Nature Humaine (amocalypse)
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Nibiru>Catastrophisme>Basculement de la
croûte terrestre
Première version: 2015-05-06
Dernière version: 2019-03-24
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
La page précédente montrait les preuves que de gros boulversements de la croûte terrestre ont lieu régulièrement. Nous montrons dans cette page les preuves montrant un déplacement de la croûte terrestre, expliquant du fait de ce déplacement très rapide les déformations et catastrophes relevées précédemment.
Page restant à organiser et trier avec la page précédente.
Cette vidéo vous montrera en animation super bien réalisée, toutes les preuves confirmant la "théorie" de l'équateur penchée, théorie qui est en fait une évidence depuis au moins le 19 ème et Cuvier, mais qui est occultée par la fausse science dite officielle... Les monuments mégalithiques de date de construction et de fonction similaire tous alignés sur un équateur penché de 30°, les mammouths congelés sur place (passant de 15°C à -65°C au point de congeler le sang en quelques minutes, sang qui se remettra à saigner 12 500 ans après lors de la décongélation, donc n'ayant pas eu les minutes nécessaires pour obtenir la coagulation naturelle post-mortem... Les centaines de mammouths de l'île aux ours en Norvège, projetés contre une falaise lors d'un tsunami géant puis gelés sur place. Toujours il y a 12 500 ans (on va dire 13 000 ans par la suite, plus facile à écrire !), au moment où la France dégelait brutalement. La carte de Piri Reis montrant que l'homme a connu les côtes Antarctique libres de glace, donc avant sa congélation il y a aussi 13 000 ans. On ne s'occupe pas de savoir dans cette page comment il y a 13 000 ans quelque chose a dessiné des côtes vues du ciel...
La fin du Pleistocène (il y a 13 000 ans toujours), voit disparaître en quelques années seulement la plupart de la mégafaune de l'époque (animaux de plus de 40 kgs), et ça partout sur la Terre. Ils sont remplacés par des espèces proches mais ayant fortement évolué.
Juste une chose pour aller plus loin : il n'y a pas d'ère glacière.
Il y a 13 000 ans, le groenland était complètement libre de glace, de même que la Sibérie (et les mammouths qui mangeaient de splantes de printemps qui poussent à 15°C).
La France par contre était gelée (et depuis 13 000 ans, tiens, le même chiffre !).
Et là pouf ! Un gros truc arrive sur Terre (voir les centaines de mammouths gelés en quelques minutes à coeur, ce qui implique de passer de 15°C à -65°C mini en quelques minutes), puis entassés les uns sur les autres comme des fétus de paille au même endroit sur l'île des ours, un tsunami géant). La Sibérie et le Goenland se retrouvent proche du pôle au point d'être gelés depuis cette date. La France par contre dégèle rapidement. Ce qui indique bien qu'il n'y a pas d'ère glaciaire, maisuniquement un changement de pôle.
Pour ce qui est de la Pangée, les continents se déplacent bien plus vite que ce qu'on croit, pendant ces périodes de grandes perturbations. Les alignements de Carnac se prolongent dans la mer, et l'écartement du rift Atlantique s'accélère ces dernières années. L'Australie s'est déplacée de plus de 4 m entre 2012 et 2016...
séismes, volcans, réchauffement des océans et de la calotte glaciaire par le fond, tout indique que notre noyau terrestre se réchauffe vite comme tous les 3600 ans (voir les carottes de glace du groenland sur les derniers 13 000 ans, avant le Groenland n'était pas gelé...). Un noyau terrestre plus chaud indique un manteau plus fluide, et donc un déplacement accéléré des glaces. Je vous laisse deviner ce qui va donc se produire dans les prochaines années...
Couplé à l'annonce de Nibiru. En moins d'un mois, on nous apprend que la croûte martienne a déjà basculé fortement (on nous explique même que c'est comme si la Finlande se retrouvait d'un coup au pôle nord), et 2 semaines après c'est la lune qui elle aussi à basculée dans son histoire. D'ici à nous dire que, comme toutes les planètes, la terre peut elle aussi subir un pole shift...Les séismes lents ont été découverts en 2003, tout simplement parce qu'ils n'existaient pas avant! Il s'agit tout simplement du déplacement habituel des plaques tectoniques, sauf qu'au lieu d'être à 3 cm/an maxi comme on le voit depuis plus de 3000 ans, il s'accélère fortement (2m pour le Japon juste lors du séisme de 2011). Les images satelites d'archives ne correspondent plus aux images actuelles, tellement le déplacement est aujourd'hui flagrant. Si toutes les études sur le sujet sont pour le moment censurées, ils ne peuvent plus cacher l'enfoncement de certaines zones comme les Philipines.
En septembre 2018, de nouvelles études viennent montrer que étrangement, la fin des glaciations est synchronisée avec les changement d'axes de la Terre. La science ne sait pas l'expliquer (oubliez les courants souterrains de lave, juste une explication bidon de plus "Tout sauf Nibiru"), il faut bien évidemment comprendre que suite à un pôle shift provoqué par Nibiru, l'inclinaison de la croûte terrestre n'est plus la même, les anciens pôles déplacés sur des zones chaudes fondent et de nouveaux pôles glaciaires apparaissent ailleurs.
Dans la page précédente, nous avons vu que des catastrophes très rapides se produisaient, expliquant l'absence d'épaisseur entre 2 strates. Voyons en quoi consistent ces strates (je ne m'appuie pas sur la datation main-stream de 100 000 ans, mais sur la datation plus proche de la réalité de 10 000 ans, expliquée page précédente).
Il existe des exemples très parlant où sur 50 mètres de haut, se succèdent une centaines de couches de calcaire (Jurassique moyen), parfaitement alternées gris bleutées puis ocres (ce qui permet de voir clairement les différences à l’oeil nu).
Ces changements de couleurs dénotent simplement que le climat et la faune étaient différents lors de la sédimentation de ces couches car ce sont les dépôts qui conditionnent les couleurs des strates. Une couche grise (climat plutôt froid type arctique) n’est pas formée sous un même climat qu’une couche ocre (climat plutôt chaud type tropical). Ainsi, une succession de climats très différents se reproduit plus de 100 fois sur seulement 50 m de falaise.
Ces strates sont l'empilement de squelettes animaux au cours du temps. Brutalement, ces strates sont interrompues (passage de Nibiru, cette fine épaisseur est riche en poussières de météorites et de cendres volcaniques, ainsi que les cendres des incendies provoqués par Nibiru). L'empilement de squelettes animaux reprends au dessus, mais sous des conditions différentes, les couleurs des ossements ne sont plus les mêmes ni leur consitution, le lieu géographique n'étant plus sous le même climat.
