Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2017-10-16
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Je m'intéresserait principalement à décrire dans cette page ce que la science humaine de 2017 ne connait pas, à savoir qu'il y a 3 soleils dans le système solaire (2 trop peu massif pour émettre de la lumière dans le spectre visible), que la vie s'est primitivement formée sur le 2ème soleil, que la Terre est issue de la dislocation du 2ème soleil au bout de plusieurs milliards d'années, et que si la Terre doit avoir dans les 5 milliards d'années, le système solaire est bien plus âgé.
Cette page vous permettra d'expliquer les nombreux mystères que la science peine à éclaircir, à savoir que fait la Terre, avec son noyau actif d'étoile, sur l'orbite de planètes accrétionnées au noyau éteint (Mars et Vénus par exemple), pourquoi trouve-t-on les briques de la vie (ADN et ARN) et de l'eau sur les astéroïdes issus de la ceinture principale d'astéroïdes (résidus des dislocations de Perséphone puis Tiamat), pourquoi la Lune et la Terre sont issues d'un même corps, pourquoi n'y a-t-il pas de planète majeure sur l'orbite de la ceinture d'astéroïde, pourquoi ces astéroïde ne se sont-ils pas regroupés en planète alors que partout ailleurs ils l'ont fait, pourquoi il y a 4 milliards d'années il y a un grand bombardement météoritique tardif sur la Lune et pas après ni avant, etc.
Nous avons vu dans la page supérieure que la gravitation n'est pas ce qu'on en sait, les corps massifs émettent des particules qui font qu'ils se repoussent entre eux (c'est pourquoi les galaxies s'éloignent les unes des autres).
Le système solaire est à l'origine un disque d'accrétion de matière, expliquant que la plupart des planètes actuellement orbitent autour du soleil sur un même plan à peu près.
La matière s'agglomère dans un premier temps en planètes, jusqu'à ce que la taille soit suffisamment importante pour engendrer des émissions de particules de gravitation qui repoussent les planètes entre elles.
Ces planètes ne peuvent se placer que dans des rails gravitationnels précis autour du soleil (loi de Titus Bode).
Une fois les planètes formées, elles grossissent par absorption du reste de la poussière du disque originel qui s'agglomère aux planètes naissantes, puis de toutes les météorites transitant dans l'espace.
L'astronomie moderne reconnait qu'il y a en majorité 2 à 3 soleils couplés dans l'univers. Et que les mini-Neptune (l'équivalent de Nibiru) seraient présentes dans 80% des systèmes stellaires observés. Notre système solaire semble faire exception avec l'absence de son double du soleil et sa mini-Neptune absente.
En réalité c'est tous les système stellaires qui sont dans le cas triple étoile, juste que les 2ème et 3ème soleil des autres systèmes stellaires n'est pas toujours détecté par nos instruments, et qu'on semble étrangement aveugles concernant notre propre système solaire... Notre système solaire à bien 3 soleils. Les planètes 9 (validée en 2015) et planète 10 (validée en 2016), prévues par le calcul à partir des perturbations observées dans l'orbite des planètes visibles, sont en fait nos 2 soleils manquants.
Le système solaire est né système triple (avec 3 étoiles). Ces 3 soleils sont :
Ce système triple est constitué à l'origine d'une paire d'étoiles centrales (Soleil et Perséphone), formant un binôme proche.
Cette paire est en doublé avec Nemesis, la troisième étoile du système solaire, qui orbite plus loin du Soleil.
Ce qu'il se passe, c'est que cette grosse masse centrale, le Soleil originel, se disloque en 2 sous l'effet de ses forces de répulsion interne (selon le même principe de la dislocation de Tiamat que nousdétaillerons plus loin). 2 corps principaux en résultent, et la matière liquide brûlante du noyau, éjectée lors de la dislocation, reforme un 3ème soleil.
C'est pourquoi les étoiles se forment par paire et toujours de façon asymétrique, avec un 3ème astre additionnel résultant des débris issus de la dislocation. Nemesis est donc le jumeau symétrique du Soleil (la partie la plus grosse restant après la dislocation du Soleil originel), Perséphone issue des débris (Hypothèse AM, Harmonyum ne détaille pas).
(Hypothèse AM) Nemesis orbite loin du Soleil (loin après Neptune), alors que Perséphone est plus proche du Soleil que Jupiter. On peut donc considérer que c'est Perséphone, en doublet proche avec le soleil, qui mérite d'être appelé 2ème Soleil.
