Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2019-04-08
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Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Nous avons vu dans une page précédente sur la planète Terre toutes les caractéristiques géologiques de cette planète. Intéressons-nous maintenant à ce qui concerne la vie sur cette planète.
Sur Tiamat, la planète avant la Terre, une géante océanique (pas de terres émergées), la vie est apparue spontanément. Quand Tiamat s'est disloquée pour donner la Terre, et une fois la croûte terrestre suffisamment refroidie,la vie est repartie assez vite (quelques centaines de millions d'années) grâce aux briques de vie (ADN-ARN) toujours présentes dans l'eau et dans les météorites.
La nouveauté par rapport à Tiamat c'est :
Beaucoup de caractéristiques font de la Terre une planète luxuriante et favorable à une vie variée :
La Terre est dans la partie haute des mondes habitables, c'est à dire qu'elle a une diversité supérieure à la plupart des mondes qui abritent la vie. De plus, le fait que la Nibiru détruise et modifie très régulièrement les conditions climatiques et géologiques fait que l'évolution naturelle des espèces est contrainte à être très rapide afin que la vie, à chaque passage, puisse reprendre. Le résultat, c'est que la Terre fait en 1 million d'années plus de diversité que la plupart des autres mondes dans toute leur existence.
L'évolution étant accélérée par l'instabilité générée par Nibiru, ce qui explique que notre planète peut donner très souvent naissance à des espèces intelligentes et à des formes de vie toujours plus variées et complexes.
Les planètes sont pleines, avec un noyau en fusion entouré de plusieurs strates de roches plus ou moins malléables et chaudes. Mais encore une fois il y a un peu de vrai dans les traditions ancestrales d'une Agartha souterraine. La croûte terrestre, très épaisse dans certaines zones, est un véritable gruyère où on peut trouver d'immenses cavités, des mers et même des civilisations, comme les cavernicoles (les MIB ou hommes en noir). Cet espace à l'intérieur de la croûte est gigantesque en volume, si bien qu'on peut effectivement considérer qu'il y a un monde à part entière sous nos pieds.
Dans ces poches grandes comme des départements français, il y a parfois de la vie, une vie en autarcie qui s'est développée à l'écart de notre monde de surface mais qui est issue du monde de la surface. Parfois, il y a aussi des aquifères qu'on pourrait comparer à des mers intérieures avec des formes de vies aquatiques ayant évolué à partir de formes terrestres très anciennes. Dans certains cas, ces cavités énormes ont été "contaminées" par de la vie extérieure, soit via l'eau qui s'y écoule (grottes d'accès), soit ensemencées par les ET pour sauvegarder des espèces précieuses.
Tous les 3600 ans, la planète Niribu passe à côté de la terre, fait le tour du soleil puis repasse à côté 7 ans après. A chaque passage, la croûte terrestre subit une rotation rapide de 90°, entraînant séismes records, déplacement de plaques accéléré, tsunami de 200 m de haut, ouragan record sur toute la planète, réveil de tous les volcans de la planète, et bombardement massifs de météorites.
L'atmosphère de la Terre est perturbée pendant 40 ans, avec un climat tempéré généralisé et une hausse de 200 m du niveau de la mer, indépendant des endroits où les terres se sont enfoncées dans les mers. Les montagnes poussent rapidement pendant cette période (voir le Machu Pichu), et surtout des zones tempérées se retrouvent soit à l'équateur soit aux pôles.
Ces chamboulements provoquent des morts en masse d'animaux, des cimetières de charognes qui s'accumulent là où s'arrêtent les tsunamis, les futures zones fossilifères.
De nombreux mammouths ont été trouvés avec du pollen non digéré dans l'estomac, ce qui indique qu'ils ont été gelés suffisamment brusquement et rapidement pour que le froid atteigne le centre du corps en moins d'une heure (il doit faire très froid parce qu'un mammouth c'est treès massif, qui plus est protégé par l'isolant de sa longue fourrure), et que ça s'est passé alors qu'ils étaient au printemps. C'est tout simplement que la Sibérie, une zone tempérée similaire à paris, s'est déplacée très rapidement (Pole Shift) vers des latitudes très élevées, de 15°C à -65°C en moins d'une heure, ce qui a gelé l'animal à coeur très rapidement, empêchant la digestion des fleurs dans l'estomac.
La dérive des continents est un phénomène lent, de l'ordre d'une dizaine de centimètres par an. Mais lors des passages de Nibiru, le mouvement s'acélère jusqu'à atteindre plusieurs mètres par an, puis pendant les mois les plus critiques on arrive à des kilomètres, et plusieurs centaines de kilomètres lors du passage proprement dit (c'est ce qu'on appelle le pole shift, dont les effets ont déjà été traités dans le paragraphe sur le catastrophisme).
