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Nature Humaine (amocalypse)
Qi>Sexualité

Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2017-08-06

Sexualité, couples

Sommaire de la page


Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Le couple est une entité homme-femme créée dans le but d'assurer la continuité de l'espèce. Uniquement dans le cas des espèces sexuées mâle-femelle comme l'espèce humaine, ce qui est loin d'être une généralité sur terre ou dans l'univers (clônage, hérmaphrodisme, changement de sexe au cours de la vie, les possibilités sont nombreuses).

Chez les chasseurs, les enfants appartenant et étant élevés par la communauté, les couples sont libres de rester ensembles ou pas.

Le couple a été érigé au rang de dogme par les religions sémites (afin de contrer Jésus qui était homosexuel, ou encore issu d'une mauvaise traduction du lévitique, qui disait de ne pas brutaliser sexuellement sa femme et traduit par l'interdiction de la sodomie). Le sexe a toujours été schizophrène dans les religions car devant répondre au besoin de limitation des naissances par des Annunakis (anxieux de voir proliférer une espèce qui pouvait leur échapper). D'un autre côté, le taux de reproduction élevé des humains en captivité (néolithique) les arrangeait bien pour leurs guerres avec leur congénère. Sans oublier les déformations sociales apportées par le sexe, vu par certains comme une domination sur l'autre.

Se rajoutent à ces problèmes sur le sexe les accidents hormonaux lors de la grossesse, les nécéssité du karma qui font s'incarner une entité dans un autre sexe que son inclinaison initiale, les entités ET asexuées qui n'ont pas le temps de s'adapter a un corps sexué en plus d'une nouvelle espèce, ou encore la sexualisation sociale (stéréotype) qui si vous detestez la guerre fera de vous une fille. Ces cas d'homosexualité ne sont pas à rejetter ni à chercher à corriger, ils sont et resteront minoritaires.

Même après plusieurs ascensions spirituelles nous conserverons cette sexualité séparée propre à notre espèce.

Il faut enfin combattre (je ne parle pas de bûcher !) les déviances sexuelles, qui ne sont dues qu'à nos sociétés élitistes et décadentes :

La pudeur suivant les cultures

Certains musulmans, comme les juifs et les catholiques de l'époque, sont pudiques au point de cacher le moindre carré de peau et de cheveux, avec des vêtements amples cachant les formes du corps. Les Yanomanis (tribu amazonienne) vivent complétement nus. Au milieu, les occidentaux autorisent des monokinis sur les plages. Chaque culture a une vision propre, liée à l’histoire et à ses propres idéologies, de ce qui est sexuellement explicite ou ce qui ne l’est pas.

Dans tous les cas, il n’y a aucun mal objectif, ni à sortir voilé, ni à sortir nue, l’idée ici n’est pas de savoir juger si ces règles sont bonnes ou mauvaises pour la femme. Ce n'est que la culture du lieu qui va modifier la donne. Une femme Yanomanis nue ne choquera personne dans son village, mais se ferait arrêter pour exhibitionnisme en France, et lapidée dans quelque village religieux intégriste et pudique.

Plus de 1400 ans d’Islam ont changé la façon de voir le monde de multiples générations successives de populations humaines. L’Islam est loin d’être la seule religion concernée, précisions le, la pudeur des juifs ou des catholiques est également connue pour sa rigueur, même si c’est moins visible aujourd’hui.

Dans l’absolu, l’idée de départ est de reconnaitre que l’homme mâle se comporte d’une certaine manière comme un animal mené par des pulsions. C’est un constat de faiblesse qui n’est pas généralisable, mais qui est observable pour une certaine partie de la population. Les proportions changent mais il y a un fond de vérité. Même chose pour la femme mais avec des implications différentes selon les cultures.

Le but de toute règle vestimentaire liée à la pudeur, c’est de diminuer autant que possible les tentations sexuelles. On oublie souvent de dire que chez les musulmans, par exemple, l’homme a aussi des obligations vestimentaires strictes. Un homme iranien ne sortira pas en public en maillot de bain “slip”, ni même ne laissera voir le haut de sa cuisse ou même laissera deviner sous un vêtement inapproprié son anatomie virile.

Dans le même esprit, dans nos cultures occidentales, il n’y a pas si longtemps, une femme qui montrait ne serait-ce que sa cheville était réprimandée sévèrement pour atteinte aux bonnes mœurs.

