Nature Humaine (amocalypse)
Faits "inexpliqués">Faux dieux
Annunakis>Les légendes des dieux géants
Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2019-04-03
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Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
A toutes les époques, dans tous les lieux de la planète, on retrouve les mêmes légendes, les mêmes dieux colériques auxquels il faut se soumettre, ou les remercier pour avoir créer le hiérarchisme et l'esclavage.
Les légendes ont été trafiquées volontairement par les illuminatis pour masquer les défauts d'Odin, voir son existence, tout en laissant transparaître le mythe d'un dieu géant borgne dont les illuminatis attendent impatiemment le retour et nousprésentent sous un angle positif (le hard rock avec Marduk, la légende de Merlin retrafiquée, le retour des temples dédiés à Odin, les défilés anglais en honneur aux géants Gog et Magog, etc.).
Parmis ce fatras de réécritures, de mauvaises traductions et autre enjolivement au cours des millénaires, je prends la version qui fait consensus parmis les chercheurs.
On recense au moins 145 divinités dédiés à la foudre, dans toutes les civilisations mondiales de toutes les époques.
Dans le védisme puis l'hindouisme, c'est Indra, seigneur du ciel, qui contrôle le tonnerre, l'orage et la foudre, pour se débarrasser de ses ennemis.
En Amérique pré-colombienne, Tlaloc est responsable de la pluie et de l'orage.
La mythologie scandinave et germanique fait la part belle à Thor, le dieu du tonnerre.
Chez les Grecs, puis les Romains, ce sont les trois cyclopes qui ont forgé "le" foudre de Zeus (ou Jupiter à Rome), l'instrument lui permettant d'exprimer sa colère divine.
Dans la Bible, Yaveh foudroie quiconque irait contre sa volonté, comme les curieux qui s'approchent trop près de l'Arche d'alliance.
Il n'y a pas que Posédion qui ai un trident.
Le logo des enfoirés montre un visage, avec la pointe du coeur pour le menton, le haut de la fourchette à 3 dents et du couteau montrant 2 cornes, le bas des lobes d'oreilles allongés comme les dieux améridiens ou de l'île de Pâques.
Toutes les fourchettes ont en réalité 4 dents. Pourquoi trident - 3 dents ? Ou alors ce n'est pas une fourchette sur le logo des enfoirés ?
On retrouve le trident chez plusieurs dieux :
Source Planète Raw : s'appuyant lui-même sur "South American Mythology" de Harold Osborne (pour rappel les mythes sont l'histoire officielle des peuples amérindiens, que par condescendence les occidentaux ont rabaissés au rang de vulgaires contes de bonne femme, parce qu'ils ne voulaient pas connaître cette histoire pourtant universelle...). Le livre reprends les chroniques des premiers explorateurs espagnols sur la civilisation qu'ils allaient détruire, notamment en brûlant tous les livres.
Viracocha est omniprésent dans la culture andine. Les ressemblances avec Jésus et Osiris sont bluffantes. Ces traditions ont été transmises aux espagnols par les indiens.
Il a apporté son savoir, et sans lui la civilisation andine des bâtisseurs n'aurait pas existé.
Bon, il est blanc et barbu, mais ça vous commencez à connaître la chanson !
Il a plusieurs noms selon l'endroit où il était, mais toujours les mêmes caractéristiques. On retrouve Waracocha, Kon Tiki, Tunupa, Tapac, Tupaka, Ila. Ces noms se retrouvent dans l'encylopédie McMillian Illustrée des Mythes et Légendes de Arthur Cotterell.
Maître de la science et de la magie (les scientifiques annunakis englobaient science et religion, ce qui est la même chose au final pour celui qui ne s'accroche pas au dogme religieux ni scientifique).
Quelques soient les récits, il apparait toujours dans la période troublée qui suit la grande inondation qui a submergée la Terre (passage de Nibiru). Cette inondation a été suivie par la disparition du Soleil et plusieurs jours de ténébres.
Cette homme, faisant des merveilles sur son chemin, avait emprunté la grande chaussée (la route reliant les anciennes villes Annunakis ?) et se dirigeait vers le Nord, ils ne le revirent jamais.
