Nature Humaine (amocalypse)
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Première version: 2017-02-07
Dernière version: 2018-01-22
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Il ne s'agit pas ici d'expliquer TOUTES les disparitions étranges du monde (comme votre portefeuille que vous aviez dans la poche arrière du pantalon !), mais celles se produisant en masse dans des endroits bien précis, entourées de phénomènes surnaturels ou étranges. Quoi qu'en disent les détracteurs, les statistiques montrent que ces disparitions sont plus nombreuses à ces endroits, et c'est surtout l'étrangeté répétitive au même endroit qui doit nous mettre la puce à l'oreille.
Le plus célèbre de ces endroits étant évidemment le fameux Triangle des Bermudes.
Je vais spoiler le suspens en dévoilant de suite le coupable !
On observe dans ces zones des anomalies magnétiques (comme l'aiguille d'une boussole qui s'affole), des horloges qui s'arrêtent, des objets disparaissant de la vue. Et surtout de très nombreuses disparitions de bateau et d'avion.
Les ET qui enlèvent des gens. Même si c'est possible, pourquoi ne le faire que dans cette zone et pas un peu partout sur Terre ?
Les bulles de méthane sous-marines. Ça peut en effet faire couler un bateau, mais ça ne provoque pas de manière concomittante des perturbations magnétiques affectant les boussoles, les arrêts de montres ou les disparitions d'avion.
Le mauvais temps. Certaines disparitions se produisent par beau temps, et encore une fois ça n'explique pas toutes les anomalies détectées.
Le triangle des Bermudes est une de ces zones sur Terre où s'éjectent périodiquement des particules subatomiques issues de la compression gravitationnelle de la Terre, sortes de sous-produit de la gravitation (voir page sur la gravitation). Malheur à l'être vivant qui se trouve sur la trajectoire de ces particules, un changement de densité temporaire apparaissant lors de ces impulsions. Ces particules ne s'éjectent que dans certaines zones, comme au milieu d'un grand lac, le triangle du diable au Japon, des endroits biens connus pour les disparitions de bateaux, avions et voyageurs. Heureusement, ces évents Terrestre sont peu nombreux, et pour la plupart situés dans des crevasses de montagnes inaccessibles ou au fond des océans. C'est la structure de la roche sous-jacente qui est en cause dans les fuites de ces particules.
Mais il reste qu'un bateau mal guidé peut s'empaler sur un récif et couler, comme dans n'importe quelle mer du globe. Il est donc bon de rappeler que l'explication ci-dessus ne va pas expliquer toutes les disparitions dans cette zones, qui peuvent avoir des causes tout à fait usuelles et connues.
Ces flux de particules issus du noyau et concentrés par des particularités géologiques, quand ils sont extrêmes, modifient non seulement la gravité mais aussi l'espace temps. Il existe des lieux qui naturellement sont des puits où ces flux se produisent par intermittence et permettent à notre planète d'établir un équilibre quantique. Gravitation, EMP, temps et particules sont des éléments d'un même puzzle que les ET ont étudié et maîtrisé pour la propulsion de leurs vaisseaux, le voyage spatial via le warping, le changement de densité (le passage d'un univers à un autre) mais aussi le voyage dans le temps.
Examinons un cas apparu en mai 2015, qui a inspiré le fake du SS Cotopaxi du même mois pour désinformation, je n'ai pas d'autres informations sur ce qui c'est passé réellement à part les affirmations d'Harmonyum.
Avec les perturbations que subit le noyau, ces événements sont plus fréquents et plus puissants. Lorsque un bateau est passé au début du 20ème siècle dans la mauvaise zone (qui peut faire seulement quelques centaines de mètres), au niveau du triangle des bermudes, il est passé dans une dimension intermédiaire, ni dans un univers ni dans un autre. C'est ce qu'on appelle un déphasage. Les personnes sur le bateau se sont retrouvé dans un monde étrange, où la matière était traversable (comme passer à travers les murs ou n'importe quel objet). Un second sursaut quantique a permis au bateau de revenir, de se rephaser, plusieurs dizaines d'années plus tard.
