Nature Humaine (amocalypse)
Faits inexpliqués>La
présence Extra-Terrestre (ET)>Survol sites nucléaire
Première version: 2016-02-27
Dernière version: 2018-04-12
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Les OVNI semblent aimer les centrales nucléaires. Est-ce une manière de nous dire "arrêtez vos conneries, vous êtes trop cons pour servir d'une technologie qu'en plus vous ne maîtrisez pas du tout".
Nous traiterons d'un gros épisode OVNI qui est arrivé à passer dans les médias, et qui prouve à lui seul :
Entre mi-octobre et fin novembre 2014, 34 survols de centrale nucléaire, avec jusqu'à 4 survols simultanés sur tout le territoire français (opération de grande envergure, synchronisée). Suivi du survol de la base militaire la plus protégée de France, celle des sous marins nuclaires, ainsi que la base aérienne où sont stockés nos bombes thermonucléaires larguées par avion.
Des loupés sont apparus à l'occasion dans la désinformation des médias officiels, dépassés par l'ampleur du phénomène.
GreenPeace, le premier suspect des médias, nie toute implication.
2 survols de Nogent-sur seine, on nous parle juste de "lumières" stationnaires entre guillemets. Ce sera un des premiers article à effleurer ce qui s'est vraiment passé. Le but est de prendre le taureau par les corne avant que la rumeur d'OVNI enfle, notamment à cause du témoignage des civils travaillant sur les sites (les employés EDF ont le devoir de réserve et ne seront jamais interviewés par les journalistes, ou du moins leurs propos n'arriveront pas au grand public). Les autorités ont donc pu poser leur "version officielle" qui de toute façon sera corroborée par les gendarmes et les entreprises concernées, et bien plus encore par les merdias.
Au détour d'un article, un journaliste se lâche pour expliquer que l'arrestation de jeunes avec un drône-jouet ne peut tout expliquer : "Selon nos informations, les autorités ont en réalité plus d'éléments que ce qu'elles veulent bien dire. Elles disposeraient même de photos et de vidéos des drones. Des témoignages font état d'engins dotés de trois lumières disposées en triangle avec sur le dessus, une plus grosse lumière de couleur rouge et d'un projecteur éclairant le sol qui fait des flashs. Il ne s'agirait pas de petits jouets mais d'appareils capables de voler plusieurs dizaines de kilomètres dans une même soirée. Ils peuvent tourner plus d'une heure au-dessus des sites nucléaires, comme cela a été observé à plusieurs reprises."
Dans d'autres survols, les journalistes donnent d'autres infos, les drônes à Crey Malville font 2 m de large.
A noter que l'homme ne dispose pas d'engins capables de voler en stationnaire pendant une heure puis d'accélérer d'un coup au point de semer un hélicoptère gazelle de l'armée, le tout dans un profond silence... Sans parler du poids que pèse un projecteur pour éclairer le sol, on n'est plus dans le drône jouet là.
Nexus est le seul média à s'intéresser aux témoins, ils sont 2 et voient un engin de 2 m d'envergure, qui reste longtemps en stationnaire au dessus de la centrale, avant d'être poursuivi sur 9 km par l'hélicoptère de la gendarmerie. Pourtant ce n'est pas ce que dira la version officielle, "celle livrée par les gendarmes, diffère totalement de celle des deux témoins : « Ce n’est pas un jouet, mais un drone pro à quatre hélices qui a été vu vers 21 h [le 30/10], d’une envergure de 60 cm! ». Ainsi, on peut s’étonner que la seule centrale au-dessus de laquelle deux témoins ont affirmé avoir aperçu un drone « non conventionnel » est aussi celle pour laquelle la presse locale a obtenu des descriptions précises des autorités.". La poursuite sur 9 km est reprise par les journaux locaux. Comment peut-on nous mentir à ce point? Vous voyez ici la puissance considérable que peut avoir la désinformation officielle.
Le survol du CEA en plus des autres centrales, mais tout reste flou. Tout au plus avoue-t-on que certains drônes font 2 m d'envergure.
4 jours de pannes pour Flamanville, le 4ème incident depuis le début de l'année.
Idem en Belgique, on y apprends au passage que la centrale a été arrêtée 4 mois suite à un sabotage! WTF! Sabotage ET là aussi.
C'est là que je me suis rendu compte que les médias mentaient en lisant les centaines d'articles qui ont été générés, montrant tous la photo d'un drône-jouet qui tient dans la paume de la main, 5 minutes d'autonomie et 20 m de portée... J'ai arrêté mon abonnement à la doyenne des revues scientifiques Sciences et Vie, journal que j'adule depuis que j'y suis abonné en 1990, et qui reprenait 10 pages de publi reportage sur les drônes jouets du commerce, sachant que Noël approchait... Idem pour Sciences et Avenir, qui le mois d'après reprenait quasiment le même article que Sciences et Vie.