Cette problématique sur les strates géologiques n’est pas nouvelle, ce débat faisait rage dès le début de la biologie et de la géologie contemporaine. Un type de climat donnant une caractéristique et une couleur particulière au calcaire, comment expliquer cet effet yoyo autrement que par un cycle régulier des changements de climat ? Comment expliquer qu'une couche reste homogène sur toute sa hauteur, prouvant que le climat est resté stable 10 000 ans, puis que, sans transition aucune, on passe directement à un autre climat complètement différent qui va lui aussi rester stable les 10 000 ans suivant. Or cette situation ne se répète pas une fois, mais des centaines de fois, et les climats alternés sont toujours les mêmes sur de très longues périodes.
Autre problème, ce sont certaines couches atypiques comme les plages fossiles qui nous le pose. Elles démontrent par la grosseur des grains et les animaux qu'on y retrouve, que le niveau de la mer fait également des cycles tous les 10 000 ans en moyenne.
Le champ magnétique dans les roches qui n'est pas dans la même direction selon les couches géologiques. Les scientifiques croient que l'orientation du champ magnétique a régulièrement changée dans le temps (le pôle nord magnétique allant jusqu'à s'inverser avec le pôle sud magnétique) alors qu'en fait c'est l'inverse, c'est la croûte terrestre qui se déplace par rapport au noyau et à son champ magnétique.
L'empilement des strates peut être superposé au fait que le magnétisme terrestre fait exactement la même comédie avec ses inversions totales ou partielles. On remarque que ces phénomènes sont assez réguliers, surtout si on considère les inversions partielles du champs magnétique (les inversions totales sont plus rares).
L'idée d'une inversion des pôles est une erreur scientifique puisqu'on observe grâce au paléomagnétisme que dans la grande majorité des cas il n'y a pas inversion mais "inversion partielle", c'est à dire basculement ou "excursion". Le problème de cette science c'est qu'elle considère que c'est le champ magnétique qui bouge régulièrement (inversions, excursions) alors qu'il ne bouge pas, c'est la croûte qui se déplace. On étudie les roches magnétiques comme repère, et le problème, c'est que les scientifiques considèrent que ces roches n'ont pas bougé depuis des milliers d'années (sauf à tenir compte d'une très lente tectonique des plaques). Ils observent donc un changement d'orientation dans les cristaux (magnétite) qui agissent comme des boussoles fossiles. Ces boussoles changent de direction très très régulièrement dans les laves, et on en a conclu à tort que c'était le champ magnétique qui changeait de cap. Malheureusement, ce sont les roches, c'est à dire les boussoles qui se déplacent, pas le champ magnétique. Au niveau de la fréquence, les études ont montré que les "inversions totales" sont rares, mais que les inversions partielles sont très courantes. Certaines roches montrent des inversions partielles qui se succèdent à des rythmes très rapides de l'ordre de 5000 à 10000 ans, et les scientifiques ont supposé que c'était des soubresauts préparatoires aux inversions totales, nommées "excursions". Ils n'en tiennent pas compte dans leur historique général, ne retenant que les "inversions totales". Or ces inversions partielles ne sont pas des signes d'une future inversion totale, puisqu'elles sont trop régulières pour cela. Les inversions totales sont de gros basculements de la croûte qui la mettent la tête en bas, mais ils restent des cas particuliers. La plupart du temps, l'inversion est partielle, c'est à dire que le basculement n'est pas complet. Parfois il est limité (5 ou 10°) et parfois bien plus (90° étant le pire pour la faune). Les "inversions" répertoriées par les scientifiques sont des basculements rares qui se rapprochent des 180°. Tous ces basculements se produisent toutes les 3600 ans mais comme il est difficile d'estimer les dates/ages des strates et des coulées volcaniques, les estimations sont généralement peu exactes. Le même problème se pose aussi pour les fameuses glaciations terrestres qui ne sont en réalité, que des déplacements de certaines terres sur les cercles polaires. La vision scientifique est faussée par le manque de données hors des pays occidentaux, si bien qu'on imagine que toute la planète s'est refroidie alors que c'est juste une partie de l'hémisphère nord. Si on avait des études plus complètes, faites dans d'autres zones comme en Afrique du Sud, on verrait que pendant que l'Europe et les USA se sont refroidis, l'Amérique du sud et l'Afrique du Sud se sont réchauffées. C'est normal, à la dernière "grande glaciation", la croute a énormément basculé vers le nord au niveau de l'Atlantique. C'est pour cela que le Canada et l'Europe étaient sous la glace. Ce n'était pas un développement anormal des glaciers lié à un climat global trop froid comme on le suppose aujourd'hui, nous étions simplement aux pôles (qui se trouvait vers l'Islande, au nord de l'Atlantique). Quand la croûte a rebasculé, elle l'a fait dans le sens plus ou moins inverse, l'Europe et les USA se retrouvant d'un seul coup bien plus au sud, faisant fondre la calotte polaire et laissant de vaste zone de nouveau libre de glace.
Voici un schéma qui montre les excursions des pôles détectés sur les derniers 800.000 ans. Il y en a environ 120 et elles sont assez régulières comme vous pouvez le constater. En moyenne, avec ces données là (incomplètes), les excursions, c'est à dire un déplacement partiel des pôles (les pics sur le schéma) se produisent tous les 6700 ans environ. Si on estime que toutes les excusions n'ont pas encore été répertoriées (ce qui est une évidence, les chercheurs travaillent encore à les repérer sur le terrain pour compléter leurs données), le cycle de 3600 ans est tout à fait plausible.
C'est vrai que ce n'est pas forcément facile à comprendre. Pour l'éruption du piton de la fournaise d'hier, l’étude des couches de lave monteront pour les chercheurs futurs que le champ magnétique était aligné avec la plus grande longueur de l'île. Si 10 mois après l'île fait une rotation de 90° sur elle-même, et que le volcan érupte de nouveau (normal vu que c'est le passage de Nibiru, depuis 2010 on est passé à plusieurs éruptions par an au lieu de tous les 5-10 habituellement, et il peut y en avoir des centaines lors des passages), le champ magnétique mémorisé dans la lave sera orienté à 90° de la couche inférieure. Si 7 ans après, après 100 éruptions, l'île se tourne de nouveau de 90° (2ème passage de Nibiru), le champ magnétique (toujours orienté pareil par rapport au système solaire) qui sera mémorisé dans les laves apparaîtra inversé par rapport aux couches inférieures.
En fait, le champ magnétique terrestre n'aura pas bougé, mais c'est la plaque terrestre qui se sera déplacée.
Il m'a toujours paru suspect, pour un scientifique intelligent habitué au relativisme (quand on est dans un train, on ne peut pas savoir si c'est notre train qui bouge ou si c'est celui d'à côté) que personne n'ai pensé à dire que qu'on ne pouvait pas savoir si c'était le champ magnétique terrestre qui bougeait ou si c'était la terre qui bougeait... Voir les exclusions de ceux qui disaient que les continents se déplaçaient, ou ceux qui se sont fait exclure de la communauté scientifique. Comme Cuvier au 16ème siècle quand il a osé dire que peut-être la terre était plus vieille que les 5000 ans écrits par la bible...