Il donnaient aux hommes des instructions sur comment ils devaient vivre, leur parlant avec amour et douceur (on reconnait bien la propagande Annunakis qui parce qu'ils daignent s'adresser aux hommes considèrent qu'ils sont bons avec eux...).
Il propageait l'idée d'être bon avec les autres et charitables.
Il fit aménager des terrasses (et les murs pour les soutenir) et des champs sur les versants abruptes des vallées (donc la montagne venait de se former qu'ils étaient auparavant soumis à la mer ?).
Il fit aménager des canaux d'irrigation, et alla dans diverses directions pour faire réaliser de nombreux travaux (on retrouve le savant et l'architecte Annunaki)
Il soignait ceux qui étaient malades et rendait la vue aux aveugles (la possession de l'ankh Annunaki permet la régénération des tissus et de tels miracles, et il est dit qu'à la fin des temps l'antéchrist fera nombre de miracles, ressuscitant les morts, mais il n'en sera pas Jésus pour autant).
Arrivé dans le district des Canaries, il arriva dans un village nommé Catcha, le peuple se souleva contre lui et menaça de le lapider (preuve que c'était bien le faux dieu oppresseur qui a trop tirer sur l'esclavage du peuple, ces derniers se révoltants). Les indiens le virent tomber à genoux, et lever ses mains vers le ciel pour appeler à l'aide. Ils virent alors le feu du ciel les entourer de toute part. Le peuple demanda de lui pardonner, et il éteint le feu sur commande. Les pierres étaient consummées par le feu, au point que de gros blocs pouvaient être soulevés comme du chêne liège.
Il parti puis rejoigna la côte, et brandissant sa cape (une aile d'avion ou une voile de bateau) il parti vers le large au milieu des vagues et parti à jamais.
Un autre chroniqueur espagnol, Juan de Betanzos, dans "Suma y narracion de los incas" (1551), décrit Viracocha comme un homme barbu, de très grande taille, vêtu d'une tunique blanche descendant jusqu'au pied, avec une ceinture (la tunique sémite ?). Il éveillait le plus grand respect et la plus magnifique vénération de ceux qu'il avait rencontré.
Il introduit la médecine, l'agriculture, l'écriture, l'élevage, la métallurgie, et avait une connaissance poussée de l'architecture et de l'ingéniérie. On a bien ici un dieu Annunaki sur Terre, tel Osiris ou les dieux sumériens (des dieux technologiquement avancés et qui vivent parmis les hommes, se faisant servir par ces derniers).
On pourrait y voir beaucoup de similitudes avec Jésus, mais rappelons-nous que le Jésus des catholiques est un mélange du Jésus historique et du mythe mithraïque du sauveur Annunaki qui vient garder le bétail humain (le berger).
On retrouve des description de vieillard barbu de taille moyenne (donc plus un Annunaki) qui aurait aussi aidé les hommes de manière bienveillante, sans employer la force. Les Annunakis ont du se fondre à dessein avec un vrai prophète et mélanger les légendes, là encore il faudrait approfondir le sujet et tirer le vrai du faux.
Une légende londonnienne fait état de la construction de Londres par Gogmagog, un des géants de la bible.
C'est tellement de la légende que chaque année depuis 1550, des gens (habillés comme s'ils appartenaient à une société secrète) défilent devant une foule de Londoniens avec les statues grandeur nature de Gog et Magog...
Une légende londonnienne fait état de la construction de Londres par Brutus le Troyen autour de 1070 avant JC soit environ 1000 ans avant l’invasion Romaine. Après la destruction de la ville de Troie (Voir le récit l'Iliade d'Homère), les habitants durent trouver de nouvelles terres. Brutus, un prince troyen, dit avoir été guidé vers l’île blanche d’Albion (l’Angleterre) par la déesse Diana. Après avoir navigué sur la Tamise, il aurait d’abord dut combattre une race de géants menée par Gog et Magog. GogMagog est tué dans une version de l'histoire, et dans la version adoptée actuellement à Gidhall Gog et Magog sont enfermés sous terre. On va faire un mix des 2, Magog est tué en combat singulier par Brutus et le géant restant est enfermé jusqu'à nos jours.
C'est tellement de la légende que chaque année depuis 1554 (le règne d'Henry 8) des gens habillés comme s'ils appartenaient à une société secrète défilent devant une foule de Londoniens avec les statues grandeur nature de Gog et Magog... Leur défilé est censé remplacé un sacrifice humain...
