (l'Univers). La Terre est coincée sur le cercle où les deux forcent se compensent. Elle tourne autour du Soleil parce que la galaxie est en rotation, le système solaire est en rotation, le Soleil est en rotation : la force de Coriolis, la même que celle qui fait tourner l'eau quand elle passe par le siphon de votre évier, donne sa vitesse à la Terre.
Imagine maintenant qu'on stoppe la Terre. Dans la théorie officielle, sans sa vitesse de départ, il n'y a plus de force centrifuge pour compenser l'attraction solaire : la Terre s'écrase sur le Soleil. Il n'est donc pas possible d'imaginer un ralentissement des planètes.
En réalité, si on arrivait à stopper la Terre momentanément, elle ne s'écraserait pas puisque elle est coincée entre deux répulsions : elle se remettrait à tourner autour du Soleil, comme si de rien était.
La vitesse de la Terre autour du Soleil est engendrée par la force de Coriolis, si on la stoppe, la force est toujours là et redonne de la vitesse à notre planète. Par exemple, quand je dis que la Terre est bloquée par la planète X et qu'elle est en position du mois de mars, cela veut dire que la Terre a ralenti et n'avance plus aussi vite autour du Soleil : la planète X la repousse, parce que la gravitation est une force de répulsion à leur échelle.
Quand la planète X sera partie, la Terre reprendra sa vitesse normale grâce à la force de Coriolis et ne s'écrasera pas sur le Soleil comme on pourrait le penser à tort. A la limite, la planète X pourrait même arrêter complètement la Terre sur son orbite, peu importe, la Terre serait figée sur place pendant ce délai, immobile, puis reprendrait ensuite sa course ordinaire une fois la gêneuse partie.
La vitesse des planètes sur leurs orbites n'est donc pas constante ni même définitive : ce qui fait tourner la Terre aujourd'hui la fera tourner toujours.
C'est la même chose pour la planète X : ce qui la fait se déplacer en ellipse autour du Soleil sera toujours là : le Soleil la freine, peu importe, une fois qu'elle s'en est éloignée, les forces qui la poussaient reprennent le dessus et la planète X retrouve sa vitesse normale.
Bien sûr, cela est complètement absurde si on prend la gravité telle qu'on nous la décrit officiellement. C'est justement cela qui perturbe les scientifiques qui étudient la planète X pour les gouvernements et qui les empêche de prévoir son comportement. Pour eux, une planète a une vitesse donnée et si elle ralentie, la force centrifuge diminue et la planète est attirée par le Soleil. Impossible d'imaginer une planète qui ralentie et qui accélère successivement dans ces conditions !
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Voici Quelques éléments à rajouter : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lois_de_Kepler
Vous noterez simplement que les lois de Kepler datent du XVIIème siècle et qu'elles n'ont pas été remises en question avant la Théorie de la Relativité Restreinte/Générale. Elle sont (Lois de Kepler) encore utilisées aujourd'hui et servent de socle à notre compréhension du système solaire. On sait aujourd'hui qu'il faut y rajouter l'effet de lentille gravitationnelle (l'espace temps est courbé autour des astres massifs) mais l'Astronomie a encore du mal à intégrer ces notions. L'incapacité des physiciens à expliquer la nature à la fois ondulatoire et corpusculaire des particules et surtout à expliquer la gravitation repose, selon les ET, sur des erreurs de fond. Par exemple, l'Univers n'est pas vide mais plein, rejoignant ainsi la théorie de l’Éther formulée dans les début de la science moderne
"Ce qu’à fait Verlinde, est qu’il a supprimé la gravité de l’équation : il suggère que la gravité n’est pas une force fondamentale de la nature, mais plutôt un phénomène émergent, tout comme la température par exemple, qui découle du mouvement de particules microscopiques. En d’autres termes, la gravité serait un effet secondaire, et non la cause, de ce qui se passe dans l’Univers." C'est tout à fait ce que les ET expliquent. La gravité n'est pas une force fondamentale, et d'ailleurs elle change en fonction des objets : pour les plus massifs, elle agit comme une répulsion, et pour les plus petits une attraction. Ils ont toujours décrit la gravitation comme un problème lié à des pressions de sub-particules, avec des courants et des densités différentes. Ce point est fondamental dans la compréhension de Nibiru, parce qu'il explique son orbite. Par exemple, il existe des rails autour des planètes, des sortes d'ornières gravitationnelles dans lesquelles les planètes s'engouffrent et ont bien du mal à ressortir. Cette particularité a été suggéré empiriquement par la loi de Titius-Bode, mais jamais explicitée ou prouvée de manière satisfaisante à cause justement des erreurs que nous trainons avec nous à ce sujet. Quel rapport avec Nibiru ? Depuis qu'elle s'est arrachée au Soleil Nibiru passe d'une ornière à une autre tout en décrivant une spirale qui s'éloigne du Soleil. Cette trajectoire a très bien été décrite par certains crop circles, grâce à une spirale crénelée. A chaque Rail, Nibiru a du mal à se détacher et à se sortir de l'ornière, prisonnière d'une trajectoire plus stable pendant quelques temps. Depuis de nombreux mois, elle est prise dans l'ornière gravitationnelle qui sert d'orbite à Vénus, et c'est lorsqu'elle s'en détachera que nos problèmes commenceront plus sérieusement. C'est sur ce point précis, le moment du détachement, que les ET agissent pour repousser le passage proprement parlé, car il faut très peu de contrainte pour maintenir Nibiru dans ces ornières. Une fois qu'elle en est sorti, c'est beaucoup pus difficile, voir impossible, car elle va être attirée par l'ornière suivante et ainsi de suite jusqu'à aller faire demi-tour dans la ceinture d'astéroïde. Nibiru est actuellement à 100 millions de kilomètre plus ou moins du Soleil, sur une orbite qui se place un tout petit peu à l'extérieur de l'ornière de Vénus. Son éjection de ce rail est imminente, et quand ce sera fait, elle ira tout droit et très vite sur l'orbite de la Terre. Le processus d'approche n'a jamais été linéaire, et les ET ont bien prévenu que les catastrophes augmenteraient d'un seul coup, sans prévenir et que cet état de catastrophes durerait 50 à 60 jours. Cela correspond au temps que met Nibiru pour partir de l'ornière de Vénus pour venir se mettre dans celle de la Terre, tout simplement.
il existe aussi des sous-ornières qui ne sont pas occupées par des planètes mais par lesquelles Nibiru doit passer.
Comme je l'ai précisé, la planète errante a du mal à se détacher de ces rails et parfois cela peut mettre plusieurs années, notamment quand elle était près du Soleil (où les ornières sont plus profondes).
Q : La gravitation serait un effet secondaire d'une force connue alors ? Ou autre chose de nouveau ?
H : C'est juste des pressions dans la circulation des sub-particules (appelées parfois neutrinos même si c'est plus compliqué que cela, c'est cela que les anciens appelait éther), un peu à la manière de la force d'Archimède mais dans l'espace. Il y a des courants, des endroits où les subparticules sont compressées et d'autres où elles sont lâches, comme pour un gaz ou un liquide. Les planètes étant de grosses émettrices de subparticules, elles créent un "vent" ou "flux" qui sort d'elles sans arrêt. Donc si tu mets deux planètes trop près l'une de l'autre, c'est comme deux jets d'eau ou deux ventilos qui soufflent l'un contre l'autre, ils/elles se repoussent. Pour les petits objets comme nous, c'est plus complexe, parce que nous ne sommes pas émetteurs et que notre masse est minisculissime par rapport à celle des planètes. Ce qui se passe, c'est que les subparticules sortant à pleine vitesse de la Terre nous traversent sans vraiment interagir avec nos atomes. Dans l'autre sens venant du haut, arrivent des subparticules identiques produites par l'espace (Galaxies, Soleils, autres planètes etc...) mais celles-ci nous arrivent de plus loin et sont ainsi plus lentes, ce qui fait qu'elles sont bien plus susceptibles de rentrer en collision avec nos atomes. Comme nous n'émettons pas de subparticules propres, nous ne pouvons pas compenser ces bombardements du haut comme du bas, et donc il y a un déséquilibre : les subparticules qui montent de la Terre interagissent moins avec notre corps que celles qui viennent de l'espace, ce qui crée une force qui nous pousse loin de l'espace, donc vers la Terre. Ce n'est donc pas la Terre qui nous attire mais l'espace qui nous repousse en quelque sorte. Les ET ont bien compris ce système pour leurs déplacements, il "suffit" de transformer leur vaisseau en émetteur de subparticules, comme une planète. Ainsi, il se comporte de la même façon qu'un objet massif, il est repoussé de la Terre. En dosant bien la puissance, un vaisseau ET peut monter et descendre sans problème et, même dans l'espace qui est loin d'être vide, il peut se déplacer en s'appuyant sur ce principe, tout bêtement, comme un sous marin dans de l'eau, ou plutôt une "soucoupe" dans l'éther. La seule technologie qui nous manque finalement, c'est de savoir produire des subparticules en masse, et c'est là que le fameux Flérovium 114 est indispensable (voir mon bouquin pour plus de détails). Malheureusement nous ne pouvons pas le synthétiser et il n'est pas présent sur Terre. Dommage :)
En fait, 14 millions de km de la Terre, c'est loin. La Lune est certes petite, mais à 0.4 millions de km, c'est à dire juste au dessus de nous. Nibiru n'aura pas d'impact gravitationnel. De plus, les effets de marée de la Lune ne sont pas liés à la gravité telle que nous la calculons, puisque notre compréhension de cette force est très incomplète (voire nulle) Les calculs/formules que nous employons sont valables dans la plupart des cas à notre échelle, mais tombent complètement à l'eau pour le macro et le nano. La gravitation n'est pas directement corrélée à la masse mais à un champ de sub-particules (gravitons) dont les courants et la densité ne sont pas stables dans l'espace. La Lune nous sert de "bouclier" contre le bombardement de ces sub-particules, ce qui perturbe ce champ sur Terre. C'est un peu comme si elle arrêtait la pluie venue de l'espace environnant, comme un parapluie. La pression de ces sub-particules est donc plus faible là où la Lune nous abrite, d'où l'effet des marées. Nibiru passant très loin, son effet parapluie sera inexistant, puisque le flux de ces sub-particules se fera normalement autour de la Terre. Par contre, Nibiru a un autre effet sur ces ondes gravitationnelles, car elle avance dans un environnement qui est d'ordinaire équilibré. Comme un pavé dans la mare, elle va à contre courant de ces flux de gravitons, et devant elle se forment des vagues gravitationnelles. Ce sont ces déformations anormales que les scientifiques ont détecté récemment, elles viennent de Nibiru et non de trous noirs lointains. Des phénomènes optiques ont déjà été observés par des astronomes dans lequels on voit la l'image de la Lune qui se déforme par vagues, comme un mauvais hologramme. Ce n'est pas la Lune elle même qui se déforme, mais les ondes gravitationnelles qui influencent les photons (contrairement à ce que pense la Physique théorique, le photon qui n'a pas de masse subit la force de gravité, ce qui est incompatible/impossible dans notre modèle actuel). Ces anomalies optiques sont connues des scientifiques, c'est pourquoi les excuses des ondes gravitationnelles venant de trous noirs ont été mises en avant. Le problème est bien plus flou et grave que cela, puisque ces déformations de l'espace temps ont leur origine dans le système solaire lui même, et remettent en question tout notre modèle de compréhension d de la Mécanique/gravitation. Elles n'ont/n'auront aucun impact sur notre quotidien mais sont des preuves qu'il y a quelque chose "d'anormal" qui séjourne dans le système solaire et qui fait apparaitre de nouveaux phénomènes spatiaux jamais observés auparavant.
Nibiru fait donc des sauts quand elle passe les orbites des autres planètes parce que ces planètes se situent sur des discontinuités gravitationnelles. En gros, la gravitation ne se répartie pas uniformément autour du Soleil, il y a des sauts quantiques ou discontinuité de champ. C'est pour cette raison que les emplacements des orbites ne sont pas aléatoires mais suivent un schéma mathématique (qu'on appelle Loi de Bode ou loi de Titius Bode) qui est mal expliqué (la loi de Bode n'est pas exacte mais l'idée est là, même phénomène (?) qu'au niveau des atomes avec les couches électroniques). Ces "rails" gravitationnels se retrouvent par exemple dans la ceinture principale d'astéroïdes (entre Mars et Jupiter), où dans 4 rails gravitationnels on retrouve une grosse densité de roches séparés par les lacunes de KirkWood (les no man's land entre les rails).
Ce changement de trajectoire de Nibiru ne se fait pas à angle droit, mais il y a un glissement d'un côté de la discontinuité à l'autre, donc un déport assez rapide de Nibiru quand elle traverse les orbites. les ET ont très souvent schématisé cette trajectoire spiralée et crénelée dans les crop circles : voici quelques exemple.