Pour en revenir au piton de la fournaise, si les chercheurs qui font du paléo magnétisme creusent dans 1000 ans, et qu'ils ont observé que le volcan n'érupte en moyenne qu'une fois tous les 50 ans, ils vont observer des centaines d'éruptions entre 2 "inversions de pôles magnétiques". Si ils croient à ce moment-là à la théorie de l'immobilisme ( la terre n'a pas de cycle, tout reste figé, si il pleut 400 mm d'eau par an toutes les années il n'y aura que 400 mm d'eau qui tombe), ils vont en déduire que cette inversion de pôle a duré des centaines d'années. La encore, cette thèse de l'érosion constante en opposition au catastrophisme me paraît suspect scientifiquement, je ne vois pas comment un scientifique peut défendre cela s'il n'a pas un but malhonnête de camouflage derrière la tête ...
Vous avez aussi les stalagmite en assiette (partie large : 100 000 ans de climat tropical très pluvieux, partie fine, 100 000 ans de climat glaciaire avec 15 m de glace au dessus).
les stalagmites des grottes en assiettes (les parties larges indiquent un climat tropical humide, beaucoup d'eau liquide qui tombe, et au contraire les parties étroites nous montrant les moments glaciaires, avec toute l'eau qui reste sous forme de glace à la surface).
Il y a aussi les phosphatières (des trous dans lesquels tombent la faune du milieu), cette faune est durant quelques millénaires tropicale, puis les millénaires d'après, c'est un climat tempéré, puis ensuite, c'est une faune glaciaire.
Les phosphatières sont des avens (trous dans un causse calcaire où tombent les animaux au cours du temps) qui conservent les fossiles d'animaux des 100 derniers millions d'années (des couches contenant des animaux tropicaux, surmontées de couches avec des animaux polaires comme les mammouths). Cette alternance de fossiles indique que la même partie d'une croûte terrestre se retrouve alternativement à l'équateur ou aux pôles géographiques (variant dans des positions intermédiaires). Et non une variation globale du climat de la Terre, vu que dans les phosphatières d'autres endroits du monde, les faunes sont symétriques (faune glaciaire aux USA, quand la faune est tropicale au même moment en France).
Les récifs coralliens requièrent une température aquatique de 20°C. Toutefois, les analyses géologiques révèlent la présence de corail dans certaines des régions actuelles les plus froides :
Dans la formation du Carbonifère, on retrouve des restes de plantes et des couches de charbon dans les régions arctiques. On a retrouvé des lepidodendrons et des calamites, ainsi que des fougères, sur l'île de Spitzberg et sur l'île aux Ours (Svalbard), dans l'extrême nord de la Sibérie orientale, tandis que des dépôts marins de la même ère contiennent une abondance de gros coraux rocheux. » (435:202)
~ C. Hapgood, The Path to the Poles, p.159
L'océanographe chinois Ting Ying Ma a passé des décennies à étudier les coraux et est parvenu à établir les positions des anciens récifs coralliens qui coïncident plus ou moins avec la ligne de l'équateur. Les récifs coralliens de Ma/les lignes de l'équateur partent dans toutes les directions, il y en a même un qui traverse l'océan Arctique.
Certains coraux anciens se trouvent très loin de la région équatoriale actuelle. D'anciennes colonies de coraux ont également été découvertes dans l'île d'Ellesmere, dans le cercle Arctique.
Les glaces emprisonnées dans les calottes polaires représentent de véritables banques de données qui ont permis de reconstituer le climat des 10 000 dernières années (avant, ce n'était pas une banquise...).
L'étude de carottes glaciaires du Groenland a apporté récemment la preuve concrète, par l'analyse chimique des inclusions, qu'un réchauffement très brutal - de l'ordre de 5°C sur une période de 3 à 20 ans - est apparu à la fin de l'époque glaciaire il y a 12 000 ans. Il a coïncidé avec une intensification des phénomènes volcaniques sur terre, révélée par une augmentation très importante des dépôts volcaniques.
Les chiffres ci-dessus ne tiennent pas compte des passages de Nibiru qui peuvent modifier le comptage des années par les catastrophes.
Par exemple, cette étude sur les variations périodiques des températures. Le graphique indique 100 000 ans mais ça pourrait aussi bien être 3 600 ans, on n'a pas de repère pour compter les années.
Ces changements peuvent s'expliquer autrement que par des variations de luminosité. Il faut d'abord savoir que ce sont des mesures montrant les différences d'un endroit particulier. Comme montré au dessus, les plaques tectoniques se déplacent, et à certaines périodes (comme en ce moment) semblent augmenter leur vitesse de déplacement (générant le volcanisme et les séismes plus intense).
Immanuel Velikovsky à montré que ces déplacements atteignaient régulièrement des pics, générant de grosses catastrophes sur terre.
Pour expliquer ces variations de températures au cours des millénaires, on voit que les nouveaux paliers de températures sont atteint très rapidement puis restent stables sur des milliers d'années. Ça rappelle d'ailleurs les empilements de strates calcaires, chaque strate représentant un palier correspondant à un climat donné, une discontinuité (changement de climat très rapide) puis de nouveau une strate correspondant à un climat différent.
Comme si la zone n'était plus au même endroit de la terre...
On distingue 2 ou 3 paliers à chaque période (la durée de chaque paliers est inconnue en réalité, ça peut être 100 000 ans comme 3600 ans), avec 3 à 4 déplacements rapides à chaque fois. 2 déplacements relativement softs, et un 3ème déplacement abrupt. On est semble-t-il au sommet d'un pic, précédent un effondrement abrupt...
Ces strates sont l'empilement de squelettes animaux au cours du temps. Brutalement, ces strates sont interrompues (passage de Nibiru, cette fine épaisseur est riche en poussières de météorites et de cendres volcaniques, ainsi que les cendres des incendies provoqués par Nibiru). L'empilement de squelettes animaux reprends au dessus, mais sous des conditions différentes, les couleurs des ossements ne sont plus les mêmes ni leur consitution, le lieu géographique n'étant plus sous le même climat.
Maintenant, cela se passe-il vraiment brutalement ou assez progressivement ? Quand on voit le changement instantané de couleur des strates de calcaire, la réponse est évidente : c'est extrêmement brutal, sans transition. Il n'y a aucune couche de calcaire intermédiaire entre les strates, même d'un millimètre d’épaisseur. Pas de transition du tout, même pas sur quelques centaines d'années (ce qui reviendrait à voir une couche intermédiaire d'un millimètre environ si c'était le cas). Au contraire, on peut très souvent séparer les couches aisément, tellement elles sont indépendantes les unes des autres, comme des feuilles.