(Hypothèse AM) Harmonyum ne précise pas si Perséphone était moins grosse que Nemesis, mais c'est à supposer. En effet, si je compare à la première dislocation de Perséphone (un soleil éteint, donc avec une croûte solidifiée qui biaise un peu mon raisonnement en comparant avec une étoile active sans croûte), Soleil serait Nibiru, Tiamat serait Nemesis, et Perséphone serait la planète naine Cérès. Ce qui donne un ordre de grandeur des forces en présence.
Selon l'équation d'Einstein E=mc², le Soleil perds de la masse par rayonnement (4 millions de Tonnes par jour). Mais cette perte de masse est au final négligeable vu la quantité de matière agglomérée dans le Soleil, on estime à 10% de masse perdue sur toute la vie du Soleil. Même si les paramètres du système solaire changent légèrement dans le temps, ce n'est pas majeur.
Notre Soleil n'est que le reste d'une très vieille étoile plus brillante et active qui a diminué en intensité et beaucoup changé dans le temps.
Perséphone était elle même une sorte d'intermédiaire entre une naine brune et une gazeuse ().
Perséphone (aussi appelée Proserpine), une géante gazeuse (un mini soleil raté), c'est à dire une étoile naine éteinte ou encore une mini naine brune, intermédiaire entre Jupiter et une étoile naine.
Perséphone est initialement placée entre Mars et Jupiter, et s'est désagrégée au cours du temps. La partie la plus massive qu'il reste d'elle est Nibiru, qui orbite en 3600 ans entre le Soleil et Nemesis. La Terre est aussi un résidu de la 2ème étoile Perséphone.
Nibiru étant constituée d'une grosse partie du noyau de cet ancien double soleil, elle devrait normalement être considérée comme une étoile et non une planète (la formation des étoiles différant de celle des planètes). Tout comme la Terre, elle aussi un reste de Perséphone, au noyau stellaire actif, devrait être considérée comme une étoile.
Némésis est une sorte de naine brune (ou rouge, les catégories/familles d'étoiles établies par nos scientifiques sont encore incomplètes et partiellement inexactes selon les ET), et diffère encore par rapport à la classification officielle (qui est trop restrictive). Il vaut mieux parler d'étoile morte, ou éteinte, même si naine brune n'est pas complètement faux non plus.
Nemesis n'émet pas de lumière visible, c'est une étoile dite éteinte, un soleil noir. C'est elle la planète 9 au-delà de Pluton dont nous parlent les journaux en février 2016, et qui devrait expliquer les aberrations des orbites trans-plutonienne.
Nemesis orbite autour du soleil loin de Neptune.
Les premières planètes (en partant du Soleil au centre) sont de simples accrétions de matière, sans noyau actif (Mercure, Vénus, Hécate (orbite actuelle de la Terre), Mars). Ensuite, viennent les grosses planètes/étoiles que sont Perséphone (l'étoile éteinte jumeau du soleil), Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, puis des corps plus petits comme Pluton, et enfin Nemesis (Planète 9) le 3ème soleil éteint en orbite lointaine autour du soleil.
En réalité, les planètes se forment (accrétion) ou se disloquent (perte de masse solaire) en permanence. La configuration du système solaire change donc en permanence avec le temps, et nous avons le tort de croire que ce que nous voyons n'évoluera que très peu et est issu du disque d'accrétion originel.
Les astéroïdes les plus petits finissent au cours du temps par tomber sur des planètes existantes. Ainsi, chaque année, la Terre grossirait de plusieurs centaines de tonnes à cause des météorites qui s'écrasent à sa surface.
Par exemple, dans la première ceinture d'astéroïde, une nouvelle planète est en train de se former autour de Cérès, le processus va prendre des milliards d'années.
L'arrêt de l'étoile principale (chez nous le soleil) ne sonne pas forcément la fin de la vie, des planètes océaniques assez grosses comme Nibiru (anciennes étoiles) peuvent maintenir une atmosphère et surtout une activité du noyau suffisante pour maintenir une température autorisant l'eau liquide, et sont donc autonomes (même s'il y a de grandes chances que le noyau de Nibiru s'arrête avant celui du Soleil, plus massif).
Perséphone, la 2ème étoile, soumise à plusieurs forces, a subies plusieurs dislocations au cours de sa vie.
Il faut savoir que ce qu'on appelle la "gravité" à notre échelle est en fait une force de répulsion venue de l'extérieur (de tous les corps massifs de l'univers) qui nous plaque au sol. Ce n'est donc pas une attraction venant du centre de la Terre.
