Menu du site

Nature Humaine (amocalypse)
Faits inexpliqués>La présence Extra-Terrestre (ET)>OVNI

Première version: 2019-03-16
Dernière version: 2019-03-16

OVNIs (Objets Volants Non Identifiés)

Sommaire de la page


Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Ok, on a vu dans la page précédente qu'il y a de la vie ailleurs que sur Terre, mais les sceptiques me diront que les ET ne sont pas sur Terre, on les aurait vu sinon. Là aussi j'aurais tendance à croire qu'ils mettent vraiment de la mauvaise foi, avec les millions d'observations d'OVNIS depuis seulement 70 ans, les milliers de bouquins sur le sujet, sans compter les grandes vagues d'OVNIs dont les médias ont été obligés de parler (Washington dans les années 1950, Belgique en 1991, centrales françaises en 2014, il serait vraiment étonnant que vous n'en ayez jamais entendu parler, à moins d'avoir passé toute votre vie dans la cave d'un chateau...).

La divulgation sur la réalité des OVNIs en décembre 2014, que le Pentagone avait caché leur existence au public, et la conclusion du Pentagone en juin 2018 en disant que ces OVNIs n'étaient pas une technologie humaine, ont un peu enlevé de l'utilité de cette page qui veut prouver les OVNIs, mais vous pouvez toujours la lire pour voir toute la mauvaise foi qu'ont rencontré les ufologues depuis 1940.

Reprenons rapidement quelques observations significatives, qui prouvent que les ET sont présents sur Terre (du moins des êtres très avancés, et qui l'étaient déjà il y a plusieurs millénaires vu les traces qu'ils ont laissés dans les Védas indiens avec leur description d'engins spatiaux).

Les OVNIs sont aujourd'hui validés officiellement (depuis juin 2018)

Repris par tous les médias US (et seulement RT en France...), la divulgation du Pentagone sur le fait qu'il avait caché les OVNIs au public, que ces appareils dépassaient de très loin nos technologies actuelles, et que ces objets n'étaient pas d'origine humaine...

Que dire de plus, les paragraphes qui suivent, écrits pour prouver la réalité des OVNIs, n'ont plus de raison d'être, ils sont laissés pour l'histoire...

Dans l'histoire

Les observations d'OVNIs réfutées par la sciences existent depuis toujours. Le 24 septembre 1235, au Japon, le général Yoritsume et son armée observèrent de mystérieuses lumières dans les cieux. Pendant plusieurs heures, ils aperçurent des lumières qui oscillaient dans le ciel , tournoyaient et faisaient des loopings. Une enquête scientifique, surement la première sur le phénomène OVNI, fut diligentée. Les scientifiques avaient déjà ordre de réfuter toute explication surnaturelle, les maîtres savaient déjà pertinemment de quoi il s'agissait. En effet, l'explication "scientifique" fut que le phénomène était tout à fait banal : il s'agissait simplement du vent qui avait faisait bouger les étoiles (qui comme on le croyait à l'époque, étaient accrochées avec des fils à la voûte céleste...).

Les rapports modernes du dossier américain Condon et du COMETA français sont souvent de plus mauvaise fois! Pour les américains, une automobile lumineuse qui vole au dessus de la rue et a effrayé 21 personnes d'une ville, dont des policiers et des militaires, c'est une confusion avec Jupiter. Pour les français, un vaisseau mère parallélipédique noir qui reste immobilisé 10 minutes à 100 m au dessus de la plus grande route des Lande, puis qui s'éloigne à basse vitesse avant d'accélérer brutalement vers le ciel, c'est une confusion avec des débris de fusée russe.

Les OVNIs nous tirent du pétrin

Reportage vidéo.

Les catastrophes nucléaires ont toutes vues l'apparition d'OVNIs, et les spécialistes disent bien que les catastrophes ont été bien moindre que ce qu'elles auraient du être, "quelque chose" est intervenu pour minimiser les choses.

Le projet Blue Book

C'est une analyse par l'armée de l'air américaine de tous les cas d'observation d'OVNIs ayant eu lieu dans la juridiction américaine, entre Roswell en 1947 et 1969. Une commission spéciale de l'armée, composée d'experts de différents domaines, recense les faits, fait des prélèvements et des relevés sur le terrain, enregistre et recoupe les témoignages pour éviter tout cas de fraudes, recense l'absence de phénomènes naturels qui auraient pu avoir lieu ce jour là, etc. Si l'enquête est menée de manière irréprochable, la conclusion revient aux hauts gradés de la désinformation, et sont de totale mauvaise foi et en contradiction absolue avec les faits, au point que les médias ridiculisent à chaque fois les conclusions de l'enquête.