De nombreux mammouths ont été trouvés avec du pollen non digéré dans l'estomac, ce qui indique qu'ils ont été gelés suffisamment brusquement et rapidement pour que le froid atteigne le centre du corps en moins d'une heure (il doit faire très froid parce qu'un mammouth c'est très massif), et que ça s'est passé alors qu'ils étaient au printemps. L'hypothèse d'un déplacement très rapide vers des latitudes très élevées (par exemple de la Sibérie au pôle nord en moins d'une heure) est à retenir.
D'ailleurs la grande majorité des fossiles d'animaux dans ces zones ne montrent aucune détérioration, qu'ils soient jeunes ou vieux, ce qui veut dire qu'ils ont été ensevelis très rapidement, permettant ainsi la conservation des coquilles les plus fragiles : aucune trace de prédation, les coquilles sont intactes, et on en trouve parfois des millions sur quelques mètres carrés. Ces couches fossilifères sont parfois (même souvent) recouvertes par une couche morte sans aucun fossile, qui prouve que la vie a été balayée puis mis énormément de temps à repeupler la zone (couches sans fossiles qui marquent souvent la limite entre deux ères géologiques où les animaux sont complètement différents). Il n'y a aucune transition entre les couches remplies de fossiles et les couches mortes, ce qui indique qu'il n'y a pas eu déclin progressif mais hécatombe instantanée. Cela ne vous rappelle rien ?
Bizarrement, en Sibérie, chaque découverte de Mammouth engendrait un nombre incroyable d'erreur, l'intervention d'aristocrates français, des locaux qui mangent la viande, qui aboutissait au final à la destruction de l'échantillon.
Pierre Le Grand, sous couvert de crééer un musée des curiosités scientifiques, lancent de nombreuses expéditions qui feront chou blanc officiellement, du moins rien de passionnant.
Depuis Poutine, ces découvertes de Mammouths semblent mieux géré, ce qui
a permis l'analyse d'exemplaires entier avec leur trompe (Yuka en 2012).
Un
résumé des rares découvertes en 2002, sachant que de la nuit des temps
les Sibériens voyaient ces mamouths sortir de Terre debout, les défenses
dressées, et croyaient que ces géants vivaient sous Terre et mourraient s'ils
étaient exposés au Soleil (tiens, comme les Annunakis à l'origine du mythe
des vampires).
En 2013, un mammouth est retrouvé avec
son sang liquide qui coule, malgré ses 10 000 ans. Noter au passage la
stupidité de l'explication scientifique : "Le bas du corps a gelé dans l'eau,
à une température bien inférieure à 0 degré". Nous verrons plus loin que
cette température est de -70°C pour obtenir la congélation parfaite
permettant la conservation du sang. Le scientifique n'explique pas comment
l'eau reste liquide à -70 °C, surtout enterrée sous la Terre où la
température est censée être plus élevée.
Sans compter que l'intérêt des riches de l'époque pour l'ivoire à favorisé le déterrage clandestin de nombre de mammouths. Des dizaines de milliers de défenses ont été extraites des sols gelés sibériens durant les deux siècles précédents. Depuis la fin du xviie siècle jusqu'au début du xxie, la Russie a exporté ou utilisé environ 1 500 tonnes d'ivoire. Une paire de défenses pesant en moyenne 60 kilogrammes, il s'agit donc de quelque 25 000 individus ! Aujourd'hui, 15 à 20 tonnes d'ivoire sont, officiellement, exportées par la Russie ou utilisées sur place.
La Manche est une immense réserve de défenses de Mammouth qui sont pris dans les filets de pêche, et on retrouve des squelettes à Lyon. Le territoire de ces géants était immense et en partie détruit aujourd'hui.
Résumé de l'article de sott.net.
Le mammouth laineux, dont on trouve un nombre incalculable de squelettes partout dans le monde, y compris dans des pays actuellement chaud, est dessiné par nos ancêtres entre -40 000 et -11 000 ans, date à laquelle ils semblent rayés de la terre en l'espace d'une nuit.
On découvre que le mammouth à une fourrure, comme la plupart des animaux. Mais comme la gazelle, cette fourrure n'est pas adaptée aux grands froids ! En effet, les longs poils clairsemés ne sont pas érectiles (pas de couche d'air isolante) et sont dépourvus de glande sébacées (la neige fond, s'accroche aux pattes et augmente les déperditions calorifiques). C'est plutôt les éléphants modernes, avec la perte de leur poils, qui sont adapté aux chaleurs extrêmes des pays dans lesquels ils vivent.
En général, les restes de mammouths que l'on a retrouvés étaient entassés avec ceux d'autres animaux - tigres, antilopes, chameaux, chevaux, rennes, castors géants, aurochs, bœufs musqués, ânes, blaireaux, bouquetins, rhinocéros laineux, renards, lynx, léopards, carcajous, lièvres, lions, élans, canis dirus, spermophiles, hyènes des cavernes, ours, et de nombreuses espèces d'oiseaux. La plupart de ces animaux n'auraient pas pu survivre dans un climat arctique. C'est un indice supplémentaire qui prouve que les mammouths laineux n'étaient pas des créatures polaires.
Comment une créature herbivore, aurait-il pu subvenir à des besoins alimentaires se montant à 180 kilos de nourriture par jour, dans une région arctique dépourvue de végétation pendant la majeure partie de l'année ?
Tout indique donc qu'en -11 000, la Sibérie n'était pas une région arctique mais une région tempérée. Tandis que certaines régions connurent en -11 000 un net refroidissement (Sibérie, Europe, Groenland, Alaska), d'autres connurent un relatif réchauffement (l'Amérique du Nord, excepté l'Alaska, et la partie « orientale » de l'Antarctique). Comme si l'emplacement sur le globe n'était plus le même...
Parallèlement à la chute drastique des températures, l'une des caractéristiques majeures du Dryas récent (-11 000) est une extinction de masse : 35 mammifères (mastodontes, castors géants, tigres à dents de sabre, megatheriums, rhinocéros laineux, etc.) et 19 espèces d'oiseaux disparurent en un temps record. Hibben estime que pas moins de 40 000 000 d'animaux périrent rien qu'en Amérique du Nord. Au total, des centaines de millions de mammouths disparurent. Des restes ont été découverts dans toute la région du Nord (Russie), de l'Oural au détroit de Béring et même sur le continent américain (Alaska et Yukon). Seuls deux petits foyers de mammouths subsistèrent : sur l'île Saint-Paul jusqu'en - 3 600 environ, et sur l'île Wrangel, jusqu'en -2 000.
