Nature Humaine (amocalypse)
Faits "inexpliqués">Faux dieux
Annunakis>Murs Cyclopéens
Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2019-01-22
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Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Inutile de vous préciser pourquoi le cyclope (un seul oeil) est lié au dieu borgne Annunaki Odin... Nous allons voir pourquoi nous appelons cyclopééennes ces ruines attribuées aux géants (ogres en France).
Partout sur la Terre, on trouve ces ruines étranges, aux pierres granitiques dont la carrière d'origine peut se trouver à des centaines de kilomètres, pierres taillées avec plusieurs angles (effets antismique), et qui s'ajustent parfaitement (sur plusieurs mètres de long, on ne peut glisser une feuille de papier, c'est à dire moins de 0.1 mm de jeu...). Autant préciser qu'on ne sait pas actuellement tailler de telles choses avec autant de précision...
Les ruines andines, en granit "moulé" (gonflées comme un marshmallow et parfaitement ajustées) avec les bossages arrondis dont on a peine à imaginer qu'ils aient servis au levage, sont les mêmes que les parements en granit de la pyramide de Mykérinos à Gizeh, que l'obélisque d'Assouan ou encore du temple sous terrain d'Abydos qui présente les mêmes tenons arrondis (du moins, avant qu'ils ne détruisent volontairement tous ces tenons en 2018).
Les surfaces des pierres molles ont l'air d'avoir été finies à la main, comme si la pâte avait ensuite durcie. Les tenons semblent plus avoir une fonction énergétique que de support, puisque seules certaines pierres les ont, et qu'il aurait été facile de les casser une fois mises en place si elles n'avaient pas une fonction occulte particulière.
Pour donner un exemple, regardons les ruines de la Forteresse Inca de Sacsahuaman, au Nord-Ouest de Cuzco (Sud-Est du Pérou). La femme sur la photo mesure 1.61 m de haut... Le bloc derrière la femme fait à peu près 5 m de large. Il est formée de 11 angles d'ajustement et s'ajuste si parfaitement avec les 7 autres blocs voisins qu'on ne peut pas glisser une lame de rasoir dans les jointures...
Notre science n'a pas de réponse sur comment ces blocs ont été assemblés, je me contenterait d'écarter les nombreuses hypothèses et de donner celle d'Harmonyum, la plus plausible.
Pas une pierre n'est identique, on sait au niveau granulométrie et réseau cristallin que ce sont de vraies pierres, on a retrouvé les carrière (avec les trous des pierres extraites, des pierres en cours de taille voir complètement finies. Ces pierres s'ajustent parfaitement entre elles, au point de ne pouvoir glisser une feuille de papier entre elles.
Cette technique antismique a parfaitement résister (du moins pour les pierres de base restantes) aux nombreux séismes qui ont eu lieu depuis leurs construction. Les pierres sont bombées, comme si elles avaient été amollies avant d'être écrasées par ses voisines afin de s'ajuster parfaitement (l'image du chamallow que l'on écrase légèrement entre les doigts).
Ces pierres ont jusqu'à 11 angles différents avec leurs voisines, tous ces angles étant bien sûr parfaitement ajustés au point de ne pouvoir glisser une feuille de papier.
Dans la carrière de granit d'assouan, dans les chemins creusés autour des blocs en cours d'extraction (sur les côtés et le dessous, afin de dégrossir l'extraction du bloc), on dirait que c'est creusé à la grosse cuillère, comme si elle avait enlevé des morceaux de sorbet. Impossible de savoir pourquoi ces chemins sont taillés parfaitement en rond et aussi irrégulier (traces de la cuillère de 1 m de diamètre), alors qu'ils disparaissent dans le bloc final.
Dans cette carrière toujours, des traces de carrés patatoïforme en creux, comme le pendant des carrés aux bords mous en saillie des blocs des parements en granit de Mikérynos.
Sur Mykérinos, on retrouve un endroit du parement où tous les blocs sont lisses et plans, comme si on avait appliqué une grosse plaque à cet endroit. Les blocs du bords sont à moitiés plans, à moitié bruts de démoulage.
