Nature Humaine (amocalypse)
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Première version: 2004-07-20
Dernière version: 2015-05-10 contenu :17/08/2004
Sommaire de la page
texte de 2015
Je rappelle que cette pile n'a jamais marchée pour moi, et je pense que cette invention n'est pas viable. Je laisse le texte ci-dessous pour info.
texte de 2004
Cette pile est similaire dans son principe à la Joe Cell développée en
Australie dans les années 1990. Elle consiste en l'utilisation de 4 cylindres
coaxiaux baignant dans l'eau, les cylindres étant en inox 316 (qualité
alimentaire) donc amagnétique, permettant de bénéficier des effets
magnétiques créés par le passage d'un courant électrique dans les
électrodes.
Placée dans la voiture, cette pile permet en théorie de rouler sans
essence.
Il n'y a pas de consommation d'eau dans la pile, de même qu'on ne fournit pas
de courant lorsque la pile alimente le moteur, ce n'est donc pas un moteur à
eau.
il n'y a pas de connexion physique à faire dans le moteur, il suffit de poser
une prise borgne (non débouchante) sur le carter du moteur.
Charge = Action de remplir la pile de Qi, ou encore niveau de Qi dans la
pile.
Fuite = Quand il est d'une pile qu'elle fuit, c'est qu'elle perd de sa charge
au cours du temps, et non qu'elle perd de l'eau.
Qi = C'est ce qui sort de la pile pour alimenter le moteur. Par certains côté
il rappelle le Qi des chinois, le prâna des indiens, initialement pour la
JoeCell on l'appelait orgone.
Le but de la compréhension des phénomènes entrant en jeu est de concevoir
et de dimensionner au mieux la pile magnétique pour obtenir un fonctionnement
fiable et performant, sans risques pour la santé humaine (je pense
particulièrement à l'émission éventuelle d'ondes électromagnétiques
nocives).
Pour tout vous avouer, je n'ai aucune idée de pourquoi cette pile marche. Ce
qui suit n'est que des pistes de réflexions, que vous pouvez allégrement
sauter pour aller directement au chapitre 3.
Je vais commencer déjà par décrire ce qui se passe dans la pile en utilisant les phénomènes de base de l'électricité, dans les limites de mes connaissances. Ceci expliquera certains des effets observés, pour leur retirer toute la magie qu'un esprit crédule pourrait interpréter...
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On peut la modéliser par 4 plaques séparées et
isolées électriquement (voir la figure 2.1), à droite la plaque est
au potentiel de 0 V (c'est la plaque négative) et la plaque de
gauche est reliée à un potentiel de +12 V (c'est la plaque
positive). Le champ électrique E entre ces deux plaques décroît
donc régulièrement de +12 à 0V quand on va de gauche à droite, ce
qui explique que les deux plaques intermédiaires, pourtant non
reliées électriquement à une source de tension, possèdent le
potentiel électrique du lieu où elles sont placées. Comme elles sont
très conductrices, le potentiel est le même sur leur face gauche et
sur leur face droite. Donc une plaque plus épaisse va changer la
distribution spatiale du champ électrique. Cet état de fait peut
être vérifié très simplement en trempant la pointe d'un voltmètre
dans l'eau en différent endroits, l'autre pointe étant sur la masse
ou la plaque positive, afin de vérifier les différentes valeurs de
tension affichées. |
D'après Alex schiffer, le Qi se déplace dans la direction perpendiculaire au champ électrique, selon la régle des 3 doigts surement, donc ici subira une force vers le haut.
Qu'est-ce qui se produit alors? Le même électron passant de la plaque
négative à la plaque positive va effectuer une électrolyse de l'eau à
chaque fois qu'il va traverser une plaque intermédiaire, alors que si les
plaques intermédiaires étaient retirées il n'aurait réalisé qu'une seule
électrolyse. Le même électron va donc réaliser 3 électrolyses au lieu
d'une. Chaque électrolyse intermédiaire se fera sous une ddp de 4 volts, ce
qui va réduire le courant par rapport au cas où il n'y a pas de plaques
intermédiaires et où l'électrolyse se fait sous une différence de 12 Volts.
Ces 4 volts sont bien suffisant pour combattre la tension minimale
d'électrolyse de l'eau qui est de près de 2V.