Dans le même temps, les corps massifs émettent eux-mêmes ces particules de gravitation répulsive (les gravitons). Si la gravité est une force de répulsion, cela veut dire qu'à l'intérieur d'une planète, il existe des forces qui tendent à la faire gonfler, une pression interne sous l'effet des gravitons terrestres.
Une planète est donc tiraillée entre la pression qu'elle subit de la part de l'espace environnant (flux de gravitons spatiaux) et son auto répulsion interne (flux de gravitons terrestres). Tant que ces deux forces ont trouvé un point d'équilibre, la planète garde un volume stable.
Perséphone a une structure fragile. C'est une super naine contrairement à Jupiter, c'est à dire que cette étoile morte est trop dense/riche pour sa petite taille. C'est son noyau qui pose problème car il est trop volumineux, et l'enveloppe trop fine. Cette caractéristique fragilise l'équilibre des forces de pression externes vs les forces de répulsion internes. Physiquement, cela peut se traduire par une sensibilité magnétique élevée, et une rotation de l'étoile sur elle même trop grande.
Mais Perséphone est encore soumise à d'autres forces :
Combinez maintenant la force centrifuge, la pression d'un étau, et la fragilité de sa structure, la planète va commencer à former une protubérance, comme une hernie. Quand la hernie est trop grosse (planète Perséphone en forme de haltère, une petite boule qui deviendra Tiamat et une grosse boule qui deviendra Nibiru), les deux parties ont tendance rapidement à se repousser (gravitation répulsive) et à former deux astres indépendants. La planète se disloque, le noyau se sépare en deux entités qui vont reformer des sphères.
La dislocation détruit généralement la surface, produit un volcanisme démesuré où de grandes quantités de matières liquides/en fusion s'échappent, l'atmosphère est éparpillée.
Les nouveaux corps se refroidissent et mettent des millions d'années à reformer une croute et à se stabiliser. Les matériaux se stratifient, les plus lourds restant au centre, les plus léger servant à construire une croûte, et les gaz qui s'échappent recréent une atmosphère.
Le problème de Perséphone était qu'elle se retrouvait coincée dans un étau entre Jupiter et le Soleil d'une part, et des problèmes de structure d'autre part. La rotation trop rapide créant un boudin équatorial à cause de la force centrifuge, tous ces éléments aboutissent à la formation d'une hernie dans le noyau.
Harmonyum n'en parle pas, mais il se pourrait que la périhélie de Némésis ai donné la pichenette pour la séparation des 2 bourrelets.
La première dislocation de Perséphone donne :
Les astéroïdes restent sur leur orbite entre Mars et Jupiter, à l'emplacement actuel de la première ceinture d'astéroïdes.
Nibiru prends une orbite elliptique dont les 2 foyers sont le Soleil et Nemesis, orbite inclinée de 30° par rapport au plan du système solaire (plan approximatif sur lequel on retrouve l'orbite de la plupart des planètes du système solaire).
Cette dislocation explique le champ magnétique gargantuesque de Nibiru, pourtant seulement 4 fois plus grosse que la Terre. C'est simplement parce qu'elle a gardé la majorité du noyau stellaire d'origine.
Sur Tiamat (restée sur l'ancienne orbite de Perséphone) se développe naturellement la vie au cours des milliards d'années qui suivent.
Tiamat (d'après le nom donné par les anciens Sumériens, les savants du 19ème siécle l'ont nommée Phaeton) a eu le même souci que Perséphone parce qu'elle avait elle aussi un noyau disproportionné par rapport à sa taille. Avoir un coeur d'étoile, certes amoindri, n'est pas très pratique pour une planète océanique à la croûte fine. Problème de structure, contraintes lors des passages de Nibiru, vitesse de rotation restant élevée (hypothèse AM) et toujours placée dans l'étau Soleil-Jupiter, le même phénomène a fini par la disloquer, au bout de plusieurs milliards d'années. Mais ces milliards d'années ont été suffisants pour que la vie apparaisse puis se développe sur Tiamat.
La dislocation ultérieure de Tiamat a donné :
La taille de la Terre n'étant plus adaptée à ce rail gravitationnel entre Mars et Jupiter, le doublet Lune-Terre est poussé sur l'orbite de Hécate (orbite entre Mars et Vénus). C'est cet orbite que la Terre occupe actuellement, où elle fait tâche avec son noyau d'étoile actif alors que les planètes qui l'environnent (Mars, Hécate, Vénus) sont toutes éteintes.