Le Soleil a 4 bras gravitationnels incurvés qui tournent en même temps que lui. Ces 4 bras sont symbole connus dans plusieurs civilisations antiques comme le symbole indien qui a inspiré la svatiska Nazie. Ce sont ces bras gravitationnels qui donnent des maximums et des minimums gravitationnels (différents des pics magnétiques vus ci-dessous).
Il possède aussi 3 autres bras electromagnétiques (ou 6 si on compte les vides entre les pleins). Il semble en réalité que les deux ensembles de bras existent simultanément, que les 4 bras sont les bras gravitationnels et que les 3 soient les bras électromagnétiques. Ce sont les premiers qui engendrent le mouvement des planètes coincés sur leur rails (loi de Bode), et les seconds qui perturbent régulièrement le magnétisme terrestre (d'où les accélérations du noyau) mi aout, début décembre et début avril (respectivement un minimum en sens inverse en début février, mi juin et fin septembre). Nous sommes donc entrés dans une nouvelle phase de montée en puissance qui sera à son maximum autour de la première semaine de décembre. Quant aux bras gravitationnels, ce sont eux qui propulsent par à-coups Nibiru au delà des rails par sauts, ou créneaux, ce qui explique les décalages soudains et réguliers dans sa trajectoire spiralée.
Dans la Loi de Bode, chaque couche de discontinuité n'est pas forcément remplie par une planète. Ce sont juste des rails dans lesquels les objets massifs viennent se nicher. Comme je l'ai dit, cela est du même ressort que les couches électroniques théoriques dans les atomes. Les champs de force ne sont pas continus, c'est tout le temps comme cela en physique, c'est la raison pour laquelle on l'appelle "quantique", il y a des seuils ou quantas. Quant à la ceinture d'astéroïdes, elle correspond non seulement à l'emplacement originel de la planète géante qui donnera Terre+Nibiru, mais en plus la place est bel et bien occupée comme prévu (Planète Ceres et autre astéroïdes géants). Titius-Bode permet également d'extrapoler une dixième planète au delà de Pluton, ce qui a été un moteur dans la recherche de Nibiru. On retrouve une loi au fond équivalent pour Jupiter appelée loi de Dermott. Ces lois, comme je l'ai dit, sont incomplètes, mais sont basées sur une quantification de la gravitation. Or la gravitation n'étant pas encore comprise, on n'arrive pas à expliquer ces quantifications qui apparaissent pourtant à l'observation. La loi de Bode a quand même prévu Cérès au XIX siècle alors qu'il faudra attendre 2006 pour la voir classée en planète naine (comme Pluton) et 2014 pour avoir des images... Cette loi est mise de côté parce que les astronomes ne l'expliquent pas, et quand on ne comprend pas, on n'en parle pas, ça fait moins voir qu'on n'y connait pas grand chose en réalité. Le fait que Neptune ne fonctionne pas est lié à l'existence de Nemesis, une étoile morte double du Soleil (à une distance de 10 fois Soleil-Pluton seulement). C'est elle qui change la régularité des places orbitales à partir de Neptune. Titius Bode ne marche plus au delà d'une certaine distance parce que l'influence gravitationnelle de Nemesis augmente. C'est pour cela que les calculs très récents et validés ont une fois de plus prouvé qu'il existait un ou plusieurs astres massifs au délà de Pluton et qui perturbait les orbites des planètes éloignées (type Sedna). (Note : Nibiru a une orbite générale elliptique parce qu'elle a deux points focaux, ces points étant respectivement le Soleil et Némésis.)
La gravitation n'est pas homogène dans l'Univers, elle est liée à des flux de particules qui peuvent augmenter ou diminuer d'un point de vue local. Lorsque la planète X est présente dans le système solaire, l'écoulement des particules liées à la gravitation change, modifiant du même coup les équilibres de tout le système solaire.
Qui plus est, de nombreuses particules et sub-particules sont mal connues voire totalement inconnues de nos scientifiques et leurs interactions ne sont pas prises en compte.
Pour montrer tout cela, prenons simplement l'exemple du flérovium, un élément qui se trouve sous forme cristalline sur la planète X et qui est utilisé par les annunakis afin de créer de l'antigravitation. Cet élément a la particularité de ne pas émettre ses particules dans le même sens que le reste de la matière connue, un peu comme un pôle sud face à un pôle nord mais appliqué à la gravitation. Cet élément n'est pas présent naturellement sur Terre, d'où notre ignorance à son sujet. Cela ne veut pas dire que sur d'autres planètes avec des conditions adéquates, il n'a pas pu se former en abondance. Pour trouver un parallèle, on pourrait dire que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de pétrole sur l'île de Pâques qu'il n'y en a pas ailleurs.
De même/plus, la gravitation n'est pas comme le champ magnétique, c'est à dire bipolaire, elle est "pentapolaire" (quatre pôles positifs et 1 négatif). Le Soleil tout comme la Terre ont quatre bras "gravitationnels" qui forment une spirale et constituent les pôles positifs. Ces bras sont très fins et représentent la sortie groupée des particules venant du noyau (sortantes). Le diamètre de ces bras n'est que de quelques dizaines de mètres. Le reste de la surface (du Soleil ou de la Terre ou peu importe) constitue le pôle nord, le pôle entrant : 99% de la surface d'un astre aspire les particules "gravitationnelles" et ce que nous nommons la gravité, ce qui attire les corps vers le sol, c'est tout simplement un effet d'aspiration : nous sommes entraînés par le courant. Les particules entrantes sont ensuite expulsées par les quatre bras/pôles à grande vitesse, et au sol la gravité y est inversée.
Les quatre bras sont localisables sur Terre, ce sont des zones connues pour leurs phénomènes paranormaux/anormaux. Cependant, l'expulsion de particule est quantifiée et correspond à des cycles : les particules sont rejetées par à-coups (pulses). Cela s'explique par le fait que la plupart du temps elles sont aspirées au centre des planètes et qu'il faut qu'elles atteignent un point où elles sont assez concentrées pour contrer l'aspiration : elles sont expulsées par rayons sur de faibles durées mais de façon très concentrée, à la manière de geysers dont le débit varie dans le temps. (j'essaie de mettre des mots sur les images et descriptions ET, j'espère que j'ai été assez clair...).
La gravitation n'est donc pas la même à notre échelle qu'à celle des planètes. Nous sommes pris dans l'aspiration engendrée par les planètes : cette aspiration est très bien décrite par les lois physiques repérées par les humains en général. Par contre à partir d'une certaine taille, les objets deviennent des émetteurs de particules gravitationnelles, notamment grâce leur noyau interne : il faut une pression interne énorme pour qu'un tel flux sortant se mette en place, il y a donc une taille minimum qui différencie un objet actif (la Terre, la Lune, le Soleil etc...) d'un élément passif (un humain, un avion, un astéroïde...). L'objet actif est capable de créer de la gravitation, l'objet passif subit simplement et bêtement l'effet d'aspiration sans y participer.
Ce qui à notre échelle reste une contrainte et une attraction inéluctable se transforme en répulsion à l'échelle des planètes. De ce fait, les planètes ne peuvent pas entrer en collision car à une certaine distance minimum elles se repoussent. Si la Lune reste autour de la Terre, c'est parce qu'elle se situe à un point d'équilibre entre la répulsion gravitationnelle générale de l'Univers et celle de la Terre. C'est complètement l'inverse de ce que nous pensons généralement aujourd'hui.
Dans la théorie officielle, la Lune est attirée par la Terre et c'est sa vitesse de rotation autour de notre planète qui compense l'attraction par force centrifuge. La réalité c'est que la Lune est coincée entre deux forces de répulsion et qu'elle glisse sur un rail poussée par la force de Coriolis (rotation du système solaire et de la Galaxie sur elle même). Le résultat est visuellement le même mais les fondements théoriques sont complètement différents.
Nous ne sommes encore pas au point sur tous ces sujets mais la "Science" a souvent tendance à croire qu'elle a déjà tout découvert. C'est loin d'être le cas, notre propre évolution au cours du temps le prouve ! La planète X suit les lois de l'Univers, pas celles de l'Homme ! Notre incapacité à créer de l'antigravitation ou à en comprendre les mécanismes devrait nous pousser à remettre en question nos théories, mais comme par le passé, la science pêche par excès de certitude !!
Nous (les scientifiques humains) pensons que les planètes sont "lancées" à une certaine vitesse sur leur orbite dès l'origine. Par exemple, le consensus actuel dit que la Terre tourne autour du Soleil parce qu'au départ elle avait une certaine vitesse qu'elle a conservé dans le temps. Pour notre science, la Terre ne s'écrase pas sur le Soleil parce qu'elle va assez vite pour compenser l'attraction avec la force centrifuge.
La réalité c'est que la Terre est coincée sur son orbite par deux forces de répulsion qui s'équilibrent. Celle qui vient du Soleil et celle qui provient de l'extérieur du système solaire (l'Univers). La Terre est coincée sur le cercle où les deux forcent se compensent. Elle tourne autour du Soleil parce que la galaxie est en rotation, le système solaire est en rotation, le Soleil est en rotation : la force de Coriolis, la même que celle qui fait tourner l'eau quand elle passe par le siphon de votre évier, donne sa vitesse à la Terre.
Imagine maintenant qu'on stoppe la Terre. Dans la théorie officielle, sans sa vitesse de départ, il n'y a plus de force centrifuge pour compenser l'attraction solaire : la Terre s'écrase sur le Soleil. Il n'est donc pas possible d'imaginer un ralentissement des planètes.
En réalité, si on arrivait à stopper la Terre momentanément, elle ne s'écraserait pas puisque elle est coincée entre deux répulsions : elle se remettrait à tourner autour du Soleil, comme si de rien était.
La vitesse de la Terre autour du Soleil est engendrée par la force de Coriolis, si on la stoppe, la force est toujours là et redonne de la vitesse à notre planète. Par exemple, quand je dis que la Terre est bloquée par la planète X et qu'elle est en position du mois de mars, cela veut dire que la Terre a ralenti et n'avance plus aussi vite autour du Soleil : la planète X la repousse, parce que la gravitation est une force de répulsion à leur échelle.
Quand la planète X sera partie, la Terre reprendra sa vitesse normale grâce à la force de Coriolis et ne s'écrasera pas sur le Soleil comme on pourrait le penser à tort. A la limite, la planète X pourrait même arrêter complètement la Terre sur son orbite, peu importe, la Terre serait figée sur place pendant ce délai, immobile, puis reprendrait ensuite sa course ordinaire une fois la gêneuse partie.
La vitesse des planètes sur leurs orbites n'est donc pas constante ni même définitive : ce qui fait tourner la Terre aujourd'hui la fera tourner toujours.
C'est la même chose pour la planète X : ce qui la fait se déplacer en ellipse autour du Soleil sera toujours là : le Soleil la freine, peu importe, une fois qu'elle s'en est éloignée, les forces qui la poussaient reprennent le dessus et la planète X retrouve sa vitesse normale.
Bien sûr, cela est complètement absurde si on prend la gravité telle qu'on nous la décrit officiellement. C'est justement cela qui perturbe les scientifiques qui étudient la planète X pour les gouvernements et qui les empêche de prévoir son comportement. Pour eux, une planète a une vitesse donnée et si elle ralentie, la force centrifuge diminue et la planète est attirée par le Soleil. Impossible d'imaginer une planète qui ralentie et qui accélère successivement dans ces conditions !
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Voici Quelques éléments à rajouter : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lois_de_Kepler
Vous noterez simplement que les lois de Kepler datent du XVIIème siècle et qu'elles n'ont pas été remises en question avant la Théorie de la Relativité Restreinte/Générale. Elle sont (Lois de Kepler) encore utilisées aujourd'hui et servent de socle à notre compréhension du système solaire. On sait aujourd'hui qu'il faut y rajouter l'effet de lentille gravitationnelle (l'espace temps est courbé autour des astres massifs) mais l'Astronomie a encore du mal à intégrer ces notions. L'incapacité des physiciens à expliquer la nature à la fois ondulatoire et corpusculaire des particules et surtout à expliquer la gravitation repose, selon les ET, sur des erreurs de fond. Par exemple, l'Univers n'est pas vide mais plein, rejoignant ainsi la théorie de l’Éther formulée dans les début de la science moderne.
