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Théorie >Les énergies libres>Vibrolyse de l'eau>Journal de tests

Première version: 2003-05-19
Dernière version: 2015-05-10 contenu :05/11/2003

Journal de tests sur la vibrolyse

Je vais ci-dessous reprendre dans l'ordre chronologique les essais que j'ai réalisé sur mes prototypes.

Sommaire de la page


Résumé des essais

Début décembre 2002, je reçois le colis de Conrad avec les composants électroniques pour fabriquer le circuit de contrôle et l'oscilloscope.
J'ai perdu beaucoup de temps à développer les composants annexes en étant sûr que le produit marcherait (Circuit de niveau d'eau, capteur de pression dans la chambre, éléments de sécurité annexes, beaucoup de réflexion sur des choses qui ne me serviront jamais, capteur de niveau d'eau, etc...). J'aurais dû me focaliser sur un prototype non finalisé mais qui aurait démontré la viabilité du principe.
De plus, le circuit électrique est devenu très complexe à réaliser, et je l'ai refait plusieurs fois, ce qui prends énormément de temps à chaque fois. La réalisation de schéma et surtout le développement d'une page internet au fur et à mesure sont aussi de gros consommateurs de temps.
Des problèmes sur le débitmètre m'ont empêchés de valider d'éventuels résultats qui auraient pû se produirent.

Les premiers essais ont montrés des résultats qui m'ont étonnés, mais qui ne résistent pas à celui qui connait un minimum l'électricité. Les comportements en condensateurs et en pile galvanique ne doivent plus être considérés comme magiques.

La première chambre ne donnant plus aucun résultat, et comme elle chauffait trop car trop haute, j'ai entrepris la création d'une chambre moins haute (diminution du volume de gaz au-dessus, abaissement du niveau de l'eau qui normalement devrait être à moins d'un cm de l'électrode). J'ai aussi coupé trois électrodes en conséquences. Mais suite à des erreurs le couvercle supérieur se trouve encore trop haut de quelques cms.

Cette chambre moins haute a donné de bons résultats. J'utilisais toujours le vibrolyseur, mais lorsque je l'oubliais (voyages avec la copine à côté) la chambre ne marchait plus ensuite (c'est à dire que les bulles émises n'étaient pas bonnes, et pas de baisse de consommation observée).

Lors du voyage à St Cyprien, je la lançais de temps en temps (régulièrement et moins d'une minute), et à l'arrivée la voiture calait tout le temps. Mais je me suis aperçu plus tard que le gicleur de ralenti avait surement une impureté balladeuse.

Ensuite, c'est la découverte de la Joe Cell et de ses résultats similaires à ceux que j'observais. Cela prends aussi beaucoup de temps à rentrer dans le monde de l'énergie libre où l'on trouve de tout et n'importe quoi.

Journal des essais

Description des 1ers essais

- J'ai coupé à 20 cm à la lame de scie à métaux un couple d'armatures cylindriques (fils électriques rose) en fer d'espace interannulaire de 1mm (épaisseur des armatures : 1,5 mm, diamètre ext armature ext = 25 mm (23mm à l'int), et diam ext de l'arm int 21 mm, hauteur des armatures 20 cm). Electrode extérieure reliée à la masse :

- J'utilise un transfo secteur délivrant du courant continu de 12V -9V - 7,5V, 6V, 4,5V et 3V. Les tensions réelles mesurées au voltmètre sont, au début de l'essai : 15,85V, 11,75V, 9,92V, 8,25 V, 6,55V, 4,80V. Ces valeurs changent par la suite, suivant comme le transfo chauffe, comme il est chargé, etc...
Il est normalement limité à 500 mA, mais je l'ai monté des fois à plus d'un ampère (pas longtemps pour ne pas le faire chauffer). A noter que ce transfo avait ses polarités inversées, ce qui fait que je croyais mettre mon armature extérieure à la masse alors qu'en fait elle était reliée au plus, ce qui explique ma ddp résiduelle que je croyais inversée, ce qui m'avait étonné à l'époque. Je garderais par la suite les remarques d'origine.

- Comportement de condensateur du couple dans l'air : Il faut environ 15 s pour qu'un couple (25 mm ext, 21 mm int, haut 20 cm) passe de 12V à 16V (avec une résistance intercalée de 56 k). Le couple est bien une capacité (diélectrique : l'air). J'ai bien vérifié ensuite que lors du test de la ddp résiduelle, celle-ci chutait rapidement (condo se déchargeant dans le voltmètre).
Pas de courant détecté lors de la charge du condo. Se décharge ensuite lentement avec un courant entre les deux bornes du couple si on branche directement l'ampèremètre + la résistance de 56k entre les deux.

- Résultat surprenant : dans l'eau déminéralisée, l'armature extérieure (branchée à la masse précédemment), se comporte comme un + en se déchargeant lentement à travers l'ampèremètre seul.