Cette dislocation explique que la Terre et la Lune sont issues d'un même corps céleste (et non la Lune qui se détache de la Terre sous l'impact d'un astéroïde majeur comme le croient nos scientifiques).
Ça explique aussi la présence excessive pour une planète rocheuse d'or ou d'uranium, ainsi que diverses réactions nucléaires qui n'existent pas sur les planètes d'orbite proches, comme Hécate, Vénus ou Mars par exemple.
Nibiru n'a pas de souci avec son noyau disproportionné par rapport à l'épaisseur de sa croûte (comme l'ont eu Perséphone puis Tiamat), parce qu'elle a été éjectée de l'étau Soleil-Jupiter et passe 90% de son temps loin de tout autre astre majeur.
Quant à la Terre, elle a changé d'orbite, et les forces de pression exercées par le Soleil et surtout Jupiter sont plus équilibrées. De même son noyau n'est plus aussi disproportionné. En ce sens, les quantités de noyau de Tiamat qui se trouvent dans la Lune et les astéroïdes nous ont sauvé la mise en évitant que la Terre persiste avec un noyau trop gros. L'Univers a donc des mécanismes d'équilibrages même au niveau des planètes finalement.
Quand aux astéroïdes de la première ceinture, ils sont en train de reformer une planète de type Mars en s'agrégant autour de Cérès. Le phénomène va prendre plusieurs milliards d'années encore.
Harmonyum fait ici un résumé rapide en image. A l'époque, Harmonyum n'avait pas le droit de dire que Nibiru adoptait une trajectoire en spirale quand il s'approchait du Soleil.
1ère phase : Perséphone (Gaïa sur les images) sur l'orbite de l'actuelle ceinture d'astéroïde
2ème phase : Sous l'effet de la gravitation des 2 géantes (soleil et Jupiter) Perséphone (Gaïa) se scinde en 2 (fait une hernie, comme des haltères de musculation (il manque le h de haltère sur le schéma)). C'est à chaque fois que Perséphone se retrouve entre le Soleil et Jupiter (elle tourne plus vite que Jupiter, comme le montre la longueur de la flèche) que le processus d'altère s'amplifie.
3ème phase : La planète X (Nibiru) est générée lors d'une première dislocation. Le tiers de Perséphone restant, Tiamat en vert ("Terre primitive" sur le schéma), prends une orbite plus elliptique, dont la périhélie est toujours au point où Perséphone s'est disloquée. Nibiru adopte la même trajectoire elliptique, avec sa Périhélie au même point, ce qui explique qu'à chaque fois Terre et Nibiru se rencontrent plus facilement.
4ème phase : Lors de la 2ème dislocation de Tiamat, plusieurs milliards d'années après la première dislocation (3ème phase vue juste au dessus), sous l'effet toujours de Jupiter et du Soleil, avec en plus les passages de Nibiru, Tiamat se sépare en 2, formant la Terre, la Lune, et une nouvelle fournée d'astéroïdes. La nouvelle Terre est éjectée vers une orbite plus près du Soleil, celle d'Hécate. Le point de séparation de Tiamat est toujours à la périhélie, au point de rencontre des 2 planètes Tiamat et Nibiru.
5ème phase : Phase actuelle. "Ancienne orbite sans Lune" est l'ancienne orbite de Tiamat avant sa dislocation.
La ceinture principale d'astéroïdes se trouve à l'ancienne orbite de Perséphone, et résulte des 2 dislocation. Cette orbite est anormalement vide de planète majeure (si l'on suit la loi empirique de Titius-Bode), et la planète naine Cérès est en train de reformer une planète de type Mars par aggrégation des astéroïdes. Ces astéroïdes ayant été créé "récemment", c'est à dire longtemps après la création du système solaire, qui explique qu'ils n'aient pas encore reformer de planète de type Mars.
La ceinture principale est la source de toutes les comètes qui circulent dans le système solaire, elles sont donc constituées des matériaux de Perséphone, et ce qui explique au passage la présence d'eau et d'ADN. Le nuage d'Oort n'existe donc pas.
Issus de Perséphones, les astéroïdes issus de la 1ère dislocation sont surtout composés surtout d'eau et de métaux lourds.
Issus de la dislocation de Tiamat (2ème dislocation du 3ème soleil Perséphone), ces astéroïdes sont riches en hydrocarbures à cause de la vie sur Tiamat qui s'est développée pendant plusieurs millirads d'années. Ces astéroïdes contiennent aussi des traces d'ADN, issus de la vie développée sur Tiamat.