Ce que je veux démontrer là, c’est qu’une femme musulmane traditionnelle, qui dévoile ses cheveux, est perçue comme une “prostituée” dans un contexte religieux et culturel conservateur. Ce n’est pas une loi qui dicte cela, c’est la culture et les habitudes de cette communauté. C’est exactement comme si aujourd’hui, une femme à Paris sortait dans la rue habillée seulement d’une petite culotte en dentelle et sans soutien gorge.

Bien entendu, au départ, l’idée musulmane/catholique/ juive et j’en passe de protéger les femmes en les cachant de l’appétit animal des hommes est un concept erroné, car la population s’habituant aux normes de pudeur, de nouvelles parties du corps deviennent érotiques à la place de celles que l’on a caché. Des femmes en Niqab ne montrent pas leurs seins ou leurs jambes, peu importe. Une cheville peut être aussi érotique pour un homme habitué à ces règles qu’un sein dévoilé. A quoi un homme juge-t-il qu’une femme en Niqab est attirante ? A sa silhouette et à son regard. Les yeux et les formes deviennent à leur tour érogènes, et c’est un cercle sans fin : si on cache les yeux, on règle le problème pour un temps (d’où les voiles-grilles sur les Niqabs les plus austères) jusqu’à ce qu’un autre critère devienne le critère érogène. On ne voit plus les yeux, on voit la forme générale et elle devient le critère érogène. Peu importe, pour éviter de laisser deviner les formes érogènes de la femme sous la combinaison intégrale, on la met dans une boîte... mais une boîte qui parle. La voix devient alors le critère de jugement de l’attirance masculine envers les femmes etc... etc...

A l’opposé de ce processus qui enferme de plus en plus la femme dans une boîte, sommes nous prêts à être tous entièrement nus ? Car le processus est valable dans l’autre sens. La libération de la femme des contraintes liées à l’érogène sera alors d’enlever un à un les vêtements qui la voile. On supprime la grille, c’est le voile qui devient une contrainte. On enlève le voile, c’est la robe longue qui empêche les chevilles d’être vues. En Europe, nous avons fait exactement le processus inverse, si bien que les célébrités féminines peuvent aujourd’hui se présenter sur le tapis rouge avec de robes qui ne voilent rien de leur anatomie.

AM : En résumé, il vaut mieux travailler sur les pulsions humaines dès l'enfance, et se vêtir de manière adaptée à son lieu de vie. Dans un moyen-Orient désertique exposé au soleil destructeur, on se couvre entièrement d'un voile pour se protéger du soleil et de la chaleur. Dans une forêt tropicale chaude, à l'abri des arbres les vêtements deviennent inutiles, si ce n'est le cache-sexe pour protéger des ronces ces parties fragiles voir génantes pour certains mouvements.

Stéréotypes sur le sexe et les genres

Le problème du sexe et des genres (donc de l'hétérosexualité et de l'homosexualité), du formatage culturel etc... n'est pas simple surtout que le sexe a toujours été un moyen de contrôle sur les populations, et que la société a compartimenté les taches en fonction du sexe biologique plutôt que sur les capacités individuelles. Donc on a imposé à l'homme un comportement et à la femme un autre, sans se soucier des affinités de chacun. Dans ces stéréotypes, le couple n'est là que pour procréer, c'est pourquoi les mariages d'amour sont plutôt une invention récente et encore bien peu répandue dans le monde. On marie les gens pour qu'ils aient des veaux... euh des enfants, qu'on leur tire le lait, euh la laine... non l'argent de la poche. Dans l'Histoire on s'en fout complètement de la complémentarité dans le couple à la base, on veut de la fécondité et des regroupements de patrimoine. Le souci, c'est que notre société actuelle est à cheval entre plusieurs mondes : 1 - celui du mariage par intérêt qui fait avec les gens comme avec les boeufs et les génisses, 2 - celui du mariage marketing ou le foyer multiplie les occasions de consommer, et 3 - le mariage d'amour, de complémentarité spirituelle. Tous jouent sur les mêmes mots, mais tous ne les pensent pas de la même façon. Le premier et le second font que les gens consomment le mariage (dans tous les sens du terme) aussi vite que possible et que le célibat est mal. Du coup on prend la première personne venue, parfois c'est bon mais cela finit quand même dans de trop nombreuses séparations. L'aspect mariage bétail, c'est une famille ou un environnement qui pousse à la mise en couple, à une belle cérémonie bien chère avec des froufrous, où on veut 5 enfant sans avoir les moyens de les élever parce qu'il faut se reproduire comme du bétail, vite faire construire au bout de 6 mois après la première rencontre avec bébé en route dans la foulée etc... sans oublier que la belle famille est presque plus importante que la personne qu'on épouse. L'aspect mariage consommation, fast food, est là aussi parce qu'un couple c'est deux salaires, donc deux fois plus de budget pour acheter une voiture, de l'électroménager etc... sauf que pris de folie de consommation, le marketing a poussé le vice jusqu'à ce que le sexe devienne le motif du mariage, si bien qu'au bout du compte, la société arrive aujourd'hui à une situation ou le mariage ne dure qu'un soir, c'est le célibataire occupé qui fait une rencontre chaque soir, a un portable et facebook et passe son temps dessus pour trouver une nouvelle proie-produit sexuel à consommer. Plutôt que de vendre 1 voiture et un abonnement téléphonique à un couple, on vend 2 voitures et deux portables. Le mariage marketing c'est l'apologie du sexe, de la consommation plaisir (des gens ou des objets), du divorce et du jeune célibataire libertin (ou du conjoint volage, ce qui revient au même, voir tous les sites et les médias qui poussent à l'adultère). Enfin, et c'est souvent le moins présent des trois aspects, il y a la complémentarité d'esprit, l'émotionnel, même si assez souvent beaucoup de couples croient être fondés sur cet aspect alors qu'ils ne le sont sur les autres