Les électrodes sont ainsi placées en série, ce qui favorise l'extension de
la surface de réaction tout en gardant la même énergie appliquée (c'est la
même énergie consommée pour faire passer un électron de 12V à 0V, par
contre, le courant étant plus faible, la puissance est moindre).
Cette architecture augmente donc le rendement de l'électrolyse mais diminue la
rapidité de réaction, donc sa puissance.
D'après ce qui précède, vous ne serez donc pas étonnés de voir apparaître des bulles de gaz sur les plaques intermédiaires, car elles sont placées à un potentiel électrique différent de la plaque qui lui fait face, la ddp ou force électro-motrice entre les deux plaques étant suffisante pour créer un courant dans l'eau. Les 4 plaques utilisées sont donc des électrodes.
La forme des électrodes va agir sur l'électrolyse. Plus la surface des électrodes sera grande, plus il y aura de réactions libérant les produits de l'électrolyses, les H et les O.
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Examinons maintenant la forme de nos électrodes. Si l'on utilise des plaques, nous voyons que sur les côtés le champ électrique est dissipé par effet de discontinuité. A ces endroits l'électrolyse est moins bonne. il nous faut donc diminuer la taille des côtés. Avec un rectangle, la seule façon est de réduire la surface de la plaque, ce que nous ne voulons pas. |
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Par contre si nous utilisons des tubes (un rectangle dont deux côtés parallèles se touchent), nous voyons que si les côtés supérieurs sont toujours le lieu de la dissipation du champ E, par contre il y les pertes de deux côtés qui disparaissent. Les pertes ne se produisent plus que sur deux côtés au lieu de 4. Il faut s'arranger pour que ces côtés soient les plus petits du rectangle replié formant le tube. Pour augmenter la surface, on augmente donc la hauteur plutôt que le diamètre. Enfin, si l'on voulait s'affranchir totalement de ces pertes, on construirais des sphères imbriquées et concentriques, ainsi plus de côtés avec des pertes ! Au niveau de la construction ce ne serait guère plus compliqué, en utilisant des demi-coquilles. |
La forme cylindrique ou sphérique apporte cela de plus que la surface de réaction diminue au fur et à mesure que l'on s'approche du centre. La concentration en charge augmente donc de manière inversement proportionnelle au rayon depuis le centre. le Qi est donc d'autant plus concentrée que l'on s'approche du centre.
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Il y a plus de densité de courant (circulation des électrons) dans le bas du cylindre central (0 V) qu'à son sommet, de même que la densité électrique est supérieure au sommet du cylindre extérieur qu'à sa base. Parce qu'entre-temps, les électrons passent dans l'eau pour rejoindre la surface de charge opposée à la leur. Voir la figure 2.4 ci-contre. En réalité le trajet des électrons est légèrement incurvé vers
la surface, au fur et à mesure que les électrons de surface
traversent l'eau, ceux d'en dessous et derrière se déplacent pour les
remplacer. |
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Quand une charge électrique se déplace en ligne droite, comme par exemple le fait un électron dans un fil, elle génère autour d'elle un champ magnétique, les ligne des forces magnétiques tournant autour de la charge dans la direction donnée par le règle du tire-bouchon. Voir Fig. 2.5. ci-contre. |
Si l'on associe la figure 2.5 et la figure 2.4, dans la pile magnétique le courant électrique génère un champ magnétique qui tourne autour des cylindres. Un champ magnétique est généré à la fois par le cylindre intérieur et par le cylindre extérieur ,les cylindres intermédiaires n'en générant pas.
Un cylindre vertical parcouru par un courant électrique descendant (donc des électrons qui montent, n'oublions pas que le sens conventionnel du courant est l'inverse du sens de déplacement des électrons) génère sur sa face extérieure un champ magnétique dont les lignes de forces sont horizontales et tournent dans le sens horaire, alors que sur sa face intérieure elles tournent dans le sens trigo (anti-horaire) (voir schéma).
Le champ magnétique généré par le cylindre extérieur et le champ magnétique généré par le cylindre extérieur tourne donc dans des sens opposés, toutefois ils ne devraient pas se gêner l'un l'autre puisque les 2 cylindres intermédiaires font office de cage magnétique et empêchent les lignes de forces d'aller plus loin.
A noter qu'il y a 2 champs magnétique "inutiles", puisque ne faisant pas partie du volume de réaction, c'est à dire celui à l'intérieur du tube intérieur et celui à l'extérieur du tube extérieur. A moins qu'ils soient eux aussi utile pour capter l'énergie extérieure...