La Terre est apparue il y a 5 milliards d'années de ce qu'on en sait. La science actuelle à extrapolé de la naissance de la Terre l'âge du système solaire, en pensant que tout s'était formé en même temps. Or, nous venons de voir que la Terre n'est apparue que tardivement, le système solaire est donc bien plus ancien que la Terre, il a eu déjà plusieurs "vies", et le soleil est le reste d'une vieille étoile plus brillante et active qu'actuellement.
La dernière configuration avec la Terre n'est pas la seule, et les situations antérieures ont perduré presque aussi longtemps que la Terre a existé.
Ce sont des échelles si vastes que nous n'avons que les traces, à notre portée, des derniers événements en date. La Terre est jeune, et pendant qu'elle cicatrisait de sa création, le système solaire avait déjà une longue histoire derrière lui. Encore ici un défaut lié à l'anthropocentrisme : ce n'est pas parce que nous trouvons des indices de la formation de la Terre que le reste du système est né en même temps. Il est bien plus ancien encore que notre Monde natal !!
Vénus et Mars, peut après leur formation, avaient encore un noyau actif avant qu'il ne refroidisse. Cette activité générait un champ magnétique comme celui de la Terre actuellement.
Le noyau de ces planètes s'est refroidi depuis bien longtemps, et si la Terre a encore un noyau actif c'est uniquement dû à la dislocation récente de la géante Tiamat. Par exemple, ce que la Nasa essaie de cacher car sinon elle ne saurait l'expliquer, c'est que le noyau de la Lune (issu lui aussi de Tiamat) est encore actif (fissures, cratères, tunnels de lave, etc.).
La mort magnétique de Mars est beaucoup plus récente que celle de Vénus. Le noyau de Mars est mort très rapidement (inclinaison de l'axe de 25° seulement) alors que Vénus a mis bien plus longtemps pour agoniser (axe complètement inversé).
Le refroidissement rapide du noyau de Mars s'explique par fait que c'est une petite planète. La Lune aussi devrait avoir un refroidissement rapide, et la Terre, de même taille que Vénus, devrait elle aussi subir un refroidissement lent et donc en fin de vie se retrouver avec un axe de rotation complètement inversé.
Vu du Nord terrestre, toutes les planètes du système solaire tournent autour de notre étoile dans le sens trigonométrique ( inverse des aiguilles d'une montre). Cela provient du fait que le sens de rotation des planète était calqué sur celui du Soleil à la formation du système solaire.
Pour Nemesis, c'est l'inverse. Sa rotation étant inversée par rapport au Soleil, toutes ses planètes sont rétrogrades (tournent dans le sens horaire).
Au niveau du sens de rotation autour du Soleil, il existe une seule exception dans le système solaire (hors Nibiru et Nemesis), c'est Triton, un satellite de Neptune, qui a la seule orbite rétrograde. Cela signifie que c'est une pièce rapportée, capturée par la géante. Or qui passe régulièrement à proximité avec toutes ses lunes si ce n'est Nibiru ? Triton a été détaché de Nibiru par diverses contraintes locales et est venue se loger dans un rail gravitationnel de Neptune la voleuse de lune.
Toutes les autres lunes de Nibiru tournent autour de leur planète mère (Nibiru) dans un sens rétrograde (sens horaire vue de l'hémisphère Nord terrestre), parce que ce sont des planètes capturées par Nibiru autour de Némésis (dont toutes les planètes sont rétrogrades). Ce qui va bien avec Nibiru qui tourne sur elle-même de manière rétrograde.
Les planètes du système solaire tournent sur elles-mêmes dans le même sens que leur rotation orbitale (sens trigo).
Vénus et Uranus font exception. Cela provient de l'époque où leur noyau était magnétiquement actif, et que le passage de Nibiru les mettait à l'envers. Plus leur magnétisme a diminué, plus il était difficile au Soleil de les redresser une fois Nibiru reparti. A chaque passage de Nibiru, Vénus était mise la tête à l'envers pour s'adapter à la proximité de Nibiru, et elle a fini par conserver cette position. Nous verrons ce phénomène plus en détail dans le paragraphe expliquant les axes de rotation inclinés des planètes.
Nibiru aussi tourne sur elle-même dans le sens horaire, comme Nemesis. Si Nibiru à une rotation propre rétrograde, c'est qu'elle a subit le même sort que Vénus en allant se frotter à Némésis. C'est pour cela qu'elle arrive la tête à l'envers et vient contrarier notre Soleil. Une fois en orbite autour de celui-ci, elle bascule de 270° pour se remettre la tête en haut. Lorsqu'elle après ses tribulations dans le système solaire elle repart et arrive vers Némésis, elle fait l'inverse et est de nouveau positionnée la tête en bas.
