Nature Humaine (amocalypse)
Apocalypse>Chute du système
Première version: 2014-10-18
Dernière version: 2019-03-25
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Que nous sortions du système avant le nouvel ordre mondial, que nous soyons victime du nouvel ordre mondial, ou que nous restions jusqu'à l'effondrement du nouvel ordre mondial, il y aura forcément un moment ou le système de perfusion s'arrêtera!
L'approvisionnement des magasins s'arrêtent, les poubelles ne sont plus ramassées, l'électricité est coupé, l'eau potable ne coule plus. Plus de communications, de secours ni de services d'ordre, le chaos s'installe très vite, de même que le vernis de la civilisation craque rapidement. Si la grande majorité de la population s'organise en groupes et coopéère, ne pas oublier ceux qui veulent exploiter leur prochain, ou encore les malades mentaux inadaptés à la vie en commun qui s'échappent des asiles ou des prisons.
Les animaux (bandes de chiens errants surtout en France) redeviendront un danger pour l'être humain. Les mafias armées s'emparent de tout ce qui est utile à l'être humain (les ressources) pour reprendre un pouvoir d'asservissement sur leurs congénères.
La société industrielle, non entretenue, se dégrade, explose, et pollue fortement l'environnement.
Le système est à son point d'essouflement, tout peut s'arrêter dans une crise majeure de guerre et d'épidémies provoquées, ainsi que par la disparition des ressources premières. Au rythme où l'on va, le système ne peut dépasser 2024. Mais une crise financière, une guerre, une épidémie, ou l'état martial déclaré suite à une révolution false flag peut se produire à tout moment.
En 2014, c'est la cause d'effondrement la plus probable. Je parle ici de la planète Nibiru qui lors de son passage va provoquer une destruction partielle de la surface de la terre (mais pas de la terre elle-même).
En temps de guerre, les services s'arrêtent, on peut être obligé de quitter précipitamment le confort de sa maison pour devoir se refugier dans les bois.
Les élites se protègent en premier pour éviter que leurs chances de survie soit impactée. Ils rejoindront leurs bunker avec une armée autour, le tout sécurisé par un no man's land entourant leur enclave high-tech où tout ce qui bouge sera abattu.
Le reste de la population est invité à crever sans faire de vagues. Le pouvoir essaiera de tuer le plus de gens possibles en déclarant la loi martiale et en bloquant les villes. Inutile de dépenser des réserves de nourriture ou les cartouches des fusils pour des bouches de toute façon condamnées à terme.
Tuer le plus de citoyens possible évitera aux élites d'avoir à justifier leur échec et d'avoir trop de monde qui submergerait leur armée pour manger leurs provisions et profiteraient de leurs résidences luxueuses.
N'oubliez pas que ce sont ceux qui tiennent le plus à leur vie.
Les services du systèmes seront très vite débordés, la plupart des employés n'allant plus au boulot et préfereront agir pour leur famille.
Les services d'aides (pompier, police, armée, hopitaux) ayant disparus, les télécommunications s'arrêtent, le commerce s'arrête, l'électricité puis l'eau courante s'arrêtent, le chaos s'installe. Plus de pétrole, plus d'emplois, plus d'argent, plus de nourriture dans les supermarchés.
L'argent ne sortant plus des distributeurs de billet, l'argent liquide et l'or dureront le temps que tout le monde comprenne que le système ne reviendra plus et que ce n'est que du papier... L'or, l'argent, les bons du trésor vaudront moins que du papier toilette et autres choses utiles dans la vie de tous les jours.
Les télés et la radio s'arrêtent, de même qu'internet. Les gens sont dans le noir, n'ont plus d'informations.
Contre ces gros prédateurs, une simple toile de tente ne suffira pas, il faudra des murailles de protection, un abri en dur ou encore se réfugier dans les arbres.
Les animaux de compagnie redeviennent les prédateurs qu'ils étaient, les gros chiens sont les plus dangereux car ils se regroupent en meute pour chasser des proies plus grosses qu'elles, dévorant les humains survivants qui croiseraient leur route.
Par exemple, la brigade canine à côté de chez vous ne tuera pas ses chiens de combat, un lien très fort s'étant établi entre le maître et son chien (au point que certains maîtres chiens prolongent leur service le temps de la vie du chien, et le récupèrent chez eux une fois à la retraite).