Le champ magnétique généré par le cylindre extérieur est plus important en haut qu'en bas (différence de densité d'électrons, fig 2.4), c'est la chose opposée pour le cylindre intérieur, dont le champ est plus important en haut qu'en bas (reproduire les figures dessinées sur le cahier, intitulée fig. 2.6.). Au milieu de la pile les champ magnétique, s'ils étaient en contact, sont donc annulés l'un l'autre, car de même intensité et de sens opposés.
A noter que à l'intérieur du cylindre intérieur, le champ magnétique généré tourne dans le sens inverse du champ magnétique généré par le même cylindre à l'extérieur. Peut-être cela joue-t-il, à ce moment là l'épaisseur des cylindres est peut-être importante?
Ensuite, le trajet des électrons entre les 2 cylindres (y compris à travers les cylindres intermédiaires 2 et 3) peut être considéré radial et donc horizontal. C'est pourquoi les cylindres intermédiaires ne créés pas de champ magnétiques, car les électrons ne font que les traverser horizontalement. Les cylindres intermédiaires ne font que renforcer le champ magnétique horizontal qui les touchent, en s'aimantant eux-mêmes (fig 2.7).
A noter une petite chose : Un gars qui avait créé un moteur électrique à mouvement perpétuel, pour caractériser la boîte noire entre ce moteur (et son arbre moteur) et le générateur électrique, m'a dit que tout ce qui tourne produit de l'énergie. Il n'a pas voulu m'en dire plus concernant cette boîte noire malgré un questionnaire serré!, mais on peut dès lors remarquer que comme dans tout processus censé produire un mouvement perpétuel, nous avons un champ magnétique qui tourne, et donc qui produirait ainsi de l'énergie en la chopant de quelque part.
Voyons maintenant les champ magnétiques générés par le trajet horizontal des électrons entre le cylindre intérieur et le cylindre extérieur :
Voir la fig 2.8, je ne sais pas trop comment l'interpréter mais il me semble que ce champ va tourner en spirale vers l'extérieur du cercle, qui sera diriger vers le haut avec un composante revenant dans le sens inverse vers le bas. Cela va surement perturber le passage des électrons qui vont s'organiser en chemin possibles. Mais là je m' y connais pas assez pour aller plus loin.
Ensuite, en juste retour de bâton, les électrons vont voir leur trajectoire déviée par leur propre champ magnétique qu'ils ont créés! selon la règles des trois doigts de la main droite(voir fig 2.9), les électrons entre le cylindre 4 et 3 vont être attirés vers le haut, rien entre le cylindre 3 et 2 à part les champ induits par le déplacement horizontal que je ne maîtrise pas encore, et attirés vers le bas entre les cylindres 2 et 1. Ensuite il faut prendre en compte les multiples interactions avec les autres champ magnétique, sans ordinateur et/ou de meilleures connaissances le lecteur comprendra aisément que je ne puisse modéliser plus loin le système.
Peut-être le fait que en sortie du cylindre 4 les électrons soient attirés vers le haut explique-t-il que l'on puisse mettre le cylindre 4 à un niveau plus bas que les 2 autres intermédiaires?
Maintenant, essayons d'expliquer la trajectoire tarabiscotée des bulles de gaz. Si ces dernières restent polarisées électriquement, alors leur trajectoires s'expliquent par les multiples attraction répulsions électriques et magnétiques qui fait de leurs déplacement qu'elles ont à subir.
Au fait, elles montent vers le haut sous l'effet de la poussée d'archimède, les gaz étant moins denses qu'un liquide ils sont forcément plus léger qu'eux, et l'attraction terrestre tirant vers le bas le liquide au-dessus des bulles avec une force plus importante que sur les bulles elles-mêmes, les molécules de liquides vont se glisser sous elles, ce qui fait monter les bulles... Là c'était facile, mais j'ai vu que certains considérait que les bulles montaient par un effet magique...
Au début des électrolyses, les bulles semblent monter en ligne droite, puis au stade 3 elles montent en dessinant un vortex. Est-ce à dire que les électrolyses du début ont aussi pour rôle de mettre la pile en place au niveau de son magnétisme? Ou alors plus certainement que la nature du gaz dans les bulles n'est plus le même, le gaz en stade 3 étant polarisé électriquement?