Ces aurores sont particulièrement de mauvaise augure pour plusieurs raisons. Toit d'abord, il faut préciser que les aurores "boréales" ne sont pas boréales pour rien, elles ne se forment qua dans la région du cercle polaire. La raison évoquée par les scientifiques est fausse, ces phénomènes n'ont rien à voir avec le champ magnétique terrestre ni les vent solaire / les éruptions solaires. Les aurores sont des interactions entre des particules liées à la gravitation et les rayonnements de photons venant de l'extérieur, et pas seulement du Soleil, qu'on appelle rayonnement cosmique (http://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_cosmique). Ces rayonnements sont très mal connus et compris, et leurs interactions avec la Terre encore moins. De fait, la gravitation est un champ multipolaire avec 2 pôles négatifs et 4 pôles positifs. Les deux pôles négatifs passent par les deux pôles géographiques de notre planète alors que les 4 pôles forment une spirale plate à 4 branches (une sorte de swastika) au niveau de l'équateur. Les aurores sont la rencontre de rayonnement galactique intenses (rayons gammas, neutrinos et autres particules à haute énergie) et les pôles gravitationels négatifs où rentrent les "gravitons" (bien que cette subparticule soit plus compliquée que cela à décrire). Ces pôles courbes la lumière invisible qui arrive (rayons gammas, rayons IR et autres) et la font passer en partie dans le spectre visible. Rien à voir avec le Soleil.
Sachant cela, que signifie alors l'apparition d'aurores "boréales" à notre niveau ? Et bien tout simplement que les pôles gravitationnels se sont déplacés, et c'est très très grave. Cela signifie concrètement que le noyau de la Terre a drastiquement basculé sur le côté. La croûte terrestre n'étant pas totalement solidaire du noyau, comme je 'lai expliqué, elle réagit en décalage des mouvement du centre de la planète. C'est le manteau terrestre, visqueux et élastique qui joue le rôle d'intermédiaire, répercutant en retard les mouvement du centre sur la surface solide. En gros, vous avez une boule de métal fondu au centre qui bouge vite, entourée d'un caoutchouc souple sur lequel se trouve une coquille fine. Attention donc dans les prochains jours, la croûte va répercuter avec un délai le mouvement important et brutal du noyau, mouvement qui a déplacé du même coup les pôles gravitationnels. Spectacle magnifique certes, mais effectivement effrayant quand on sait pourquoi il se produit !!
Juste savoir que la théorie officielle sur la gravitation est bancale et qu'elle n'explique pas la réalité : vitesse variable des planètes (dont Nibiru), existence d'ondes gravitationnelles qui courbent la lumière, existence du flérovium (élément 114) qui est émetteur de gravitons.
A propos des idées de dévier des météorites avec des bombes nucléaires pour changer leur trajectoire : si on y arrivent momentanément, l'astéroïde reprendra sa trajectoire initiale malgré les efforts. C'est cela de na pas comprendre ce qu'est la gravitation et les forces qui font que ces rochers vont là où ils vont. La gravitation n'est pas uniforme, surtout loin de planètes. Il y a des courants, des flux. La plupart du temps, ces astéroïdes suivent ces courants. Poussez un astéroïde et il reviendra là où la pression gravitationnelle l'avait précédemment placé. Le jour ou cela sera compris, l'Humanité aura fait un énorme pas dans la compréhension physique de l'univers et de la matière en général, selon les ET.
Dans ce post, Harmonyum semble sous-entendre que la qualité intrinsèque d'une planète influerait sur sa période orbitale, et que sa distance par rapport au soleil serait donc liée à sa masse ou à son magnétisme. Sa masse et constitution serait liée à sa position initale dans le disque proto-planétaire ? : "Nibiru est une planète lente (elle est arrivée en 2003, cela fait maintenant presque 15 ans) qui doit faire son chemin dans le système solaire et se détacher de l'attraction magnétique du Soleil, mais aussi passer les différentes contraintes gravitationnelles. La Terre est une planète à la révolution rapide, ce n'est pas le cas de toutes. Jupiter met 11 ans à faire le tour du Soleil, Saturne 29 ans etc... Donc Nibiru est dans la moyenne."
G n'est même pas vraiment constant pour un observateur terrestre. C'est loin d'être une constante. C'est d'ailleurs ses variations qui permettent de fabriquer des détecteurs par gravitométrie. En gros, tout dépend de la nature du sous sol, et donc des flux de graviton à travers la croute. Certaines zones de la Terre ont un g plus élevé que d'autre et ce n'est pas lié à l'altitude, mais bien à des variations locales. Simplifier g par une constante est pratique et marche dans la plupart des applications à l'échelle humaine. En revanche pour les planètes, cela a créé de nombreuses erreur, puisque on déduit la masse d'un astre par rapport aux interactions gravitationnelles qu'il a avec ses voisins. Or si la formule est fausse, c'est que les masses sont fausses. Ce ne sont pas des erreurs monumentales, mais quand même. C'est d'autant plus gênant pour les astéroïdes. Cela explique notamment que des astéroïdes entièrement en platine aient été détecté. En fait le "masse" est trop forte par rapport à leur volume, et la conclusion erronée des scientifiques est de chercher sa composition en faisant intervenir un métal lourd (qui expliquerait la densité). Ce sont de pures bêtises. Le problème c'est qu'on a pas été vérifier le vraie composition de l'objet : on se serait alors aperçu que sa densité était "normale"/standard, mais qu'il était victime d'une anomalie gravitationnelle (les fameux courants qui servent de rails et qui peuvent faire graviter des objets sur des orbites incompatibles avec leur taille/masse). En l'occurrence c'est une mise en défaut flagrante de la théorie mais qui est rattrapée par une pirouette scientifique complètement loufoque quand on y réfléchit bien.
Réponse AM : C'est la même chose qui a été faite par Newton pour valider sa loi. Il trouve une loi de gravitation qui marche sur terre (en moyenne, il y a des variations légères qu'on passe par pertes et profits).
Il regarde la trajectoire des planètes observées, et pour que sa loi marche, il faut que la force gravitationnelle soit contrebalancée par la force centrifuge. Il affecte donc de manière complètement arbitraire une masse aux planètes (ou plutôt au soleil, car si F gravitation = F centrifuge, la masse de la planète est présente des 2 côtés de l'équation et peut être ignorée), qui permette de faire marcher son équation. On a ainsi 2 valeurs, G et la masse du soleil, qui sont complètement inconnues.
Reste la vitesse de l'astre, complètement adaptée à sa position (je m'y connais moins sur cette partie). Là, seul le hasard est invoqué pour expliquer pourquoi cette planète ou la lune avaient à l'origine pile poil la bonne vitesse pour être "capturé" gravitationnellement par l'astre plus gros. Plus vite, tu continue ta route, moins vite, tu tombes sur l'astre. Une fois capturé en effet après c'est plus stable, la perte de vitesse entraîne une augmentation du diamètre de l'orbite, et c'est ce qui expliquerait les 5 cm d'éloignement de la lune par an. C'est vrai cet éloignement ou c'est pipeau ?
Ce n'est pas un éclatement à proprement parlé, mais une désagrégation. Il existe un équilibre des forces dans chaque planète/étoile qui peut parfois devenir dissymétrique/instable. Comme tu le précises, la gravité est une force de répulsion à grande échelle. Une planète est donc tiraillée entre la pression qu'elle subit de la part de l'espace environnant (ce qu'on appelle la "gravité à notre échelle = une force de répulsion venue de l'extérieur et non une attraction) et son auto répulsion interne. En effet, si la gravité est une force de répulsion, cela veut dire qu'à l'intérieur d'une planète, il existe des forces qui tendent à la faire gonfler, une pression interne. Tant que ces deux forces ont trouvé un point d'équilibre, la planète garde un volume stable. Mais elle est soumise à d'autres forces, comme la force centrifuge qui peut la déformer, ou la proximité d'autres planètes qui agissent alors comme une presse. Si vous prenez une orange et que vous la pressez dans un étau, elle se déforme, s'aplatit. Combinez maintenant la force centrifuge et la pression d'un étau, et la planète va commencer à former une protubérance, comme une hernie. Quand l'hernie est trop grosse, formant une planète en forme d'haltère, les deux parties ont tendance rapidement à se repousser et à former deux astres indépendants. La planète se disloque, et le noyau se sépare en deux entités qui vont reformer des sphères.
Le problème de Persépine était qu'elle se retrouvait coincée entre Jupiter et le Soleil d'une part, et des problèmes de structure d'autre part. De par sa nature, c'était une super naine contrairement à Jupiter, c'est à dire que la cette étoile morte était trop dense/riche pour sa petite taille. C'est son noyau qui posait problème car il était trop volumineux, et l'enveloppe trop fine. Cette caractéristique fragilise l'équilibre des forces de pression externes vs les forces de pression internes. Physiquement, cela peut se traduire par une sensibilité magnétique élevée, et une rotation de l'étoile sur elle même trop grande. Le Soleil et Jupiter servant d'étau, et la rotation trop rapide créant un boudin équatorial à cause de la force centrifuge, tu as tous les éléments pour aboutir à la formation d'une hernie dans le noyau. Tiamat a eu le même souci parce qu'elle avait elle aussi un noyau disproportionné par rapport à sa taille. Avoir un coeur d'étoile, certes amoindri, n'est pas très pratique pour une planète océanique à la croûte fine, et comme elle se trouvait encore dans l'étau, le même phénomène a fini par la disloquer. Nibiru n'a pas ce souci, parce qu'elle a été éjectée de l'étau et passe 90% de son temps loin de tout autre astre majeur. Quant à la Terre, elle a changé d'orbite, et les forces de pression exercées par le Soleil et surtout Jupiter sont plus équilibrées. De même son noyau n'est plus aussi disproportionné. En ce sens, les quantités de noyau de Tiamat qui se trouvent dans la Lune et les astéroïdes nous ont sauvé la mise en évitant que la Terre persiste avec un noyau trop gros. L'Univers a donc des mécanismes d'équilibrages même au niveau des planètes finalement.
Les trous noirs d'existent pas vraiment tel que la science les conceptualisent (AM : surement parce que les principes d'Einstein sur la courbure Espace-temps, qui mènent à ces aberrations mathématiques que sont les trous noirs sont fausses, la gravitation est le fait de plusieurs types de particules, pas d'une déformation d'espace-temps).
Selon les scientifiques, les étoiles trop massives cassent l'espace-temps sans qu'on sache où part la matière ainsi sortie de notre univers. Si c'est faux, exit les trou de vers et autres béquilles calculatoire.
(Hypothèse AM ) : Nous avons vu que les corps massifs se repoussent, mais pour les étoiles trop denses (accumulation de poussières et d'astéroïdes au long des milliards d'années d'existence), une fois une masse critique franchie, d'autres particules entre en jeu et semblent prendre le pas sur la gravitation répulsive. Les astres plus petits se comportent donc avec ces hyper-étoiles comme les météorites qui s'écrasent sur les planètes, à savoir que les petits astres (gravitation répulsive) sont attirés par les astres hyper-massif. Une histoire de proportion des masses en présence ? En tout cas, les étoiles semblent grossir plus vite via la matière des poussières ou météorites qu'elle absorbe que ce qu'elle perds comme masse en rayonnement ? (E=Mc2, c'est toujours Einstein mais cette équation là semble juste, comme celle de l'équivalence masse/inertie, au pire incomplète pour certaine particules ou certaines échelles).
Harmonyum : Ce sont des coeurs d'étoiles qui se sont effondrés sur eux-mêmes, comme des billes de matière, si concentrées que leur densité est gigantesque. Du coup, leur gravité est si énorme qu'elle attirent toujours plus de matière à elles (pour simplifier des forces gravitationnelles plus complexes qui agissent différement selon la masse des corps). Ce sont des billes ultralourdes qui n'arrêtent pas de grossir en chopant ce qui passent à leur portée. Toute la matière qu'elles capturent est condensé et forme de nouvelles couches au dessus de la bille principale.
Ce sont donc des astres, des étoiles, pas des trous.
Quand un Univers a énormément vieilli, ces billes finissent par être immenses avec le temps, et du coup elles ont tendance à avoir tout mangé autour d'elles : leur diamètre devient géant, leur pouvoir d'attraction aussi, et elles finissent par se manger entre elles. Le résultat c'est que toute la partie d'univers créé par le big bang fini dans une seule et grosse bille. Elle est si gigantesque qu'elle explose en un nouveau big bang. Une sorte de cycle d'explosions et de contractions.
Hypothèse AM : Entretemps, l'univers local s'est tellement dilaté que les billes restantes sont pour la plupart trop éloignées pour agir les unes sur les autres. Donc, une fois que localement, les 2 dernières billes d'un secteur de l'univers local ont fusionnées (big crunch), dans un secteur où ces billes sont assez proches pour interagir entre elles, il n'y a plus de force externe locale permettant de contenir toute cette matière, et cette superbille locale explose en un nouveau big bang sous l'effet de ses propres forces de gravitation répulsives internes. Ce nouveau big-bang recréant un nouvel univers à partir de la matière de l'ancien. Une sorte de cycle d'explosions et de contractions, un recyclage de la matière à l'échelle locale.