- C'est après les essais de condos (en ai fait 2 ou 3) que j'ai détecté à vide la ddp résiduelle de 61 mV, qui a tendance à monter (0,2mV en 25s). Elle tombe à zéro si l'on court-circuite les plaques, mais remonte à sa précédente valeur juste après. J'ai d'abord pensé au départ à une différence de chaleur entre le cylindre extérieur et intérieur, car si je chauffait avec la main le cylindre extérieur, la ddp montait. Et elle diminuait si je chauffait avec le doigt l'armature inférieure. J'ai remarqué l'établissement d'un courant pendant plusieurs minutes, de 3,3 à 2,9 µA.

- Il me faut 12s pour monter à 7,8V avec la résistance. Si j'enlève la résistance, la tension s'établit presque instantanément à 15,5V.

- J'ai ensuite commencé une électrolyse dans l'eau du robinet, sous 7,5V (16V au transfo, utilisation de la résistance), mais je sais plus trop ce que j'ai fait, je mesurais une résistance de 700 ohm qui montait ensuite (au fur et à mesure de la charge du condo je pense), mais je crois que je le faisais directement avec l'ohmètre et le circuit sous tension, ce qui n'est pas bon, résultat faux.
Je place ensuite le couple dans de l'eau distillée (sans l'essuyer, donc les paraois chargées de calcaire). J'ai remarqué que la résistance montait, surtout si on secouait, et se stabilisait à 23kohm. Si on tape longtemps, elle montait à 40 k (ces valeurs ne veulent rien dire, mais quand j'en saurait plus sur l'électricité je pourrais calculer ce qui s'est passé).

- Quand on secoue le couple, le courant diminue. Lors du branchement, I monte très haut, puis diminue, avant de remonter (je pense que c'est l'établissement du tampon de bulles qui provoque cette chute d'intensité, avant que le flux ne reprenne son flot normal). Pas d'électrolyse quand une bulle s'arrête sur la surface.
Avec la résistance je suis en mesure de faire varier U, la ddp entre les deux bornes du couple.
Sous 8,25V, I=33mA (250ohm par la loi d'ohm), sous 10V => 38mA (263ohm), sous 12V => 50mA(240), sous 16V => 53mA (301ohm). j'en ai déduit que la résistanec de l'eau distillée entre les plaques de ce couple était de 250ohm.
Quand on débranche, on obtient -1,4 mA de courant de décharge.

- Avec l'eau du robinet, pour 4,8V, I=200 mA. Sous 15V, on observe un gros dégagement de petites bules et de dépôts verts (je pensais que c'était du au fait que le récipient avait contenu du liquide de refroidissement, donc du glycol probablement, mais maintenant je pense que ces précipités sont le premier sous-produit de l'oxydation du fer en surface, conduisant ensuite à la rouille, mais faire le rapprochement entre le fait que la Joe Cell est mieux quand il y a du liquide de refroidissement).