Le cas qui a le plus provoqué la grogne du grand public est l'OVNI de Beverly en 1966. Nous avons dans cette affaire 31 témoins répartis dans la ville ((les pilotes de l'armée n'ont pas été autorisés à parler), qui ont vu un objet gros comme une Cadillac avec plusieurs lumières autour, se balader dans les rues, poursuivre 3 femmes au point que l'une se pisse dessus de terreur, et rester en stationnaire au dessus d'une cours d'école en variant son altitude. 2 policiers sont appelés sur les lieux. L'officier Mahan, déclare : « On aurait dit une grande soucoupe avec trois lumières – rouge, verte et bleue – mais aucun son ; il planait et les lumières clignotaient. ». Les formes de l'objet sont bien visibles, et l'OVNI s'élève puis replonge à l'arrivée des policiers.

L'engin ne partira qu'à l'arrivée d'un hélicoptère et de 2 avions de l'armée appelés en renfort. Réception télé brouillée pendant toute l'observation.

Blue Book concluera que les témoins ont tous confondus avec Jupiter... Face à la grogne légitime des citoyens, le sénat commande un rapport externe pour savoir si les conclusions de l'armée sont justifiées. Ce rapport Condon sera publié 2 ans après, en 1969. Le rapport concluera comme l'armée l'avait affirmé, que pour les 10% d'observations inexpliqué (dont Beverly ne fait pas partie, puisque c'était Jupiter...) on ne peut effectivement pas dire ce que c'est (traduction, c'est bien des engins inconnus manoeuvrés par des êtres inconnus). Plusieurs articles, publications et livres commencent à sortir dans les journaux pour critiquer les conclusions de ce rapport.

Pour étouffer toute l'affaire, le projet Blue Book de l'armée est arrêté (le gouvernement semblant confondre les mots "inexpliqué" et "inexistant", et il est plus facile d'étouffer que d'expliquer), et les médias américains appliqueront rapidement un cover-up des observations en ne relayant plus les affaires d'OVNI (sans que la fréquence réelle des observations ne diminue...). Le formatage psychologique des nouvelles générations fit en sorte que toute cette période des "années folles" (Happy Days, les sixties) devint bientôt un mythe, où les américains moyens, traumatisés par la guerre froide, avaient crus voir des invasions de Russes partout...

Le survol des centrales nucléaires françaises fin 2014

Toutes les centrales nucléaires françaises furent survolées (certaines plusieurs fois), pour l'ensemble 34 fois dans l'espace d'un mois et demi vers novembre 2014. Tous les moyens déployés par l'armée se montrèrent vains. Et histoire de ridiculiser encore plus nos pauvres moyens technologiques, ce furent ensuite la base aérienne d'Istre avec son stock d'ogives nuclaires qui fut survolée, puis le saint des saint, la base des sous marins atomiques de l'île de Sein, base inapprochable s'il en est, au moment même où un sous marin partait en mission (élément top secret). Aucun moyen de brouillage, avion ou hélicoptère de combat top niveau ne purent rien faire contre ces survols.

Mais c'est surtout la désinformation des médias qui battit son plein : tout d'abord le personnel des centrales ou les militaires témoins du phénomène ont interdiction de communiquer aux médias, au prétexte du confidentiel défense. Des témoins extérieurs ou travailleurs civils finissent par faire passer les faits suivants, différents d'un endroit à l'autre : taille des OVNIs entre 2 et 7 m, dans un mistral de 100 km/h en pleine nuit (vallée du Rhônes), 1h en stationnaire avec 3 projecteurs lumineux, puis poursuite sur 9 km par un hélicoptère de l'armée avant que l'engin disparaisse en accélérant brutalement... (Agen).

Tous les journaux, même les Sciences et Vie et consorts, nous firent de grands reportages sur les drônes jouets qui ont 8 minutes d'autonomie, 20 m de portée et 30 g de charge utile, concluant que ce n'était pas dangereux pour la sécurité du nucléaire français...

Une des nombreuses preuves supplémentaires qu'on nous prends pour des truffes.

Les collisions évitées de justesse avec les avions

Encore une fois, c'est les drônes qui sont mis en avant. Avant 2010 et l'invention des drônes, ces collisions évitées et les avions de ligne accompagnés par des OVNIs sont pléthores dans les annales de l'ufologie. Juste qu'on ne dit plus OVNI mais drône...

Des drônes ludiques à 2000 m d'altitude, suffisamment gros pour être détecté visuellement par le pilote (mais trop petit pour les radars?!) qui, le tout à une vitesse proche des 500 km/h rappelons le, à le temps de déconnecter le pilote automatique et d'entamer une procédure d'évitement. Je rappelle que les grues ou les cigognes, d'envergure 1,8m, sont trop petites pour être vues à l'avance et être évitées, je vous laisse juger quand à la détection visuelle des kilomètres à l'avance des petits drônes jouets que les journalistes mettent en photo d'exemple. Je vous laisse imaginer de quel drône on parle en réalité, qui plus est à 2000 m d'altitude.

Mais les cas étaient beaucoup moins nombreux qu'actuellement, et on n'est jamais tenus au courant des résultats de l'enquête...

Les drônes sont évidemment des OVNIs ET qui sont là pour prévenir de la dangerosité d'utiliser les avions avec les EMP du noyau terrestre en constante augmentation, et demander à nos élites de limiter ce moyen de transport.


Retours aux menus supérieurs