Ainsi, un univers local génère plusieurs nouveau big-bang qui recyclent sa matière. C'est une hypothèse AM, Harmonyum restant vague et ne précisant pas si la bille absorbe toute la matière d'un univers local ou s'il y a plusieurs billes restantes mais très éloignées.
Reprise Harmonyum : Mais rien ne presse, il faut vraiment très longtemps pour voir se contracter l'Univers local dans lequel on vit. La preuve, de notre big bang nous sommes à 12 milliards d'années, et il en reste à peu près autant avant l'effondrement. D'ici là l'Humanité n'aura surement plus besoin de corps physique, ni même de planète sur laquelle habiter. Nous serons des nomades dans le temps et l'espace, c'est le but ultime. Mais tout cela nous parait bien lointain en attendant, difficile d'imaginer !
De nouvelles études montrent que la gravitation que l'on connait serait totalement erronée.
"Ce qu’à fait Verlinde, est qu’il a supprimé la gravité de l’équation : il suggère que la gravité n’est pas une force fondamentale de la nature, mais plutôt un phénomène émergent, tout comme la température par exemple, qui découle du mouvement de particules microscopiques. En d’autres termes, la gravité serait un effet secondaire, et non la cause, de ce qui se passe dans l’Univers." C'est tout à fait ce que les ET expliquent. La gravité n'est pas une force fondamentale, et d'ailleurs elle change en fonction des objets : pour les plus massifs, elle agit comme une répulsion, et pour les plus petits une attraction. Ils ont toujours décrit la gravitation comme un problème lié à des pressions de sub-particules, avec des courants et des densités différentes. Ce point est fondamental dans la compréhension de Nibiru, parce qu'il explique son orbite. Par exemple, il existe des rails autour des planètes, des sortes d'ornières gravitationnelles dans lesquelles les planètes s'engouffrent et ont bien du mal à ressortir. Cette particularité a été suggéré empiriquement par la loi de Titius-Bode, mais jamais explicitée ou prouvée de manière satisfaisante à cause justement des erreurs que nous trainons avec nous à ce sujet. Quel rapport avec Nibiru ? Depuis qu'elle s'est arrachée au Soleil Nibiru passe d'une ornière à une autre tout en décrivant une spirale qui s'éloigne du Soleil. Cette trajectoire a très bien été décrite par certains crop circles, grâce à une spirale crénelée. A chaque Rail, Nibiru a du mal à se détacher et à se sortir de l'ornière, prisonnière d'une trajectoire plus stable pendant quelques temps. Depuis de nombreux mois, elle est prise dans l'ornière gravitationnelle qui sert d'orbite à Vénus, et c'est lorsqu'elle s'en détachera que nos problèmes commenceront plus sérieusement. C'est sur ce point précis, le moment du détachement, que les ET agissent pour repousser le passage proprement parlé, car il faut très peu de contrainte pour maintenir Nibiru dans ces ornières. Une fois qu'elle en est sorti, c'est beaucoup plus difficile, voir impossible, car elle va être attirée par l'ornière suivante et ainsi de suite jusqu'à aller faire demi-tour dans la ceinture d'astéroïde. Nibiru est actuellement à 100 millions de kilomètre plus ou moins du Soleil, sur une orbite qui se place un tout petit peu à l'extérieur de l'ornière de Vénus. Son éjection de ce rail est imminente, et quand ce sera fait, elle ira tout droit et très vite sur l'orbite de la Terre. Le processus d'approche n'a jamais été linéaire, et les ET ont bien prévenu que les catastrophes augmenteraient d'un seul coup, sans prévenir et que cet état de catastrophes durerait 50 à 60 jours. Cela correspond au temps que met Nibiru pour partir de l'ornière de Vénus pour venir se mettre dans celle de la Terre, tout simplement.
La dernière ornière, la plus externe, correspond à celle de la Terre, c'est pourquoi elles se termine par 3 disques (visibilité de Nibiru et son éloignement progressif). Sachez qu'il existe aussi des sous-ornières qui ne sont pas occupées par des planètes mais par lesquelles Nibiru doit passer. Elle est actuellement dans une de ces sous ornières, donc pas exactement sur l'orbite de Vénus si on veut être précis (cette ornière se trouve proche de celle de Vénus mais plus proche de la Terre).
le nombre de tours sur une ornière n'est pas précisé sur le schéma. Par exemple, Nibiru peut très bien faire 10 fois le tour au niveau de Vénus etc... Comme je l'ai précisé, la planète errante a du mal à se détacher de ces rails et parfois cela peut mettre plusieurs années, notamment quand elle était près du Soleil (où les ornières sont plus profondes).
C'est juste des pressions dans la circulation des sub-particules (appelées parfois neutrinos même si c'est plus compliqué que cela, c'est cela que les anciens appelait éther), un peu à la manière de la force d'Archimède mais dans l'espace. Il y a des courants, des endroits où les subparticules sont compressées et d'autres où elles sont lâches, comme pour un gaz ou un liquide. Les planètes étant de grosses émettrices de subparticules, elles créent un "vent" ou "flux" qui sort d'elles sans arrêt. Donc si tu mets deux planètes trop près l'une de l'autre, c'est comme deux jets d'eau ou deux ventilos qui soufflent l'un contre l'autre, ils/elles se repoussent. Pour les petits objets comme nous, c'est plus complexe, parce que nous ne sommes pas émetteurs et que notre masse est minisculissime par rapport à celle des planètes. Ce qui se passe, c'est que les subparticules sortant à pleine vitesse de la Terre nous traversent sans vraiment interagir avec nos atomes. Dans l'autre sens venant du haut, arrivent des subparticules identiques produites par l'espace (Galaxies, Soleils, autres planètes etc...) mais celles-ci nous arrivent de plus loin et sont ainsi plus lentes, ce qui fait qu'elles sont bien plus susceptibles de rentrer en collision avec nos atomes. Comme nous n'émettons pas de subparticules propres, nous ne pouvons pas compenser ces bombardements du haut comme du bas, et donc il y a un déséquilibre : les subparticules qui montent de la Terre interagissent moins avec notre corps que celles qui viennent de l'espace, ce qui crée une force qui nous pousse loin de l'espace, donc vers la Terre. Ce n'est donc pas la Terre qui nous attire mais l'espace qui nous repousse en quelque sorte. Les ET ont bien compris ce système pour leurs déplacements, il "suffit" de transformer leur vaisseau en émetteur de subparticules, comme une planète. Ainsi, il se comporte de la même façon qu'un objet massif, il est repoussé de la Terre. En dosant bien la puissance, un vaisseau ET peut monter et descendre sans problème et, même dans l'espace qui est loin d'être vide, il peut se déplacer en s'appuyant sur ce principe, tout bêtement, comme un sous marin dan de l'eau, ou plutôt une "soucoupe" dans l'éther. La seule technologie qui nous manque finalement, c'est de savoir produire des subparticules en masse, et c'est là que le fameux Flérovium 114 est indispensable (voir mon bouquin pour plus de détails). Malheureusement nous ne pouvons pas le synthétiser et il n'est pas présent sur Terre. Dommage.
Les planètes ne rentrent pas en collision par exemple, parce qu'à partir d'une certaine distance et masse, la gravitation est une force de répulsion (deux astres massifs qui se rapprochent trop se repoussent -se tiennent à distance l'un de l'autre). Cette idée permet par exemple de comprendre comment certains satellites de Jupiter ou d'autres planètes ont pu se mettre en orbite stable, alors que les lois de mécanique classiques rendent ces captures improbables voire impossibles (soit il y a collision, soit il y a éjection, alors que dans l'idée de la gravitation selon les ET, la répulsion permet de trouver un équilibre, et donc une orbite stable). La formation du système solaire restera pour nous un mystère tant que ces lois ne seront pas révisées, parce que de nombreux phénomènes sont liés à ces répulsions. Pourquoi se forme-t-il dans tous les cas des étoiles par paire et toujours de façon asymétrique ? Pourquoi les mini-neptunes (équivalent de Nibiru) sont les planètes les plus courantes, retrouvées dans 80% des exo-systèmes planétaires alors que ce type est absent dans le notre, où est elle passée ? (en réalité, c'est une planète qui donnera Nibiru + Terre et qui a été coupée en deux par ces forces de répulsion gravitationnelle internes, même phénomène que pour les problèmes d’étoiles doubles) ? Pourquoi et comment la ceinture d'astéroïde s'est elle formée alors qu'on devrait avoir une grosse planète à cet emplacement (justement une mini Neptune !) ? Si la gravitation est une force d'attraction pourquoi le système solaire ne s'est pas écroulé sur lui-même dès le début alors que les orbites des planètes sont / étaient soit disant chaotiques ? Toutes ces questions ont des réponses satisfaisantes avec Nibiru et les informations ET. Alors pourquoi pas une planète s'éloignant avec une orbite spirale qui s'échappe de l'attraction d'une étoile, alors que c'est justement ce type de trajectoire qu'il a fallu aux satellites des géantes gazeuses pour être capturés ? C'est beaucoup plus logique et cohérent de penser qu'une planète "errante" ne passe pas tout droit sans se soucier de la présence d'une étoile et d'autres planètes sur sa route. Nibiru est capturée par le Soleil puis s'échappe parce que cette capture est sabotée par le magnétisme. Voilà qui est cohérent, c'est pas une boucle parfaite, mais une trajectoire compliquée, avec une capture gravitationnelle instable au passage vers une étoile massive. Nibiru suit les rails gravitationnels, c'est ce qui l'a gardé un moment proche du Soleil (il existe un rail plus petit à l'intérieur de l'orbite de Mercure). Quand elle s'éloigne, elle passe de rail en rail en suivant à la fois la loi de Bode et les interactions magnétiques parasites (Soleil - Terre - Nibiru - Jupiter sont des planètes magnétiques actives).
A propos du Triangle des Bermudes :
Ces flux de particules issus du noyau et concentrés par des particularités géologiques, quand ils sont extrêmes, modifient non seulement la gravité mais aussi l'espace temps. Il existe des lieux qui naturellement sont des puits où ces flux se produisent par intermittence et permettent à notre planète d'établir un équilibre quantique. Gravitation, EMP, temps et particules sont des éléments d'un même puzzle que les ET ont étudié et maîtrisé pour la propulsion de leurs vaisseaux, le voyage spatial via le warping, le changement de densité (le passage d'un univers à un autre) mais aussi le voyage dans le temps.
Avec les perturbations que subit le noyau, ces événements sont plus fréquents et plus puissants. Lorsque le SS Cotopaxi est passé au début du 20ème siècle dans la mauvaise zone (qui peut faire seulement quelques centaines de mètres), au niveau du triangle des bermudes, il est passé dans une dimension intermédiaire, ni dans un univers ni dans un autre. C'est ce qu'on appelle un déphasage. Les personnes sur le bateau se sont retrouvé dans un monde étrange, où la matière était traversable (comme passer à travers les murs ou n'importe quel objet). Un second sursaut quantique a permis au bateau de revenir, de se rephaser, plusieurs dizaines d'années plus tard.
Ces marins ont vécu la même chose que ceux du navire expérimental sur l'USS Elridge (expérience de Philadelphie). Le dispositif, offert par les reptiliens de Sirius, visait à fournir à l'armée américaine un moyen de warping pour leurs navires. L'expérience a fonctionné et le navire s'est déphasé, devenant invisible pour les observateurs. Cependant il était bien là, mais dans une phase de temps différente. Les marins sur le bateau ont alors découvert qu'ils pouvaient passer leurs bras et leurs pieds à travers les parois du bateau et s'en amusèrent... sauf que lorsque le dispositif a ramené automatiquement le bateau en phase, les marins se sont retrouvés fusionnés au navire. Ce fut si terrible pour les témoins de voir ces corps fusionnés dans les parois qu'il fut décidé de ne jamais renouveler l'expérience.
Les zétas, surtout dès que ça concerne la gravitation ou tout ce qui pourrait aider à déterminer à l'avance la trajectoire de Nibiru, sont très évasifs voir trompeurs. On retrouve toujours la vérité quelque part, mais en faisant de grosses abstractions, et en sachant qu'ils omettent d'en dire la moitié. Par exemple, pour l'avancée de Nibiru, ils montrent une ligne droite qui frôle le Soleil et se dirige vers la Terre. C'est la vérité, si chaque année on fixe la position de Nibiru, sachant qu'entre temps Nibiru a fait un tour complet autour du Soleil. Nancy ne parle donc pas de la trajectoire en spirale. Idem pour la carte de la Terre après le passage, il faut comprendre le 2nd passage, 7 ans après. Et cette carte montre les continents juste après le passage, avant que la Terre ne se retourne sur elle-même. La France repasse bien dans l'hémisphère Nord après les événements.