Grandes lignes de fonctionnement résumées suite aux premiers essais

- Lors d'une électrolyse classique, j'ai remarqué que la résistance du couple tendait à augmenter quand l'électrode préalablement chargée (potentiel de 7,5V) était plongée dans l'eau du robinet. La résistance arrête de monter quand on secoue l'électrode.
La résistivité de l'eau déminéralisée est supérieure à celle du robinet. L'eau déminéralisée dégage moins de bulles, pour un courant bien moins important.
- Existance d'une ddp résiduelle entre les armatures d'un couple. Même après court-circuit, cette ddp est toujours présente. Il semblerait que cette ddp augmente si l'on couche l'armature (captation des ondes FM, faible longueur d'onde) et diminue si on la tient droite, faisant penser que le couple utilisé capte les ondes radio. Cela n'apparait absolument pas dans un couple n'ayant jamais servi, et cette ddp résiduelle augmente avec les temps d'utilisation du couple.
En mettant un ampèremètre, j'ai pu mesuré le passage d'un courant entre les deux armatures d'un couple.
Autre bizarrerie, un couple peu utilisé et humide (donc ddp très faible, mais supérieure à 0, cas où le couple n'aurait jamais servi), change de polarité si on le couche ou si on le tient droit.
- Temps d'initiation de la réaction : Lorsque l'on utilise pour la première fois un couple, la réaction est très longue a venir. Plus le couple à servi, plus la réaction se fera rapidement.
Même remarque, mais dans une moindre mesure, pour l'eau : si on change l'eau, la réaction est plus longue à arriver qu'avec l'eau remplie de précipités rouille.
A lier à la ddp résiduelle augmente si le couple à beaucoup servi, et au fait que la réaction est meilleure quand les particules rouilles sont plus nombreuses et on eu le temps de se transformer en rouille.
Au début ce temps m'a joué un tour, car je suis parti des basses fréquences (en eau déminéralisée, pour avoir plus de temps avant établissement de la réaction, donc des résultats plus significatifs), il ne se passait rien, et je suis monté par palier en fréquence, en mesurant à chaque fois le temps mis pour le filet de bulles au régime stabilisé mettait de temps à s'établir. Plus je montais en fréquence, plus ce temps se réduisais (je prenais bien soin entre chaque essai de laisser un petit temps de repos, de bien secouer les armatures et de mettre en court-circuit les deux, afin de faire se décoller les dernières bulles). Ce que j'interprétais comme le fait que la fréquence jouait bien un rôle. Vers 20 kHz, j'ai essayé avec une électrolyse simple (courant continu. J'ai continué les essais, et à 42 800 kHz, miracle, le temps de dégagement était inférieur à l'électrolyse simple, donc le procédé était bien plus efficace qu'une simple électrolyse, CQFD. Ensuite, les temps étaient légèrement augmentés, et le courant bien plus important, je pensais donc avoir ma fréquence de résonnance et montré que le procédé marchait. Je me suis ensuite arrêté car le signal était carrément dégradé à ces fréquences là, et je pensais qu'il y avais une merde dans mon montage (le rapport cyclique en sortie du 555 augmentait quand j'augmentais la fréquence, donc les résultats n'étaient plus comparables).
J'ai repris les essais plusieurs mois plus tard, avec la même eau (devenue rouge à la longue), et en réessayant l'électrolyse simple comparée à ma fréquence magique, j'ai vu que l'électrolyse simple était bien plus efficace. Est-ce que j'ai touché quelque chose, ou est-ce simplement que l'électrode était arrivée à son maximum d'efficacité, et que je pouvais faire des comparaisons significatives entre les procédés, et que les précédents résultats étaient faux car utilisés pour l'électrolyse simple avec un couple qui n'était pas à son top d'efficacité?
Je me consolais ensuite en me disant que le dégagement de bulles était vraiment important, et que même si le courant consommé était important, j'avais quand même de quoi faire fonctionner ma voiture. Mais les dépôts couleurs rouille qui apparaissent sont bien venus de quelques part non? De l'armature par exemple. Ce qui implique que celle-ci va se dégrader au cours du temps. Dans quelle mesure? Cela me semble à première vue assez rapide. L'expérience nous le dira.
- Si je plonge le couple dans l'eau, la fréquence est modifiée pendant une dizaine de seconde avant de revenir à sa valeur initiale, puis elle oscille. Observé avec un transfo sur le secteur, j'en déduis que celui-ci est sensible à la charge qui modifie la valeur de sa tension. A vérifier sur véhicule.
- Courant d'électrolyse : Ce courant est toujours très fort au début, puis diminue progressivement de quelques mA.
- Voltage TRMS aux armature. Plus ce voltage est élevé, plus la réaction semble être efficace. A creuser.
- Rapport cyclique : le dégagement max est obtenu pour un rapport cyclique en sortie du 555 de 90%.
- Dépôts sur les armatures en fer : Coulées noires, avec des couleurs rouille sur le bord. J'attribue les coulées noires au carbone contenu dans l'acier des armatures.
La réaction produit des dépôts verts qui remontent avec les bulles à la surface, puis s'écartent des fils qui plongent dans l'eau. Si on laisse reposer, ils se transforment en dépôts rouges et tombent au fond de l'eau, celle-ci conservant une teinte rouge rouille.
Les dépôts dans l'eau, initialement verts, deviennent après quelques heures couleur rouille. Je pense qu'il s'agit du premier oxyde du fer, l'hydroxyde ferreux obtenu (Fe(OH)2, de couleur verte), qui est instable dans l'eau aérée (contenant de l'oxygène dissous, inévitable dans notre cas sauf si l'on a porté l'eau à 90°C préalablement et que l'on a évité de la mettre en présence de l'air), et s'oxyde en sel ferrique Fe(OH)3, c'est la rouille.
Equations des réactions aux électrodes :
oxydation du fer à l'anode (relié au +12V, armature intérieure) : Fe ⇌ Fe 2+ + 2 e-
A la cathode, il y a réduction de l'oxygène dissous : O2 + 2 H2O + 4 e- ⇌ 4 OH-
Les 4 e- venant de la masse du véhicule, c'est une partie du courant électrique consommé par le système. Si l'on écrit la somme des deux réactions, l'on obtient:

2X Fe ⇌ Fe 2+ +2 e-
+O2 + 2 H2O + 4 e- ⇌ 4 OH-
=O2 + 2 H2O + 2 Fe ⇌ 2 Fe 2+ + 4 OH- ⇌ 2 Fe(OH)2

Les OH- pour transformer l'hydroxyde ferreux en rouille sont fournis par la réaction suivante :
2H2O(l) + 2e- ⇌ H2(g) + 2OH-(aq).

C'est une interprétation de ma part, je n'en suis pas à 100% sûr, et ce n'est qu'une des réactions parmis les autres.