Les propriétaires imbibés du Bambi de Disney croient que leurs chiens mourront de faim sans les attaquer. Ce qui sera vrai de nombreux chiens aimants, ne pas se leurrer sur es chiens d'attaques qui ne sont là que pour être nos faire-valoir, de montrer comment on est fort de dominer un tel fauve, ou encore pour se protéger des agressions. Ce comportement hiérarchique engendrera une réaction hiérarchiste, à savoir que le chef de meute qui se révèle incapable de ramener suffisamment de nourriture à la troupe se fait bouffer...
La plupart des maîtres vont relâcher leurs bêtes dans la nature, pensant qu'elles sauront survivre toutes seules, en oubliant que les ressources auront diminuées, ainsi que le territoire laissé à la nature sera très restreint, et que nous aussi nous allons retourner dans cette nature où nous ne serons plus le maillon le plus élevé de la chaîne alimentaire. Peu auront ce recul et le courage d'abattre son gros chien dès le début pour en récupérer la viande et éliminer un danger.
En cas de catastrophes ou de directeur de zoo voulant laisser une chance à
ses pensionnaires, les
animaux dangereux sont relâchés dehors. Ce n'est pas très intelligents,
car ces gros prédateurs vont tuer des humains à cause de la faim, et vont
manger le gibier déjà traqué par les humains survivants, gibier qui se fera
rapidement rare et qui sera en danger d'extinction. Les gros prédateurs
finiront de toute façon tués par les groupes d'humains survivants. Pas besoin
de régulateurs dans l'après chute..., mais ceux qui aiment les animaux ne
raisonnent pas comme ça, et ils ont peut-être raison : ne pas privilégier
l'homme par rapport aux autres prédateurs naturels.
Les clotures électriques étant éteintes, les plus gros animaux parviennent
à s'enfuir, alors que les petits vont mourir de faim dans leurs cages.
Les prisons et les asiles s'ouvrent. Des personnes inaptes à la vie en société se retrouvent dehors. Là encore il faudrait avoir le cran de faire le tri et d'euthanasier les personnes qui resteront quoi qu'il arrive des dangers pour les autres humains.
Dans le même registre, des fous dangereux pas encore déclarés (par peur des représailles de la société notamment) vont se sentir libérés de tout contre-pouvoir, et s'en donner à coeur joie.
Il faudra continuer à faire confiance aux gens et à leur donner une chance d'évoluer, les gentils seront ultra-majoritaires. Mais il faudra aussi être plus vigilant, le taux de "méchants" en liberté étant plus élevé qu'avant 2005 (moment où les délinquants ont été laissés en liberté pour préparer la guerre civile).
Les forces de l'ordre sont nécessaires pour maintenir l'ordre et empêcher le fort d'écraser le faible. C'est du moins ce pour quoi s'engagent la majorité des membres des forces de l'ordre, leur but est noble et ils font avancer la société, même s'ils ne peuvent nous protéger des élites, étant aux ordres de cette élite qui nous écrase. Maintenant, que ce passe-t-il en cas d'effondrement du système?
Déjà, les forces de l'ordre ne sont plus là pour nous défendre. Les hommes resteront chez eux à protéger leur famille, ceux qui continuent à venir seront envoyés par leurs chefs, en priorité pour défendre les élites ou faire des rafles de futurs esclaves.
Si ces forces de l'ordre ne sont plus payées par le système, ou plus assez, mais que l'état est toujours présent, ils vont dans un premier temps devenir corrompus, chercher à vous extorquer quelque chose. Au bout d'un moment, ils deviendront des pillards pour détrousser les gens.
Les truands vont récupérer des uniformes de police dans les commissariats désertés.
Les plus intelligents vont arrêter de tirer sur leurs frères, vont déserter pour s'occuper de leur famille. Ceux qui restent au bout d'un moment ne sont pas les plus éveillés, voir aiment ce sentiment de supériorité et de pouvoir sur les autres que leur octroi l'uniforme. Une fois l'effondrement effectif, les anciennes forces de l'ordre deviennent des pilleurs, ou sont tentées de prendre le contrôle des populations un peu à l'image d'une mafia. Surtout dans des mondes où les citoyens ne sont pas armés et eux, si. Ils deviennent les prédateurs et nous restons la proie que nous avons toujours été.