Les populations humaines étaient déjà répandues à grande échelle à l'époque, et l'une d'entre elles, les peuples de la culture Clovis (qui vivaient en Amérique du Nord), disparut de la surface de la Terre durant cette période chaotique. Les peuples de la culture Clovis n'étaient pas une petite tribu localisée dans une zone restreinte ; leurs sites d'implantation couvrent la majeure partie de l'Amérique du Nord, comme l'indique l'étendue géographique de leurs artéfacts, en particulier les pointes de Clovis.
La couche géologique correspondant à cette extinction (là où on été découverts les squelettes de mammouth ou encore la dernière couche de la civilisation Clovis) montrent de grandes quantités de suies, de Potassium 40 et d'Hélium 3, d'Iridium et autres métaux rares typique des sites d'écrasements de météorites. Du crabone vitreux indique des températures élevées suivies d'un refroidissement brutal. Ces débris météoritiques ne se retrouvent que dans cette couche, indiquant une pluie de météorite pendant une petite période de temps.
« À des températures corporelles normales, les sucs et les enzymes gastriques décomposent les matières végétales en une heure. Qu'est-ce qui a inhibé ce processus ? La seule explication plausible est que la température de l'estomac s'est refroidie, passant à environ 4°C en dix heures, voire moins. Mais comme l'estomac est protégé à l'intérieur d'un corps chaud (35,8°C pour les éléphants), quelle température l'air extérieur doit-il atteindre pour faire baisser celle de l'estomac jusqu'à 4°C ? Des expériences ont montré que, pour atteindre ce résultat, la température des couches cutanées extérieures aurait dû baisser brutalement, atteignant jusqu'à -80°C au bas mot !". - Mark A. Krzos, Frozen mammouths
Les aliments non digérés (herbe, mousses, arbustes et feuilles d'arbres, selon le scientifique russe V.N. Sukachev) retrouvés dans les estomacs et les appareils digestifs des mammouths ne sont pas l'unique preuve d'une congélation instantanée.
D'après plusieurs rapports d'analyses, on a également retrouvé de la nourriture (principalement des boutons d'or) dans la bouche des mammouths gelés. Ils avaient cueilli ces boutons d'or, mais ne les avaient ni mâchés, ni avalés. Les boutons d'or avaient gelé avec une rapidité telle qu'il portaient encore les empreintes de molaires des mammouths. En dépit de leur élasticité, ces boutons d'or n'eurent pas le temps de retrouver leur forme initiale après la mort des mammouths.
Dans le cadre des applications biologiques, l'idée-force de la congélation instantanée est de faire baisser la température suffisamment vite pour éviter la formation de larges cristaux de glace qui, autrement, endommageraient les cellules, les faisant éclater ou les transperçant.
Une analyse détaillée des échantillons cellulaires prélevés sur les mammouths laineux a précisément mis en évidence ce phénomène :
« La chair de nombre des animaux retrouvés dans la boue a dû subir une congélation intense extrêmement rapide, car les cellules n'avaient pas éclaté. Des experts en conservation des aliments par le froid ont fait remarquer que pour parvenir à un tel résultat chez un spécimen vivant en bonne santé, il faudrait faire baisser la température de l'air environnant à des chiffres largement inférieurs à -65°C. »
Ivan T. Sanderson, 'Riddle of the Frozen Giants', Saturday Evening Post, 16 January 1960, p. 82.
En 2013, un mammouth femelle parfaitement conservé a été découvert dans les îles Liakhov, en Sibérie. Élément intéressant : lorsque les scientifiques ont tapoté les restes du mammouth gelé avec un pic à glace, du sang a commencé à couler.
Étant donné que le sang commence coaguler dans les minutes qui suivent le décès, cela indique que les mammouths laineux ont gelé tellement vite que leur sang n'a pas eu le temps de coaguler.
Les scientifiques de bases imaginent que ces mamouths sont tombés dans un trou d'eau marécage, et sont morts trompe et défenses en l'air pour s'en sortir. Sauf qu'il y a 13 000 ans, tous les mamouths de Sibérie semblent tous être tombés en même temps dans un trou d'eau, après des millénaires à avoir vécu normalement. Un suicide collectif de millions de Mammouths !? :)
Les scientifiques imaginent l'impact d'un gros astéroïde faisant rentrer l'atmosphère de haute altitude au contact du sol, mais cette hypothèse ne serait que localisée, pas sur toute la Sibérie...
En gros, les Mammouths sont passé d'une prairie à 15°C, ou des végétaux et des animaux vivaient depuis plusieurs années dans un milieu tempéré, à une zone où l'air était à -70°C, et où la température par la suite N'A JAMAIS PLUS dégélée...
La seule hypothèse crédible, est donc le déplacement en quelque dizaines de minutes d'une terre tempérée froide à 15°C dans un air Arctique inférieur à -70°C (déplacement de plusieurs centaines de kms de la Sibérie vers le pôle nord géographique). Ensuite, ces animaux sont recouverts par un Tsunami de Limon qui vient les enterrer jusqu'à nos jours et la fonte du pergisol gelé (un phénomène inédit depuis 13 000 ans au passage...).
Les médecins légistes qui ont examiné de nombreux mammouths ont découvert les mêmes caractéristiques chez nombre d'entre eux :
Voir aussi le début du "passage" de Nancy Lieder
C'est Immanuel Velikhovski qui en parle, en plusieurs point du globe on trouve des fossiles enchevêtrés les uns sur les autres en énorme quantité, c'est le résultat des gigantesques tsunmais qui se produisent lors des passages forts de Nibiru et qui accumulent en un lieu toute la vie emportée sur des centaines de kilomètres.
Nous avons vu par ailleurs ces sites cyclopéens qui parsèment le monde, caractérisés par ces blocs de pierre de plusieurs dizaine de tonnes, taillées aux formes complexes antismiques et symétriques d'un endroit à l'autre de la construction. Ils correspondent à des batisseurs dont officiellement nous ne savons rien, encore moins de leurs techniques de fabrication que nous sommes incapables encore de nos jours de reproduire. Ils ont plusieurs caractéristiques communes :
Il est improbable que nous ayons des évolutions humaines séparées aboutissant aux mêmes caractéristiques. Si nous postulons sur une civilisation ayant besoin de placer du minerais d'extraction (comme l'or) en orbite, comme semble l'indiquer par exemple les lignes de Nazca (30 km de long, parfaitement rectilignes malgré le franchissement de collines), il faut que cette civilisation se place près de l'équateur. Or, on observe que ces sites à tendance astroport (les mieux chiadés question construction, donc des cités importantes) sont alignés suivant 2 axes principaux (source : la révélation des pyramides, voir à 1:12:00) :
île de Paques
Nazca
Ollantaytambo
Machu Pichu
Cuzco
Sacsayhuaman
les pyramides de Paratoari
Puis ensuite, après franchissement de l'atlantique par le pays Dogon (qui connaissaient Les étoiles trimples de Sirius, bien avant qu'on la science occidentale les redécouvre).