Détruites en 1666, les statues furent refaites en bois en 1708. Et que lorsque les statues de Gog et Magog au Guildhall ont été détruites lors des bombardements de Londres dans les années 1940, elles ont été reconstruites en 1953.
Gog et Magog, les 2 géants, sont aujourd'hui considérés comme les protecteurs de Londres, alors qu'il est bien dit dans la bible que c'est l'antéchrist et la bête.
C'est le mari de la reine Elizabeth 2. Sur ses armoiries, à gauche, un dieu à la barbe grisonnante, musclé, avec une couronne de feuilles de chêne cachant son crâne bombé vers le haut, le nez fort qui part du front, les yeux bleus (pas borgne, mais l'oeil de verre gauche est décalé par rapport à l'autre...), qui tient un long gourdin. Sous les armoiries, le bandeau écrit "God is my Help" (dieu est mon sauveur). Une peau de lion en cache sexe. Et en face, le lion dressé. Mais Hercule n'a pas la barbe blanche...
Dans les armoiries de Georges de Danemark, la barbe est plus longue, et pas de lion en face, mais 2 dieux sumériens se faisant face (Gog et Magog ?). La ceinture est faite en feuilles de chênes, éloignant encore plus de l'image d'Hercule.é
Si je prends la page wikipédia, en relevant l'aspect négatif de ce dieu bi-polaire :
"Un de ses surnoms est Bolverk (fauteur de malheur)."
"C'est un dieu craint, et qui possède des traits sombres et peut se montrer fourbe et sévère."
"Odin offre la victoire à ses protégés par quelque moyen que ce soit, qu'il s'agisse de valeur au combat, de chance ou, plus particulièrement, de ruse et de fourberie."
Si j'avais plus de temps il faudrait que j'étudie en détail la mythologie d'Odin où son côté sombre, colérique et impatient, rappelle fortement le dieu de l'ancien testament.
Voir comment s'est construit la légende de Merlin à partir de faits réels.
"Son image première est assez sombre. Les plus anciens textes concernant Myrddin Wyllt, Lailoken et Suibhne le présentent en « homme des bois » torturé et atteint de folie, mais doté d'un immense savoir".
Les premiers textes décrivent un être noir de caractère, fou dangereux mais détenteur d'un grand savoir, qui peut prendre plusieurs formes et se confonds avec le dieu celtes Cernunos. Il possède la maîtrise du temps (immortalité), attribut divin. Merlin détient un savoir inaccessible au commun des mortels, notamment en astronomie
Les descriptions médiévales de Merlin le fou terrifiant sont ensuite incorporées au cycle des chevaliers de la table ronde, christianisé, pour le rendre moins terrifiant.
Il ne connaît généralement pas de mort véritable, mais il est « retiré du monde » et repose « au cœur d'une inaccessible prison forestière, ni mort ni vivant ». D'autres versions le disent enfermé sous terre.
A noter que comme beaucoup de ses avatars, Merlin prétend être né d'une vierge (mythe de son dieu Mithra) et savait parler dès sa naissance. Son père est une entité "diabolique".
Source : wikipédia.
Encore un vieillard prétendant être né d'une vierge, avec de la barbe blanche et la parole. Il serait descendu sur terre lors du passage de sa comète (Nibiru ?) Lui non plus ne meure pas vraiment, il part en voyage dans des contrées lointaines après 160 ans à la cour. Il serait revenu des siècles plus tard pour transmettre le Tao.
Maître de Confucius (vers 500 av JC), il lui enseigne surtout les rites... Pour Odin, les principes de Confucius de vertu sont inefficaces et contre-nature (on retrouve l'idée des francs-maçons d'inverser toutes les valeurs chrétiennes). Confucius compare Lao Tseu dans un passage à un dragon chevauchant les nuages (dragon = Nibiru), différent de tous les animaux qui courent, nagent ou volent et échappant ainsi aux contingences (donc un extra-terrestre).
Il a des oreilles aux lobes très longs, signe de sagesse (on retrouve cette particularité des annunakis dans les Moaï de l'île de Pâques et dans la description de Raymond Réant dans sa vision des pistes de Nazca).