La circulation d'un courant électrique dans l'eau nous ramène au système Pantone (deux métaux très près l'un de l'autre (toujours ce 1 mm fatidique que l'on retrouve dans toutes les inventions de l'énergie libre... escroquerie?) à des températures complètement différentes, formant un thermo-couple.
- Consommation électrique dans un montage en électrolyse (placé à +12 V non stabilisé, mesuré au multimètre) : 50 mA dans de l'eau déminéralisée. A 16 V, on a 200 mA pour l'eau déminéralisée et 1,3 A pour l'eau du robinet. Si le dégagement de bulles est bien inférieur pour l'eau démin, il reste conséquent comparé au résultat obtenu avec le circuit de contrôle.
- Avec le circuit de contrôle, 12V : 700 mA en BF, et 900 en HF (réglé sur la position du ralenti).
Après reprise des tests, je me suis aperçu que finalement la libération de gaz était supérieure par électrolyse classique (issue d'une alim 12V, donc présentatnt des ondulations comme le circuit électrique de la voiture).
J'ai aussi pu remarquer que la libération de précipité vert au début (qui après quelques heures deviennent rouille) doivent agir, puisque en changeant l'eau du robinet pour en mettre une propre, les performances chutaient jusqu'a ce que l'eau soit de nouveau plus propice à la libération de gaz.
L'eau du robinet est carrément mieux que l'eau déminéralisée. La consommation électrique est 5 fois supérieure. Cette conso chute après les premières secondes, surement du à la diminution de production de gaz suite aux bulles dans la zone de réaction.
Si on laisse un moment, la libération de gaz chute un peu, dû à la présence de trop nombreuses bulles.
Pour le moment, j'ai donc bien l'impression que nous avons à faire à une électrolyse classique, mais que le circuit de découpage permet de limiter la quantité de gaz générée, ce qui dans le brevet de Garrett correspond à l'emploi d'une résistance variable pour limiter le courant.
Son inverseur de polarité répond je pense à un problème de dépose de tartre sur la cathode, donc de limiter l'entretien des électrodes.
Mon seul espoir que ça marche un jour réside donc dans le fait d'obtenir un gaz atomique.
J'ai peur aussi que la production de rouille ne soit le signe d'une réaction chimique avec l'eau, ce qui va forcément provoquer l'usure rapide de mes électrodes. La réaction ne serait pas le mouvement perpétuel si les électrodes sont bouffées. Reste à comparer ensuite l'énergie dépensée pour fabriquer le fer des électrodes (désoxydation de la ferrite naturelle nécessitant des hauts fourneaux) avec celle dépensée par le carburant plus l'énergie pour le craquer dans les raffineries.
Résultats chiffrés :
Les résultats du tableau se suivent dans l'ordre des essais.
Le circuit seul (sans couple) consomme 27,5 mA.
Avec un couple dans l'air (à vide) : 33,7 mA (80mA si potentiomètre du 555 mis à la position 0 ohms). Plus le α 55 augmente, plus le courant diminue (28 mA).
Premiers essais réalisés (avec le couple augmentant progressivement en efficacité sans que je m'en rende compte), eau déminéralisée => essais #1..
Deuxième série d'essai : avec eau déminéralisée en premier temps (essais #2), puis eau du robinet très calcaire ensuite (essais #3).
essai #4: même qu e3 mais avec couple neuf. C'est un gros bouillon bien réparti, arrivant rapidement ce qui rend difficile la comparaison. C'est pourquoi j'ai fait plusieurs essais, pour essayer de montrer l'écart type relativement important des mesures effectuées. Le couple est usé mais l'eau est neuve. Quelques minutes d'essai avant les mesures.
essai #5 : utilisation d'une électrode neuve.1,3 A au début, 1 min pour que les premières bulles apparaissent. JE secoue les bulles et relance: 1,2 A, amorce plus rapide mais moins qu'avec l'électrode usée. Les bulles se collent et progressivment font chuter le courant et la réaction. Grosse émission de dépôt. Si je secour les armatures, l'intensité augmente. les bulles diminuent bien la surface de réaction.
Un rapport cyclique de 100 correspond à une électrolyse simple.

numéro d'essai Fréquence (kHz) temps d'initiation (s) courant initial (A) courant stabilisé (A) temps pour courant stabilisé (s) Voltage TRMS aux armatures (V) rapport cyclique α du 555(en %)
1 43,4 8 0,270 0,210 8 0,89V 65
1 41,6 7,08 0,3 0,23 10 1,15 62
1 29,4 9,64 0,24 0,2 ? 1,79 58
1 38,4 1,22 0,23 0,2 ? 4,45 65
2 41 9,3 ? 0,19 ?
3 42,6 10 1 0,93 ? ? 80
3 42,6 3 1,12 0,94 4 ? 100
3 42,6 4 0,99 0,88 ? ? 80
3 42,6 3,65 0,99 0,81 ? ? 80
3 42,6 5 0,89 0,817 ? ? 80
3 42,6 4,4 0,87 0,77 ? ? 80

- J'ai testé un couple dont l'armature intérieure avait été scotchée sur l'extérieur, pas de réaction. J'ai arrêté quand j'ai vu que quelques bulles apparaissaient aux endroits où il n'y avait pas de scotch, preuve que ce n'était pas l'électrode qui était en tort, et que celle-ci était correctement chargée. J'ai ensuite essayer avec du rustol, et pareil, même échec, meme en changeant la fréquence, et en augmentant à fond le rapport cyclique 555. Nous avons donc bien affaire à une simple électrolyse dans notre cas, ce n'est pas le procédé Meyer.
Il faut bien qu'il y ai le passage d'un courant dans le cas qui nous préoccupe.