Un autre effet de l'interaction électro-magnétique, la présence de courants de Foucault dans les électrodes inox, générant eux-mêmes d'autres champs magnétiques supplémentaires.
Partie à reprendre, pour savoir le mode de propagation de O d'une électrode à l'autre, pourquoi l'hydrogène rentre dans le métal, la proportion de gaz natifs, en combien de temps ils se recombinent, où commence la réaction, comment sont transportés les électrons d'une électrode à l'autre,
A la cathode (reliée à un potentiel négatif), nous observons une pression électronique, c'est à dire un excès d'électrons de charge électrique négatives qui génèrent un champ électrique avec l'anode, morceau de métal où au contraire les électrons ont en large manque et où seule prédomine la charge électrique positive des protons des atomes du métal. Donc la cathode à une charge négative, et l'anode une charge électrique positive.
Si le milieu est basique (encore appelé alcalin), il y a à la cathode une
réaction de réduction, c'est à dire que l'électrode va fournir 2 e- à
l'eau, qui se transforme en ions OH- et en hydrogène gazeux,
suivant la réaction 2H2O + 2e- => 2OH- + 2H, ou pour
bien décomposer les choses :
2H2O => 2OH- + 2H+, et transfert
d'électrons depuis la cathode 2H+ + 2e- => 2H.
Ensuite, les atomes de H se regroupent pour former le gaz constituant les bulles que l'on voit s'échapper de la surface de la cathode : la réaction 2 H => H2.
Une autre réaction peut se produire à la cathode, les ions d'hydrogène (H+) sont arrachés à la molécule d'eau qui devient O2-. L'ion O2- se propage ensuite jusqu'à l'anode , et l'atome d'oxygène est alors libéré après avoir donné ses 2 électrons excédentaires au métal de l'anode. Ce qui donne l'émission aux deux électriques de bulles de gaz, ces gaz étant à moitié natif (atome de H seul ou atome de O seul) et à moitié molécules (gaz de H2 et de O2).
L'électrolyse nécessite normalement un milieu basique contenant des molécules OH-, mais ces ions OH- sont présents même dans une solution neutre, en équilibre avec les ions H3O+. Ces porteurs de charges sont toutefois en quantité très faible. C'est pourquoi généralement pour faciliter la réaction on augmente le nombre de porteurs de charge en rajoutant de la soude dans la réaction. Normalement dans le cas de la pile magnétique, comme l'électrolyse et la production d'hydrogène n'étant pas la finalité, on ne rajoute de la soude que si l'électrolyse n'arrive pas à s'effectuer.
Les ions OH- produits à la cathode se propagent ensuite vers l'anode (potentiel positif) par attraction électrostatique, soit par déplacement physique de l'ion dans la solution, soit par arrachage d'un ion H+ à la molécule d'eau H2O voisine. Celle-ci devient alors un ion OH-, qui à son tour va prendre un ion H+ à sa voisine, etc... la propagation de la charge négative vers l'anode est alors bien plus rapide par ce processus.
La présence accrue d'ions OH- dans une solution alcaline va de même favoriser la réaction car ces ions négatifs sont directement à côté de l'anode positive, et les ions Na+ vont réagir directement avec les ions OH- produits par la cathode, car l'attraction électrostatiques va provoquer leur déplacement vers la cathode.
Le mode de propagation d'une électrode à l'autre étant traité, voyons maintenant ce qu'il advient des charges négatives OH- une fois arrivées à la cathode.
A l'anode, les ions OH- se déchargent dans une réaction d'oxydation (les électrodes étant placées à une ddp supérieure ou égale à 1,23 V, potentiel standard de cette réaction), et il se forme de l'eau et de l'oxygène : 2 OH- => H2O + O + 2 e-, suivie de 2O => O2. Les ions hydroxydes OH- cèdent donc à l'anode des électrons, et se transforment en eau et oxygène gazeux. Comme les ions Na+ ne changent pas, la neutralité électrique de la solution n'est plus respectée, il faut refournir des ions OH-.