A l'inverse, la plupart des forces de l'ordre qui s'étaient engagées pour sécuriser la société vont continuer à jouer ce rôle.
Il faudra être vigilant sur qui est en dessous de l'uniforme, et par défaut ne pas faire confiance.
Au bout de quelques jours/semaines, tout ce petit monde se retrouve à chercher les derniers restes de nourritures, au milieu des cadavres, des déchets divers (excréments, restes de repas, etc.) provoquant dysentrie et choléra. De belles guerres en perspectives sur un champ de bataille peu glorieux.
Les égoïstes (crime organisé, rebelles divers ravis de prendre leur revanche sur la société liberticide) se regroupent en bande pour prendre de force les ressources (nourriture, médicaments, or, argent, tout ce qui peut avoir de la valeur immédiate ou différée). Ils sont armés d'armes automatiques militaires. Ils récupèrent les derniers litres de pétrole pour se déplacer sur des engins blindés (ils ont vus mad max étant jeunes et ça leur à plu, ils se retrouvent les rois du nouveau monde). Ils parcourrent méthodiquement tous les appartements et tuent ceux qui ne leur serviraient pas.
Dans ces cas-là, mieux vaut faire le mort et se rendre invisible, faire croire que notre appartement a déjà été pillé en jetant pleins d'ordures devant.
L'évacuation de la ville se fera à pied, les autoroutes et périphériques étant bloqués par les voiture abandonnées et les barrages/traquenards des gangs.
Les centaines de milliers de personnes habitants les grandes villes vont s'étendre dans la banlieue puis la campagne proche (40 à 60 kms de diamètre autour du centre urbain), dévastant tout sur leur passage.
Les villages vont se barricader pour protéger leurs ressources, ou empêcher les maladies de se propager.
La richesse sera différente. Les billets papier ne sont que du papier, leur valeur sera celle d'un bout de papier, servant à se torcher ou allumer le feu. Il sera rigolo de s'apercevoir que le papier WC vaudra plus cher que les billets de banques, plus abrasifs et moins larges...
La richesse sera tout ce qui aura un intérêt pratique, immédiat ou différé.
Les stocks de nourriture seront la première des richesses.
Ensuite viendront les armes, munitions, médicaments. Puis les objets pratiques comme les montres. Enfin les bijoux, or, argent pour servir de troc. Avec le temps, les vêtements.
Plus loin que 60 kms d'un gros centre urbain ça devrait être bon. Les routes principales vont être bloqués (loi martiale, bandes armées, ponts effondrés, arbres tombés, éboulements, etc.) et il sera difficile de dépasser facilement les 100 kms à pied. Il faudra commencer là les nouvelles sociétés, intégrer les exilés urbains pour leur sauver leur vie et augmenter la densité de population dans nos campagnes françaises dépeuplées.
Attention, c'est l'inconvénient de l'agriculture (et une des raisons pourquoi les annunakis ont lancé la révolution néolithique) c'est que les champs ou les animaux nous clouent au sol et ces sociétés agraires sont à la merci des troupes armées (comme ceux de la théocratie d'Odin) qui vont se ravitailler dans les villages rencontrés. D'où l'intérêt de rester mobile (se cacher dans les bois lors de l'arrivée d'une troupe) et d'apprendre à cueillir les plantes sauvages.
A la campagne, les champs ne pourront être entretenus par absence d'irrigation (électricité pour les pompes) et de fuel pour les tracteurs. La première année il n'y aura pas beaucoup de monde pour récolter ou pour planter.
Les rendements vont s'effondrer :
Sauf ceux qui ont prévus des stocks pour plusieurs années, les famines vont apparaitre rapidement après épuisement des stocks (l'humanité n'a des stocks de nourriture que pour un milliard d'êtres humains et pour un mois seulement).
L'inanition provoque des troubles de la vision, maux de tête et des problèmes de raisonnement qui peuvent s'avérer dangereux en conditions de survie.
Lors des famines, les enfants livrés à eux-mêmes sont les plus violents et agressifs dans leur recherche de nourriture. Ce sont les plus dangereux des humains, car encore proche de l'animal.