Expériences restant à réaliser

- Vérifier si le dégagement est plus important lorsque la chambre est chauffée.
- Vérifier si en mettant de l'eau chaude, la réaction est améliorée.
- Mettre un bon diélectrique (genre mica, mais qui se passe avec un pinceau) sur la surface de réaction des armatures et regarder s'il y a encore génération de bulles. La peinture plastique ou le rustol empêchent complètement la génération.
- Vérifier en branchant une bobine de deuche double sortie si en augmentatnt la tension le courant consommé ne diminuerait pas et si la réaction ne serait pas améliorée (l'effet vibrolyse prenant le pas sur l'électrolyse..
- Vérifier dans quelle mesure la nature du matériau des électrodes (fer ou inox) influe sur la réaction.
- Vérifier si la hauteur d'armature n'influe pas sur le débit (normalement, plus c'est haut, plus les bulles dégagées par la réaction en bas vont limiter la réaction de la surface du haut, diminuant par là même la surface de réaction utile). En tirer un graphique montarnt l'optimum entre la diminution de la hauteur et l'augmentation du périmètre libre qui en découle, qui lui diminue le rendement (le champ électrique aux extrémités fait une courbe et son efficacité est diminuée).
- Vérifier si en mettant deux fois plus de surface de réaction par ajout d'un cylindre à l'intérieur du couple, le volume dégagé est bien 2 fois supérieur (ou du moins si le rapport débit/surface est bien resté le même que pour une surface de réaction moindre). Qu'en est-il du courant en entrée, du rendement global de la réaction? Cela permettra de déceler un éventuel facteur de taille.
- Si les deux tests ci-dessus sont concluants, on construira des armatures cylindriques basses concentriques, imbriquées les unes dans les autres, ou alors deux plaques d'inox face à face et enroulées en spirale pour optimiser l'encombrement. Bien respecter une hauteur minimale pour ne pas augmenter la longueurs ds côtés, responsables de perte d'efficacité par dispersion du champ électrique aux extrêmités.
- Vérifier le rôle de la pression dans le rendement. S'il n'est pas nécessaire, on pourra faire en sorte de la diminuer au max (diminue le risque, les fuites, etc.).
- Vérifier en ajoutant de la vapeur si la chaleur du moteur diminue. (Au mieux, installer une vanne EGR, ce qui augmenterait le rendement du moteur, diminuerait la chaleur dégagée, et augmenterait le rendement par diminutaion des pertes par pompage à l'admission).
- Essayer de vérifier dans quelle mesure joue le phénomène d'adsorption (dissociation des molécules à la surface d'un catalyseur).
- Rapprocher les deux fils d'un couple pour voir si le débit est augmenté u le temps d'initialisation est diminué, c'est ce qu'il m'avait semblé lors d'une expérience (je prèconise jusqu'ici de les écarter au maximum l'un de l'autre, mais peut-être j'ai tord).

Pour améliorer le rendement, on peut apporter les diverses améliorations suivantes, qui marchent normalement sur une électrolyse :
- placer des aimants, de préférence de même pôle (soit le sud, soit le nord uniquement). Ou alors un champ magnétique alternatif.
- Une source de lumière ultraviolette pour améliorer la séparation de la molécule.
- Des ultra sons, à la fréquence de 600 coups par secondes, ou aux fréquences de 620 - 630 - 12 000 - 42 800 cycles par seconde.
- Une large surface d'armatures, des convolutions, etc. pour une meilleure génération de gaz (meilleure capacité des armatures).
- Les liaisons sont cassées plus facilement si la chambre est chauffée.
- Employer un courant continu avec un courant alternatif avec des impulsions d'amplitudes d'excitation, le DC gardant l'eau excitée, l'AC lui donnant des secousses aux fréquences suivantes : 620 - 630 - 12 000 - 42 800 Hz.

Essais sur la voiture

Essais avec la chambre version 1

1ere chambre :
Les armatures étaient inversées par rapport à la Joe Cell, c'est à dire intérieure branchée sur +12V
(mars - avril 2003). Je n'ai pas corrigé les indications sur le manuel de la méhari Vecors qu'en novembre 2003.
Pour prévoir sur le carbu, j'ai commencé à boucher à l'araldite le gicleur second corps, puis ensuite j'ai bloqué physiquement (le 06/04/2003) la course du papillon du premier corps en empêchant l'ouverture du second corps.

03/04/2003
mesures du CC (régulateur mis, enlever le 0,1 micro farad en entrée l'ai mis juste avant le 555. Conso du montage à vide sans armatures 26.4 mA.