La base du journalisme et du scientifique, c'est de partir des faits observés. Ici rien, aucune analyse des faits réels, juste de la pub sur des drônes de 50 g qui peuvent emmener soit une petite lumière led, soit une caméra de smartphone résolution moyenne. Bien entendu, il est évident de conclure son article par le fait qu'un engin de 50 g n'est pas dangereux pour les centrales, qu'on peut dormir sur nos 2 oreilles.
Personne ne remet en question le fait que ce soit des drones malgré le côté complètement illogique des choses (vol de nuit, autonomie faramineuse, pas de points de chutes, distances parcourues trop grandes, lumières incohérentes avec des drones, les objets ne sont pas abattus, pas d'images de caméras, pas de témoignages directs, aucun mobile vraiment logique, actions concertées sur tout le territoire, seule la France est touchée etc...). Les ET confirment cette vidéo d'un survol en plein jour d'une centrale américaine, juste pour avoir une idée de ce qu'il se passe réellement, à comparer avec la stupidité des articles dans les médias.
Le directeur de la centrale du Blayais précise bien que ce sont des OVNIS, et non des drônes, qui ont survolés sa centrale fin 2014.
A noter que cette déclaration du directeur EDF (faite par erreur, alors que le directeur ne pensait pas être repris par les journalistes présent comme il le dit plus tard) est le seul témoignage d'un employé EDF que l'on ai trouvé dans les médias, montrant si besoin est la manipulation au plus haut niveau et la possibilité d'empêcher toute déclaration inopportune pour le gouvernement.
Aucun drône n'a pu être abattu malgré la consigne de les abattre. Le gouvernement avoue ne pas savoir ce que c'est mais que ce n'est pas dangereux... Quand on ne sait pas on n'est normalement pas censé en tirer des conclusions!
Une enquête approfondie des ufologues sur un survol OVNI de Golfech en 2010, montrant que le GEIPAN n'a pas voulu pousser trop loin l'enquête sur cette vraie histoire d'OVNI. Les questions qui en ressortent : Quel engin peut voler aussi bas, c’est à dire entre 150 m et 500 m d’altitude, au dessus d’un site ultra protégé, sans faire le moindre bruit, en se déplaçant à moins de 10 km/h et surtout sans se faire intercepter par les autorités? Bien entendu, aucun article sur le sujet dans les médias, les "vrais" journalistes ne faisant plus leur boulot... D'ailleurs, l'enquête très détaillée et prouvée ne sera finalement jamais diffusée...
Plusieurs nouveaux survols de Golfech lors de la vague d'Ovni de fin 2014, malgré toutes les protections mises en place.
Beaucoup se posent la question sur ce que font les journalistes, curieusement absents sur ces survols au dessus de zones critiques pour notre survie à tous.
L'armée dédie 2 hélicoptères gazelles à surveiller Golfech en permanence après le 30 octobre, mettent des radars et brouilleurs d'onde des engins téléguidés, ce qui n'empêchera pas un nouveau survol en forme de foutage de gueule de nos pauvres moyens humains... 15 jours après, un nouveau "drône" est pourchassé sans succès par les hélicoptères de l'armée.
Quand à ceux qui pensent que les drônes ont pour mission de cartographier les centrales, la qualité de Google earth est plus que suffisante (seul géoportail, le site francophone, est flouté, ce qui est un peu de l'énergie dépensée pour rien...). Article sur le floutage des images par géoportail. Je n'ai malheureusement pas pu mettre la main sur un article de l'époque qui comparait toutes les cartes, on voyait bien la précision hallucinante de Google Earth du plan des centrales.
Une autre théorie serait que les drônes testent nos défense. Enfin bon à ce niveau de non réaction et d'incapacité des militaires français les pilotes de drônes devaient se douter qu'on ne pouvait rien faire contre leur technologie!
32 ème survol en 2 semaines, une usine de retraitement nucléaire d'Areva. Cazeneuve indique que c'est du secret défense et qu'aucune information ne serait divulguée. Les survols semblent s'arrêter les jours d'après, mais ne serait-ce pas plutôt un bridage plus efficace des médias, avec interdiction aux directeurs de publication de publier toute information sur le survol de centrales par des OVNIS. On se souviens comment François Mitterand avait réuni tous les patrons de presse (ils ne sont pas nombreux) en leur disant que celui qui parlerait de Mazarine est un homme mort. Et personne n'a parlé, obligeant Jean Hedern Hallié à sortir un bouquin lorsque Mitterand ne fut plus président... et à mourir d'un stupide accident de circulation un an après...
4ème survol de la centrale du Bugey, incapacité de l'état à faire quoi que ce soit.