Le martien du tassili N'Ajjer
L'oasis de Siwa, avec son temple de Zeus-Amon, le plus sacré du monde antique
Gizeh et sa grande Pyramide
Petra
La grande pyramide d'Ur, lieu où naquit Abraham
Persepolis
Mohenjo Daro au Pakistan, où l'on retrouve une écriture hiéroglyphique quasiment identique dans ses dessins à celle de l'île de Paques. On y retrouve aussi des squelettes radioactifs, comme s'ils avaient été victime d'une bombe atomique...
Nous entrons en Inde, sur des sites qui ont toujours été considérés comme les villes des dieux : Khajuraho
Pyay en Birmanie
Sukhothai en Thaïlande
Ankhor Vat et Preah Vihear au Cambodge
Ensuite c'est les îles du Pacifique, avec les nombreuses cités à
moitié enfouies sous les mers ou quelques îles isolées, dont les
indigènes disaient que c'est ceux des étoiles qui les avaient
construites.
Ces alignements montrent (si l'on tient compte de l'hypothèse de bases spatiales équatoriales, comme nous faisons actuellement avec le centre de lancement de Kourou en Guyane) que régulièrement au cours du temps
Article d'Harmonyum sur son compte Facebook, qui reprends les points ci-dessus pour en faire la synthèse :
L’origine du pétrole, du gaz et du charbon n'est pas connue avec certitude malgré ce qu’on laisse croire au grand public, et d'ailleurs, l'observation sur le terrain a même tendance à favoriser l'hypothèse de cataclysmes successifs pour expliquer la formation de ces carburants fossiles.
Le charbon par exemple est souvent parsemé de boulettes étranges dans lesquelles on retrouve des créatures parfaitement conservées (notamment des arthropodes, comme à Montceau les mines), et qui démontrent que ces animaux ne sont pas morts de façon normale (prédation par exemple), mais de façon brutale, car sinon leurs exosquelettes se serait automatiquement démontés dès que les parties molles se seraient dégradées. Or là, Ils sont figés dans ces gangues tels qu’ils étaient au moment de leur mort.
La géologie de terrain démontre également, en général, que la Terre ne connait pas de processus lents et progressifs, mais plutôt des processus cycliques et rapides. Comment expliquer que sur 100 mètres de falaise, on puisse trouver des centaines de strates régulières, aux couleurs et aux composés différents mais parfaitement alternés ?
Il existe des exemples très parlant où sur 50 mètres de haut, se succèdent une centaines de couches de calcaire (Jurassique moyen), parfaitement alternées gris bleutées puis ocres (ce qui permet de voir clairement les différences à l’oeil nu).
Ces changements de couleurs dénotent simplement que le climat et la faune étaient différents lors de la sédimentation de ces couches car ce sont les dépôts qui conditionnent les couleurs des strates. Une couche grise (climat plutôt froid type arctique) n’est pas formée sous un même climat qu’une couche ocre (climat plutôt chaud type tropical). Ainsi, une succession de climats très différents se reproduit plus de 100 fois sur seulement 10 millions d'années (estimation d’après les estimations main stream des ères géologiques) , ce qui fait un changement puis un retour aux conditions précédentes toutes les 100.000 ans environ (en sachant que les datations des strates sont approximatives et ne reposent que sur un tableau comparatif des espèces fossiles "marqueur").
Cette problématique sur les strates géologiques n’est pas nouvelle, ce débat faisait rage dès le début de la biologie et de la géologie contemporaine. Un type de climat donnant une caractéristique et une couleur particulière au calcaire, comment expliquer cet effet yoyo autrement que par un cycle régulier des changements de climat ? Comment expliquer qu'une couche reste homogène sur toute sa hauteur, prouvant que le climat est resté stable 100.000 ans, puis que, sans transition aucune, on passe directement à un autre climat complètement différent qui va lui aussi rester stable les 100.000 ans suivant. Or cette situation ne se répète pas une fois, mais des centaines de fois, et les climats alternés sont toujours les mêmes sur de très longues périodes (parfois plus de 50 millions d’années, on retrouve toujours les mêmes successions régulières).
Autre problème, ce sont certaines couches atypiques comme les plages fossiles qui nous le pose. Elles démontrent par la grosseur des grains et les animaux qu'on y retrouve, que le niveau de la mer fait également des cycles tous les 100.000 ans en moyenne. Or Ceci peut être superposé au fait que le magnétisme terrestre fait exactement la même comédie avec ses inversions totales ou partielles. Le paléomagnétisme a des cartes de ces événements, mais ils sont incomplets et toutes les inversions ne sont pas répertoriées (ou de façon imprécises, la discipline étant souvent négligée et manque de moyens réels). On remarque néanmoins que ces phénomènes sont assez réguliers, surtout si on considère les inversions partielles du champs magnétique (les inversions totales sont plus rares).
On a donc des climats stables qui se succèdent tous les 100.000 ans en moyenne, de façon alternée, sur des millions d'années, conjoints à une montée ou une descente du niveau de la mer et une inversion partielle ou totale du champ magnétique terrestre. C'est quand même déroutant, non ?
Maintenant, cela se passe-il vraiment brutalement ou assez progressivement ? Quand on voit le changement instantané de couleur des strates de calcaire, la réponse est évidente : c'est extrêmement brutal, sans transition. Il n'y a aucune couche de calcaire intermédiaire entre les strates, même d'un millimètre d’épaisseur. Pas de transition du tout, même pas sur quelques centaines d'années (ce qui reviendrait à voir une couche intermédiaire d'un millimètre environ si c'était le cas). Au contraire, on peut très souvent séparer les couches aisément, tellement elles sont indépendantes les unes des autres, comme des feuilles.
D'ailleurs la grande majorité des fossiles d'animaux dans ces zones ne montrent aucune détérioration, qu'ils soient jeunes ou vieux, ce qui veut dire qu'ils ont été ensevelis très rapidement, permettant ainsi la conservation des coquilles les plus fragiles : aucune trace de prédation, les coquilles sont intactes, et on en trouve parfois des millions sur quelques mètres carrés. Ces couches fossilifères sont parfois (même souvent) recouvertes par une couche morte sans aucun fossile, qui prouve que la vie a été balayée puis mis énormément de temps à repeupler la zone (couches sans fossiles qui marquent souvent la limite entre deux ères géologiques où les animaux sont complètement différents). Il n'y a aucune transition entre les couches remplies de fossiles et les couches mortes, ce qui indique qu'il n'y a pas eu déclin progressif mais hécatombe instantanée. Cela ne vous rappelle rien ?
