Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2017-10-08
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Dans cette page, nous nous intéresserons plus à l'homme en tant qu'espèce, d'où vient son génôme, bref l'étude de l'animal humain.
Cette étude provient de la connaissance actuelle de la science sur le sujet, et est susceptible d'évoluer. Nous ne disposons que de très peu de squelettes, tous incomplets, et des fois on n'a qu'un fragment de dent. Quand aux datations, elles sont très incertaines au delà de 25 000 ans (carbone 14). On se base sur les sédiments proches, mais qu'on ne maitrise pas à 100 % (mauvaise prise en compte des boulversements cataclysmiques de Nibiru que la science refuse pour l'instant de reconnaître).
L'homme est une suite d'évolutions majeures, c'est à dire que le passage d'une espèce à l'autre se fait brutalement : Sapiens apparaît d'un coup par exemple, puis évolue progressivement et doucement. Idem pour néanderthal qui surgit de nulle part. Les nouveaux venus ont gardé quelques caractéristiques de l'espèce souche, mais le nombre de mutations simultanées est trop important pour être d'origine naturelle. Il y a seulement 350 000 génération entre le primate Toumaï (-7 millions d'années) et nous, ce qui est très peut au regard de l'évolution naturelle. La thèse de la manipulation génétique est à l'heure actuelle la plus plausible, et serait apparue 5 fois au cours de notre histoire, en seulement 5 millions d'années. Comme il est peu probable que des singes peinant à faire du feu où à casser des cailloux pour en faire des couteaux aient accès à cette technologie de manipulation génétique, il faut bien faire intervenir des intelligences supérieures dont on retrouve peu de traces sur Terre, indiquant des civilisations non Terrestres.
D'après Harmonyum, l'homo erectus serait l'ancêtre de habilis (aux réserves près qu'il fait ce qu'il peut pour mettr edes noms avec notre connaissance incomplète du sujet, c'est évidemment un peu plus complexe). Cette découverte de 2007 au Kenya (restes d'Habilis de 1,44 millions, restes de Erectus de 1.55 millions d'années) irait dans son sens.
L'apparition d'une nouvelle espèce ne conduit à la mort instantanée de
l'ancienne. Homo Erectus par exemple cohabite avec habilis pendant des millions
d'années. Il semblerait même qu'un genre d'Erectus sur l'île de Java ait
survécu jusqu'à -27 000 ans, donc bien plus longtemps que son "remplaçant"
(ce qui a fait croire à la science qu'Erectus venait après Habilis, sur la
foi de restes plus récents).
La taille du cerveau est aussi un indicateur pour dire qui était avant qui,
mais pour Néanderthal ce critère n'est pas vrai (plus volumineux que sont
remplaçant homo sapiens), il se pourrait que ce soit la même chose entre
Erectus et Habilis.
De plus, les 2 espèces, assez proches pour êtres fécondes, se mélangent entre elles et ne disparaissent pas réellement.
Ce qui nous fait donc la chronologie humaine suivante (entre parenthèse le nom de l'espèce alien qui effectue la manipulation génétique) :
Homo erectus (Zeta) avant 5 millions d'années.
Homo habilis (Raksasas) il y a 5 millions d'années.
Homo néanderthalis (Annunakis) il y a 425 000 ans
Homo Sapiens (Zetas) il y a 350 000 ans
Les dates de Néanderthal et Sapiens sont approximatives, Harmonyum ne donnant pas de date précises sur le sujet.
On aurait pu rajouter la manipulation génétique faite par l'homo habilis émigré sur Nibiru sur lui-même, qui donnera l'espèce Annunaki.
Il y a beaucoup de faux là-dedans, notamment les apparitions magiques de caractères uniquement dûe à la sélection naturelle, mais un peu trop rapide pour que les scientifiques en soit persuadés.
Il faudra refaire un tri dans le texte ci-dessous.
Des primates subissent de plein fouet la déforestation en afrique, et s'adaptent à la savane en adoptant la posture debout. Le fait de tenir la tête levée modifie la base du crâne, libérant plus de place pour cette partie du cerveau.
Les bipèdes végétariens deviennent charognards quand les végétaux se font rares (ils ne font pas le poids face aux autres animaux). Puis ils deviennent carnivores en inventant les outils puis les armes pour pallier au manque de griffes et de crocs du corps humain. Le régime carné permet de libérer du temps et de l'énergie car la nourriture à absorber est moins volumineuse et plus facile à trouver (un seul animal à tuer au lieu de brouter tout un champ).
L'homme passant en haut de la pyramide alimentaire, il vit plus longtemps, capitalisant de génération en génération ce temps passé à réfléchir. La chasse renforce les liens sociaux via la coopération.