Monté sur le dos d'un buffle (les prophéties de l'apocalypse musulmanes le décrive sur un âne blanc).
Comme Merlin, Lao Tseu fait des prédictions à l'empereur sur ses victoires guérrières.
le Liexianzhuan le compte au nombre des immortels célestes (qui vivent dans les montagnes, les îles montagneuses, les grottes, mais aussi dans les étoiles !). Il est divinisé (comme un dieu grec) dès le règne de l’empereur Huandi (-146 à -168). iverses prophéties musulmanes sur l'antéchrist).
Comme Quetzalcoatl, il prédit son retour sous une de ses métamorphoses dans une perspective millénariste.
Dans son tao, Lao Tseu enseigne la recherche de l'immortalité physique. Aussi l'alchimie et les exercices de pouvoir psy.
Il a un aspect plutôt atypique : Le Lao Tseu divin a un aspect hors du commun. Ge Hong le décrit ainsi : peau jaune clair, oreilles longues, grands yeux, dents écartées, bouche carrée aux lèvres épaisses, quinze rides sur un front large qui porte aux coins la forme de la lune et du soleil (la cicatrice laissée par l'oeil d'Horus arraché par le roi Salomon). Il a deux arêtes de nez et trois orifices à chaque oreille, et les dix lignes des êtres d’élite marquent ses paumes.
Gog est aussi le diable ou l'antéchrist dans le livre d'Ezechiel juif ou dans l'apocalypse de Jean :
On retrouve Gog et Magog dans l'Apocalypse de Jean : « Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre » (20:7)
C'est dans cette religion qu'il est le mieux décrit. Je vous résume la page wikipédia sur l'antéchrist :
Les musulmans, dans le Coran et les Hadiths, identifient l'antéchrist à la bête qui sort de terre parmis d'autres signes annonciateurs. Confondu avec Satan (« Iblis »), ce personnage ignoble et perfide présenté avec insistance comme étant borgne, et qui vivait déjà 7000 ans avant le déluge.
Le Dajjal restaurera le paganisme, l’adoration des idoles.
Le prophète Mohammed rencontre Tamim al-Dari, un chrétien converti à l'islam, qui affirme à Mohammed avoir, au cours d'un voyage, rencontré l'Antéchrist, « gigantesque et le plus durement garrotté » mais bientôt libéré et prêt à sillonner la terre entière.
L'antéchrist, le géant borgne (comme est décrit le dieu nordique Odin), était donc déjà vivant et enchaîné il y a 1400 ans... Et il est dit qu'il sortira de terre au moment des catastrophes de l'apocalypse.
Décrit physiquement comme « un homme rouge, de forte corpulence », borgne d'un œil, il porte l'inscription « kafir » (mécréant ou incroyant) entre les deux yeux que seuls les vrais croyants peuvent lire. Il a donc une cicatrice sur le front.
Chez Nietsche et les philosophes de la renaissance (les francs-maçons) , après une belle réthorique passionnée mais sans arguments, ils en concluent que la morale chrétienne a affaibli l'homme. Il faut retrouver la résistance initiale, et inverser toutes les valeurs (il n'y a pas de vie après la mort, on a le droit de faire toutes les saloperies sur terre, comme violer des enfants dans le même temps qu'on les égorge...). Il faudra donc selon eux suivre l'antéchrist... Ces gens là ont gagné la révolution et pris le pouvoir en France pendant 200 ans, avant qu'un morque (Macron) ne vienne leur subtiliser le trône grâce à la puissance d'argent fournie par le clan du Puppet Master (accord entre rois descendants de Jésus (donc juifs) et banquiers issus eux aussi de la diaspora, même si cet accord semble un jeu de dupe qui se finira mal pour Macron).
Voyons d'où nous viens le mythe de Goldorak, le géant cornu...
Chez les gaulois, nous avons Cernunos, le dieu géant humain avec une ramure de cerf sur la tête, servi par la caste des druides. C'est un élémentaire (nom gaulois pour les Annunakis, ces dieux qui viennent du ciel).
Chez les irlandais, nous avons un peuple-cerf.
En Hongrie, 2 frères poursuivent un cerf qui les emmènent vers un destin glorieux.