Par exemple, c'est effondrement dû à l'écartement du rift océanique qui explique la disparition sous les eaux de l'atlantide (une terre située entre l'amérique et l'europe/afrique) dont il ne reste plus que les Açores à l'Est, et Cuba/Bahamas à l'Ouest. Ou encore l'affaissement des côtes bretonnes, dont les alignements de menhirs vieux de seulement quelques milliers d'années s'enfoncent sous les eaux. En effet, de la riad'Étel à la presqu'île de Rhuys, une vingtaine de sites ont été inventoriésà terre et en mer. En juillet 2012, c'est une forêt de mehirs immergés qui a été découverte dans le golfe du Morbihan : Plus de 230 menhirs ont été retrouvés sous la mer, entre Saint-Pierre- Quiberon et Carnac (56). Il s'agit du prolongement sous-marin du grand site néolithique du Moulin, à Saint-Pierre-Quiberon. Des pierres probablement submergées vers -6.500. L'équipe scientifique avait, en 2009, localisé 150 monolithes à Kerbougnec et vingt autres au Petit-Rohu, dans une zone envahie par la mer qui, il y a des millénaires, se trouvait à plus de 500m du rivage.
Cela à des effets sur la vie, comme pour les dinosaures, des animaux peu adaptés aux climats froids, et qui n'ont pas pu trouver de terres émergées proches de l'équateur lors d'une configuration de la Terre après un passage de Nibiru. Seuls les oiseaux ont pu traverser les mers pour rejoindre des régions plus propices.
Cette dérive rapide des continents explique que dans les phosphatières (trous dans un causse calcaire où tombent les animaux au cours du temps) se retrouvent des fossiles d'animaux des 100 derniers millions d'années (des couches contenant des animaux tropicaux, surmontées de couches avec des animaux polaires comme les mammouths). Cette alternance de fossiles indique que la même partie d'une croûte terrestre se retrouve alternativement à l'équateur ou aux pôles géographiques (variant dans des positions intermédiaires).
Les dinosaures étaient peu adapté aux changements, et chaque fois que leur continent se déplaçait trop au nord et que la mer les empêchaient de se déplacer, ils ne pouvaient survivre (excepté les dinosaures volants qui migraient vers le sud et ont donnés les oiseaux actuels). Le déclin des dinosaures à débuté des millions d'années avant le début de leur extinction. D'ailleurs ils n'ont pas tous disparus d'un coup, mais se sont éteints progressivement.
La première espèce intelligente sur terre fut une race de céphalopodes marins, qui n'ont pas laissé de traces de leur passage.
Il y a eu une espèce reptilienne sur notre planète qui n'a pas dépassé le niveau technologique de notre âge du bronze.
Ces reptiliens primitifs ont vécu à ce qu'on appelle l'âge des dinosaures, dans les derniers temps avant le début de leur extinction progressive il y a 65 millions d'années. Suite à un gros bouleversement environnemental enclenché par plusieurs passages de Nibiru importants à cette période, les conditions de vie de cette espèce s'étant très dégradées, elle a été transportée sur une autre planète. C'est ce qu'on appelle une transplantation. Aujourd'hui ces reptiliens existent toujours, mais ne semblent pas être les Raksasas.
On retrouve parfois des artefacts dans les roches dont on ne comprend pas l'origine (des marteaux, des vases, des objets métalliques). Certains, trouvés dans du charbon, ont simplement été perdu/abandonnés par ces créatures sur leur lieu de vie (des forêts primaires chaudes) au milieu des débris végétaux qui se sont avec le temps agglomérés pour devenir ce charbon. Ce sont des traces archéologiques rares, car il faut des conditions particulières pour l'objet résiste au processus de fossilisation.
(à condenser, et peut-être placer dans l'homme en dessous, ou dans la partie des faits observés (car de ces fossiles retrouvés jusqu'à présent, on ne peut pas en déduire grand chose).
Encore une espèce que les Zetas ont développés tout au long de 7 millions d'années, avec des interférences d'autres ET hiérarchistes qui ont bridés notre cerveau pour nous transformer en esclaves dociles. Chaque manipulation génétique exogène conduit à l'apparition d'un humanoïde complètement nouveau, qui finit par remplacer au bout de plusieurs milliers à millions d'années l'humanoïde précédent, soit par les génocides, soit par brassage génétique inter-espèces (chaque nouvelle espèce donne lieu à une nouvelle migration).
Par exemple, en -27 000, il semble se produire un événement qui conduit à la disparition de 2 espèces anciens d'hominoïdes, les homo erectus de l'île de Java et les homo Néanderthalis, pour ne laisser que Homo Sapiens. Surement un passage de Nibiru dévastateur, décimant ces espèces pas assez nombreuses pour qu'un des leur s'en sortent.