Tout est une question de langage : l'"amour" est le mot le plus ambigu qui soit dans cette optique. Tomber amoureux est souvent bien plus une attirance sexuelle qu'une réelle connexion spirituelle. Faire l'amour est tour à tour essayer de procréer (mariage bétail), consommer du plaisir (mariage marketing) ou partager un moment d'émotion physique et spirituelle (mariage communion). Le plus ingrat alors c'est que dans un couple, les deux partenaires peuvent être motivés par des aspects différents, et parfois sans aucun rapport avec celui de leur partenaire, et pourtant les mots employés sont les mêmes. "J'aime mon conjoint" signifie aussi bien : 1 - j'ai trouvé un bon partie qui m'assure une sécurité matérielle pour moi et mes enfants (amour bétail), que 2- je suis satisfait(e) sexuellement et ma vie (matérielle) avec cette personne m'apporte beaucoup de plaisir de consommation, ou enfin 3 - que je suis attaché spirituellement et émotionnellement à mon/ma partenaire à un point où je pourrais sacrifier tout le reste (et notamment le mariage bétail ou le mariage fast food). Combien de fois on voit une personne perdre son travail et être largué par son conjoint ? Combien de fois une personne malade ou devenue infirme est abandonnée par son/sa partenaire ? L'amour, le vrai, dépasse les problèmes matériels, le sexe, l'argent, la notoriété, le handicap physique, la vieillesse, les pulsions érotiques externes etc...

Compte tenu de tout cela, VOUS pouvez analyser votre propre couple à partir de ces critères parce que comme tout le monde, les 3 aspects se mélangent dans tous les couples quels qu'ils soient. Le tout est de savoir dans quelles proportions, c'est à dire sur quel aspect votre couple est il fondé prioritairement. Face à quelles difficultés votre couple a généralement des tensions ? L'argent (travail, niveau de vie insatisfaisant etc...), le sexe (par exemple, la fidélité, la qualité des rapport ? Votre couple n'est -il intéressé que par les voyages, le sexe, les sorties entre "amis" ? Avez vous des activités communes qui sortent de la consommation de "produits" loisirs ? Loin de moi de vouloir "casser des couples", mais j'essaie simplement de vous montrer que votre vie a rarement été la votre, qu'il existe des autoroutes toutes tracées dont vous n'êtes pas conscients mais qui vous dictent votre comportement. C'est cela le formatage.

Pourquoi les femmes seraient elles moins sexy avec leurs poils sur les jambes ? Des poils de barbe ? C'est pourtant l'aspect naturel des "femelles" de notre espèce pour utiliser une appellations "neutre" au niveau genre social. Alors c'est pas plus contre nature pour les femmes de se raser les jambes que pour un homme de porter une robe. Alors un homme qui veut ressembler à une femme et se rase les jambes sans se raser la barbe, peu importe, en fait on devrait dire on s'en tape ! Ce qui serait important, c'est pas de regarder le physique mais de savoir si c'est une bonne personne ou pas.

Les problèmes physiques ou karmiques conduisant à l'homosexualité

Le foetus est indifférencié au début, c'est à un moment donné qu'un excès ou manque d'hormone va conduire le clitoris à se transformer en pénis, à la vulve de se fermer. Il peut arriver, suivant l'alimentation de la mère, sa fatigue, etc. que ces hormones soient inhibées ou en excès, et que la différenciation sexuelle ne se fasse pas. Le sexe physique n'est pas celui génétique (XX pour les femmes, XY pour les hommes).