06/04/2003
Après être rentré de Grenoble en utilisant le débitmètre qui marchait mal au bout d'un moment, roulé à l'économie.
ddp résiduelle (après 10 mn, entre la masse en + et l'armature de masse en « - multimètre ») : 270 mV.
Cette valeur chute lentement quand on la mesure, même si on la mesure en inverse (passe de 265 mV à 250mV) si on inverse les fils). De 237 mV à 227 mV en 30 s.
3,60 A si je relance. A l'ampèremètre de la voiture, la position de l'aiguille est semblable à celle de la position veilleuse, ou lorsque j'appuie sur les freins (avce 1 A de moins je pense).
Après un quart d'heure, l'écume verte prend une couleur rouille.
A l'époque j'essayais encore d'obtenir une augmentation de pression dans la chambre. Quand je met l'électrode d emasse directement à la masse, on entend le bourdonnement mais la pression ne monte pas sur l'écran du manomètre. Passe de 10,11 A à 8,88 A pour remonter ensuite à plus d e10 A (les fils du multimètre deviennent chaud).
La config de la chambre était encore en 5 électrodes. ces hautes intensités provenaient surement d'une électrolyse parasite avec les vis de connection à la chambre mal isolés. C'est pourquoi par la suite j'ai dû reprendre la conception de la chambre, en la diminuant de hauteur pour qu'elle soit moins exposée à la chaleur de l'échangeur de chaleur échappement droit, et d'autre par que j'ai réduit la hauteur des électrodes et passé leur nombre à 3, pour avoir un courant moins important suite à la chauffe importante du radiateur de l'IRF510.

Réessai avec le CC, 3,8 A puis au bout de 30 s 3,35 A. La pression ne monte toujours pas (je voulais m'en servir pour déterminer la fréquence optimum).
En mettant le potard papillon à fond, le courant passe de 3,35 à 3,8A, puis redescend doucement.
Le problème pour une utilisation en hydrogène pur c'est que le gaz produit reste à l'intérieur des bulles de l'écume. Il faudrait qu'il y ai plus de pression dans la chambre pour que les bulles disparaissent.
Ai récupéré le gaz des bulles avec la poire, et il souffle la flamme d'une allumette et sort à haute vitesse en faisant « pouk », il me semble que c'est plus une explosion qu'une implosion.

Reprise des essais après avoir lutter avec le moteur de la pompe à eau qui ne marche pas. Avec un alpha 555 à 60%, l'intensité est de 3,80A, puis tombe rapidement à 3,5 A. Si je relance, repart de 3,55 A. Au bout d'une minute, tombe à 3,20 A, radiateur IRF510 très chaud.

Modifications à apporter à la première chambre (8/5/2003)

Diminuer la taille des armatures à 17,5 cm, puis les mettre dans la petite chambre avec de l'eau neuve.
Construire un couvercle avec un tube alu de sortie et une prise borgne sur le côté du carburateur.
Faire des essais en chageant la fréquence.
L'électrode extérieure sera reliée au plus, depuis le haut, à partir de connections venant du tube de sortie et formant un cône (comme la construction est compliquée, on pourra l'éviter dans un premier temps en laissant un fil partir depuis le bas, cela facilitera après l'ouverture du couvercle du haut. Par contre, on pourra faire en sorte que le fil monte le plus haut possible près du tube de sortie, afin de refaire cette notion de cône (peut-être que le potentiel positif attire les électrons de l'hydrogène naissant, qui sont ensuite récupérés via les parois du cylindre (négatives) lors d elka combustion). L'électrode intérieure sera reliée à la masse par le bas.
On mettra un radiateur supplémentaire pour le CC.
On bouchera l'entrée d'eau par le bas avec un tuyau lave-glace de 1cm de long, fondu à une extrémité pour rendre étanche le couvercle du bas.
le tube de sortie sera lui aussi isolé avec du chatterton et du papier alu. peut-être aussi avec de la mousse polyuréthane. on chanfreinera du côté intérieur a la chambre pour que l'on passe progressivement d'une épaisseur de tube de 0 à celle du tube. On reliera l'extrémité du tube au potentiel positif (pas de courant, donc un petit fil peu suffire).
Comme le tube de sortie est positif, on enfoncera à l'extrémité un tuyau néoprène de 10 cm, 2,5cm enfoncés de part et d'autre afin qu'il y ai un espace de 5cm entre le tube et la connection borgne au moteur.