C'est le genre de désinfo et d'omissions qui se trouvent dans les dires des zétas ci-dessous.
Etudier le résumé de Nancy à cette page : https://translate.google.fr/translate?sl=auto&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.zetatalk6.com%2Fnewsletr%2Fissue622.htm&edit-text=&act=url
Dans ZetaTalk (difficile à comprendre avec la traduction), elle cite une force de répulsion gravitationnelle selon le même principe que la force d'attraction des particules électriques de même signe : La force coulombienne fait que 2 protons positifs se repoussent, sauf si ils sont trop près, une autre force prends le pas et attire les particule, la force nucléaire.
Cette force nucléaire agit sur une très faible distance. Pour donner une idée, à 1 nanomètre elle est supérieure à la force de répulsion coulombienne, au-delà Coulomb redevient plus fort et éloigne les particules. Voir la page sur le nucléaire.
Même principe pour ZetaTalk, à distance les planètes s'attirent, mais une autre force de répulsion agit à plus petite distance. Dès que 2 astres massifs sont trop proches, ils se repoussent, car générant tous les 2 cette force de répulsion. C'est ce qu'elle appelle le point de contact, ce qu'on appelle le puit de potentiel pour les forces coulombiennes et nucléaires (la distance où les 2 forces sont égales).
Un météorites, ne générant pas cette force de répulsion, sera attiré par la terre au point de s'écraser dessus.
Nancy parle de vitesses différentes de particules, Marc parle de courants opposés et de densité différentes.
La gravité n'est pas une force fondamentale, dans le sens où il n'y a pas attraction "magique" via un champ, mais poussée physique de sub-particules (on rejoint en cela l'idée de JPP pour l'électricité, la voyant plus comme une pression d'électrons sur les autres).
C'est dur à comprendre chez ZetaTalk : les particules gravitationnelles sont éjectées du centre de la planète où elles se trouvent en ecès, puis une fois atteinte le vide de l'espace où elles trouvent pleins d'autres particules émises par d'autres planètes (ce qu'on appelle la matière noire), elles retournent (ce n'est pas préciser mais elles ont un mouvement qu'elles ne peuvent stopper d'un coup)
Les particules de même nature se repoussent entre elles mais ont besoin de revenir ensuite à leur source de départ, par le pôle opposé à leur émission. Ce serait une voie de moindre résistance de revenir à leur pôle d'émission, comme si elles avaient laissées un vide?
Pour la gravitation, les flux sortants sont comme des rayons lasers (un peu le principe des rayons lumineux qui formeraient un tube plutôt qu'une onde) et retombent en pluie sur toutes les surfaces non émettrices, nous plaquant contre le sol en appuyant au passage sur nos particules de même nature.
officiel : https://en.wikipedia.org/wiki/Viktor_Grebennikov, article complet (en anglais) : http://www.rexresearch.com/grebenn/grebenn.htm
Il a découvert en 1988 des effets antigravitationnels de la coquille de chitine de certains insectes, mais il a découvert en même temps le phénomène concomitant le plus impressionnant: l'invisibilité totale ou partielle et / ou la perception déformée des objets matériels entrant dans la zone de compensation la gravité. Il n'a réussi que lorsqu'il les a positionnés verticalement.
Grebennikov n'a pas découvert comment contrôler la gravité, mais simplement un moyen par lequel certains insectes dévient la gravité en déployant leurs ailes (qui sont des déflecteurs). Comme on le sait, il y a des zones sur la surface de la Terre où les fissures de la croûte terrestre concentrent les ondes de gravité vers le haut, ce que nous avons appelé un faisceau laser de particules gravitationnelles, déplacant ainsi temporairement des objets sur son chemin en 4ème densité. Le Triangle du Diable près des Bermudes est le plus célèbre de ces sites. Ceci est un exemple d'objet physique en 3ème densité (la notre) qui temporairement dévie/déflecte ou détourner les flux de particules gravitaires.
Les insectes de Grebennikov ont, comme il l'avait remarqué, une texture étrange sur leur face inférieure, un avantage évolutif car il permettait aux insectes de voler plus facilement. Plus que la forme, c'était la composition chimique de la carapace de chitine de l'insecte. Là où il a pu amasser ces carapaces et les manœuvrer afin d'élever une plate-forme de quelques pouces, cette technique ne lui permettait pas de léviter de gros objets ni de voler à travers le paysage. De même que le changement de densité temporaire observé n'implique le voyage dans le temps. La commutation de densité est un effet temporaire d'un flux de gravitons rapide (AM : ou d'un rapide flux de gravitation : c'est la vélocité des particules qui est rapide ou c'est uniquement lors d'un changement de débit dans ce flux ? selon le principe de la variation de champ magnétique engendrant un champ électrique). C'est temporaire.
Grebennikov a parlé de sa découverte, de la même manière que Billy Meier l'a fait en tant que contacté, appréciant l'attention et la scène. Mais ses réalisations réelles et sa documentation minutieuse ont bien sûr attiré l'attention de l'élite qui espérait trouver l'élixir du voyage spatial, la solution magique. Ainsi sa plateforme a été volée au musée. Dévier les giclées de gravitons qui émergent de la Terre n'est pas les contrôler, car elles s'échappent immédiatement et se dirigent dans un certain nombre de directions, directions que l'homme ne peut toutes contrôler. La lévitation temporaire peut entraîner une inclinaison latérale ou une chute soudaine. Cela n'entraîne pas de voyage dans l'espace.
Dires de Nancy : Le triangle des Bermudes a en effet des qualités inhabituelles, comme d'autres endroits ici et là sur Terre. Des anomalies magnétiques sont rapportées, où les boussoles oscillent follement, les horloges s'arrêtent et les objets concrets disparaissent de la vue. Qu'est-ce qui cause cela? Ces endroits, heureusement peu nombreux, sont une sortie depuis le centre de la Terre pour un sous-produit de la compression de la Terre, un sous-produit gravitaire pour ainsi dire. Un évent, d'où des particules subatomiques inconnues à l'homme surgissent périodiquement, et malheur à l'homme ou au poisson qui se trouve dans le chemin. Il y a des histoires de navires et d'avions qui disparaissent, et on suppose qu'ils ont été emportés par des extraterrestres, emmenés dans un zoo lointain, pour être exposés. Alors pourquoi ceux-ci ne disparaissent-ils que de ces sites, et pas régulièrement dans le monde?
Ici et là, autour de la surface de la Terre, existent de semblables sorties pour ce sous-produit de la compression de la Terre. Beaucoup de ces endroits sont bien connus pour les dégâts sur les bateaux ou voyageurs - une zone au large des côtes du Japon et dans l'un des Grands Lacs, par exemple. De tels débouchés se produisent également là où l'homme ne les connaît pas, comme au fond des océans ou dans des crevasses de montagne inaccessibles. Ce qui détermine la sortie, ce n'est pas seulement la structure de surface de la roche, les fractures en fait, mais aussi la structure de la roche sous-jacente, facteurs que l'homme ne peut mesurer.
La capacité des vaisseaux spatiaux extraterrestres à léviter sans force de propulsion, à se déplacer rapidement (disparaître au loin à ultra-haute vitesse), à changer de direction en un claquement de doigt et à disparaître dans une autre dimension?
L'homme croit actuellement que rien ne peut aller plus vite que la vitesse de la lumière. Il y a donc eu un déni choqué lorsque le CERN a enregistré une particule se déplaçant plus vite que la vitesse de la lumière. Pour les Zetas, quand Nibiru a zoomé vers le Soleil avant 2003, elle voyageait près de la vitesse de la lumière. Et leurs manips pour faire des voyages interstellaires comprennent la manipulation de l'attraction et de la répulsion des flux de particules, aussi bien que le changement de densité (Wrapping). Ce n'est pas grand-chose pour eux.
Les leçons actuelles de l'humanité sont d'apprendre à se soucier les uns des autres, d'atteindre un état d'esprit Service-à-Autre, et donc, nous ne sommes certainement pas autorisés à voyager à toute vitesse, ni à comprendre comment se téléporter (pas de gros problème non plus pour les Zetas cependant). Les contactés sont régulièrement téléportés dans et hors des navires, et cela implique plus que le changement de densité. Cela implique un changement de lieu! Nancy disparais de chez elle et se retrouve immédiatement sur un bateau, ou dans un entrepôt pour une réunion de groupe, puis plus tard, renvoyée chez elle.
La téléportation implique un déplacement de densité, qui se produit parfois naturellement dans des endroits tels que le triangle des Bermudes en raison des rafales de particules.
Ou encore l'expérience de Philadelphie : poussés à essayer par des extraterrestres du Service-Envers-Soi qui sentent qu'ils ne peuvent bénéficier d'une moisson d'âmes que s'ils augmentent la cruauté de l'homme envers l'homme, l'Expérience de Philadelphie est née. C'était une expérience militaire américaine, réalisée par ce qui était essentiellement MJ12 à l'époque. Comme ces extraterrestres ne sont pas autorisés à donner à l'humanité la connaissance sur la façon de changer de densité, les choses ont terriblement mal tourné.
Il y a beaucoup de dangers de téléportation et de changement de densité, dans la mesure où les étrangers du Service-Envers-Soi ne sont pas autorisés par leurs maîtres à le faire, car ils ne collaborent pas entre eux et gâchent ainsi. Le film The Fly est un bon exemple.
De même qu'un sous marin va moins vite dans l'eau qu'une voiture dans l'air (plus de trainée), les objets lancés dans l'espace ou à l'arrivée ressentent peu de contraintes lorsque l'atmosphère est négligeable, mais au contraire ont tendance à chauffer et à brûler lorsqu'ils sont dans l'épaisseur de l'atmosphère terrestre. Ainsi, les objets dans l'espace n'ont aucun effet néfaste d'une grande vitesse, autre que ce qu'ils pourraient rencontrer.
Il n'y a pas de limite de vitesse de la lumière. Même en dimension 3 (la notre) les ET sont capables de la dépasser.
La position prise par Nibiru (le rail gravitationnel) lors de son entrée dans le système solaire dépend de la masse du Soleil et de Nibiru. Comme le soleil perds de la masse, Nibiru est à chaque passage plus proche du Soleil.
Les scientifiques humains qui traitent la gravité comme une «force» mystérieuse, inexpliquée si ce n'est par les mathématiques qui la décrivent, seraient étonnés par la trajectoire de Nibiru. Un objet arrive, et selon sa vitesse, il passera soit par une attraction gravitationnelle (avec une vitesse d'échappement), soit sera attiré pour s'écraser, finalement, sur la surface de l'attraction gravitationnelle ou dans une sorte d'orbite circulaire ou elliptique (AM : le rail gravitationnel ?). Appliquez l'explication de la particule à la force de gravité, comme nous l'avons décrit, et vous avez un autre scénario, qui explique d'ailleurs pourquoi votre Lune reste là-haut alors que, selon Newton, elle ne devrait pas. La planète X est, bien sûr, attirée par l'attraction gravitationnelle du Soleil (elle est tirée vers lui), et donc son passage périodique. Mais Nibiru est également repoussé par les flux de particules de gravité émis par le Soleil, qui peut être décrit comme un tube souple (comme un "tuyau d'incendie") de force, rencontrant le tube de force de la planète X elle-même. Ils s'éloignent les uns des autres, forçant la Planète X à contourner le Soleil, à une distance basée sur sa masse et la masse du Soleil. La masse réductrice du Soleil explique pourquoi la planète X se rapproche plus près du Soleil actuellement que lors de ses passages passés qui traversaient la Ceinture d'astéroïdes.
C'est une variable qui dépend de la vitesse ainsi que de la masse. Au moment où la planète X pénètre dans le système solaire, sa vitesse vers le Soleil est suffisante pour qu'elle passe devant les autres planètes, y compris Jupiter, qui pourraient la capturer au passage. Si Jupiter se tenait directement sur le chemin de la planète X pendant un passage, cela provoquerait une perturbation sur d'autres planètes, et cette perturbation changerait temporairement la trajectoire de ces planètes, mais elles reprendraient essentiellement la même orbite ou le même chemin après la rencontre. La vitesse de la planète X assure cela, tout comme la masse significative de toutes ces planètes. Si la Planète X rencontrait un objet plus petit, comme dans la Ceinture d'astéroïdes dans le passé, elle serait traitée comme un météore ou si ce petit objet était assez grand pour engager la Force de Répulsion de la gravité, devenir un satellite lunaire de la Planète X comem beaucoup de grosses planètes en ont. Le bombardement qui se sont produites dans la ceinture d'astéroïdes était dû à des collisions d'objets de taille insuffisante pour engendrer la force de répulsion. Les petites planètes, passant près de la planète X pendant son passage à grande vitesse, pourraient devenir une lune satellite, ou être détruites par une des lunes traînantes de la planète X, bien que cela ne se soit produit que dans la ceinture d'astéroïdes fortement encombrée. Pour info, la ceinture principale d'astéroïdes contenait quelques 24 planètes et diverses lunes de même avant les passages passés.