Il peut aussi arriver, si une entité d'orientation femelle doit expérimenter le pouvoir dans une société hiérarchique donc très machiste, que cette entité soit obligé de s'incarner dans le corps d'un homme, et donc avoir des affinité sexuelles différentes de son corps.

A classer:

1 - Tout d'abord attention, les "homos" sont en train de devenir le cheval de bataille de l'extrème droite qui lance de fausses rumeurs ou déforme les études scientifiques/psychologiques sur le développement de l'enfant, le tout encouragé par l'autre bord, les socialistes et progressistes laïcs, qui se servent de l'homophobie comme d'un instrument pour démontrer la haine de leurs opposants. Ne soyez pas dupes, la vérité est bien différente.

2 - Un homosexuel n'est pas un pédophile. Ce n'est pas parce qu'un "Pédéraste", ou Pédé en abrégé ressemble à "pédophile" que l'un est lié à l'autre. Il y a autant de pédophiles homosexuels qu'hétérosexuels, tout comme il y a des pédophiles hommes et femmes, peu importe leur orientation. Les amalgames qui visent à mélanger les deux sujets sont volontaires, car cela permet d'attiser la haine naturelle des parents qui est normale contre les pédophiles, mais qui du coup est étendue aux homosexuels. Pour un homosexuel, un enfant (garçon ou fille) a autant d'intérêt sexuellement parlant qu'un arc en ciel pour un aveugle. La pédophilie est une maladie/perversion mentale grave, tout comme le sadomasochisme, le fétichisme ou la zoophilie. Ce sont des comportements déviants acquis souvent à cause de mauvais traitements qui ont eu lieu lors du développement de l'enfant.

- la pédophilie n'est pas innée, elle est consécutive, selon les ET, à des violences pédophiles subies par les pédophiles eux mêmes : c'est un traumatisme qui se répercute et s'auto-entretient même si la personne victime peut stopper ce cycle. Un enfant abusé n'est pas automatiquement pédophile, mais un pédophile est forcément une victime d'un autre pédophile au départ. Plus les agressions sont ignorées par la société et non reconnues, plus la victime a de risques de développer cette perversion sexuelle. On voit là tout le mal que l'Eglise a pu faire durant des siècles en protégeant cette pratique destructrice, et dont elle essait de faire porter le chapeau aux homosexuels.

- l'homosexualité au contraire n'est pas le resultat d'un traumatisme lié à des agressions ou des mauvais traitements, mais est engendrée par un développement du cerveau différent, qui lui même entraine un développement social différent. Plusieurs raisons à cela. Un stress très fort pendant la grossesse engendre un développement différent du cerveau de l'enfant. Secondo, une raison sociale : l'enfant ne veut pas inconsciemment assumer le rôle de son sexe dans la société dans laquelle il vit et nous verrons que ces raisons sont liées à des régles sociales trop strictes.

3 - les religions ont différents effets sur l'homosexualité et notamment parle fait qu'elles ont imposé aux êtres humains des comportements inappropriés. C'est notamment le cas pour ce qui est de la place et du rôle de chaque sexe dans l'activité sociale. Homme et femmes ont des fonctions naturelles différentes dans la nature de part leur spécificités. La Femme a des particularités physiques qui lui imposent certains comportements : une femme enceinte ne peut pas effectuer des tâches trop lourdes sans mettre son enfant en danger par exemple. Idem pour l'homme qui lui n'a pas cette obligation de prendre soin de son corps (et de l'enfant à venir) physiquement, et donc protège son enfant en protégeant sa partenaire. Ainsi les rôles sont dessinés en fonction de cela et tout le reste n'est que rajout. Une femme qui n'est pas enceinte peut tout à fait chasser pour nourrir son clan, un homme peut très bien s'occuper des enfants si sa femme, plus compétente pour certaines tâches, a du s'absenter.

Contrairement à ce que l'on peut dire, l'homme n'est pas plus fort que la femme en général, s'il est généralement plus fort physiquement, ce n'est pas automatique. Certains hommes sont génétiquement plus frêles, certaines femmes sont génétiquement plus fortes. Le credo est donc d'adapter : c'est celui qui a le plus de compétences qui fait la tâche pour le bien de la famille. Il existe aussi des mères qui ne sont pas maternelles et des pères qui sont de vraies mères poules, donc cela ne s'arrête pas forcément au physique.