Pour en revenir à Cernunos : "il était considéré comme le dieu-père souverain en Gaule. Son apparence la plus connue (attestée dans divers documents) est celle d'un homme dont le front est orné de magnifiques bois de cerf (plus rarement des cornes de bélier) et portant un torque - le torque est un bijou celtique formé de plusieurs brins de métal entrelacés (de l'or ou du bronze même si la plupart étaient en argent) qui se terminent souvent par une boule à chaque extrémité (les plus travaillés peuvent présenter des têtes d'animaux ou plus rarement des têtes humaines) qui se mettait autour du cou. [sur les représentation, ce torque est porté à la main, comme les dieux egyptiens portent l'ankh ou les dieux sumériens portent ce qui ressemble à leur petit "sac à main"]. Souvent porté par les personnes ayant un haut-rang social ou les guerriers, le torque est reconnu comme symbole de sagesse et de maîtrise du commandement. Souvent accompagné par un cerf ainsi qu'un serpent à tête de bélier."
On retrouve le taureau Egyptien, ainsi que le bélier. Les représentation diffèrent tout simplement parce qu'elles sont liées au zodiaque sumérien, et indiquent la période à laquelle ça se déroule, ainsi que le dieu tout puissant qui change tous les 2000 ans (durée d'un signe du zodiaque). On retrouve aussi le serpent, oublié du zodiaque d'origine à 13 symboles (le serpent étant en plus).
Ce dieux possède plusieurs visages : Il est parfois dépeint sous les traits d'un jeune-homme imberbe ou ceux d'un vieillard chenu à la barbe fournie.
Il existe d'ailleurs des représentations d'un Cernunnos à trois visages (la plus connue ayant été découverte à la Côte-d'Or en France), à la semblance des trois aspects de la Déesse-Mère, son épouse (la jeune-fille, la mère et la vieille femme).
Ce fameux concept triple populaire depuis l'Inde, a été d'ailleurs honteusement dérobé par le catholicisme pour créer une trinité fondamentalement patriarcale (organisation sociale, juridique fondée et dirigée par les hommes).
Étroitement lié à la nature il est imprévisible, indomptable et il jouit de tout ce que l'existence peut lui apporter (en bien comme en mal). Sa nature "chaotique" exceptée (propre à tout Annunaki qui se respecte), cette entité sylvestre semble s'être spécialisée dans la dualité. En effet, s'il est le protecteur de toutes les créatures de la forêt et le seigneur des animaux, il est également celui des chasseurs (ces derniers d'ailleurs, devaient très certainement l'invoquer durant la traque du gibier, afin de s'identifier à leur proie, pour en quelque sorte l'honorer).
On retrouve ici le Merlin ermite dans la forêt, à la stabilité mentale déficiante (un dieu colérique et vengeur comme dans l'ancien testament, prêt à abattre sa colère sans limite dès qu'on renverse un peu d'encens, ou que ce n'est pas posé à l'endroit où le dieu psycho-rigide l'a décidé).
Ses autres attributions ciblent la virilité, l'abondance des ressources en milieu forestier (fertilité), l'harmonie entre tous les êtres mais il veille avant tout sur la régénération de la vie, tout en étant le gardien des portes de l'Autre-Monde (Annwn). Cette dualité peut sembler étrange et pourtant, elle forme un cycle parfait entre la vie et la mort qui se succèdent l'un à l'autre dans un ballet cadencé et ordonné par le temps lui-même.
Cernunos semble aussi avoir des corbeaux, animaux psychopompe.
Cernunnos voit son existence se dérouler de façon cyclique : il apparaît au Soltice d'hiver (où se déroule la fête d'Alban Arthan, qui marque le triomphe de la lumière sur les ténèbres et incarne le renaissance de la vie sur la mort), se marie à Beltaine (appelée aussi Beltan, cette fête qui débute le premier mai représente la fertilité, le feu, qui y joue un rôle symbolique et le début de la période lumineuse qui durera jusqu'à Samhain) avec la Déesse-Mère et meurt au solstice d'été (Alban Hefin, moment où la lumière solaire est à son paroxysme). Ce sera au début de Samhain (se déroulant au premier novembre, cette fête celte marque le début de la période obscure. Nouvel-an celtique où le Bon-Peuple de Faerie, sans oublier les esprits des disparus, se mêlent aux vivants), qu'il sortira de l'Autre-Monde pour se lancer dans sa Chasse Sauvage. Noter le terme "autre-monde", monde voulant dire planète...