Ces marins ont vécu la même chose que ceux du navire expérimental sur l'USS Elridge (expérience de Philadelphie). Le dispositif, offert par les reptiliens de Sirius, visait à fournir à l'armée américaine un moyen de warping pour leurs navires. L'expérience a fonctionné et le navire s'est déphasé, devenant invisible pour les observateurs. Cependant il était bien là, mais dans une phase de temps différente. Les marins sur le bateau ont alors découvert qu'ils pouvaient passer leurs bras et leurs pieds à travers les parois du bateau et s'en amusèrent... sauf que lorsque le dispositif a ramené automatiquement le bateau en phase, les marins se sont retrouvés fusionnés au navire. Ce fut si terrible pour les témoins de voir ces corps fusionnés dans les parois qu'il fut décidé de ne jamais renouveler l'expérience et le projet fut considéré comme non réalisable du moins tant qu'on aurait pas plus avancé dans les connaissances sur ce sujet. Le dispositif a été détruit depuis en essayant d'en réaliser la rétro-ingénierie (les reptiliens avaient piégé le système) et personne n'a pu le refaire sans leur aide (des ET qui je le rappelle n'avaient aucune intention d'honorer leurs accords et ont abandonné leurs alliés humains depuis).
Le cas le plus mystérieux de disparition de bateaux se produit en 1881, 9 ans après la Mary Celeste (voir plus bas).
L'histoire, le navire Ellen Austin croise un bateau voguant à la dérive, sans nom. Tout est en ordre dedans, pas de chaloupe manquante. Le capitaine, pour s'arroger la prise, envoit quelqu'uns de ses hommes pour manoeuvrer le bateau. Après un ou 2 jours, une nappe de brouillard très opaque s'abat, et le vaisseau disparaît à tout jamais. Ça, c'est les premières versions de l'histoire, entre 1906 et 1944. Ensuite, par des erreurs de retranscription, dans l'histoire post 1944 une deuxième équipe est envoyée après être retombé sur le bateau sans nom, et le bateau et son troisième équipage disparaît à jamsis dans une nouvelle nappe de brouillard.
De l'enquête faite de nos jours, il s'avère qu'il est très difficile d'obtenir des infos de l'époque. Le navire Ellen Austin est bien cité, son voyage a en effet duré plus longtemps que d'habitude (comme s'il avait fait des recherches de l'équipage de secours disparu), les dates correspondent, mais les registres qu'on a retrouvé son brefs et n'indique pas les péripéties de voyage. On sait que précédemment ce navire avait déjà porté secours à un autre bateau en détresse, donc il lui était possible de ramener cet autre bateau, mais les journaux de l'époque ne parlent pas de cette histoire sur le coup (du moins 130 ans après les preuves n'ont pas été retrouvées...). On sait en tout cas que ce fut le dernier voyage du bateau Ellen Austin sous ce nom, il fut vendu après ce voyage à une autre société. En 1906, c'était déjà des infos de secondes mains qui rappelaient cette histoire.
Bref, il est très probable que la version avec une seule équipe qui disparaît soit la bonne, mais comme les preuves ne sont pas absolument formelles, et qu'on connait la volonté déjà présente à l'époque de ne pas affoler la marine marchande (qui rapporte beaucoup d'argent) avec le déjà à l'époque tristement célèbre triangle des Bermudes, disons que c'est un fait qu'on ne peut retenir comme preuve sûre ! Mais j'en parle car il est symptomatique du nombre impressionnant de vaisseaux fantômes qui arrivent tous les 9 à 12 ans dans le triangle des Bermudes, les autres cas étant bien mieux documentés et acceptés.
Le plus fameux des bateaux fantômes, que les juges ont essayé d'étouffer pour le faire passer pour une simple affaire de brigandage. La mauvaise foi dans la conduite de l'enquête à surement conduit à oublier des détails essentiels qui auraient aidé à la résolution de ce mystère.
Pour résumer rapidement cette histoire archi-connue, je reprends wikipédia :
"La Mary Celeste, un brigantin américain qui fut découvert abandonné au large des Açores le 4 décembre 1872. Le navire, qui avait quitté New York un mois plus tôt, était en mauvais état avec le gréement endommagé et la cale partiellement inondée mais il était toujours en état de naviguer. Sa cargaison d'alcool dénaturé était quasiment intacte tout comme l'intérieur des cabines mais aucun membre de son équipage ne fut retrouvé. Le mystère entourant la disparition des marins n'a jamais été résolu et la Mary Celeste reste l'un des exemples les plus connus de vaisseau fantôme."
Un autre brigantin, le Dei Gratia, part 8 jours après la Mary Celeste, et c'est lui qui découvrira le bateau abandonné.