Autres observations assez révélatrices, ce sont les sols inversés. On en trouve un bel exemple avec le Bugarach dans l’Aude. Techniquement, cette montagne est à l'envers : c'est un énorme plateau calcaire qui a été soulevé par la formation des Pyrénées, comme on en trouve beaucoup dans la région. Sauf qu'il est difficile d'expliquer pourquoi les strates sur une aussi grande surface sont complètement inversées chronologiquement. La seule explication, c'est que le plateau entier a été soulevé à la verticale puis est retombé à la renverse. Or ceci ne peut pas se produire sur des millions d'années mais de façon extrêmement brutale puisque il n'y a aucune trace d'érosion dans les strates inférieures, seulement dans les supérieures. Etrange encore, le cours d'eau sous terrain qui sort de ce plateau est salé, ce qui prouve qu'une quantité non négligeable de sel marin a été piégé par cet événement géologique. On trouve aussi, le long des sentiers de promenades, des rochers qui sont usés par les vagues à leur base. Que font ces rochers à plusieurs centaines de kilomètres des côtes ? Ils ne sont pas fossilisés (c’est à dire inclus dans des sédiments), mais à la surface, comme si la mer avait soudain reculé et avait laissé l’ancien littoral intact à 250 mètres d’altitude. Notez que ces rochers n’ont pas été érodés par les pluies puisque seule la base a été usée de façon atypique. Cela pose un énorme problème de datation, car s’ils n’ont pas été usés par le haut et n’ont pas été recouverts par le temps, le recul du littoral est extrêmement récent (ou la zone a été soulevée du niveau de la mer jusqu’au niveau actuel par une croissance énorme des Pyrénées il y a très peu de temps).
L’orogenèse, c'est à dire la formation des montagnes, est aujourd'hui dans son état actuel une vaste fumisterie parce qu'elle ne correspond pas du tout aux observations, mêmes récentes. Dans le même esprit, le pétrole, tout comme le charbon et le gaz, sont le résultat de la submersion et l'ensevelissement de grands écosystèmes piégés et enterrés brutalement par des changements géologiques brutaux et massifs (soit des tsunamis, soit des mouvements de superposition de sols), prouvés par les fossiles eux mêmes. Des forêts entières sont retrouvées intactes et pétrifiées sous des couches de limon, mais personne ne se pose la question de savoir quel événement géologique soudain a pu être la cause de ces ensevelissements.
Tout le monde sait également que les mammouths sibériens sont une des preuves les plus flagrantes de ces cataclysmes (et c’est pour cela que ces preuves sont vivement combattues et qu’on veut les faire passer pour des légendes urbaines) : comment des animaux aussi imposants, qui ont encore des fleurs dans leur estomac, ont pu subitement mourir (en masse, vu les cimetières qu'on retrouve) alors que le climat était clément au moment de leur mort et leurs chairs conservées contre toute logique hors de toute putréfaction ? La seule réponse est un refroidissement brutal avec une chute en quelques minutes d'au moins 70°. (on passe de 10-20° à minimum -50°), seule condition pour pouvoir congeler entièrement une bête de plusieurs tonnes sans détérioration de la viande et du contenu de l'estomac.
Comment des fleurs ont elles pu ne pas être digérées dans ces estomacs ? La seule explication convenable et logique c'est que le processus de digestion a été stoppé par un gel très rapide, car la mort d'un animal n'empêche pas les sucs gastriques de détériorer les aliments, même post-mortem. Or comment figer l’estomac à l’intérieur d’une bête de 6 tonnes recouverte de fourrure en quelques minutes ?
Tous ces indices pour vous dire qu'on ne peut pas se fonder un documentaire, une opinion ou une vision des événements à venir sur de fausses certitudes, même si elles sont badgées comme “scientifiquement avérées”. Les toujours plus nombreuses fuites de méthane fossile sont en train de nous démontrer, en temps réel, que notre sous sol est bien plus complexe et bouleversé qu'il n'y parait, et les quantités sont telles qu'on imagine aisément le nombre exubérant d'écosystèmes qui ont été ensevelis en entier (des milliards de tonnes de biomasse à chaque fois) lors des différents cataclysmes cycliques. Que dire aussi de l’origine des sables bitumineux, si ce n’est justement qu’ils sont le résultat l’enfouissement et le brassage de sédiments sableux du fond des océans avec de la faune marine de surface. Or ce genre de mélange est typique des tsunamis.
La question de l’existence de Nibiru se pose peut être, mais la réalité des cataclysmes elle, peu importe leur origine, est prouvée par les faits. Si les différentes disciplines se taisent sur ce sujet, c'est parce qu'il y a un vieux consensus qui a été établi dès le départ lorsque les scientifiques et humanistes athées des “lumières” du XVIII ont voulu se détacher et démonter les croyances religieuses qu'elles pensaient néfastes (comme le déluge ou les re-créations / mondes successifs, mythes qui se retrouvent pourtant dans de très nombreuses civilisations). Leur position n'était donc pas objective mais politique. Nous en payons encore les frais.
Cuvier, par exemple, a été un des chefs de fil d'une vision rapide et brutale des changements géologiques, et c'est pour cela qu'il a été combattu puisque qu'il donnait finalement du crédit à l'Eglise, une position jugée rétrograde et anti-humaniste à l'époque où la Science se voyait comme le grand démystificateur de la religion. Les preuves et les évidences ont été écartées pour laisser place à une géologie dite lente mais qui n'est pas du tout vérifiée sur le terrain.
Ne vous y trompez pas, la "Science" n'est pas et n'a jamais été, surtout au XVIIIème et XIX une discipline objective. Elle entrait dans un conflit idéologique profond et ces fondements ont été peu remis en question par la suite. N'oubliez pas que Wegener, le père de la tectonique des plaques n'était pas géologue mais un ingénieur (autodidacte en géologie). Il fut combattu par les géologues “main stream” eux mêmes jusqu'à ce qu'on s'aperçoive dans les années 70 que la géographie ne pouvait pas être expliquée autrement (et que surtout les vieux pontes qui restaient accrochés à leurs certitudes erronées meurent et soient remplacés par des plus jeunes d’esprit).
Restent encore de nombreuses erreurs de fond parce que de toute manière c’est un sujet qui n’impacte pas sur l’économie et capte peu l’intérêt du grand public. La sectorisation des disciplines ne permet pas non plus de mettre en parallèle les observations géologiques, magnétiques et historiques. En resumé, à partir du moment où les techniques de recherche de pétrole empiriques n’ont pas besoin de comprendre comment celui-ci s’est formé pour trouver les gisements, tout le monde s’en fout.
Notre système est basé sur de nombreuses erreurs scientifiques qu'il faudra un jour rectifier mais qui en attendant faussent notre vision de la réalité objective. En éliminant tout ce qui contrarie le dogme en vigueur, forcément que la théorie “main stream” tient, mais il ne faut pas trop gratter sinon les incohérences réapparaissent très vite.