Partout, on retrouve des cuves de granit, faussement décrites comme des sarcophages sauf qu'on n'a jamais trouvé de corps dedans, même dans la cuve scellée du sérapeum, ouverte à la dynamite par Mariette. Les sarcophages égyptiens ont d'ailleurs la forme de la momie, avec la tête et les épaules découpées. Ces cuves en granit sont parfaitement parallélipédiques, à la surface liésse et aux angles droits. Soit les gars ont passé des années à les lisser, soient ils ont appliqués un marbre sur une surface amollie... La profondeur des hiéroglyphes des obélisques en granit de Karnak (plus d'1 cm) montrent une dépouille, comme si ils avaient été moulés (on applique une plaque dessus, ce qui donne les hiéroglyphes et le fini lisse et brillant derrière).
En plus des multiangles, on a des courbes en haut et en bas, qui doivent s'adapter parfaitement aux pierres voisines. Encore plus chaud à tenir question précision d'usinage, chaque point ayant une courbe à respecter parfaitement, à la même distance en haut et en bas de la pierre (jusqu'à plusieurs mètres pour rappel).
Autant dire que même maintenant on ne sait pas faire ça, et encore moins à la chaîne pour construire des kilomètres de remparts...
L'hypothèse de pierres en ciment arrangeraient bien les choses (un coffrage permettait de fabriquer la pierre directement entre celles préalablement fabriquées) sauf que :
En gros, si les anciens avaient une technique inconnue de fabrication de géopolymère, pourquoi extraire les roches de carrières différentes ? Pourquoi reproduire exactement la roche d'origine, avec ses imperfactions et ses fissures ? Pourquoi ne pas plutôt faire comme maintenant du béton armé, bien plus résistant.
Harmonyum prends l'hypothèse la plus logique, celle qui est la seule a expliquer tous les faits de construction et qui est en accord avec les légendes locales.
En gros, les bâtisseurs plaçaient la pierre grossièrement taillée en place, puis utilisaient un procédé quelconque pour amollir la pierre. Sous l'effet du poids des pierres voisines, la pierre s'écrase comme un chamallow (d'où l'aspect bombé/gonflé des pierres) et l'ensemble s'ajuste parfaitement. Les pierres dites moulées de Sacsayhuaman sont un bon exemple.
Evidemment, les bases techniques de cette technologie ne sont par contre pas décrites ni donc reproductibles par nous (un niveau technologique qui nous dépasse encore de beaucoup, et que même les Annunakis ne maîtrisaient pas, se servant d'outils donnés par d'autres ET technologiquement plus avancés).
Nous ne confirmerons cette théorie que lorsque l'homme maîtrisera cette technique, ce qui est loin d'être le cas !
Les légendes locales confirment cette hypothèse d'un rayon ou d'un produit qui amollit temporairement la pierre, expliquant son ajustage parfait sans usinage tout en conservant le réseau cristallin de la pierre de carrière d'origine, ainsi que l'effet chamallow écrasé des pierres bombées.
Une légende parlait du jus d'une plante qui amollissait la pierre temporairement :
Bingham a écrit :
"One of the favorite stories is that the Incas knew of a plant whose juices rendered the surface of a block so soft that the marvellous fitting was accomplished by rubbing the stones together for a few moments with this magical plant juice!"
Hiram Bingham, Across South America; an account of a journey from Buenos Aires to Lima by way of Potosí, Boston, NY: Houghton Mifflin Company, 1911, p. 277
Un autre explorateur, Brian Fawcett, rapporte des histoires similaires de façon plus précise (Col. P.H. Fawcett, Exploration Fawcett, London: Century, 1988 (1953), pp. 75-7.). L'une parle d'oiseaux qui creusent des nids avec une brindille dont la sève liquéfie la roche. Une autre concerne un jeune anglais dont les éperons auraient été dissous par des plantes dans la jungle. Son fils, Brian Fawcett, raconte aussi avoir découvert une jarre dont le contenu renversé aurait rendu la roche molle comme de la cire. Ces histoires sont corroborées par de nombreux témoignages de populations locales.
Ce ne sont que des légendes, mais on sait que les dieux faisaient léviter les pierres avec une flûte (une baguette mystérieuse pour les autochtones de l'époque), donc l'oiseau (Enlil, avec le casque d'aigle) qui ramollit la roche avec une brindille (encore une baguette mystérieuse) ça peut parler !
Pour Harmonyum, il s'agirait d'ondes plutôt que de produits chimiques, mais il faut qu'il se penche encore sur cette théorie.