L'homme domestique le feu qui diminue l'énergie nécessaire pour absorber les aliments carnés ou les végétaux les plus durs. La digestion ne prenant plus que 30% de son énergie au lieu de 70%, le cerveau se développe.
Les outils se développent aussi, libérant plus de temps pour améliorer encore les outils, le cycle vertueux de l'évolution.
On est à -8 millions d'années, et ces premiers humanoïdes partent à la conquête du monde. Puis lors des glaciations, la majorité de ceux au nord disparaissent. Ceux restés en Afrique évoluent, se mélange avec les nordistes qui reviennent en arrière, repartent à la conquête du monde, s'adaptant à chaque milieu et aux peuplements précédents avec qui il peut y avoir des échanges génétiques. Il y aura en tout 5 grandes migrations depuis le centre de l'afrique d'humanoïdes toujours plus évolués. A chaque fois il y a métissage entre les anciens hommes du nord et les nouveaux venus d'Afrique.
L'homme de Néanderthal serait issu du croisement de l'homo habilis du moyen orient et de l'asie, et il se serait lié avec un autre descendant d'homo habilis, homo sapiens dont la sortie d'Afrique daterait de 200 000 ans ou moins (on trouve un crâne d'un presque sapiens excepté le front de 300 000 ans, 400 000 ans pour le plus vieux sapiens en Israel (mais datation non certaine, alors que l'homo sapiens Marocain à -315 000 ans semble faire consensus). Homo sapiens, c'est homo sapiens sapiens (néanderthal étant lui aussi considéré comme sage/sapiens) mais je contracte pour des simplicitées de lecture. Sapiens c'est nous, mais il semble être resté dans la région très longtemps avant de migrer, chose impossible à réaliser si ce sapiens n'était pas prisonnier (la nature de l'homme est de partir en petits groupes pour explorer le monde et augmenter son territoire de chasseur-cueilleur). Homo sapiens et néanderthal voient apparaitre la troisième couche de cerveau, le néocortex, qui apporte les sentiments, l'art, la réflexion, le respect des mort..
Petite parenthèse, l'animal le plus proche de nous au niveau génétique est le porc (découverte faite en 2000, bien que la génétique ai encore des progrès à faire, par exemple que l'ADN considéré comme poubelle est aussi à prendre en compte). Les singes, avec qui nous avons des ancêtres communs, sont plus éloignés de nous au niveau des gènes. Le porc est plus intelligent qu'un chimpanzée (découverte en 2011) mais en 2015 on découvre qu'une chêvre aussi est plus intelligente qu'un chimpanzée.
En Europe, Sapiens se mélange avec Néanderthal, les gènes de ce dernier se diluant dans ceux de Sapiens, seul survivant, au fil des siècles. L'Afrique du Sud est l'endroit où HomoSapiens à la plus grande diversité, car les évolutions ont eu plus de temps pour se faire sur une plus grande population (seule une petite population de Sapiens ayant migré en Europe, Asie et Amérique, la diversité génétique est plus faible).
Il en résulte qu'il y a 28 000 ans, disparaissent les restes des derniers hommes non sapiens (Néanderthal et l'homme de Java qui serait un descendant insulaire d'Erectus), disparus signifie soit que leur ADN s'est mélangé avec Sapiens, soit une extermination massive des êtres vivants ressemblants trop à l'homme, ou concurrent de ce dernier.
Sapiens utilise des techniques et un corps qui est en constante progression depuis plusieurs millions d'années.
Les hommes qui avaient la peau noire quand ils vivaient à l'équateur, utile pour se protéger du soleil (notamment des utlra-violets), deviennent de plus en plus blancs, la synthèse de mélatonine devenant de plus en plus inutile plus on monte au nord et les ultra-violets étant importants dans la synthèse par le corps de la vitamine D. Du coup, si l'homme n'a pas accès aux produits de la pêche, une peau noire l'empêcherait de synthétiser la vitamine D avec le faible ensoleillement des hautes latitudes, et il serait désavantagé par rapport aux peaux plus claires.
Les inuits, très proche du pôle nord, qui ne mangent que des produits de la pêche notamment les abats (foie,coeur) donc ont de la vitamine D en pagaille, ont ainsi pu conserver leur teint cuivré.
Pour la température extérieure, quand il fait très chaud, le mécanisme thermorégulateur principal c'est la sueur. Il faut donc avoir une surface de peau grande, donc de longues jambes, de longs bras… Quand on prend les Esquimaux au contraire dans un pays froid, ils sont trapus et ce sont les membres qui raccourcissent.