quelques textes romains attestent de son existence, mais son culte a été éradiqué par les catholiques romains. En Haute-Loire (France) par exemple, une sculpture antique a été découverte dans une paroi. Elle semble représenter un être humanoïde assis tenant une corbeille de fruits (probablement une équivalence de la corne d'abondance appelée aussi "cornucopia"), accompagné d'un cerf, d'un taureau, sans oublier un serpent à tête de bélier, enroulé autour de la taille du personnage central.
le "pilier des Nautes". Découvert sous le coeur de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Ce pilier est orné de bas-reliefs sur ses quatre faces et l'on peut y voir notamment le dieu cornu aux côtés d'autres dieux celtes (vous pouvez d'ailleurs admirer cette pièce au Musée National du Moyen-âge à Cluny).
Au coeur de la région de Lombardie, dans le parc national de la Naquane, Cernunnos serait représenté sur certaines parois de roche, sous la forme de peintures rupestres.
le splendide Chaudron de Gundestrup. Chaudron celtique extirpé des tourbières du Jutland (péninsule du Danemark). Constitué d'un assemblage de treize plaques d'argent (dont douze sont décorées avec force détails), ce bijou de l'orfèvrerie dépeint une foule de dieux de la mythologie celte dont Cernunnos. Sur la première plaque, nous pouvons d'ailleurs le voir assis en tailleur (posture caractéristique des dieux et héros celtiques, qui est typique de la posture de méditation du yoga indien, ces doctrines ne faisant que revenir chez nous après les ravages du catholicisme) et arborant sa traditionnelle ramure de cerf, il tient dans la main droite le torque et dans la gauche le serpent à tête de bélier. On peut également voir (sur l'illustration ci-dessous) qu'il est accompagné de plusieurs animaux emblématiques dont le cerf et les chiens.
Sur la deuxième plaque présente dans les images (voir ci-dessous), on peut y voir quatre cavaliers dont le chef de chacun est orné d'un symbole (de gauche à droite : l'arc-en-ciel, les ramures du cerf, le sanglier et le corbeau).
Le premier pourrait désigner le dieu Lucetios (dont la traduction du nom signifie probablement "le brillant" ou "l'éblouissant"), dieu de la lumière, le second Cernunnos (ce n'était pas trop difficile à deviner), le troisième Teutatès (le "père de la nation"), dieu protecteur et guérisseur (il s'agit selon certains auteurs d'un autre nom pour désigner Cernunnos) et enfin le quatrième, Bélénos, dieu lumineux (encore un), de la guérison et de l'harmonie.
Un autre élément intéressant sur cette plaque se trouve dans la partie de gauche. Un personnage géant semble plonger l'autre dans un récipient (un chaudron). Il est fort possible qu'il s'agisse d'une représentation du mythique Chaudron de Dagda (dieu irlandais associé à Ogmios en Gaule). Ce fabuleux récipient avait la capacité, selon les dires, d'apporter une quantité infinie de nourriture à son détenteur et surtout de ramener un guerrier d'entre les morts, si ce dernier était plongé dans le chaudron. Faire le lien avec les sarcophages régénérateurs egyptiens, le dieu démembré qu'on peut reconstituer, etc.
Cernunos est connu en AngleTerre comme Herne le Chasseur. Il apparaît au crépuscule (le crépuscule et l'aube sont des périodes clé pour les Élémentaires celtes, car les Annunakis, sans mélanine, ne supportent pas le Soleil, comme les vampires qui s'inspirent des Annunakis (immortels, buveurs de sang humain, qui violent les belles filles, etc.). Les Annunakis (les dieux géants roux ou blonds) ne vont pas évidemment pas fondre au Soleil, ils vont juste choper des coups de Soleil, comme le font facilement ceux qui ont hérités de leur coloration de cheveux... Pour en revenir à Herne, tel que décrit dans la tradition britannique, c'est une apparition terrifiante coiffée d'un casque fait d'un crâne de cerf et décoré de ses andouillers. Son poignet gauche est ceint d'un bracelet qui irradie d'une étrange lumière (le torque/ankh, ou alors l'espèce de montre que porte les dieux sumériens au poignet).. Une chouette (qui dans certaines versions est dotée de cornes) vole au-dessus de lui tandis qu'il mène sa meute d'esprits vampiriques (sans oublier les chiens de l'Annwn ou les âmes qu'il a capturé durant ses voyages) dans les bois. Il s'agit bien entendu d'une variante de la Chasse Sauvage (ou Chasse Fantastique).