Enfin, le survol du site île longue des sous marins nucléaires français, un des plus sécurisés de France, où tout objet volant est systématiquement abattu avant de s'approcher du lieu, ici a carrément été survolé sans que l'armée ne puisse rien faire, pile au moment où un sous marin nucléaire quittait son abri, information top secret connue seulement du général en chef des armées et du ministre de la défense.
Le 12 décembre, c'est la base militaire d'Istres, censée surveiller la centrale nuclaire de Marcoules, qui est à son tour survolée sans que personne n'ai pu réagir... Istres est accessoirement une "installation nucléaire de base secrète" avec un gros stock de missiles à têtes thermonucléaires... Comme dans tous les autres cas, les hélicoptères militaires se montreront là aussi impuissants. 8 personne étaient à la tour de vigie pour réaliser l'observation. Un engin de 1 à 3 m d'envergure, dans un vent de 100 km/h, très difficile à faire pour un drône même guidé par GPS.
Vous ne trouverez ces articles que sur internet, jamais sur le présentoir
de votre marchand de propagande journaux.
http://ovnis-ufo.org/2014/11/les-ovnis-le-nucleaire-et-la-securite-nationale.html
Reportage sur France2, la seule enquête à ma connaissance faite par un média mainstream (en tant que service public, France 2 semble des fois échapper à une trop grande censure, comme pour les émissions d'Elise Lucet). Le journaliste montre un survol qu'il a filmé en 2012, et montre qu'il est impossible que ce soit des drônes (pluie, vent violent, nuit. Ils s'étonnent aussi de l'absence totale d'images, car vu la durée du phénomène et qu'aujourd'hui tout le monde a un smartphone, c'est impossible, preuve de la puissance de la censure en France. A noter que le professionnel utilisant un drône dans son reportage, c'est 6 mois après les événements, et les drônes, technologie datant d'un an auparavant, évolue à grande vitesse. Les 20 minutes d'autonomie de l'époque ne sont que pour les meilleurs protos d'avril 2015, en octobre 2014 on était à 10 minutes. Et dans le reportage, il ne parle pas de de la portée limité, met que les opérateurs, forcément à côté, auraient forcément été arrêtés.
[édit 2018] Cet article improbable de Paris Match, plusieurs mois après les événements, qui reprends étonnamment exhaustivement toutes les pièces du dossier.
Un article de fond, montrant les différents survols Fukushima depuis l'accident de 2011. Une myriade d'OVNIs en mars 2011, et un gigantesque vaisseau mère le 12 avril 2011.
Les contactés ET de l'époque (Harmonyum notamment) avaient expliqué que ce vaisseau mère était intervenu pour éviter une catastrophe majeure pour l'humanité et les autres peuples du système solaire. Son apparition n'était pas pour pointer le danger de l'énergie nucléaire (à ce moment là personne n'en doutait plus...) mais pour des raisons techniques, le temps d'agir dans notre dimension. En avril 2015, un article du monde explique que la manière radioactive des 3 coeurs en fusion avait disparue, personne ne savait où elle était passée...
Depuis 2015, les meilleurs experts nucléaires traquent les muons cosmiques et d'autres radiations au nom balaise pour faire croire qu'ils s'y connaissent, mais la vérité est moins reluisante : les meilleurs experts ne savent pas où sont passé les 250 tonnes de combustibles nucléaires en fusion, capables de rayer le Japon de la carte s'ils entraient en contact avec la nappe phréatique....
S'ils étaient passés dans l'océan, la majorité des japonais seraient déjà morts...
Pour rappel, un réacteur en fusion, c'est la pire merde qui soit, rien ne peut l'arrêter, il perce la cuve en acier, le béton, puis continue à fondre la terre sous lui en s'enfonçant au coeur de la planète. Quand il rencontre de l'eau, ça explose, et pas qu'un peu : Si le coeur en fusion de Tchernobyl n'avait pas été arrêté par la construction d'une base en béton souterraine, la moitié de l'europe y passait, le reste n'étant plus vivable pendant des centaines de milliers d'années. 600 000 personnes avaient données leur vie pour construire cette base béton..., mais pour Fukushima, malgré 3 coeurs en fusion, rien n'a été fait... A peine un mur de glace inutile car pas étanche.
Les contactés ET nous donnent la réponse. Devant l'incompétence de Tepco (quelle idée de mettre du nucléaire aux mains de privés qui ne sont là que pour le profit...), le patron de Tepco qui panique et disparaît plusieurs jours en pleine crise, les ET altruistes ont été obligés d'intervenir pour ne pas flinguer toute la vie sur terre et les autres espèces vivantes du système solaire.
On est vraiment des glands, heureusement que les grands frères limitent nos conneries, mais il serait temps de grandir un peu.