Pour que l'électrolyse se produise il faut fournir une ddp de 2V environ, sans quoi les atomes restent liés entre eux au sein de la molécule. Ensuite, pour permettre le passage de beaucoup d'électrons, donc l'établissement d'un fort courant afin de dissocier un nombre important de molécules d'eau (une molécule d'eau dissociée demandant le passage de 2 électrons), il faut une tension suffisante pour respecter la loi d'ohm, l'eau opposant une résistance au passage du courant. Cette résistance est fonction de la surface d'échange, des impuretés présentent dans l'eau, de l'éloignement des électrodes provoquant l'affaiblissement du champ électrique/cm.
Les isotopes de l'hydrogène (noyau constitué d'un seul proton) sont le deutérium (1 proton + 1 neutron) et le tritium (1 proton + 2 neutrons). Dans l'eau que nous utilisons nous avons plus de chance de trouver du deutérium, plus lourd que l'hydrogène simple. Associé à l'eau, le deutérium forme une molécule elle aussi appelée deutérium; nous voyons que le langage courant n'aide pas à comprendre la chimie dès que l'on se sert de l'eau. Les atomes de H et de O, appelés hydrogène et oxygène, portent le même nom que le gaz constitué de molécules (H2 et O2). C'est pourquoi je préfère utiliser les symboles H et H2 pour différencier l'atome d'hydrogène H du gaz hydrogène H2, et que pour le deutérium j'utiliserais D pour nommer l'atome de deutérium, D2 pour nommer le gaz de deutérium, et D2O pour nommer l'eau lourde.
Pour en savoir plus sur l'eau lourde, voir ma page dédiée à cet élement.
Pourquoi je parle du deutérium ? Parce qu'il s'électrolyse moins vite que l'eau légère, et donc c'est lui que nous retrouvons dans l'eau à la suite des électrolyse du début pour "charger" la pile. Ce deutérium est susceptible de produire des réactions avec les rayonnements divers qui en temps normal traversent toutes matières sans réagir.
D'autre part, le deutérium s'accumulant dans la cathode en inox (électrode centrale), il y est tellement comprimé qu'il est susceptible de produire une fusion froide.
Ce qui est sûr, c'est qu'au moment où la pile agit, on retrouve en fond de cuve une concentration de deutérium supérieure à la normale, d'où la présence d'eau lourde en fond de cuve. C'est cette eau lourde qui est électrolysée directement par un potentiel de 12 V entre le fond de l'électrode centrale 4 et le fond de l'électrode extérieure 1.
Inévitablement, l'électrolyse libère dans l'atmosphère de l'oxygène et
de l'hydrogène. Lors de la charge, le couvercle étant ouvert, ils
s'échappent dans l'atmosphère sans danger. Mais que deviennent-ils si la pile
de la voiture est hermétiquement fermée?
Les protons de l'hydrogène seraient attirés par les électrons facilement
libérables des carters en alu, ce qui ajouterait de l'hydrogène au mélange
dans la chambre de combustion. Il faut alors appauvrir le mélange, la
quantité d'oxygène dans l'air étant déjà toute absorbée par la combustion
stoechiométrique initiale d'avec l'essence.
A noter que l'hydrogène naissant s'intercale dans tous les métaux, et est restitué par ceux-ci sous certaines conditions (diminution de pression lors de la phase d'admission par exemple).
Le but est de donner ici tous les autres phénomènes susceptibles d'intervenir, mais dont l'existence n'est pas encore prouvée par la sciences.
Ce sujet à été traité dans le Science et Vie n°1040 de mai 2004. Vu que le protocole d'expérience est similaire, il se pourrait que ce phénomène se retrouve dans notre pile magnétique.
Qu'est-ce que la fusion froide ? Une cathode en palladium est utilisée dans une électrolyse où l'anode est en titane. L'eau électrolysée est de l'eau lourde. Les atomes de deutérium positifs libérés par le passage du courant vont s'accumuler à l'intérieur de l'électrode en palladium négative, et au bout d'un moment, la pression de compression (ou le niveau de concentration des atomes de deutérium) est telle que les atomes de deutérium, coincés dans les interstices du métal, fusionnent entre eux pour donner de l'hélium 4 (2 protons et 2 neutrons). Au moment de la fusion de l'énergie est libérée sous forme de chaleur, énergie supérieure à l'électricité fournie pour produire l'électrolyse. A noter que l'explication fournie et les résultats obtenus sont encore contestés par une partie des scientifiques.