Dans des version plus "joyeuses" il reste certes le maître de l'Autre Monde, mais, contrairement à la plupart de ses collègues dépressifs ou austères (Pluton, Hel pour ne citer qu'eux) il garde en lui une grande part joyeuse et lumineuse qu'on connaît avec Cernunnos, appréciant les plaisirs de la "vie" (comme les viols d'esclaves...). Lors de la Beltane (ou Cethsamhain) cette fête celtique déjà évoquée plus haut qui marque le renouveau de la nature et de la fertilité de la terre, Herne se marie avec la déesse Dana (qui est l'équivalence irlandaise de la Déesse-Mère) pour que leur étreinte puisse libérer la terre du joug de l'hiver glacé.
William Sheakspear, dans Les joyeuses Commères de Windsor, lui consacre quelques vers :
"De temps en temps un gardien apparaît dans la forêt de Windsor, Toujours durant l'hiver, lorsque sonne minuit, Tournant autour d'un chêne, avec ses grands bois (de cerf) ; Et là il pulvérise l'arbre et s'empare du bétail, Faisant des laitières (vaches) un produit sanglant et agitant une chaîne De la plus atroce et affreuse façon. Vous avez entendu parler d'un tel esprit, et vous le savez fort bien Transmise et livrée à notre ère, Cette fable de Herne le Chasseur est la vérité vraie."
On pourra remarquer que ce texte correspond parfaitement à la légende du dieu Annunaki Odin, enfermé par la royauté anglaise dans ses sous-sols, et qui apparemment le laisse sortir de temps en temps histoire de faire des sacrifices comme au bon vieux temps des sumériens...
le rôle important du "Chêne de Herne" n'est pas négligeable. Les similitudes entre ce mythe et ceux du Wotan (Odin) germanique ne sont pas là pour rien. Il existe d'ailleurs de nombreuses auberges en Angleterre qui portent des noms associés à la Chasse sauvage, à Herne, ou encore à l'Homme Vert, ils forment d'ailleurs en toute logique, une seule et même entité selon les versions.
Kulhwch et Olwen : Ce conte, sous ses airs étranges est un véritable melting-pot de traditions. Il contient des traces de la légende du roi Arthur mais également des mythes indo-européens. Le thème principal serait : "La fille du Géant" ou "Six s'en vont par le monde", d'autres thèmes sont également présents comme la marâtre jalouse (qui lance un sort à son beau-fils afin qu'il se mette en quête de la fille du Géant), ou encore la quête des animaux les plus anciens du monde (qui doivent révéler des informations cruciales au héros afin qu'il mène à bien sa tâche). Suite à son séjour à la cour du roi Arthur, Kulhwch est pris du désir d'épouser la fille d'Yspaddaden (seigneur des Géants, qui doit perdre la vie lorsque sa fille se mariera). Kulhwch tomber sur leur seigneur, le Géant Yspaddaden. Sachant qu'il devra périr au moment où sa fille trouvera un compagnon, le Géant offre un accueil "écrasant" au héros en lui lançant des pierres et des lances empoisonnées. Kulhwch s'empare de plusieurs des lances envoyées par Yspaddaden afin de les lui renvoyer. La première touchera le genou du Géant, la seconde la poitrine et la dernière l'oeil (tiens, un borgne).