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les anciennes visions de la géologie et de la stratification sont naïves et erronées. Le problème d'ailleurs, c'est que toute l'échelle de temps géologique est encore basée sur ces anciens modèles et conceptions. Et pourtant, notre écologie terrienne est extrêmement simple quand on y inclut une forme de cycles de transformations réguliers. En fait, comme cela se produit pour la sédimentation fluviale (crues saisonnières) ou les stries des arbres (cernes de croissance), il est très facile de dater les couches géologiques puisqu'elles suivent un cycle de 3600 ans. Chaque strate n'est qu'une feuille de plus dont la durée est obligatoirement de 3600 ans, peu importe son épaisseur (qui dépend de nombreux facteurs : quantités de matières produite, densité des matériaux, compression etc...). Peu importe, qu'une strate ait 1 ou 50 cm d'épaisseur, l'alternance du cycle est constante. Cette situation est assez exceptionnelle et n'existe que peu ailleurs dans l'Univers, car rares sont les planètes soumises à de tels cycles. Mars a connu ces phénomènes dans les mêmes proportions avant de "mourir" magnétiquement. Donc on devrait retrouver le même système sur place au moins tant que Mars était active. Dans la grande majorité des autres systèmes stellaires, il n'y a pas de cycles de destruction. La géologie est donc bien différente et les roches sédimentaires n'ont aucune stratification, puisque le climat et les conditions générales varient de manière bien plus progressives. Les changements sont si lents (température globale, chimie de l’atmosphère etc...) qu'il n'y a aucun accident cyclique de ce type, mais seulement des accidents aléatoires (impacts de météores par exemple). Les roches sont bien plus homogènes, sans strates. Voilà un des gros soucis de notre espèce, elle n'a aucun point de comparaison : pas d'autres planète "habitée" à étudier, pas d'autre géologie que celle du système solaire (et encore, mis à part la Terre et Mars, on a pas vraiment d'information). Notre énorme défaut c'est de croire que ce que nous vivons est la normalité (anthropocentrisme, typique de l'humanisme des lumières). Or ce n'est pas du tout le cas. Nos modèles sont propres à notre planète et ne se reproduisent pas forcément ailleurs. Si nous avons toujours connu des strates et des fossiles, ce n'est pas forcément parce que ce sont des phénomènes "normaux". La fossilisation par exemple est extrêmement liée à Nibiru, parce que les catastrophes qu'elle engendre permettent de conserver intacts de très nombreux cadavres par ensevelissement. Sans Nibiru, les fossiles seraient extrêmement rares et seulement dus à des phénomènes naturels locaux géographiquement limités (crues, glissements de terrain, et encore, notre géologie est active parce que Nibiru sert de moteur : pas de Nibiru pas de tectonique des plaques, pas de montagnes, pas de continents séparés, pas de séismes). La profusion de fossiles, sans putréfaction, est connectée à ces cycles. De même, la diversité des espèces / les extinctions de masse sont un résultat direct de l'instabilité apportée par Nibiru, un sacré catalyseur évolutionniste qui n'a pas son équivalent sur d'autres planètes abritant la vie (et donc celle-ci n'est pas forcée de s'adapter rapidement, ce qui laisse des formes de vie primitives perdurer des centaines de millions d'année sans renouvèlement contrairement à ce qu'on voit chez nous). Alors oui, la géologie classique a énormément de travail de révisions à faire, notamment pour comprendre les phénomènes de stratification, mais pas seulement !
On a donc des climats stables qui se succèdent tous les 10 000 ans en moyenne, de façon alternée, sur des millions d'années, conjoints à une montée ou une descente du niveau de la mer et une inversion partielle ou totale du champ magnétique terrestre. C'est quand même déroutant, non ?
Notre écologie terrienne est extrêmement simple quand on y inclut une forme de cycles de transformations réguliers. En fait, comme cela se produit pour la sédimentation fluviale (crues saisonnières) ou les stries des arbres (cernes de croissance), il est très facile de dater les couches géologiques puisqu'elles suivent un cycle de 3600 ans. Chaque strate n'est qu'une feuille de plus dont la durée est obligatoirement de 3600 ans à 10 000 ans (3 passages) pour le cycle de gros changements brutaux, peu importe son épaisseur (qui dépend de nombreux facteurs : quantités de matières produite, densité des matériaux, compression etc...). Peu importe, qu'une strate ait 1 ou 50 cm d'épaisseur, l'alternance du cycle est constante. Cette situation est assez exceptionnelle et n'existe que peu ailleurs dans l'Univers, car rares sont les planètes soumises à de tels cycles. Mars a connu ces phénomènes dans les mêmes proportions avant de "mourir" magnétiquement. Donc on devrait retrouver le même système sur place au moins tant que Mars était active. Dans la grande majorité des autres systèmes stellaires, il n'y a pas de cycles de destruction. La géologie est donc bien différente et les roches sédimentaires n'ont aucune stratification, puisque le climat et les conditions générales varient de manière bien plus progressives. Les changements sont si lents (température globale, chimie de l’atmosphère etc...) qu'il n'y a aucun accident cyclique de ce type, mais seulement des accidents aléatoires (impacts de météores par exemple). Les roches sont bien plus homogènes, sans strates. Voilà un des gros soucis de notre espèce, elle n'a aucun point de comparaison : pas d'autres planète "habitée" à étudier, pas d'autre géologie que celle du système solaire (et encore, mis à part la Terre et Mars, on a pas vraiment d'information). Notre énorme défaut c'est de croire que ce que nous vivons est la normalité (anthropocentrisme, typique de l'humanisme des lumières). Or ce n'est pas du tout le cas. Nos modèles sont propres à notre planète et ne se reproduisent pas forcément ailleurs. Si nous avons toujours connu des strates et des fossiles, ce n'est pas forcément parce que ce sont des phénomènes "normaux". La fossilisation par exemple est extrêmement liée à Nibiru, parce que les catastrophes qu'elle engendre permettent de conserver intacts de très nombreux cadavres par ensevelissement. Sans Nibiru, les fossiles seraient extrêmement rares et seulement dus à des phénomènes naturels locaux géographiquement limités (crues, glissements de terrain, et encore, notre géologie est active parce que Nibiru sert de moteur : pas de Nibiru pas de tectonique des plaques, pas de montagnes, pas de continents séparés, pas de séismes). La profusion de fossiles, sans putréfaction, est connectée à ces cycles. De même, la diversité des espèces / les extinctions de masse sont un résultat direct de l'instabilité apportée par Nibiru, un sacré catalyseur évolutionniste qui n'a pas son équivalent sur d'autres planètes abritant la vie (et donc celle-ci n'est pas forcée de s'adapter rapidement, ce qui laisse des formes de vie primitives perdurer des centaines de millions d'année sans renouvèlement contrairement à ce qu'on voit chez nous). Alors oui, la géologie classique a énormément de travail de révisions à faire, notamment pour comprendre les phénomènes de stratification, mais pas seulement !
à suivre...