L'effet du vent solaire sur Nibiru n'est qu'en périphérie, comme avec les météores entrant dans l'atmosphère de la Terre. Seuls les bords extérieurs de l'atmosphère sont altérés, décollés dans le pire des cas, et doivent être reconstruits à partir des océans qui couvrent la plus grande partie de Nibiru. Cette même reconstruction de l'atmosphère se produit après le passage sur Terre, à partir de ses océans. Temporairement, les nuages sont plus bas sur Terre, mais l'ajustement est remarquablement rapide, de sorte que les survivants ne voient rien d'autre qu'une couverture nuageuse très basse pendant les premiers mois.
Dans la douzaine d'années (voir plus) précédant un passage, Planet X accélère depuis un presque arrêt à un zoom, en direction du foyer du zoom qu'il approche. Imaginez la Terre sans atmosphère, et un rocher à quelques kilomètres de là. Quelle est la limite de vitesse sur cette roche lorsqu'elle s'écrase? Il n'y a pas de limite dans l'espace, la limitation de la vitesse de la lumière n'est qu'une conception humaine. La vitesse de Nibiru approche la vitesse de la lumière pendant son approche la plus rapide, et ceci étonne les scientifiques. Pourquoi suppose-t-on que la lumière est la chose la plus rapide de l'univers ? L'homme pense cela parce que c'est quelque chose qu'il peut mesurer. Il n'est conscient que d'un si petit pourcentage de matière et d'énergie à son sujet que de dire qu'il comprend 1% de ce que l'univers est composé serait une exagération. Notre voyage spatial, en 4ème Densité et même 3ème Densité, est plus rapide que la lumière, et nous ne fondons pas. L'homme ne comprend pas, donc nous ne pouvons pas lui donner satisfaction dans nos explications. Il suffit de dire que notre explication est correcte, et la planète X se déplace rapidement au milieu de nous, d'où la force de répulsion est invoquée, d'où elle flotte entre la Terre et le Soleil.
Les Zetas ont des navires interstellaires, sinon comment, en tant qu'entités incarnées, arriverions proches de la Terre ? La technique de déplacement n'est la propulsion comme le crois les scientifiques. Les humains utilisent la propulsion, comme dans :
- les voiliers propulsés par le vent dans les voiles,
- les avions à hélices propulsés par l'air tranché et pressé vers l'arrière par des hélices, hélices spécialement formées/dessinées/conçues et tournant rapidement, puis sur des ailes spécialement conçues/dessinées pour soulever l'avion,
- les avions à réaction propulsés vers le ciel par l'explosion continue se produisant dans les réacteurs,
- ou plus récemment par les "pétards" (fusée à tuyère) qui propulsent les astronautes dans l'espace, retenant leur souffle tout le long, âmes courageuses qu'ils sont.
Comme les humains ne peuvent avancer que d'un pas d'escargots à moins qu'ils ne soient propulsés, ils supposent que le voyage interstellaire est propulsé.
Ce n'est pas par propulsion que les ET avancent, mais par attraction, et c'est comme un baiser rapide (AM : aspiration rapide juste en entrouvrant la bouche ?).
Nous avons vu par ailleurs comment nous passons d'une densité à une autre, en faisant une réservation dans la densité vers laquelle nous souhaitons aller, puis en faisant simplement le mouvement.
De même, lors d'un voyage de longue distance, nous faisons une réservation similaire, puis nous nous déplaçons simplement. Comment cela fonctionne-t-il, d'une manière que l'intelligence limitée de l'humanité peut saisir? Nous avons parlé de l'attraction mutuelle et de la répulsion de la matière, qui est, bien sûr, ce qui fait que les planètes et les lunes se mettent en orbite autour les uns des autres et de leurs soleils. Normalement cela entre en équilibre, non par accident (Am : comme le croit Newton, les astres ont "par hasard" pile poil la bonne vitesse qu'il leur fallait pour entrer en orbite d'un objet plus gros) mais par une série de manœuvres/mouvements jusqu'à ce que l'attraction et la répulsion soient également fortes, l'une n'affectant pas la régularité du mouvement plus que l'autre. L'équilibre est réalisé lorsque le mouvement devient régulier.
Imaginez ce qui se passerait si la répulsion était éliminée, dans un échange donné, et que l'attraction n'avait aucun contrepoids? À quelle vitesse est rapide?
Devrions-nous être invités à expliquer, dans des formules que les humains pourraient potentiellement comprendre, comment la répulsion pourrait être éliminée de sorte que l'attraction soit la seule force en vigueur - nous ne pouvons pas. Ce n'est pas pour échapper à l'examen (AM : examen scientifique de ce qu'affirme les Zetas), mais pour empêcher les humains de se déplacer dans l'Univers dans leur état spirituellement immature. En 4e Densité, il y a des règles en vigueur qui vous permettent d'avoir cette connaissance, et de l'utiliser, tout en respectant les règles. En 3ème Densité, vous avez le droit de jouer sans règles, guidé uniquement par votre libre arbitre. C'est pourquoi les entités de plus hautes densités ne peuvent pas interférer avec vous, à moins que vous ne donniez l'Appel. Votre monde est essentiellement une cours de jeu/un coloriage pour enfant. Les enfants ne sont pas admis dans la salle informatique ni dans la tour de contrôle de la circulation aérienne. Nous espérons que vous comprendrez, bien que nous nous attendions à ce que vous soyez plein de ressentiment.
Traduction automatique de cette page : http://www.zetatalk.com/science/s123.htm
ZetaTalk: Lunes tourbillonnantes
Lorsque le spin à la surface d'une planète est dicté par le noyau mobile de la planète, tirant ou poussant un objet libre de se déplacer sur la surface, le spin dans l'espace est dicté par tout ce qui est lié à l'objet tournant. Ceci n'est pas exploré par l'homme, qui s'efforce de se déplacer directement dans l'espace et traite tout spin dans un objet sous son contrôle comme un problème à corriger rapidement, comme dans "la sonde a développé un spin et menace de perdre le contrôle" . Les raisons pour lesquelles le spin s'est développé en premier lieu sont traitées comme une non-pertinence, et le seul problème est de savoir si la sonde est sous contrôle ou non. Le spin est supprimé par les petits jets qui permettent à l'homme de contrôler ses sondes lorsque leur trajectoire a besoin d'être corrigée, ce qui permet à l'humanité de se sentir à l'aise dans sa connaissance de la façon dont les choses fonctionnent. Les lunes de la planète X, qui traînent comme un collier de perles dans l'espace, n'ont pas ces petits jets, donc la nature, pas l'homme, les règles, et le plein résultat d'une rotation dans l'espace peuvent être observés. Pourquoi les lunes traînent-elles, et tournent-elles dans un lent tourbillon/tornade derrière la planète X, plutôt qu'en orbite autour de la planète?
Les lunes en orbite autour de planète qui ont une orbite relativement circulaire autour d'un soleil (comme la Terre), ces lunes ont plus que leur planète qui affecte leur comportement. Ces lunes sont faites d'une masse répulsive qui empêche leur chute vers la planète, car les lunes génèrent la force de répulsion gravitationnelle entre elles et leur planète. Elles sont en mouvement, et non stationnaires, pas à cause de l'attraction de la planète, qui est à l'arrêt, mais à cause des attractions des autres éléments du système solaire. Comme un coeur liquide d'un corps en rotation, ils se dirigent vers ce qui les attire, dépassant le point où ils sont le plus près de l'attractif, se déplaçant vers le point éloigné à cause de l'inertie et se rapprochant de l'attractif à nouveau. Là où il y a un certain nombre de lunes en orbite autour d'une planète, elles se positionnent comme les planètes autour d'un soleil, à une distance confortable les unes des autres pour éviter la collision, puisque la force de répulsion entre les lunes est relativement égale. aussi.
Là où il semblerait qu'une orbite, dans un plan orbital, autour d'un soleil ou d'une planète soit ce qui se produise naturellement, ceci est perturbé pendant le passage rapide que fait la Planète X devant l'un de ses foyers, le soleil ou Nemesis, à la distance de 18.74 fois la distance Soleil-Pluton. La Planète X s'éloigne de ses lunes, étant attirée vers l'avant avec une vitesse croissante, en même temps qu'elle passe un de ses soleils et toutes les planètes qui tournent autour de ce soleil. Les lunes sont alors soumises à des contraintes contradictoires :
Les lunes qui sont arrivées dans un tourbillon derrière une planète en mouvement rapide ont une nouvelle contrainte à gérer, en ce qu'elles trouvent d' autres lunes directement dans le chemin qu'elles veulent prendre vers leur géant gravitationnel, dans ce cas la planète X. Ils tentent d'attraper la planète, tout en étant pris dans l'élan que leur poursuite circulaire vers d'autres attractifs dans le voisinage a créé, mais lors de leur approche de leur planète ils trouvent d' autres lunes dans le chemin et cela provoque un quatrième dictat, une bosse s'éloignant de leur planète voyageuse.
Pourquoi un tel motif de lune se perpétuerait-il? Planet X s'arrête presque à mi-chemin entre ses deux foyers ? Après avoir établi un tourbillon derrière la planète, les lunes ont deux facteurs qui empêchent un retour à la configuration orbitale normale des lunes autour d'une planète. D'abord, leur tourbillon se perpétue lui-même. La vitesse est dictée non seulement par la rotation normale autour d'un maître gravitationnel que créeraient les attractants dans le voisinage, mais aussi par la nécessité de s'éloigner des autres lunes du tourbillon. Deuxièmement, les plus grandes lunes du groupe tentent perpétuellement de se rapprocher de leur planète, point où la force de répulsion entre la lune et sa planète crée une impasse. Étant les plus grandes lunes, elles éloignent les plus petites lunes de leur trajectoire, mais cette action de poussée dans l'espace a pour effet de les faire bouger, non seulement en augmentant et en perpétuant leur mouvement tourbillonnant, mais aussi en éloignant les plus grandes lunes de la planète dont elles cherchent à se rapprocher.
Ainsi, les lunes de la planète X, occupant un tourbillon qui se perpétue de lui-même, restent dans une danse derrière la planète X même pendant son point de jonction entre ses deux foyers. La planète X se déplace, mais lentement, à son point d'oscillation, de sorte que le tourbillon est toujours positionné entre la planète X et les foyers qu'elle quitte (Soleil ou Nemesis). Ce tourbillon, exceptionnel pour l'homme car ne se présentant pas dans les comètes ou les planètes observées, est ce qui fait que les anciens appellent le monstre qui passe, rouge dans le ciel à cause de son nuage de poussière rouge illuminé, un dragon fouettant sa queue, le tourbillon des lunes.
https://translate.googleusercontent.com/translate_c?act=url&depth=1&hl=fr&ie=UTF8&prev=_t&rurl=translate.google.fr&sl=en&sp=nmt4&tl=fr&u=http://www.zetatalk.com/science/s31.htm&xid=17259,15700002,15700023,15700105,15700124,15700149,15700168,15700173,15700201&usg=ALkJrhgScdVnLS3tEGvrjBliNvu3HOYMDw
Toutes les comètes suivies n'ont pas une masse suffisante pour déclencher une puissante force de répulsion dans les planètes qu'elles traversent ou dans le Soleil, et donc les éphémérides humaines supposent que les seuls éléments à considérer sont le chemin et la vitesse. Pour une minuscule comète, si le chemin est tel qu'il amène la comète trop près d'une planète, il y a collision, car la force répulsive générée dans une planète n'est pas assez forte pour repousser une minuscule comète. Ainsi, les orbites de comètes supposent que la comète se déplace simplement vers le système solaire, et cette mathématique fonctionne en raison de leur taille relativement minuscule. Les humains supposent que si sur l'orbite initiale dans le système solaire le résultat était tel que la petite comète se dirigea vers le soleil, ils ne devinrent pas un visiteur régulier, une comète de retour. Cependant, dans le cas de la 12ème Planète, qui a une masse beaucoup plus grande que la Terre, la force de répulsion est un facteur. Mathématiquement, cela équivaut à la force de gravité lorsque les deux objets sont assez proches pour se toucher, sinon ils se toucheraient.