Tout cela est lié au magnétisme des étoiles et des planètes qui sont de gros aimants. Or chez les aimants, les plus petits sont toujours obligés de s'aligner avec les plus gros ! Némésis et le Soleil sont donc fait totalement tout à l'opposé : toutes les planètes tournent dans le sens inverse, autant sur elles mêmes qu'autour de leur étoile, le tout avec des pôles magnétiques opposés. On peut dire que Némésis et le Soleil sont des étoiles jumelles miroirs. (Note AM : je ne sais pas si on peut dire que le magnétisme de Nemesis vient boucler celui du soleil, et s'est donc aligné en fonction de ce dernier (Nord de Nemesis orienté sur le pôle Sud du Soleil). Sur de telles distances, les lignes de forces magnétiques sont très affaiblies).
Contrairement à ce qu'indique la mécanique pure, les axes de rotations propre ne sont pas alignés perpendiculairement aux plans orbitaux des planètes. On ne va pas s'en plaindre, c'est ce qui permet d'avoir des saisons sur la Terre. L'inclinaison de cet axe dépend de l'activité et donc du magnétisme résiduel du noyau de la planète.
C'est un grand mystère que cette inclinaison inexpliquée de l'axe de rotation des planètes du système solaire, et la découverte par calcul en février 2015 de la planète 9 a permis aux scientifiques de pousser un ouf de soulagement en imaginant que cette planète pourrait expliquer cette inclinaison qui n'a pas lieu d'être. Voilà ce qu'en dit Harmonyum.
Si leur axe est changé, c'est simplement à cause de Nibiru. Lorsque Nibiru passe à proximité des autres planètes, elle entre en interaction magnétique avec celles qui sont actives de ce point de vue là. C'était le cas de Vénus et de Mars dans le passé avant que leur noyau refroidisse.
Or ce qui redresse le noyau d'une planète après un basculement, c'est l'action magnétique du Soleil qui reprend naturellement les rênes une fois l'intruse (Nibiru) partie.
Le souci, c'est que plus le noyau est vieux, plus son magnétisme diminue et plus le retour à la normale est difficile (le Soleil est trop loin pour exercer son influence, alors que Nibiru passe juste à côté).
Petit à petit l'axe de la planète se décale et fini par ne plus revenir complètement à sa position d'origine. Une fois le noyau mort magnétiquement, la position de l'axe de rotation devient définitive. C'est pourquoi Vénus a une rotation propre inversée (dans le sens horaire) car elle a été lentement renversée tête en bas par Nibiru, tout simplement.
La Terre est également victime de ce vieillissement magnétique qui s'aggrave à chaque passage et qui déplace l'axe de rotation. l'Axe varie sensiblement à chaque passage de Nibiru et les choses s'aggravent au bout de millions d'années. L'axe bascule sur le côté et ne revient plus dans sa position verticale d'origine, et c'est de pire en pire avec le temps.
Chaque planète ayant ses propres caractéristiques, une activité magnétique plus ou moins intense au cours du temps, les axes sont changés dans des proportions diverses.
Mars n'a basculé que de 25°. Tant que le noyau est très actif et mobile, l'axe ne varie pas. Cela veut également dire que Mars est morte très rapidement (25° seulement) alors que Vénus a mis bien plus longtemps pour agoniser pour avoir son axe complètement inversé.
La Terre penche de 23° seulement (Harmonyum dis quelque fois 27°, une erreur qu'il n'arrive pas à corriger :) ), ce qui veut dire qu'elle a commencé à vieillir mais qu'elle reste encore assez "chaude" par rapport à ses consoeurs. Vu qu'elle a approximativement la même taille que vénus, sont refroidissement sera équivalent théoriquement et donc bien plus lent que celui de Mars.
Jusqu'au 16 octobre 2017, les scientifiques ignoraient que les gazeuses avaient un coeur rocheux, ou que des planètes 2 fois plus grosses que la Terre pouvaient être encore rocheuse. C'est chose réparée avec la découverte de Kepler-10c. Au passage, un clin d'oeil des scientifiques qui savent très bien de quoi il retourne, cette planète est découverte dans la constellation du dragon. Quand on sait que Nibiru est appelée le dragon par plusieurs peuples, on voit bien que la Nasa se fout de notre gueule...
à suivre...