Or les sociétés enferment les gens dans des rôles préfabriqués, le père étant forcément géniteur et dominant, la femme soumise et fragile. On sait que cela est artificiel, car il existe des sociétés où les hommes sont considérés comme fragiles et émotifs et les femmes fortes et dominatrices. Ces sociétés matriarcales disparaissent sous la pression du dogme majoritaire, mais cela ne veut pa dire qu'elles n'existent pas ou n'ont jamais existé.

L'erreur ici est de croire qu'un des points de vue est meilleur que l'autre. Ce sont deux extrêmes inadéquats.

- On arrive donc à des idées préconçues qui ne sont pas naturelles en elles mêmes, avec une hyperdomination de l'homme sur la femme. Le couple est alors vu sous un angle purement asymétrique et ne sert qu'à la reproduction sans tenir compte des liens émotionnels qu'il y a entre les individus. Certes la reproduction est une chose importante, c'est pour cela que les espèces, dont l'humain, sont majoritairement hétérosexuelles. Le contraire serait complètement paradoxal. Mais cette normalité apparente n'est pas automatique : l'environnement prend une grande place dans la reproduction comme on le voit dans de nombreuses espèces vivantes. Par exemple, les mérous et de nombreux poissons changent de sexe pour garantir la survie de l'espèce, généralement le plus gros devenant femmelle et le plus petit mâle. Pire encore, chez les mérous l'évolution est générale pour tous les individus, les plus jeunes (et plus petits) commençant leur vie en mâles et la finissant en femelles. La taille de l'individu est le facteur numéro un, car un individu massif a plus de reserves corporelles, peut mieux générer et défendre ses oeufs qu'un individu chétif. C'est pour cela au départ que les scientifiques ont élaboré des théories sur le genre et le sexe, parce que les choses ne sont pas si simples dans la nature, contrairement à ce que le grand public pense (et qu'on le force à croire).

- Le sexe est quelque chose de génétiquement déterminé dans la plupart des cas, les femelles mammifères ayant deux chromosomes X et les mâles un Y et un X. mais là encore, c'est le cas s'il n'y a pas d'accident lors de la gamétogénèse qui eut conduire parfois des spermatozoïdes à comporter X et Y à la place d'un seul des deux et des ovules à posséder deux X au lieu d'un seul. Dans ce cas là, les individus ne sont ni vraiment des hommes (XY) ni vraiment des femmes (XX), et il peut y avoir des combinaisons exotiques (XXY, XXX).

-Si le sexe est seulement biologique, il a bien fallu expliquer pourquoi des êtres vivants se comportaient comme des femelles sous certaines conditions et parfois comme des mâles, de façon complètement indépendante du sexe biologique. Les mérous sont mâles à la naissance et deviennent femelles en vieillissant : pensez vous que leurs gènes changent entre temps ? Non. Certains mérous sont XY d'autres XX, et cela ne les empêche pas de suivre le même processus de changement de sexe dans leur vie. Cela veut dire que le sexe génétique est différent du sexe réel dans la nature. L'être humain n'a pas la capacité de changer de sexe physique, même si à priori, puisque les mérous sont capables de le faire, ce n'est pas théoriquement impossible. Tout est une question d'hormones, car ce sont elles qui orientent la construction et les changements dans le corps. Les chromosomes ne sont que des plans que le corps peut suivre ou non par la suite. Les poissons ne changent pas de sexe en changeant de génome mais à cause de leur cerveau par rapport à des stimulis externes. Par exemple, on a remarqué que deux mérous jeunes appariés en aquarium n'attendent pas d'être plus agés pour changer de sexe, celui qui est le plus gros se transforme automatiquement en femelle, peu importe qu'il soit XX ou XY : c'est donc bien le cerveau qui détecte l'environnement et enclenche la transformation. Voilà pourquoi en biologie on a été obligé de différencier les "sexes" : parle-t-on du sexe génétique ou du sexe réel, c'est à dire le comportement de l'être vivant ? D'où la notion de sexe et de genre, qui chez les mérous, est poussée à son paroxisme.

- Il y a souvent confusion dans nos sociétés à propos de ces notions de sexe et de genre, parce que souvent ces notion scientifiques sont instrumentalisées par des extrémistes. Il n'empêche que l'Homme est un être biologique et qu'il est soumis lui aussi à des fonctionnements. L'être humain ne change pas de sexe suivant son genre comme tous les mammifères. Cela s'explique par le difficulté à changer un physique qui est trop difféncié entre l'homme et la femme d'un point de vue génital. Faire pousser un vagin à un homme et transformer ses testicules en ovaires est quasi impossible, même avec un bouleversement hormonal complet, alors que chez les poissons, les testicules et les ovaires sont très proches biologiquement, leur spécialisation n'est pas aussi poussée que chez nous : le poisson peut donc se reconstruire comme si il était au stade de foetus et refaire sa différenciation. Chez l'homme cette différenciation se fait très tôt dans le ventre maternel et va trop loin pour un retour en arrière plus tard.