D'après ce qui est dit, il semblerait que les atomes positifs d'hydrogène (appelé encore hydrogène natif) aient une très faible tendance à rester positifs et à s'agglutiner dans le métal (une fois récupéré l'électron qui leur manque ils se recombinent entre atomes neutres et s'échappent sous forme de bulles de gaz), alors que les atomes natifs de deutérium iraient préférentiellement dans le métal sans capturer d'électrons.
Contrairement à la fusion chaude, l'excès d'énergie de la fusion froide est transmise au métal sous forme de vibration des atomes (chaleur) au lieu d'un dégagement de rayon gamma comme ce que l'on observe dans les plasmas de la fusion chaude, quand on obtient de l'hélium 4. De plus, on obtient de l'hélium 4 (2 neutrons et 2 protons) à tous les coups dans la fusion froide, alors que dans la fusion chaude il reste pratiquement toujours un neutron ou un proton qui n'a pas le temps de s'amalgamer au noyau résultant, donc très peu d'hélium 4 produit avec la fusion chaude.
La théorie ayant conduit Fleischmann et Pons à la fusion froide est celle de la matière condensée, c'est à dire que sous pression les atomes se mettraient à osciller de phase, formant une onde quantique favorisant la transmutation de l'hydrogène en hélium.
Une théorie française sur l'explication du phénomène viendrait de l'hydrex. En effet, selon Jacques Dufour et Jacques Foos, l'électron de l'hydrogène, qui d'habitude est en orbite à 0,05 nanomètre du noyau, se rapproche considérablement de celui-ci si l'atome est à l'intérieur d'un solide et qu'il est soumis à un intense champ électromagnétique. L'atome d'hydrogène forme alors un "hydrex", sorte d'atome d'hydrogène rétréci qui peut paraître neutre électriquement, ce qui affaiblirait la barrière coulombienne à vaincre pour créer la fusion. C'est un peu la théorie de fusion muonique établie par Andréi Sakharov au milieu des années 40, dans laquelle les électrons des atomes sont remplacés par des muons, particules élémentaires négatives ayant les mêmes caractéristiques, excepté pour le poids, 200 fois plus important, expliquant que le muon gravite beaucoup plus près du noyau. Seul hic, on ne sait pas encore faire des muons facilement, et leur durée de vie est de l'ordre du millionième de seconde.
Une autre théorie parle de l'hydrino en anglais (l'hydrex?) qui en se transformant en hydrogène donnerait une flamme froide qui absorbe la chaleur. Comme l'hydrino est très petit il passe à travers tous les métaux ,et il serait émis par le soleil et accumulé dans la pile. Il expliquerait le fonctionnement froid du moteur.
L'eau lourde réagit avec le neutrinos émis par le soleil (voir Pour la science de septembre 2003 je crois) ou avec les antineutrinos émis par le centre de la terre (Science et Vie n°1042 de juillet 2004). L'interaction entre un neutrino (ou un antineutrino) et le noyau de deutérium provoque l'échange entre le neutrino et le noyau d'un boson W, une particule chargée. L'antineutrino se transforme alors en électron bourré d'énergie, éjecté à la vitesse de la lumière. Cet échange est généralement visualisé par une onde de choc de la lumière, appelé "radiation Cherenkov".
L'électron énergétique résultant de la réaction, peut alors être projeté, via le tube de sortie de la pile magnétique, sur les molécules d'air entrant dans le moteur, les énergisants de telles façon qu'elles deviennent combustible, et provoque la combustion ou la libération d'énergie nécessaire à la descente du piston... mais cela n'est que spéculation de ma part.
Seul hic, les neutrinos n'ont théoriquement pas de masse donc pas d'énergie... pourtant les expériences semblent indiquer qu'ils possèdent tout de même une énergie très faible, mais vu leur grand nombre elle devient non négligeable.
De nombreux sites, dont wasserauto
ou encore ici,
parlent d'une réaction entre l'hydrogène, l'azote, et la vapeur d'eau qui a
lieu lors de la phase d'aspiration du moteur thermique. Cette réaction produit
de l'hydroxyde d'azote, hautement explosif.
La réaction serait : H2+6H2O+N2 -->
2H2O+2N(OH)2.
Dans le cas de la Joe cell, seul l'hydrogène serait capable en théorie de
passer la prise borgne (note de 2015, à l'époque je ne connaissait pas le
Qi). L'hydrogène atomique passerait encore plus facilement. Les molécules
d'eau sous forme de gaz, trop grosses, ne pourraient pas passer, à part
peut-être par migration à travers l'aluminium, mais là encore il faudrait
que l'aluminium soit fin.