Plus on va le Nord, plus les hommes ont des nez étroits. Tant qu’on respire un air chaud, il n’est pas nuisible pour les poumons. Mais, dès qu’on va dans des contrées où l’air est plus sec et plus froid pour les poumons, cela fait sécréter du mucus qui s’infecte et on meurt plus facilement de bronchite, de pneumonie... Les gens, qui sont venus en Europe, issus de l’Afrique des grandes migrations préhistoriques et qui avaient déjà un nez un peu plus étroit, étaient avantagés. Et, donc à chaque génération, ils étaient un peu plus avantagés.
Mais toujours le cerveau reptilien est là, qui notamment entraîne la défense du territoire ou l'attaque des autres animaux. Les hommes du nord issus des migrations humaines précédentes ne résistent pas longtemps à la dernière migration de Cro-magnon (évolution d'homo sapiens). L'homme de néanderthal (présent depuis -100 000 ans) par exemple s'éteint il y a 28 000 ans, après être resté quelques 100 000 ans à côté de cro-magnon... Entre les génocides et les mélanges des genres, son ADN se dissous dans celui d'homo sapiens pour donner nous, l'homme moderne.
Il est amusant de vérifier que le conflit se produisant dans notre cerveau entre la sous couche reptilienne basique et la couche plus élaborée externe se traduise dans l'histoire qui va suivre. Chaque fois qu'une peuplade se fixe durablement dans son environnement, se développe au niveau des techniques de fabrication, d'art, de société, voit inévitablement débarquer la peuplade d'à côté plus primaire qui pille tout et au final provoque un retour un arrière. Les peuplades évoluées finissent toujours par se faire envahir par des barbares ou épuisent les ressources naturelles et disparaissent.
Tout ça pour dire que l'homme moderne est un animal (association de cellules pour former un organisme), du genre homo sapiens, issu d'une seule et unique souche africaine, qui a peuplé la terre entre -40 000 ans pour l'europe et l'Asie et -12 000 ans pour l'amérique.
Comparé à l'histoire de la terre qui durerait 24 h, l'homme n'est là que depuis les 2 dernières minutes. C'est pourquoi c'est l'une des espèces animales et végétales dont les gènes ont le moins de variations, n'ayant pas eu le temps de muter d'une région à l'autre. Il est courant de trouver un organe compatible entre un asiatique, un africain ou un européen alors qu'il est incompatible entre les membres d'une même famille. A titre de comparaison, il y a 400 fois plus de différences entre 2 chênes qu'entre 2 hommes. Et la chouette par exemple existe depuis 85 millions d'années.
Les différences entre les hommes sont peu nombreuses, on peut citer par exemple la couleur des yeux, des cheveux, la taille du nez, la quantité de mélanine dans la peau (donnant sa coloration), la taille, forme du front, des pommettes et du menton, la perte des cheveux précoce, le blanchiement des cheveux précoce, le type de muscles, quantité d'hormones présente dans le corps, manière de stocker plus ou moins de graisse (type de métabolisme), etc.
Ces différences d'apparence ne sont en aucun cas le signe d'une race ou d'une intelligence différente.
Cela étant, des différences infimes existent au niveau génétique entre un asiatique et un européen par exemple, due au fait du 1% de nos gènes provenant des migrations humaines précédentes, et de l'évolution différente s'étendant sur des millions d'années. C'est pourquoi certains médicaments marcheront mieux sur des Africains que des européens par exemple.
Il n'y a donc aucune notion de race dans la famille humaine, même si avec son habitude de ranger les choses dans des tiroirs les hommes tendent à différencier les autres hommes sur des critères d'aspect physiques.
Comme exemple de critères physiques, les hommes grands, blonds et yeux bleus sont des caucasiens, les hommes noirs avec cheveux crépus sont des africains, etc.
Le risque de toute classification est de vouloir classer aussi en vertical, c'est à dire mettre une catégorie au dessus de l'autre, suivant les mêmes critères d'aspect que précédemment. Il est certain que pour quelqu'un du nord immergé dans une population à peau blanche les vikings présenteront un aspect plus connu et moins déroutant qu'un homme à peau noire. Et inversement pour des asiatiques ou des africains. L'homme est un animal qui a plus d'empathie pour ses congénères qui lui ressemblent, dans l'esprit de former une meute. Preuve que nous sommes un animal assez basique.
C'est à dire que nous préférons aider quelqu'un de notre famille génétique, puis des cousins éloignés, puis des gens qui nous ressemblent (cousins très éloignés) plutôt que des peuplades lointaines (avec qui pourtant nous sommes cousins très éloignés).
Cet instinct est débile car la couleur de peau par exemple n'est qu'une manière de protéger le corps du soleil. Plus ont va vers l'équateur et plus il y a de soleil, les hommes ont une quantité de mélanine de plus en plus importante.
On peut aussi classer les hommes par leur couvre-chef, seule façon des fois de déterminer leur origine géographique.
à suivre...