Journal au jour le jour

05/06/2003 :
Depuis le week-end du 24 et 25 mai, où j'ai laissé trop longtemps le vibrolyseur enclenché, il n'y a plus d'effet, les bulles ne tiennent pas et l'eau est très noire. J'ai remarqué que le courant chute très vite. Cela a été le cas même au retour de la concentre, quand j'ai rajouté de l'eau du robinet du camping. Depuis le transistor chauffe un peu, ce qui m'oblige à la couper plus souvent qu'avant, mais ce n'est pas follichon.
Cela fait 2 jours que la voiture n'a pas tournée. Je mesure la ddp résiduelle : 21,5 mV, très stable. Je vide l'eau à travers un filtre dans une bouteille de Vittel, je nettoie au jet la chambre, essuie au sopalin les bords supérieurs qui sont noirs comme si on les avait brûés, ddp résiduelle debout de 105 mV (chute relativement lentement). Je remet l'eau filtrée, 209 mV (chute pareil qu'a l'air libre). Je lance une vibrolyse quelques secondes, je l'arrête et regarde ce qu'il se passe, les bulles continuent un moment à sortir et l'eau de s'agiter en surface, comme si la vibrolyse continuait. Il n'y a qu'un seul couple qui fait ça, les autres émettent des bulles beaucoup plus fines et moins nombreuses. C'est le couple le plus au milieu de la chambre, du fait de l'excentration du support polystyrène. Je pense que l'écume durant le voyage à dû monter jusqu'au couvercle, puisque des morceaux de polystyène étaient accrochés à celui-ci. Les bulles sont grises, et je n'ai pas l'impression que l'électrolyse est plus importante qu'avant le filtrage. L'eau dans la chambre à peine remise à repris une coloration noire, due semble-t-il aux fines particules noires, provenant sans doutes du polystyrène qui brûle ou réagit chimiquement aux ions ou protons présents dans l'eau.
Laissé pour la nuit avec le robinet de chambre entre-ouvert.

27/06/2003 - 154 246 kms
- Ca fait plusieurs semaines que la chambre est retirée de la voiture et qu'elle reste dans le garage, toujours remplie d'eau, avec le robinet du haut fermé, et la position à moitié couchée.
- Quand je l'ai ouverte, il y avait une grosse odeur de colle Tangit, et un gros gros dépôt au fond, bien noir, gras et visqueux. Ai mis l'eau filtrée dans 2 bouteilles (pour accélérer la filtration), ai retiré tout le polystyrène, même celui du bas, ai bien nettoyé l'intérieur de la chambre au jet d'eau, puis sommairement au sopalin, puis ai mis de la mousse expansive sur le couvercle du bas, mais avait des problèmes pour tenir correctement les trois couples (n'avait rien prévu pour les maintenir en place), et comme ça bougeait tout le temps je me suis énervé alors j'ai revissé sans trop serré, puis j'ai finis de mettre à l'intérieur de la mousse polyuréthane.
- J'ai remplacé le polystyrène par de la mousse expansive pour voir si c'était ça qui faisait les gros dépôts noirs.
- Ca fait quelques semaines que j'ai enlevé la chambre de la voiture, et il me semble qu'elle tient de plus en plus mal le ralenti au démarrage, pourtant il fait très chaud. Peut-être est-ce seulement dû au gicleur de ralenti.
- On peut aussi remarquer que depuis quelques temps la consommation d'essence augmente (c'est peut-être dû aussi au fait que je roule pare-brise relevé et que j'ai installé une lourde plaque en bois). Ca faisait longtemps que la pile était dans la voiture, même si je ne l'utilisait plus ou de temps en temps. Je venais de l'enlever je crois, car quand les problèmes de calage au ralenti sont apparus, je me suis dit que ça ne pouvait être réalisé par la chambre.

16-10-2003
- Une fois la mousse expansive durcie, je me suis aperçu qu'il y avait une fuite électrique entre les deux électrodes, je ne sais pas d'où ça vient. Il a fallu que je démonte tout, mais comme le couvercle du bas était soudé par la mousse, j'ai dû le détruire pour l'enlever.
Normalement j'aurait dû refaire une chambre un peu plus basse, voir même avec juste deux raccords, elle devrait être assez longue. Mais pour des raisons de budget je garderais l'ancienne qui est pleine de mousse incrustée et de coups de scies à l'intérieur pour séparer la mousse du bord.
- Les électrodes intérieures sont complètement rouillées (mais ça fait depuis quelques semaines que je m'en suis rendu compte), et je n'arrive pas à les retirer de l'électrode extérieure.
- Pour maintenir correctement les couples, peut-être je devrais visser celui du milieu avec une vis soudée à l'intérieur de l'électrode.
- Ai testé la résistivité du polyuréthane, elle est supérieure à 2Mohm (ne détecte rien avec mon multimètre).
- Les électrodes sont numérotées comme suit : Si l'on met la découpe pratiquée dans la mousse sur la partie gauche, on a de bas en haut : n°1, n°2 (au milieu sur la droite) et la n°3.
La résistivité entre les électrodes est la suivante :
n°1: non détectable.
n°2 : 1,6 Mohm
n°3 : 8 ohm.
Pourtant, sur toutes on mesure une ddp résiduelle, peut-être en fait les valeurs en ohmmètre sont faussées?

17/10/2003
Suit enfin arrivé à sortir les armatures intérieures. Elles sont recouvertes d'une très fine pellicule noire (brillante en bas), sauf là où la mousse s'était infiltrée par capilarité et avait enlevé la surface brillante en l'enlevant.
En haut, cette surface avait l'air plus dure qu'en bas. D'ailleurs, en bas elle était un peu plus épaisse et elle salit très vite le doigt. Cette pellicule à l'air compacte mais peu cohésive.
C'est dans cette pellicule que se trouvent les trous de rouille.