L'oxygène de l'air pourrait intervenir dans la réaction précédente. Mais
regardons l'action de l'hydroxyde d'azote sur la combustion.
Au début, il faut que la cellule se charge en quelque chose (deutérium?),
et une fois que l'eau est chargée, on voit apparaître du magnétisme et le
développement d'un potentiel aux bornes de cette pile. Des bulles sont
générées longtemps après une pichenette électrique. Ce quelque chose, je
pencherait actuellement pour du deutérium qui absorberait le rayonnement de
neutrinos issus du soleil. Il en résulterait des atomes de H atomiques qui
passeraient à travers la connections borgnes puis se mélangeraient à l'air
(peut-être en formant de l'hydroxyde d'azote N(OH)2 en présence du vide de
l'aspiration?). Le deutérium pourrait apparaître soit suite à l'électrolyse
de l'eau prolongée qui dissocierait les molécules d'eau classiques alors que
celles lourdes ne sont pas électrolysées en premier (d'ou l'intérêt d'avoir
une eau "juvénile" riche en deutérium, comme celle trouvée dans la montagne
par exemple), et en plus la création d'hydrex (2 protons liés par un seul
électron) qui ensuite se transformerait en deutérium.
Une fois frappé par un neutrino, le deutérieum se scinde et émet une lueur,
qui pourrait être celle remarquée sur les piles à hydrogène.
Les éléments issus de l'électrolyse pénetreraient en partie dans les
électrodes, polarisant ces dernières.
Le fait que l'enveloppe soit positive permet de capturer l'électron des atomes
d'hydrogène naissant, ceux-ci ne pouvant ensuite traverser cette paroi qui les
repoussent électriquement.
Je pense que la connection en bout du tube est primordiale, le sens de
déplacement des électrons de la cellule vers l'extrémité du tube devant
générer un champ magnétique amenant les atomes d'hydrogène vers la
sortie.
Autre théorie, comme dans l'exemple des disque gravitationnels autour des trous noirs provoquent à angle droit du disque, dans une seule direction, d'un faisceau d'électrons. Canalisés par le tube de sortie, ils rejoindraient les atomes de l'air et les ioniseraient (lélectron libre cassant les liaisons covalentes). Après réaction, les électrons retournent à la batterie via le métal du moteur, etc.
Jean Pierre Petit pourrait vous expliquer avce sa MHD qu'il est tout à fait normal que l'eau se mette à tourner entre les électrodes.
le Qi est attirée par l'intérieur de la pile, puis ensuite se retrouve dans le moteur attirée par le potentiel plus bas du métal du moteur, du vide dans le cylindre, et ausi surement par la construction même du cylindre d'un moteur refroidi par eau : paroi du carter en aluminium (en partie cylindrique), eau de refroidissement, puis cylindre lui-même (appelé chemise) et en haut la chambre de combustion (d'où l'intérêt de placer la prise borgne juste en dessous de la culasse).
Quand on met des électrodes dans l'eau, au cours du temps il se créé une différence de potentiel entre les deux. Cette ddp résiduelle peut s'inverser toute seule si les électrodes étaient déjà chargées.
Les adeptes de la Joe cell disent que cette dernière est similaire à un aimant, le nord en haut et le sud en bas. plus il y a de plaques et plus l'aimant est puissant.
La composante magnétique doit être située sur l'électrode en inox, et non à l'intérieur de celle-ci comme dans le cas d'une aimantation permanente (d'où la possibilité de l'action des courants de Foucault). Si le métal contient une aimantation, celle-ci va s'opposer à celle qui se créé avec l'eau.
Une théorie plus récente de Joe (voir update 10 dans fichiers des membres du forum) dit que il n'y a plus d'électrons dans le métal du moteur, la pile les ayant récupéré. Quand on approche le cable HT de la bougie contre le carter, il se peut que l'on ne voit pas d'étincelle. Le métal du moteur devient un très mauvais conducteur. L'étincelle faiblarde peut seulement enflammer la substance X, qui provoque la condensation instantanée de la vapeur d'eau atmosphérique. Reste à voir si la condensation de l'eau dans un volume constant provoque un abaissement ou une augmentation de la température, sachant que la condensation relâche beaucoup d'énergie, mais que la pression chute.
à suivre...