On retrouve des indices de pierres amollies en Egyptes, des pierres marshmallow au temple l'Osirion d'Abydos et sur le parement de la pyramide Mykérinos
On a aussi les dépouilles d emoulage pour les hiéroglyphes cyclopéens. C'est la profondeur des hiéroglyphes dans le granit qui impressionne (environ 2 cm sur un obelisque granit de Karnak) et le fond est lisse et brillant, intouché malgré les milliers d'années écoulées depuis la réalisation. On voit bien le creusement cônique, pour faciliter le retrait du moule enfoncé dans la pierre. Pour les hiéroglyphes, il semblerait que tous datent de l'époque dynastique, ces derniers ayant eux aussi une sacré technique (mais aidés par un dieu Annunaki encore présent). Les hiéroglyphes cyclopéens sont donc susceptibles d'avoir utilisés la pierre amollit, mais aussi le tracé d'un quadrillage et d'autrtes outils avancés mais plus conventionnels pour être tracés.
Un autre indice que les pierres étaient amollies en surface, et non reconstituées (moulées) :
Quand on voit les traces en surface, on dirait vraiment des coups de truelles... Les tenons en bas des pierres auraient alors été faits en modelant la surface solide visqueuse, pour récupérer l'excès de matière, et auraient servi soit à des fin géobiologiques (faire sortir par là les ondes négatives), soit comme escalier, ou autre usage inconnu.
Encore un indices des pierres amollies en surface, si elles étaient moulées elles auraient durcies en surface avant d'etre dur à coeur, et ici on voit bien que la pierre se tenait (dure à coeur) tandis que la surface était solide visqueuse...
Ces pierres avec "coups de truelle" ou de pelle ne se trouvent évidemment pas qu'à un endroit, mais partout dans le monde où il y a les pierres cyclopéennes. Par exemple dans la carrière de granit Egyptienne d'Assouan :
Les hébreux ont la légende d'Asmodée pour expliquer la construction du temple de Salomon (dont les pierres de 500 tonnes parfaitement ajustées sur plus de 10 m de long). Un géant savait utiliser un "vers" (mauvaise traduction, tout comme les amérindiens parlent d'un oiseau, sans voir de mot plus adapté) capable de tailler les pierres les plus dures, et suffisamment rapidement pour batir le soutainement du temple en 7 ans.
A ranger plus haut
C'est vrai que ces pierres ne sont pas agglomérées (structure cristalline de pierres, disposition des fossiles dans les pierres sédimentaires, les formes des pierres dans la carrière sont retrouvées) mais les légendes amérindiennes pour expliquer les pierres molles d'amériques du sud (pierres parfaitement ajustées malgré 11 angles communs avec leurs voisines, et forme de marshmallow écrasé) disent que les dieux avaient une technique, chimique semble-t-il, pour amollir les pierres en surface. Entassez des pierres amollies, elles s'ajusteront parfaitement entre elles et se bomberont. Appliquer des surfaces lisses vitrifiées avec des hiéroglyphes en relief sur le moule, les pierres adopteront les hiéroglyphes en creux, ainsi que la surface lisse du verre (essayez avec du plastique ABS réchauffé en surface au pistolet à air chaud, c'est le même principe.
Cette technique marche sur le calcaire et le granit, je crois qu'on a trouvé l'explication de toutes les réalisations antiques semblant impossibles !
Reste la découpe avec des outils rotatifs dans les carrières, les transports sur grande distance (découpe sous forme de boule pour faire des trains de gigantesques roulements à billes, avant de débiter les pierres sur place, voir antigravité pour les pierres les plus lourdes).
Ne me demandez pas comment faire de l'antigravité ou la formule de du liquide pour amollir temporairement la pierre. Je sais juste que c'est possible pour l'antigravité : on l'observe sur l'OVNI validé par le Pentagone, on sait que c'est possible, mais l'homme ne sait pas encore comment...
L'étude des parements de Mykérinos montre , que les cristaux de surface ne semblent pas modifiés par le procédé d'amolissement. Sur la vidéo, on voit bien un endroit où toutes les pierres ont été écrasées pour être plates en surface, alors qu'a côté elles sont encore brutes, comme si une planche de bois avait été appliquée sur cette partie. 2 pierres sont à moitié plates et à moitié brutes sur cette surface plane. En comprenant que les pierres étaient molles tout s'explique.