- Cependant, si le sexe physique devient très vite définitif chez l'être humain, sa différenciation sexuelle n'est pas que génitale. La preuve, l'adolescence et la puberté sont là pour finir le travail. Il y a donc un processus biologique de construction qui part du stade foetus et qui se termine à la fin de la puberté. C'est donc un travail très long pour le corps qui travaille avec les hormones pour se modeler. De 0 à 12 ans environ, l'enfant reste neutre d'un point de vue physique parce qu'il n'a pas fini sa croissance sur le reste du corps, il est en construction. Tout comme chez les mérous, c'est la logique qui prime : si nous pouvions nous reproduire dès le début, à notre naissance, alors que nous ne sommes pas finis physiquement, cela aboutirait à une absurdité et à notre mort. Le bébé n'est pas autonome et le jeune enfant non plus : il ne peut pas se défendre, chasser, une petite fille n'est pas assez "solide" pour porter un enfant etc... Tant que nous ne sommes pas aptes physiquement à la reproduction, nous ne pouvons pas nous reproduire, notre corps est en pause au niveau génital, c'est une sécurité vitale. Un enfant n'a pas d'envies sexuelles, il est par essence neutre jusqu'à sa puberté. Pour pouvoir se reproduire plus tard, il faut qu'il grandisse et se construise. Une fois cela fait, le corps peut enclencher la dernière phase, c'est à dire met fin à la pause du développement génital lors de la puberté. Mais avant cela, il a du boulot, et notamment au niveau cérébral.

- Si nous sommes intelligents aujourd'hui, c'est parce que nous avons un cerveau très complexe qui ne se construit pas du jour au lendemain. Même chose avec notre squelette, moins complexe certes, mais qui met du temps à se fabriquer. Or pour réussir à se reproduire dans notre environnement hostile, il ne suffit pas d'avoir un vagin avec un ovule fécondé. Il faut pouvoir non seulement physiquement supporter la grossesse et y survivre, mais en plus elle est handicapante pour la femme qui ne peut plus aussi bien se protéger contre les prédateurs. Dans notre développement en qualité d'espèce humaine, porter son enfant plutôt que de pondre un oeuf a été un progrès qui a permis justement de protéger l'enfant plus longtemps et de pouvoir se déplacer, ce qu'un oiseau prisonnier de son nid ne peut pas faire. La femme peut mieux protéger l'enfant, mais d'un autre côté elle sacrifie sa propre sécurité, d'où le rôle des males qui se posent alors comme protecteurs, compensant ce côté négatif. L'homme a donc besoin d'armes pour jouer son rôle et c'est pour cela que, généralement, les hormones font en sorte de doter l'homme d'os plus solides et d'une force musculaire supplémentaire. Mais cela ne suffit pas, car si le corps est spécialisé, il faut aussi que le cerveau, et donc le comportement suive. Or le cerveau se construit entre la naissance et l'adolescence en fonction du rôle que doit jouer la personne. Si le petit garçon veut pouvoir jouer son rôle futur, il faut qu'il aiguise son comportement, c'est à dire que son cerveau se fabrique en ce sens. A cet âge là, le cerveau est plastique et répond aux stimulis extérieurs : il apprend non seulement grâce à ses modèles (parents ou proches), mais aussi se forme en fonction des hormones qu'il reçoit.

- Et c'est là qu'on en vient à notre problème : si l'enfant subit des interférence dues à des accidents environnementaux, la fabrication de son cerveau peut très tôt être chamboullée et ne plus correspondre au rôle qu'il a à jouer dans le futur. Si une femelle humaine passe à deux doigts de se faire manger par un lion, le stress est passager, elle changera peut être d'ailleurs de mâle s'il elle juge qu'il n'a pas pu jouer son rôle. L'incidence sur le bébé est trop passagère pour être concrète. En revanche, et cela est de plus en plus valable dans nos sociétés actuelles, un stress sur le long terme peut se mettre en place : une femme qui travaille dans des conditions ignobles alors qu'elle est enceinte modifie durablement sa chimie et cela se répercute sur l'enfant. Suivant le type de déséquilibres hormonaux, le bébé réagira et se construira de façon différente à ce moment là : le cerveau qui est en train de construire ses bases sur lesquelles il va se développer ensuite sera irrémédiablement impacté. Ceci est la source de nombreuses constructions du cerveau atypiques qui se manifestent par exemple sous forme d'autisme. L'autisme n'est pas une maladie mais une construction du cerveau différente, celui-ci n'ayant pas suivi le plan originel et s'étant adapté.