Pashupati : Au sein de Mohenjo-daro ("le Mont des morts") - situé au Pakistan, ce site archéologique contient l'une des plus grandes cités de l'âge du bronze indien. Cette dernière était fort avancée sur divers aspects, comme celui de la vie quotidienne (les demeures possédaient pour la plupart de salles de bains, des systèmes de traitement des eaux usées, des greniers,...) ou encore la culture (ils possédaient un système d'écriture qui n'a d'ailleurs pas encore été déchiffré) -, une pièce unique a été extraite des ruines de la cité : le "sceau de Mohenjo-daro". Le personnage principal de la scène est doté de deux cornes de taille respectable (détail plus discret, il est également pourvu de trois visages) et assis en posture de yoga. Nous pouvons également voir qu'il est entouré d'animaux sauvages (un tigre est visible sur la gauche)... nul doute qu'il s'agit là d'une représentation de Pashupati (ou Pâsunâthale) "Maître des créatures" (ou le "Maître du troupeau"), un titre qui semble fort approprié. Cette divinité peut-être trouvée dans le Rig-veda - collection d'hymnes sacrés de l'Inde antique, composés en sanskrit védique (langue ancienne de l'Inde, encore employée par les érudits et pour les textes religieux hindous). Le Rig-veda fait partie d'un des quatre grands textes canoniques (Srúti) de l'hindouisme qui sont connus sous le nom de Veda - comme l'un des épithètes de Rudra (divinité sinistre). Le temple Pashupatinah, situé à Katmandou (au Népal) semble être consacré a Pashupati. Il apparaît également dans le Mahabharata (littéralement : "la Grande guerre des Bharata"). Dans ce texte, Pashupati est incarné sous la forme d'une arme que Arjuna (fils du dieu Indra et l'un des héros du Mahabharata, son nom signifie : "le blanc" ou "le pur") obtient de Shiva (voir plus bas encore une fois) lors de la préparation de la guerre. Elle est l'arme la plus destructrice et peut être lancée par l'esprit, la parole ou un arc.
Rudra : Dieu védique de la mort et des orages, à la fois seigneur bénéfique et maléfique des animaux (une forme de dualisme donc) et de la nature sauvage (il est parfois associé à l'entité dépeinte sur le "sceau de Mohenjo-daro"). Rudra est également le père des dieux de la tempête, désignés sous le nom de Maruts - les Maruts, appelés aussi Marutagana sont, comme écrit ci-dessus, des divinités des tempêtes engendrés par Rudra et Prisni. Leur description semble les représenter armés d'éclairs, garnis de dents d'acier (avec un rugissement puissant comme celui du lion). Ils sont extrêmement violents et agressifs. Leur résidence se trouve dans le nord, où ils parcourent les cieux sur leurs chars d'or tirés par de puissants chevaux. Les Maruts sont également comparés aux Marutas (cités dans les Vedas), mais ceci est encore une autre histoire -. Il est vu comme le "prototype de Shiva" (ce dieu possède de nombreuses incarnations qui se réunissent en une seule entité), formant un groupe de onze Rudra.
Shiva : Divinité absolue des sivaïtes (appelés aussi "saiva pamtha"), vénéré et représenté sous d'innombrables aspects (Pashupati qui est sa plus ancienne forme et Rudra son prototype n'en sont que des "exemples"), on peut souvent le voir figuré avec un oeil frontal, un trident et un serpent (ses attributs principaux dans l'Inde du Nord) ou l'antilope et la hache (dans le sud). On reconnait là Poséidon, Thor avec sa hache, etc. La Trimoûrti est une partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers. Dans le shivaïsme, les dieux Brahmâ (créateur de tous les êtres), Vichnou (protecteur et dieu de la terre) et Shiva (ou Rudra, sa forme destructrice), symbolisent respectivement : la création, la préservation et la destruction. Ils sont perçus comme des émanations de Shiva en tant que divinité suprême non-manifestée et donc, non-représentable (qui a dit que le christianisme avait le monopole du "dieu invisible" ?).
Pan (grec), ou Faunus (romain) : Dieu grec doté de pouvoirs de divination et protecteur des berger (ainsi que des troupeaux), il apparaît sous une forme à mi-chemin entre l'homme et le bouc : un corps velu, une longue barbe en pointe, des sabots fendus, tel le diable ou baphomet.
Avant d'être l'emblème de Hitler, ce symbole est utilisé universellement.
Dans les mythes nordiques, Odin est représenté en train de traverser l’espace comme un disque tourbillonnant ou un svastika regardant vers le bas à travers tous les mondes.
Un peu comme le Quetzalcoatl qui remonte sur la croix dans le ciel, d'où il surveille les hommes.
Une bonne recherche sur les traces des géants, juste enlever les géants qui dépassent 3,5m, ce sont des fake grossiers pour décrédibiliser les autres recherches sérieuses.
à suivre...