La taille du cerveau n'est pas un indicateur d'évolution : Habilis et Sapiens ont des volumes crâniens inférieurs à leur prédécesseur, respectivement Erectus et Néanderthal.
Harmonyum nous donne la chronologie humaine suivante (entre parenthèse le nom de l'espèce alien qui effectue la manipulation génétique) :
Homo erectus (Zeta) avant 5 millions d'années.
Homo habilis (Raksasas) il y a 5 millions d'années.
Homo néanderthalis (Annunakis) il y a 425 000 ans
Homo Sapiens (Zetas) il y a 350 000 ans
Les hommes ont passé 7 millions d'années en mode chasseur-cueilleur, il n'y a que 6 000 ans que la majorité des hommes ont été sédentarisés de force par les illuminatis. Ce mode agriculteur est moins adapté à l'homme, qui devient plus petit et perclus de maladies opportunistes, tout en vivant moins longtemps.
Les hommes s'adaptent aussi à leur environnement. Ceux qui vivent à l'équateur conservent leur mélanine tout le temps, utile pour se protéger du soleil (notamment des utlra-violets). Plus on monte au Nord, et plus la peau devient blanche (absence de mélanine car moins de soleil). En effet, la synthèse de mélatonine devient de plus en plus inutile plus on monte au nord, et ça permet de capter plus d'ultra-violets importants dans la synthèse par le corps de la vitamine D. Du coup, si l'homme n'a pas accès aux produits de la pêche, une peau noire l'empêcherait de synthétiser la vitamine D avec le faible ensoleillement des hautes latitudes, et il serait désavantagé par rapport aux peaux plus claires.
Les inuits, très proche du pôle nord, qui ne mangent que des produits de la pêche notamment les abats (foie,coeur) donc ont de la vitamine D en pagaille, ont ainsi pu conserver leur teint cuivré.
Pour la température extérieure, quand il fait très chaud, le mécanisme thermorégulateur principal c'est la sueur. Il faut donc avoir une surface de peau grande, donc de longues jambes, de longs bras… Quand on prend les Esquimaux au contraire dans un pays froid, ils sont trapus et ce sont les membres qui raccourcissent.
Plus on va le Nord, plus les hommes ont des nez petits et étroits. Tant qu’on respire un air chaud, il n’est pas nuisible pour les poumons. Mais, dès qu’on va dans des contrées où l’air est plus sec et plus froid pour les poumons, cela fait sécréter du mucus qui s’infecte et on meurt plus facilement de bronchite, de pneumonie...
Ces caractères se développent soit par favorisation des individus avec ces caractéristiques, plus adaptés à leur environnement, soit par épigénétique, c'est à dire mutation rapide de leur ADN pour s'adapter, ces caractères étant transmis à leurs descendants.
Tout ça pour dire que l'homme moderne est un animal (association de cellules pour former un organisme). Comparé à l'histoire de la terre qui durerait 24 h, l'homme n'est là que depuis les 2 dernières minutes. C'est pourquoi c'est l'une des espèces animales et végétales dont les gènes ont le moins de variations, n'ayant pas eu le temps de muter d'une région à l'autre. Il est courant de trouver un organe compatible entre un asiatique, un africain ou un européen alors qu'il est incompatible entre les membres d'une même famille. A titre de comparaison, il y a 400 fois plus de différences entre 2 chênes qu'entre 2 hommes. Et la chouette par exemple existe depuis 85 millions d'années.
Les différences entre les hommes sont peu nombreuses, on peut citer par exemple la couleur des yeux, des cheveux, la taille du nez, la quantité de mélanine dans la peau (donnant sa coloration), la taille, forme du front, des pommettes et du menton, la perte des cheveux précoce, le blanchiement des cheveux précoce, le type de muscles, quantité d'hormones présente dans le corps, manière de stocker plus ou moins de graisse (type de métabolisme), etc.
Ces différences d'apparence ne sont en aucun cas le signe d'une race ou d'une intelligence différente.
On peut aussi classer les hommes par leur couvre-chef, seule façon des fois de déterminer leur origine géographique :)
L'homme (néanderthal et Sapiens) est un animal atypique, de par sa conscience de lui-même (comme toutes les espèces conscientes), mais surtout de son cerveau séparé. Sur la partie du cerveau réservée aux calculs (ne servant pas à actionner le corps), on a, pour les capacités calculatoires :
Comme le conscient accède difficilement aux capacités de l'inconscient, on peut dire que n'utilisons que 10% de nos capacités de réflexions (plus on a accès à notre inconscient, plus le Quotient Intellectuel est élevé, sans parler des "éclairs de génie", où la solution calculée par l'inconscient arrive à franchir la barrière du subconscient pour "apparaître" dans la conscience).
à suivre...