Ce qu'on sait, c'est que le navire retrouvé abandonné n'était pas assez endommagé pour justifier de se réfugier sur la chaloupe, beaucoup moins sécurisée. Le fait qu'un des tonneaux, avec le bouchon en moins, ai laissé sortir des vapeurs qui auraient été jugées comme explosive, peut en effet justifier que tout le monde se réfugie sur la chaloupe. Le capitaine emmène ses cartes de navigation et ses instruments pour s'en sortir. Ce qui est étonnant c'est qu'ils avaient gardé les cordages pour les lier à la Mary Celeste, mais que la chaloupe s'est détachée quand même. Une tempête ?
Une médium donne une version de l'explication de la disparition mystérieuse de tout l'équipage (trouvé sur le site de Yves Herbo) :
Une association américaine de spirites et de voyants organisera, en 1969, à San Diego, en Californie, une séance au cours de laquelle un médium fait de curieuses révélations sur la fin tragique de la Mary Celeste.
Voici, rapportée par la revue Point de Vue-Images du Monde (n° 1076) la déclaration faite par ce médium en état de transe:
«Je suis Mme Briggs, la femme du capitaine de la Mary Celeste. Chaque jour, à bord, pour rompre la monotonie du voyage, je jouais du piano. Quand le brick eut dépassé les Açores, des phénomènes étranges commencèrent à se produire; chaque fois que je jouais, une musique lointaine semblait répondre à la mienne (Note AM : un son de trompette de l'apocalypse ? Comme ceux qui annonce un séisme).
»Cela venait de la mer, comme s'il existait un écho marin, comparable à celui qu'on entend parfois en montagne. Tout l'équipage l'entendit et se mit à scruter les flots avec une crainte visible. Certains hommes, pris de panique, me demandèrent de ne plus jouer.
»ll y eut même un début de mutinerie, que mon mari calma péniblement. Il avait beaucoup lu et pensait que notre zone de navigation devait être celle de l'ancienne Atlantide.
»Un jour, en scrutant les fonds, il vit s'animer une sorte de prairie flottante, recouverte de végétaux ne semblant pas être des algues. Une autre fois, surexcité, il m'emmena sur le pont pour me montrer ce qui ressemblait à des ruines de maisons, à des colonnades brisées, en marbre. Je crus évidemment à un mirage.
«Dans la nuit qui suivit, des chocs insolites ébranlèrent la coque. L'aube se levait à peine que notre homme de vigie hurlait, tandis que le bateau s'immobilisait. Il était échoué sur une terre inconnue.
» Mon mari cria : «Voyez, c'est l'Atlantide miraculeusement remontée des eaux!»
»Dans un élan d'exaltation, nous avons tous quitté le bord.
»La végétation était extraordinaire. Nous allions à la découverte en chantant et, tout à coup, alors que nous arrivions à proximité de ce qui semblait être un temple en ruine, le sol se déroba sous nos pieds, par un mouvement géologique inverse de celui qui avait fait surgir la terre de l'eau.
»La Mary Céleste, libérée, poursuivit aussitôt sa route, seule, vide. Nous avons tous péri dans la catastrophe.»
Fin de la retranscription médiumnique.
J'imagine qu'ils sont descendus en faisant descendre la chaloupe qui ne sera pas retrouvée. L'excitation de ce qu'ils ont vu expliqueraient le flacon laissé ouvert, ou les draps du lit non refait par la femme du capitaine (choquant pour une femme de haute condition à l'époque), et aucune note dans le livre de bord. C'est les clameurs des marins qui les auraient tiré brutalement du lit.
Alors que tout le monde s'est éloigné du bateau, brutalement, les fonds marins s'effondrent de nouveau, noyant tout le monde dans le tsunami rapide qui en résulte. Le bateau, remis à flot, repart au gré des courants.