- Le cerveau a également un "sexe", parce qu'il prépare l'adulte à son rôle de mâle ou de femelle : il ne va pas se contruire de la même façon chez un homme ou une femme, parce que le but quand même est de remplir le rôle de mère ou de père plus tard. Les comportements instinctifs, comme le sentiment maternel, sont liés à cette construction de base. Le "sexe" du cerveau est donc dépendant de la chimie et des hormones bien plus que de la génétique. Si le corps a un sexe génital, le cerveau a un sexe aussi, mais dans le sens qu'il doit conduire l'individu à remplir son rôle futur, c'est ce qu'on appelle le genre. Normalement, sans accident, le sexe génital et le sexe physique se développent de concert, si bien que sexe et genre sont identiques. Avec accident, il peut arriver que le sexe du cerveau ne se construise pas de façon parallèle au sexe génital, ce qui entraine une différence entre le genre et le sexe physique. Cette catégorie est à la base des problèmes des transgenres, puisque leur cerveau est effectivement celui d'une femme et engendrera un comportement féminin, malgré leur sexe génital. Cette inadéquation entraine dans la plupart des cas une homosexualité, puisque la personne aura le comportement et les instincts d'une femme, ce qui le conduira instinctivement aussi à se comporter comme telle (c'est à dire à se trouver un protecteur).

- Mais ce n'est pas la seule homosexualité qui existe, loin s'en faut. L'accident environnemental peut se produire après la naissance sous l'effet de stress ou de traumatisme chez l'enfant en pleine construction. Le comportement de l'entourage (proche ou lointain) a une influence mais n'est pas toujours prépondérant. Par exemple, ce n'est pas parce qu'un couple de parents décide de forcer leur enfant à se comporter autoritairement comme faisant partie de l'autre sexe qu'il deviendra homosexuel. Certes cela va laisser des séquelles psychologiques, mais cela n'influence pas la construction du cerveau de ce point de vue là. Un garçon qu'on habille comme un fille ou l'inverse, ne donneras pas un/une homosexuel(le), c'est une idée fausse, parce que le cerveau est sensible au comportement mais pas aux apparences, le petit garçon sait qu'il est un garçon même si ses parents disent le contraire (et symétriquement avec une petite fille).

- Or la société a ajouté aux rôles naturels de l'homme et de la femme des caractéristiques artificielles : l'homme n'est pas forcément agressif, la femme pas forcément soumise et passive, cela ce sont des ajouts sociaux et non biologiques. Ces comportements non naturels mais forcés servent dans un monde où les hommes sont envoyés depuis des millénaires s'entretuer et où les femmes sont considérées comme des objets plutôt que des individus : là on est plus dans les rôles biologiques naturels liés à la reproduction, on est dans le formatage social en vue de servir aux dirigeants. Ce sont donc les politiques et les religions qui ont modelé le rôle de la femme et de l'homme selon leurs intérêts au fil des siècles, cela n'a plus rien à voir avec la nature. Dans ces conditions, un enfant peut très bien se désolidariser du modèle imposé suite à des comportements extrèmes ou des incohérences. Par exemple, si le modèle social prone une passivité de la femme mais que le petit garçon voit que sa mère se comporte comme un "mama italienne" et frappe son père, il y a confusion entre les rôles prévus par la société et la réalité. Cela ne donnera pas un homosexuel mais cela bouleversera le comportement inscrit dans le cerveau du garçon qui souvent soit recherchera à reproduire la situation de ses parents, soit au contraire essaiera de rétablir les règles sociales en devenant un misogyne instable multipliant les maitresses (sans égard pour ces dernières soit dit en passant) qu'il collectionnera comme des objets. Dans d'autres situations, l'enfant ne se reconnait pas dans les rôles imposés par la société suite à un grand sentiment d'injustice, notamment s'il voit les mauvais traitements infligés aux femmes de son entourage/ ou vice versa s'il voit les hommes les plus fragiles, pourtant gentils avec lui, se faire maltraiter par les hommes violents assumant leur rôle de dominateurs. Ces injustices perturbent les enfants qui rejètent alors inconsciemment le modéle social et doivent se reconstruire un nouveau comportement, ce qui dans de nombreux cas, peut inverser les rôles et entrainer une homosexualité. Le petit garçon pourra par exemple compatir avec les femmes de son entourage et ainsi s'intégrer inconsciemment à ce groupe, ce qui influencera son développement cérébral qui dcite son comportement futur (et symétriquement avec les filles).