En termes simples, plus la 12ème planète bouge vite, plus elle peut se rapprocher, bien que les maths dans ce domaine ne soient pas aussi simples. Là où il semblerait que la 12ème Planète arrive à sa fin, et en fait, mois après mois et même année après année se trouverait à peu près au même endroit dans les cieux, néanmoins, à mesure qu'elle s'approche de votre système solaire, les choses changent. La 12ème planète est à la fois attirée et repoussée par votre soleil. Pourquoi est-ce que les comètes ne se dirigent pas seulement vers le Soleil, et là s'arrêtent? Ce n'est pas un problème à sens unique. Les deux facteurs sont en jeu. Ainsi, alors que la 12ème Planète s'approche de votre Soleil, elle prend de la vitesse, mais elle se dérobe aussi. Il y a une bataille qui se poursuit, un remorqueur dans une direction avec une poussée dans une autre. Le résultat final est que la 12ème Planète arrive toujours, plein à craquer, mais tourne un peu alors qu'elle s'approche. Alors que la vitesse s'accélère, la vitesse compense la répulsion, et la 12ème planète découvre au cours des derniers mois qu'elle peut maintenant se rapprocher du Soleil, la répulsion étant compensée par la vitesse.
la 12ème planète viendra sur le plan orbital de la Terre non pas directement entre la Terre et le Soleil, mais en avant, un peu plus près de l'approche de la 12ème Planète. Quand on regarde vers Orion, à ce moment-ci, depuis le plan orbital de la Terre, la perspective des astronomes humains, le Soleil sera à droite. La Terre, le Soleil et la 12ème planète formeront ainsi un triangle dans le plan orbital de la Terre avec un angle de 23 degrés sur la Terre, un angle de 18 degrés au Soleil et un angle de 139 degrés sur la 12ème Planète. C'est à ce point, essentiellement, que la 12ème planète est la plus proche de la Terre, avec l'angle d'entrée dans le plan orbital de la Terre étant 32 degrés à ce point, la 12ème planète plonge essentiellement dans le plan orbital de la Terre et le traverse rapidement.
La 12ème Planète s'abaisse et s'éloigne de votre Soleil seulement à la dernière minute. flète dans la distance comme 1.2598 fois le diamètre orbital de Pluton, ou deux fois et demie la distance de votre Soleil à cette planète la plus éloignée que vous appelez Pluton. La forme de la déviation est parabolique à l'angle des spires, dans tous les cas. Ce n'est pas exact, mais dans le but de calculer une orbite, vous pouvez travailler avec quelque chose qui sera assez proche. Ainsi, la 12ème planète commence sa déviation de son chemin droit de manière parabolique, mais a à peine commencé à se détourner quand sa vitesse croissante lui permet de se rapprocher du Soleil et fait une autre courbe parabolique vers le Soleil, corrigeant essentiellement sa chemin à nouveau pour être droit vers le soleil. Quand il passe le Soleil, perçant le plan orbital de la Terre, il est arrivé au point dans une courbe parabolique où la ligne est essentiellement droite.
La distance de déviation de la ligne orbitale, qui est essentiellement une ligne droite vers le Soleil à l'approche, n'est pas grande, environ 37 millions de miles. Cette distance relativement faible est suffisante pour donner à la 12ème Planète l'angle le plus aigu qu'il recherche. À ce stade, l'orbite de la 12e planète a été modifiée, car le Soleil est le seul géant qu'il écoute. La 12ème planète maintient cette ligne d'orbite quand elle quitte le système solaire et se déplace. Dans l'ordre des choses, cela met un léger soulèvement dans l'orbite, comme si l'orbite entre les deux foyers était votre bras, sorti de votre corps, et que la partie de l'orbite passée le Soleil était votre main. Si vous avez légèrement levé la main au niveau du poignet, une élévation de 21 degrés, vous simulez ce que fait l'orbite de la 12ème planète à ce stade. La 12ème Planète maintient cette déviation jusqu'à ce qu'elle passe à nouveau votre Soleil, le deuxième passage. Il n'est pas nécessaire de s'éloigner du Soleil lors de ce second passage, car l'angle est correct au départ.
Il faut comprendre que la raison de la déviation en premier lieu est que les autres planètes dans le plan orbital de la Terre entrent également dans l'équation. La 12ème Planète s'éloigne essentiellement de ce plan orbital, ainsi que du Soleil. Il ne veut pas se déplacer le long des autres planètes, il veut traverser rapidement à un angle plus aigu. Ainsi, l'orbite de retour est confortable à cet égard. Après avoir passé le Soleil à nouveau au deuxième passage, et s'être suffisamment éloigné du Soleil et des planètes dans le plan orbital pour se libérer de leur influence, la 12ème Planète commence à nouveau à écouter les deuxièmes foyers. Ainsi, il fait à nouveau une courbe parabolique pour se diriger directement vers les seconds foyers. Ici, la 12ème planète est un peu plus éloignée du Soleil que la mesure que nous avons mentionnée pour l'approche, car les deuxièmes foyers sont plus éloignés et ont moins d'influence à ce stade.
https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&hl=fr&rurl=translate.google.fr&sl=en&sp=nmt4&tl=fr&u=http://www.zetatalk.com/science/s108.htm&usg=ALkJrhiT97TIcDAfNbpBmaDTleZURwlf0g
ZetaTalk: Sondes de ralentissement
Une force inconnue semblant tirer sur une paire de sondes spatiales lointaines a laissé aux astronomes un mystère pesant, qui semble défier les lois conventionnelles de la physique. Les engins spatiaux Pioneer 10 et Pioneer 11, qui ont régulièrement voyagé dans des directions opposées dans le système solaire pendant des décennies, ont couvert beaucoup moins d'espace qu'ils n'auraient dû le faire.
CNN
Pourquoi les sondes ralentissent-elles? Ce n'est pas la gravité, le Soleil tirant ces sondes en arrière, mais les flux de particules que l'humanité ignore actuellement. Pourquoi les planètes du système solaire s'alignent-elles toutes sur le plan de l'écliptique? Ce phénomène se produit aussi dans les anneaux autour de Saturne et dans les océans de la Terre qui sont plus gros à l'équateur qu'aux pôles. La matière visible, les planètes et les anneaux et les océans, que l'humanité peut voir , sont suspendus plus rapidement à la taille d'un soleil ou d'une planète que sur les pôles, mais ce n'est pas la fronde qui les maintient à la taille, une fronde seule ne les garderait pas bien en place, un anneau autour de la taille. Il y a un retour d'un certain type, avec le retour revenant dans le soleil tournant ou la planète aux pôles, et ensuite coulant dans la direction de la taille, pour combler le vide causé par la fronde. Ceci n'est pas causé par l'écoulement des particules de gravité, car le flux des particules de gravité est pair. Un objet pèse-t-il plus aux pôles qu'à l'équateur? Ce n'est pas non plus le flux de particules magnétiques, car les anneaux autour de Saturne et les planètes de l'écliptique prennent leur position indépendamment des propriétés magnétiques.
Le vent solaire n'est pas visible pour l'homme, mais son effet sur les queues de comètes est assez visible. De même, le flux de ces particules, inconnu de l'humanité, qui force les planètes dans le plan de l'écliptique, peut être déduit du fait que l'écliptique existe, seule. Les sondes, propulsées au-delà de l'emprise du champ gravitationnel du Soleil à l'endroit où leur impulsion peut contrecarrer ce tirage, devraient flotter à un rythme prévisible, mais le font plus lentement. La réponse réside dans le lavage des flux de particules qui maintiennent les planètes dans le plan écliptique et les anneaux de Saturne si nettement dans une ligne mince. Tout comme les océans les plus gros autour de l'équateur de la Terre s'écoulent vers les pôles, puis s'enroulent dans le courant océanique profond vers l'équateur, ce flux de particules n'est même pas dans la pression qu'il exerce. Il y a de la pression de côté et de retour vers le soleil ou la planète en rotation qui est le géant gravitationnel qui tient la matière en boule dans son emprise. Plus la matière est proche de l'équateur d'un objet en rotation, plus il y a de pression sur le côté, poussant la matière dans l'anneau ou le plan de l'écliptique.
Les sondes ont été en partie envoyées à explorer les planètes dans le système solaire, et ont été dirigées par leurs jets ou une élingue gravitationnelle autour des planètes visitées pendant leur voyage. Ainsi, la force de gravité du Soleil seul n'était pas la seule force qui influençait les sondes avant qu'elles ne flottent là où elles sont aujourd'hui. Ils ont maintenant, vraisemblablement, seulement leur impulsion et la gravité tirent du soleil en tant que facteurs dans leur rythme. Ajoutez à cela le facteur d'un flux de particules qui revient, poussant vers l'extérieur à l'écliptique mais immédiatement après avoir quitté le plan de l'écliptique vers le Soleil. Lorsque le flux de particules quitte l'écliptique, il s'écoule vers le côté , loin de l'écliptique, mais dans le voyage vers l'arrière, il est secoué de l'autre côté, car les courants de cet écoulement deviennent circulaires autour de l'écliptique. comme circulaire dans les grands cercles que cette mesure aux pôles du soleil. Cette secousse latérale affecte la vitesse d'échappement des sondes, car elles font des allers-retours, de toute façon et de façon infinitésimale, et cela prend aussi du temps. Comment ne le ferait-il pas? Si un homme marche seulement dans un mouvement vers l'avant, il arrivera plus vite qu'un autre qui prend le temps de danser sur le côté, d'une façon ou d'une autre, de temps en temps.
Zetatalk 22/08/2018 : Un nouveau phénomène lumineux dénommé STEVE est apparu dans le ciel depuis quelques années et déconcerte les scientifiques. Les Zêtas expliquent:
SOZT
L’homme est déconcerté par le phénomène dénommé STEVE car il s’accroche à l’idée que les Aurores sont causées par les rayons lumineux pliés par le magnétisme terrestre. Nous avons déclaré au début de la saga ZetaTalk que ceci est faux. Les rayons lumineux sont courbés par des flux de particules gravitaires, qui forment un champ autour du globe similaire au champ magnétique terrestre. Alors que le champ magnétique émerge du pôle Nord et revient au pôle Sud, le champ de gravité émerge aux deux pôles et retourne à l'équateur. Ainsi, les objets pèsent légèrement plus lourd à l'équateur et les sondes de l'homme modélisant le champ de gravité ont trouvé que la Terre avait plus de poids autour de la taille.
Le phénomène STEVE s'est développé parce que Nibiru déforme le champ de gravité de la Terre. STEVE est devenu une question après l'arrivée de Nibiru en 2003.
Pourquoi les phénomènes STEVE augmentent-ils récemment?
Nibiru se rapproche de la Terre, se préparant à son passage. Elle est 23 fois plus massive que la Terre, mais mesure seulement 4 à 5 fois son diamètre. Nibiru enveloppe le champ de gravité de la Terre à l'intérieur du sien, et de ce fait les rayons de lumière situés à proximité de la Terre reçoivent des directives contradictoires. Alors que les Aurores forment des bandes verticales, STEVE forme des bandes de lumière horizontales alignées avec le champ de gravité de NIBIRU, et non pas avec le champ de gravité de la TERRE!
EOZT
Note AM : juste une todolist des points qu'il me reste à creuser pour avancer dans l'étude de la gravitation et la construction de cette page, surement juste la page wikipédia à lire et à comprendre...
L'excentricité de l'éllipse autour du soleil semble liée à l'inclinaison de l'orbite par rapport à l'écliptique ou au plan équatorial solaire (maius modifié par un autre paramètre, la masse ?) ? Voir Pluton, incliné de 12°, la Terre, à l'excentricité très faible. Faire un tableau comparant la distance à la grosseur et masse supposée, puis entre l'inclinaison de l'orbite et son excentricité.
https://www.astronomes.com/le-systeme-solaire-interne/force-de-maree
L'histoire de l'étude du système solaire, dont les 3 lois de Kepler. 1 : les planètes suivent une orbite éliptique dont l'un des foyer est le soleil. 2 : loi des aires (proche du soleil sur l'ellipse la vitesse de la planète est plus rapide qu'à l'opposé). 3 - la période de rotation dépend du grand axe de l'orbite (plus la planète est loin plus la période orbitale est longue), indépendamment de la masse. Ces lois sont empiriques, c'est ce qu'on observe mais Kepler ne l'explique pas. Et il sait qu'elles ne marchent pas sur certaines comètes et satellites. Newton montre que la gravitation est compatible avec la loi des aires (sur une ellipse, la vitesse varie en fonction de la distance au foyer). Il montre aussi que la gravitation permet d'expliquer pourquoi une planète peut conserver une trajectoire elliptique. Par contre, il manque l'explication expliquant pourquoi une trajectoire est elliptique (elle devrait être circulaire, du moins rien ne l'interdit) et qu'est-ce qui met ou à mis les planètes en mouvement. La théorie du disque d'accrétion originel explique cette vitesse. POur l'orbite elliptique, on explique ça par les attractions des autres planètes, mais le problème c'est que d'une configuration à l'autre entre les planètes les ellipses devraient varier en permanence, or ce n'est pas ce qui est observé. de ce que j'ai pu voir, personne ne sait vraiment justifier de pourquoi les trajectoires sont comme elles sont, et pourquoi elles sont si stables, indépendantes des perturbations extérieures.