Hollywood, à travers ses nombreux films et séries à la con genre walking dead, auront insérés de force dans le cerveau de la moitié de l'humanité que seuls les salopards qui mettent de côté leur morale et font tout pour sauver leur peau ou celle de leur famille seront ceux qui s'en sortent (on nous montre régulièrement des hippies altruistes qui croient en la bonté humaine se faire manger le cerveau...). Premièrement, à quoi sert de sauver sa courte vie physique si c'est pour flinguer pour des millénaires sa vie éternelle?
Ensuite, ce genre d'égocentrique amoraux vont se regrouper temporairement entre salopards, pour un gain commun, mais vont se faire laminer ensuite par leurs propres guerres internes de pouvoir (le vizir qui veut devenir calife à la place du calife, le chef qui veut prendre le pouvoir sur la troupe d'un autre chef, les bagarres inhérentes à ces gens violents qui veulent absolument montrer qu'ils sont plus forts que les autres, etc.). Les conditions précaires vont séparer les humains selon leur sensibilité spirituelle. Les groupes égoïstes violents, qui ne font que détruire, devront au final être éliminés par les groupes altruistes s'ils veulent rebatir quelque chose (voir le Quercy ravagé pendant 100 ans par les troupes de routiers pendant la guerre de 100 ans)..
Dans les chutes de civilisation déjà observées, les famines sont toujours précédées d'un regain d'activité religieuses ou spirituelles. Il y a des errances de grands groupes d'humains à la recherche d'un soulagement. Des prédicateurs vont apparaitre et profiter du désarroi des gens pour former des groupes et former des dictatures religieuses. Odin, le géant borgne, tentera de fédérer toutes les enclaves survivantes de la planète, mais dans les petits villages le pasteur local avec du bagout va monter une nouvelle secte. Les zélotes, l'intransigeance religieuse (le contraire du vivre et laisser vivre!), chercheront à passer leur hargne sur les "autres", ceux qui ne pensent pas comme eux.
Il sera facile de faire brûler en place public les derniers intelligents qui ne voudront pas de cette prise de pouvoir.
Sans entretien constant de l'homme, de nombreux systèmes se dégradent et laissent échapper de grands nombres de polluants.
Stockés sous forme liquide donc à très basse température, une fois que le système de réfrigération ne marche plus, le liquide se met à bouillir, les soupapes de sécurité s'ouvrent et relâche le gaz toxique dans l'atmosphère. Les gas plus lourds que l'air se concentrent près du sol et tuent tous les animaux qui reniflent au ras du sol, comme les herbivores.
D'autres gaz, inflammables, forment de gigantesques explosions au contact d'une étincelle ou d'un point chaud.
Il faudra éviter de rester près des zones industrielles ou d'activité chimiques.
Sans contrôle, tous les polluants sont relâchés dans les lacs et rivières, l'eau devient rapidement impropre à la consommation en aval des villes et villages qui n'ont pas de station d'épuration à filtre roseau.
Les coeurs des centrales sont censés s'éteindre automatiquement s'il n'y a plus de contrôle humain. Le plus dangereux restent les piscines de déchets, qui doivent être refroidis pendant plusieurs années. En cas de coupure du système électrique, des groupes électrogènes prennent le relais pour le refroidissement (sauf s'ils sont inondés comme ça s'est passé en 1999 à la centrale du Blayais, on est passé à 2 doigts de la catastrophe). Mais ces groupes n'ont que 3 mois de carburants. Sans refroidissement, l'eau des piscines s'évapore en vapeurs 500 fois plus radioactives que Hiroshima, et sont relâchées dans l'atmosphère.
Mais ça ne s'arrete pas là. Une fois la piscine sans eau, c'est toute la centrale qui explose, laissant s'échapper une bouillie d'éléments radiocatifs. Certains éléments, comme le plutonium, resteront radioactifs durant 240 000 ans...
Il y a 440 réacteurs nucléaires, dont la plupart sont aux Etats-Unis et en France. Chaque centrale, dont le désastre ne pourra être contenu par l'homme, pourra provoquer l'équivalent de 20 Tchernobyl (ce dernier, en 1986, avait contaminé de manière invivable une surface grande comme l'angleterre, sans compter la pollution qui s'était répartie dans le monde entier). Autant dire que toute la planète va subir ces retombées radioactives.