Comme seule la technique de la pierre amollie peut s'expliquer, on peut comprendre qu'au lieu de se faire chier à graver du granit dur, ils aient fait toutes leurs statues parfaites et bien lisses grâce à cet amolissement miracle. La technique semble se perdre après Ramsès 2, lors du passage de Nibiru (l'exode) dont l'Egypte ne se remettra jamais.
Raymont Réant, quand il se projette dans le passé pour savoir d'où vient le menhir de Lockmariacker, il voit des hommes qui le taillent à l'horizontale dans une carrière, avant qu'un groupe de géants n'arrive et avec une sorte de flûte ne fasse léviter la pierre pour la déplacer sur son lieu de pose. On retrouve les légendes montrant des dieux qui soulèvent les grosses pierres avec juste un bâton.
Il s'agit très probablement de techniques d'antigravité (on pose un appareil sur la pierre et tout ce qui est dessous se met à léviter).
Harmonyum cite aussi les boules rondes plus faciles à faire rouler pour les amener sur place en groupe, comme un gigantesque roulement à bille linéaire. On retrouve beaucoup de ces boules parfaites un peu partout sur Terre, celles du Guatemala étant les plus connues.
Une fois les boules amenées sur place, elles étaient débitées en bloc plus petit.
Les sarcophages Egyptiens ont la forme de la momie dedans (tête découpée, épaules, s'amenuisent vers le bas, etc.).
Les grosses cuves rectangulaires de granit noir ne sont pas des sarcophages, et globalement on n'a jamais retrouvé de momie dedans (exceptés les réemplois tardifs ou la mauvaise foi des découvreurs), ils étaient vides.
La pyramide est bâtie avec 2 types de calcaire, du basalte, du granit, de Quartzite et de calcite blanc. Toutes ces pierres proviennent
Je fais passer les liens suivants pour relater les faits uniquement et vous faire comprendre que l'histoire officielle ne tient pas debout, et que beaucoup de découvertes archéologiques sont occultées ou pas prises en compte. Je me désengage par contre des supputations apportées ensuite par leurs auteurs.
Super site, analyses poussées et complètes sur toutes les ruines annunakis, des civilisations humaines actuellement "archaïques", qui l'étaient avant la construction des bâtiments mégalithiques, puis qui "spontanément" entrent directement dans leur âge d'or, sans phase de progression ou d'apprentissage, comme s'ils avaient d'un coup une connaissance supérieure, construisant des batiments que l'on ne sait reproduire actuellement, possédant des techniques encore inconnues, puis retombant dans la préhistoire dès lors que leur dieu les abandonne.
http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/
Une petite île du Pacifique pouvant nourrir 30 000 personnes max, qui construit des pyramides style Gizeh mais sans possibilité d'expliquer ces constructions par des millions d'esclaves travaillant avec acharnement, performance, compétence et abnégation comme les archéologues essaient de nous le faire croire pour l'Egypte. On retrouve la légende de Merlin qui bâtit Stonehenge, là encore un magicien est arrivé et a déplacé les pierres de la cité de nan Madol en les faisant voler/léviter. On retrouve encore une fois des constructions sous la mer (une partie de la cité est engloutie), et la carrière d'où sont originaires les pierres n'a pas été trouvée sur l'île, bloquant nos "spécialistes" qui semblent toujours incapables de concevoir que les plaques s'affaissent et que le niveau de la mer varie, dans des échelles de temps très courtes. Non loin de là, dans une île proche, une autre cité mégalithique ruinée, dont les natifs, quand on leur demande qui a construit ces villes, montrent le ciel...
http://homme-et-espace.over-blog.com/2016/01/l-incroyable-et-impossible-cite-de-nan-madol.html
Les tumulus n'abritent que des hybrides issus des renégats Annunakis après -1600.
Comparaison entre les pyramide eurasiennes africaines et amérindiennes :
Le très fameux documentaire "la révélation des pyramides", suivi d'un entretien avec Jacques Grimaud :
https://www.youtube.com/watch?v=znYc--p2EjM
https://www.youtube.com/watch?v=D8s8Sr3L8Ds
Les textes bibliques issus des textes sumériens :
à suivre...