D'après wikipédia, les excentricités sont : (l'écliptique est incliné de 7,25° par rapport au plan équatorial solaire)
Planète - Excentricité orbitale - Inclinaison orbitale - Inclinaison de l'axe
Mercure - 0,205 630 69 - 7,00487° - 0,0352
Vénus - 0,006 773 23 - 3,39° - 177,36°
Terre - 0,016 710 22 - 0°
Mars - 0,093 412 33 - 1,85061°
Jupiter - 0,048 392 66 - 1,30530°
Saturne - 0,054 150 60 - 2,48446°
Uranus - 0,047 167 71 - 0,77°
Neptune - 0,008 585 87 - 1,76917°
Pluton - 0,25024871 - 17,0890009°
On pourra plutôt se référer au tableau recopiable sous un tableur ici : https://fr.wikiversity.org/wiki/Syst%C3%A8me_solaire/Fiche/Caract%C3%A9ristiques_des_plan%C3%A8tes_de_notre_syst%C3%A8me_solaire et une autre page reprenant les champ magnétique, la planète Pluton et le soleil : http://thepoussin.free.fr/TPE2002/Caracteristiques.htm
Les vidéos de Jean-Pierre Petit, sur son modèle Janus. Une manière simple de comprendre l'évolution des modèles de gravitation créés par l'homme au cours du temps.
JPP explique la vision d'Aristote du monde. Aristote est un philosophe complètement à l'ouest (quand je pousse un bateau, il y a des tourbillons derrière, c'est eux qui font avancer le bateau, non l'impulsion que j'ai donnée au bateau...). Malheureusement, les pensées d'Aristote ont dictées la vision du monde occidentale pendant plus de 2000 ans, tout simplement parce que son élève, Alexandre Le Grand, a gagné militairement et imposé son empire sur tout le bassin méditerrannéen, cet empire devenant par la suite l'empire romain. Le lien intime de cet empire avec le catholicisme, implique que le pouvoir repose sur la croyance en l'église romaine (l'empereur étant désigné par dieu). Comme aujourd'hui avec Nibiru, la Bible ne devait surtout pas être remise en cause. Aristote à dit que la Terre était plate (rejettant les savoirs anciens des grecs de cette époque), elle restera plate coûte que coûte. D'où la disparition des anciens livres et philosophes grecs. Pendant 2000 ans, tous les scientifiques essayant de le remettre en question seront tout simplement brûlés comme Giordano Bruno. Galilée sera le dernier vraiment inquiété, les illuminatis progressistes prenant petit à petit le pouvoir et ressortant les vieux écrits grecs dans ce qu'on appelle le siècle des lumière, la Renaissance.
Ce qu'il faut retenir, c'est que la mécanique céleste de Ptolémée, basée sur Aristote et donc complètement fausse, donne des résultats justes concernant le mouvement des planètes. Et le modèle de Copernic, basé sur la réalité (une Terre qui tourne autour du Soleil) donnera, dans ses premiers développements et des orbites de planètes circulaires, des résultats moins précis que ceux de Ptolémée... Une prise de recul pour se rendre compte que beaucoup de lois ne sont que des modélisations sur ce qui est observée, modélisations décrivant mathématiquement ce qui se passe sans expliquer pourquoi c'est comme ça. Et que des vieux modèles faux mais affinés par l'expérience, sont souvent plus précis qu'un modèle juste mais encore immature dans les détails.
La relativité restreinte et générale disent que le temps s'écoule plus lentement :
Les astronautes de l'ISS ou les GPS des satellites voient donc leur temps être accéléré (par rapport à celui du niveau du sol) car ils sont plus loin de la masse de la Terre. Comme ils vont plus vite, leur temps est ralenti, mais bien moins que l'accélération du temps due à l'éloignement. Au final, ils vieillissent plus vite que sur Terre (ils peuvent faire plus de choses que sur Terre). Cela a été vérifé avec les horloges au Césium des GPS, obligées d'être retardées pour s'adpater au temps de la surface de la Terre. Et aussi dans une expérience en prenant des avions longs courriers et en traversant la Terre, dans un sens puis dans l'autre pour s'assurer qu'il n'y avait pas de sens au phénomène. Les horloges au césium embarquées avaient fonctionné plus vite que celles restées au sol. Ça répond de manière empirique au paradoxe de Langevin dit des jumeaux, à savoir que c'est celui qui part qui vieillit moins vite.
[Note AM] : le paradoxe de Langevin n'est toujours pas résolu, donc la théorie de la relativité (l'espace-temps est modifié avec la vitesse) est basée sur une réflexion fausse (Einstein postule que l'observateur sur le quai voit une horloge luminique déformée, donc que le temps est ralenti pour celui qui bouge, mais l'observateur voit aussi la même chose, poisson qui se mord la queue, même si le consensus des scientifiques actuellement est de dire que l'espace n'est modifié que pour celui qui subit le changement d'inertie, chose vérifiée avec l'horloge au césium placée dans un long courrier).
Autre chose, Einstein part du postulat que la vitesse de la lumière est une constante, en se basant sur l'équation de Maxwell de l'électromagnétisme. Mais rien ne dit qu'on a bien tout découvert, qu'il n'y a pas des termes à rajouter à cette équation. En gros, ce qui étonne tout le monde d'ailleurs, la théorie d'Einstein part sur des bases fausses, mais c'est celle qui donne les résultats les plus proches de l'observation. On se retrouve donc avec le problème de Copernic, qui avait eu l'intuition que la Terre n'était pas au centre de l'univers, et que les planètes tournaient autour du Soleil. Son modèle, avec les orbites de planètes rondes, était moins précis que le modèle de Ptolémée, vérifiée et retesté depuis 1500 ans, et qui bien que complètement faux (pour Ptolémée c'était le Soleil, les planètes et les astres qui tournaient autour de la Terre, montés sur des engrenages noirs qu'on ne distinguaient pas). Et pourtant, c'était Copernic qui avait raison...
Le modèle standard de la cosmologie [1] appelé également ΛCDM fait donc appel aux deux grandes théories élaborées au 20e siècle :
. Théorie Quantique
. Relativité Générale
Ce modèle fut gravement mis en cause lorsque des observations sont venues infirmer une partie de ses fondations. Il fallu alors ajouter à plusieurs reprises un certain nombre d’hypothèses très spéculatives afin de le sauver.
Ces sauvetages successifs ont cependant été effectués au détriment de la crédibilité du modèle.
Les questions majeures non résolues par le modèle ΛCDM sont au nombre de huit :
1) Instant zéro
2) Dissymétrie entre matière et antimatière
3) Homogénéité du rayonnement fossile
4) Structure de l’Univers matériel en « éponge » avec de grands vides en forme de bulles
5) Stabilité des galaxies en rotation
6) Accélération de l’expansion cosmique
7) Mystères du « Great reppeller » et des sondes Pioneer
8) Courbures locales de l’espace anormalement importantes
Le Modèle Janus répond à tous ces points, principalement en considérant que la matière mystérieuse qu'on ne voit pas est de la gravitation répulsive.
Le modèle Janus postule que toute l'antimatière formée au moment du big bang, est de masse répulsive pour la matière ordinaire dont on est constitué. Les masses que l'on connait, de la matière, sont dites positives, et s'attirent les unes les autres. Les masses de l'antimatière sont dites négatives, et s'attirent les unes les autres tout en repoussant les masses positives.
Tout comme les trous du gruyère sont dû à la pression du gaz carbonique qui repousse la matière sur les bords, l'apparence gruyère de l'univers vient du fait que l'antimatière se concentre et repousse la matière sur les bords, ce qui donne cet assemblage bulle de savon, les galaxies étant les parois des bulles, de la matière repoussée par l'antimatière qui se trouve condensée dans les trous entre les galaxies, et aussi que ces dernières subissent une accélération, l'expansion accélérée de l'univers découvert en 1988.
Il n'y a donc plus à chercher où est passé la moitié de l'univers (entre les galaxies), ni l'inexplicable disparition de l'antimatière (elle est toujours là).
Equations de Janus (reprises du site en lien dans le titre).
1) Le terme de droite définit le contenu de l’espace-temps en énergie-matière (Tμν = tenseur énergie-impulsion)
2) Celui de gauche indique sa géométrie
3) Le terme gμν est l’inconnue de cette équation, il s’agit de ce que l’on appelle une métrique. Une métrique permet de calculer des trajectoires dans l’espace-temps. Par exemple : la résolution de cette équation restreinte au cas du système solaire permettrait de calculer la trajectoire (métrique) d’une sonde naviguant entre les planètes, ces dernières courbant localement l’espace-temps.
Dans le cas de la Relativité Générale, le terme de droite fut choisit avec de la matière de masse strictement positive m(+).
Dans Janus, c'est un système de deux équations dont les deux inconnues sont les métriques g(+)μν et g(-)μν. La métrique g(+)μν s’applique aux particules d’énergie positives et la métrique g(-)μν à celles d’énergie négative (*).
On distingue dans le membre de droite de chaque équation le tenseur énergie-impulsion « Tμν« , il s’agit de la contribution de l’énergie totale de l’Univers constituée de celle qui est positive T(+)μν et de celle qui est négative T(-)μν.
(*) On simplifie la terminologie en ne parlant ici que de particules d’énergie. En effet, cette dernière se présente soit sous forme de rayonnements sans masses (photons), soit sous forme de particules matérielles de masse m avec la relation E=mc2.
Cette formulation traduit bien le fait que les masses positives ET les masses négatives courbent toutes les deux l’espace-temps.
Si l’on arrivait à inverser notre masse de manière à passer en « masses négatives », alors on détecterait « symétriquement » la contribution des masses positives à la courbure inverse (g(-)μν) que l’on percevrait. A la place des vides détectés entre les amas de galaxies lumineuses, nous percevrions de gigantesques sphéroïdes rougeoyants constitués de matière négative attractive pour la matière m(-) et répulsive pour la matière m(+).
Ce modèle Janus explique aussi la courbure de l'univers (l'effet de lentille gravitationnel des galaxies est supérieur à ce qui est prévu au vu de leur masse estimée, il faut en fait rajouté à la courbure g(+)μν dû aux masses positives la courbure g(-)μν générée par les masses négatives, et cette courbure est bien celle observée, alors que le modèle lambda CDM est mis en faute.
dans une zone de l’espace où la densité de matière négative est négligeable devant celle de matière positive, alors le terme T(-)μν sera proche de zéro. On retrouve alors la formulation de l’équation de champs initiale d’Einstein « vue depuis les masses positives » sans constante cosmologique (rajoutée récemme dans le modèle standard comme emplatre).
Pour l'homogénéité de la matière, si l’on suppose que la vitesse de la lumière fut plus élevée durant la phase radiative, alors les particules auraient pu interagir pour homogénéiser leur température. Cela permis par des constantes c ou G qui n'avaient pas la même valeur que maintenant (vitesse de la lumière tendant vers l'infini en se rapprochant du point zéro).
Pour les galaxies spirales, un calcul simple d’attraction gravitationnelle montre que les étoiles périphérique devraient être éjectées de leur orbite sous l’effet de la force centrifuge induite par leur rotation. Ce n'est plus le cas avec des galaxies comprimées par la masse négative qui les contient.
Le Great repeller (le grand repousseur) détecté en 2016, partie vide de l'espace qui repousse la matière, n'est plus qu'un amas d'antimatière repoussant la matière. Plus besoin d'un grand attracteur qu'on ne voit pas.
Idem pour l'effet Pionneer (ralentissement des sondes depuis la sortie du système solaire alors que leur vitesse devrait rester la même ou augmenter) elles sont repoussées, dans une faible mesure encore, par la matière à masse répulsive plus présente dans les espaces vides entre les étoiles, même si cette densité reste faible.
Sur le modèe Janus, on pourrait imaginer que la gravitation répulsive donnée par les ET se comporte de la même manières, sauf qu'il n'y a pas d'antimatière répulsive dans les poches, c'est juste la répulsion lointaine de l'autre paroi de la bulle de savon qui s'applique et construit un univers en expansion et en forme d'éponge. Il ne reste plus qu'à formaliser tout ça, ce que je me garderai bien de faire tant que la majorité de la population défendra des dirigeants et leur donnera un savoir dangereux dans leurs mains immatures...
à suivre...