Les survivants sont frappés par une épidémie de cancers. Plus de la moitié des petits animaux périssent (ronguers et insectes) car tous leurs organes sont touchés par la radioactivité (qui ne pénètre que d'1cm environ dans les tissus vivants, c'est à dire la peau, l'estomac et les intestins).
Les arbres à côtés des centrales nucléaires ayant explosés sont tous morts. Plus loin, les particules radioactives se déposent à la surface des végétaux, puis au bout de 6 mois de pluies, sont entrainées dans le sol, où ils seront pompés par les végétaux (les champignons étant les pires), finissant de polluer complètement notre environnement.
Les silos contenant les ogives nucléaires ne sont plus gardés, voir récupérés de manière malveillante. Lors des manipulations, des catastrophes sont à prévoir.
Le soleil et ses éruptions provoquent régulièrement une augmentation de volume de l'atmosophère terrestre, qui freine progressivement les satellites. Sans l'homme pour le faire remonter à des orbites plus hautes, ils se rapprochent inexorablement de la terre, où, de plus en plus freinés par l'atmosphères, ils finissent par retomber sur terre. Nous auront ainsi, 10 ans après les catastrophes, une pluie de déchets métalliques qui vont s'abattre sur la terre.
Mais il est probable qu'avec les nombreuses météorites de la ceinture de Nibiru la plupart des satellites seront déjà désintégrés!
Les incendies se déclarent naturellement, mais la grande majorité sera déclenchée par les humains (les maladroits, les irresponsables, les inconcients, ou encore les tarés comme les pyromanes). Sans des pompiers et de lourds moyens pour stopper au plus vite les incendies, une grande partie de la terre risque de se retrouver en désert, bien que le risque de propagation devrait être contenu par le climat plus humide en France.
En cas d'incendie, courir avec le vent dans le dos pour prendre le foyer de vitesse, sauf si on est dans une forte montée (les flammes iront plus vite que nous, il ne faut pas hésiter à essayer de contourner les flammes si c'est possible en prenant le sens de la descente, ou courir vers les flammes et franchir le rideau de flammes dans le cas d'herbes rases ou le front de flammes est petit).
Le risque sera de grands fronts de régions laminées par les flammes. Se réfugier près d'une étendue d'eau, mettre un tee-shirt mouillé devant son nez pour filtrer les particules, s'allonger sur le sol, s'humidifier pour résister à la chaleur. Combattre les incendies larges en faisant des feux maîtrisés devant pour qu'il n'y ai plus rien à brûler quand les flammes arriveront.
Suite au défaut d'entretien, les bâtiments se dégradent très vite (moins de 30 ans). C'est près des côtes, plus soumisent aux intempéries et tempêtes, que les dégradations sont les plus rapides.
En moins de 100 ans les buildings modernes s'effondrent. La pluie et l'humidité de l'air dissolvent progressivement le calcaire dans le béton (phénomène accéléré par les tonnes de CO2 relachées dans l'air depuis un siècle), affaiblissant le béton. Les gels et dégels élargissent les brêches. L'acier dans le béton fissuré se corrode jusqu'à perdre toute résistance mécanique (c'est lui qui maintient l'ensemble). Et boum!, tout s'effondre très vite.
Pour ceux qui n'auraient pas lâché lors des tremblements de terre ou de la rupture des barrages en amont, le temps fera son oeuvre de destruction, notamment les systèmes de sécurité comme les vannes des déversoir qui vont se boucher au cours du temps, et 200 ans après, ils vont tous lâcher les uns après les autres (celui en amont faisant généralement péter tous ceux en aval). Celui qui vit au bord d'une rivière depuis des générations, et qui était loin de se douter de se danger, sera très surpris.
Le documentaire prenant comme hypothèse que l'homme disparaisse du jour au lendemain, et qui montre qu'au bout de 200 ans il ne reste plus rien de visible de notre civilisation, et qu'au bout de seulement 30 000 ans les archéologues du futur auront du mal à prouver qu'une vie intelligente existait. Quelques archéologues "complotistes" essaieront vainement de prouver que le mont Rushmore (s'il n'est pas sous les glaces) a été scuplté par une espèce intelligente, "paréidolie" leur répondra la science officielle du moment...
Petite réflexion sur les voies de comportement des personnes en cas d'effondrement.
à suivre...