Comme on sait que le livre de bord était peu bavard, le capitaine étant le propriétaire du bateau (pas noté tous les jours, les montées de la femme du capitaine à bord n'apparaissent pas, etc.) il est probable que lors de la descente précipitée le capitaine n'ai pas non plus pensé à noter cet événement, ou il voulait le faire le soir, car personne ne semble avoir pensé que la mer reviendrait si vite... Il est aussi probbale, quand on voit toutes les manipulations de l'histoire dès lors qu'il s'agit de ruines annunakis, que les parties traitant du sujet sur le livre de bord aient été retirées par la suite, et les découvreurs sommés de se taire, sans quoi l'attaque de l'équipage et leur meurtre leur aurait été reproché... C'est d'ailleurs ce qui s'est passé pendant 13 ans, où ils ont vécus avec cette épée de Damoclès sur la tête, alors qu'aucune preuve d'assaut violent du bateau n'a été trouvée, ni de traces de sang (les sabres étaient juste rouillés), et le bateau de Morehouse, qui ramena la Mary Céleste, était parti 8 jours après et ne pouvait rattrapper la Mary Céleste, étant bien plus lent. De plus, à part les objets disparus dans la cabine soumise aux paquets de mer, tous les objets de valeur furent retrouver, donc exit l'idée des pirates. Il est a noter que le procureur-général Frederick Solly Flood, qui a traité l'affaire, est décrit comme un con fini et semble s'accrocher sans raison à l'hypothèse d'une attaque. Il disait aussi que le livre de bord avait été trafiqué par les découvreurs, et voulait absolument que l'événènement ai lieu plus à l'Est, moins près des ruines Annunakis proches de l'endroit où le navire avait été retrouvé (bien qu'on ne sait pas du tout combien de temps et de distance le navire a dérivé avec seulement quelques voiles, ce qu'on sait c'est qu'il faisait demi-tour).
Cette version de l'émergence de terres, avec quelque chose de suffisamment attractif dessus pour faire descendre tout le monde, est probable, voir une des meilleures avec celle de la panique irationnelle du capitaine face à un bouchon de tonneau enlevé (irrationnelle on vous dit (encore un fou comme Ben Laden...), jamais il n'aurait bouché le trou avec un chiffon et aérer la soute...). En effet, les Sargasses sont l'ancienne atlantide, et cette mer est très peu profonde. Une mouvement du sol dans cette région soumise aux stress des plaques tectoniques, peut tout a fait provoquer une remontée du niveau d'une cinquantaine de mètres (voir s'il y a des traces de séismes à cette époque). Ces remontées de terre après un séismes sont rapidement suivie d'un retour à la normale au bout d'un jour ou 2. Si la mer était retiré ne serait-ce que d'un kilomètre, et si le sol descend de plusieurs mètres par minutes, c'est une bonne vague qui leur tombe sur la gueule. Sur le pont, le coffre de roue de gouvernail a été démoli par il est supposé une forte vague qui est attribuée à une tempête ayant eu lieu quelques jours avant la découverte du bateau. De même que les cabines et le fond de cale contiennent beaucoup d'eau. Cette vague pourrait avoir été celle qui a remis la Mary Céleste à flot. Les voiles retrouvées déroulées et déchirées étaient en fait roulées, et la vague les a déchiré ?
Il se peut aussi que la Mary Céleste n'ai jamais échouée, que les membres d'équipages se soient approché de ces terres émergées et aient fini le chemin avec la chaloupe. La Mary Céleste aurait frotté les flancs sur des rochers lors de la vague retour qui a noyé tout le monde.
Il y a aussi un autre phénomène qui a été observé en septembre 2015 après les ouragans, à savoir la mer qui se retire très loin (donc niveau maritime descendu très bas) par aspiration par la dépression de la tempête de l'eau de mer (et où du coup elle plus haute à cet endroit). Après avoir pousser la Mary Céleste dans les eaux peu profondes, mais sans toucher de part la hauteur supérieur en pleine tempête, la tempête les dépasse, l'eau se déplace sur les basses pressions de la tempête, mettant à nu les hauts-fonds où la tempête les a drosser (le sol n'est qu'à 50 cms par endroits dans les Sargasses). Ensuite, comme dans un tsunami, tout ce qui descend remonte, le reflux de la mer qui reprends sa place est supérieur à la hauteur d'eau habituelle. Drossée par la vague, la mary Céleste est rejetée vers des eaux plus profondes, alors que les hommes à terre se noient sous la violence de la vague ou ne sachant tout simplement pas nager (Les traces de collision avec un autre bateau pourrait venir du choc contre un rocher.Il faut aussi savoir que les cours de natation sont très récents dans l'histoire, réservés aux pays occidentaux, et que si aujourd'hui le nombre de personnes ne sachant pas nager est élevé, il était majoritaire au 19ème siècle).