L'électrode montre trois états de surface :
- en haut, noir avec des petits trous de rouille.
- Au milieu, brun clair, comme si elle était sèche au milieu et pas aux extrémités. Cratères de rouilel larges.
- En bas (3cm de haut) , noir brillant avec de gros cratères de rouille assez profond (métal piqué) et rempli de poudre noire, qui adhère au tournevis aimanté comme de la limaille de fer, mais en plus court et plus fin. C'est ces cratères qui en gonflant ont fait touché l'anode te la cathode.

En nettoyant l'armature à l'eau, on s'aperçoit que l'eau reste à la surface assez longtemps. Quand on met du savon et qu'on nettoie rapidement avec le doigt, la surface est ensuite peu adhésive pour l'eau et fortement déperlante.

Le premier couple est celui qui est le moins abîmé.

27/10/2003
-Je viens de me rendre compte que ça fait depuis fin juin qu'il n'y a plus la chambre sur ma voiture. Il me semblait pourtant que j'étais parti en vacances avec, mais les notes sur le cahier sont formelles : c'est quand j'ai mis la mousse expansive dans la chambre que ensuite je me suis rendu compte qu'il y avait un faux contact et que j'ai laissé la chambre en l'état.

12/11/2003
Pile version 3 : La seule chose qui change de précédement c'est :
- des tubes extérieurs maintenus dans un lit de mousse expansive polyuréthane (bien abimée car j'ai mis du temps à la sortir de l'intérieur de la chambre où elle était collée et la scie en a enlevée de gros morceaux, je me sert d'un silex pour caler la mousse.
Les couples ont pris du jeu et s'entrechoquent (après le sévère limage que j'ai fait subir à la surface de réaction il y a plus d'un mm entre les deux électrodes, d'où le fait que seule une partie semble travailler au début, le tube intérieur n'étant plus centré).
- Un tube de sortie identique à celui utilisé sur les JoeCell, sauf qu'il est plus étroit (diam 10 mm ext), et qu'il est fait à l'arrache (présence de copeaux à l'intérieur, cassures non progressives, surface extérieure bien abîmée, et la fixation sur le couvercle supérieur est mal faite (trou de perçage trop large, j'ai bien percé à 8,5 mm mais ensuite j'ai donné de petits coups d'avant en arrière en plkus sans réfléchir à ce que je faisais, donc les trous étant bouchés par "tartine d'araldite").
Constitution du tube : voir le schéma idéal dans le cahier, très court et prolongé à la fin par un tuyau plastique d'arrosage translucide renforcé prévu pour supporter entre 7 et 10 bars (il n'est pas recouvert de scotch, il faudrait peut-être le rendre étanche à la lumière. Ce sera fait le 14/11/2003), et une prise borgne constitué de 4 cm de tube alu collé à la "tartine d'araldite" une platine plate en alu (un refroidisseur de transistor récupéré dans un autoradio des années 88).

En montant cette pile, j'ai beaucoup forcé sur le couvercle et le tube et la prise borgne, de plus ils sont montés en contrainte (soumis aux vibrations et déplacements du moteur), donc vérifier souvent si ils ne sont pas fendillés. Elle ne tient pas top sur son support que j'avait en partie démonter à un moment, elle tient surtout grâce à sa seule vis de fixation.

21/11/2003 - 160024 kms
- au vu de la dernière conso, la pile ne fonctionne pas.
- Nettoyé la chambre, et lancé des électrolyses qui consomme 7 A (en secouant retombe à 6, 20A), donc beaucoup. La batterie au repos indique 11,5 V, elle commence à faiblir.
- Il faudra démonter la chambre, tout bien nettoyer les électrodes et vérifier qu'il n'y a pas un fil dénudé qui ferait une électrolyse sauvage expliquant ce courant intense.
- Après le filtrage de l'eau, la ddp résiduelle était de 57 mV. J'aurait du nettoyer au jet d'eau la chambre, car il restait des impuretés. 0 la fin l'eau est très rouge et très épaisse, le haut des électrodes aussi est rouge.
- En remontant la chambre, j'ai mis un collier serflex pour maintenir la prise borgne contre l'admission.

11/05/2004 - 171 600 kms
- Un des espaceurs du haut s'était enlevé, et en plus l'armature extérieure s'était élevée, ce qui à provoqué le court-jus (j'ai fait fondre un fil de mesure). Ai tout nettoyé rapidement, au fond il y avait vraiment beaucoup de merdes noires accumulées. Ai du rajouté pas mal d'eau ensuite pour repasser au dessus du couple.
- Lorsque j'ai vérifié si j'étais bien isolé, au début la résistance entre les deux était bien sup à 2 Mohm, puis ensuite n'était plus que de 80 ohm. Ai remis ensuite de l'eau, et à vide (armatures non immergées dans l'eau et chacune reliée à l'ampéremètre seul)  le courant n'était que de 0,1 mA, et plus je mettais de l'eau, plus ce courant montait, jusqu'à 3 mA. ensuite il baissait progressivement, preuve que mon couple fournit bien du courant.

à suivre...


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