4 - Sachant cela, tout revient donc dans nos sociétés à la gestion des différences. Dans notre monde, il faut que les individus servent efficacement les dessins de leurs dirigeants. En ce sens, si une différence est utile, elle va être valorisée. Par exemple, si une personne est extrèmement forte, elle sera utilisée pour les tâches difficiles ou comme combattant. Mais que faire des gens qui ne sont pas utiles ou dont les caractéristiques ne rentrent pas dans les besoins ? Une femme stérile ou un homme stérile sont-ils utiles à la société, puisque dans ce monde, les humains doivent se reproduire pour combler les vides démographiques laissés par les guerres ? Non c'est pour cela que la stérilité est tabou, ressentie comme une tare, voire une malédiction divine. Les homosexuels rentrent dans ces considérations, notamment parce qu'on a souvent cru que c'était une maladie transmissible, notamment en Europe à la fin du moyen age. Quand on écoute la rhétorique nazi par exemple, on se rend compte de cela, puisque qu'on accuse les homosexuels de mettre en danger la race humaine : "si tout le monde était homo, ce serait la fin du monde, ne laissons pas ce fléau s'étendre". Ces arguments sont repris sans complexes par l'extrème droite actuelle (et même à droite parfois, comme cela l'a été dans le cas de M. Dassault). Cette idée reçue fait peur, parce qu'on pense qu'un hétérosexuel peut se transformer en homosexuel, ce qui est totalement faux. Un hétérosexuel restera toujours hétérosexuel, parce que son cerveau est construit comme cela. De même, on ne peut pas soigner l'homosexualité, car elle est liée au cerveau de la personne définitivement. Le mythe vient simplement du fait que les homosexuels subissent la pression sociale et miment les hétérosexuels, ce qui donne de faux-hétérosexuels qui, parfois, arrivent à assumer ce qu'ils sont après avoir pourtant construit une famille. Ce n'est pas un hétérosexuel qui change, c'est un homosexuel qui se révèle, grosse diférence. Or ce mythe de l'homosexualité transmissible, ou du changement d'orientation sexuelle, amène de grosses confusions dans le grand public qui est mal renseigné, souvent volontairement. En effet, beaucoup jouent sur les haines et les incompréhensions pour monter les gens sles uns contre les autres, et cela out simplement parce que cela assoit leur pouvoir sur leur communauté. Regardez à l'avenir les argumentaires et els sous-entendus émanant pourtant des sommets/ les médias, et vous verrez que le mythe est volontairement entretenu pour stygmatiser les homosexuels.

5 - Qu'en est-il des grandes religions monothéistes dont les bases sont doctrinalement homophobes. Tout d'abord un peu d'histoire : ce que l'on nous présente aujourd'hui comme des textes révélés sont des plagiats scientifiquement attestés et n'ont de valeur que si on remonte à leurs origines mésopotamiennes, dont sont issus les sémites. Les hébreux, originaires de la région d'Ougarit, ont adapté la religion de cette région avec le temps. Les premiers temples proto-sémites font allègrement cohabiter Yahwé, leur divinité principale, avec Baal mais aussi d'autres dieux, eux mêmes issus des divinités sumériennes. Plus tard, ne seront conservés que Yahwé et Baal comme étant deux frères (ou deux divinités complémentaires ou opposées) ainsi que Ashera, au départ mère de Yahwé puis son épouse (ou Parèdre). Ashera sera la dernière évincée mais subsiste sous la forme du chandelier dans les synagogues, le chandelier representant l'arbre sacré d'Ashera sous forme stylisée (seul le corps de la deesse a été enlevé).

Notez juste au passage qu'Ashera est aussi représentée comme une croix de avec une branche plus longue en bas (le tronc de l'arbre) pou ceux qui vuelent creuser la question sur l'origine des religions sémitiques dont le christianisme et ses origines mésopotamiennes. Symboliquement, la croix (Ashera, la mère divine) porte Jesus comme Marie porte son enfant, il n'y a pas de hasard quand on connait la filiation entre les religions et qui est derrière cette manipulation.

Or en ces temps où le monothéisme ne s'est pas encore imposé, il était une pratique assez méconnue mais attestée de prostitution masculine dans les temples sémites. Aux côtés des vierges femmes se trouvaient des jeunes hommes avec qui les citoyens mâles avaient des rapports sexuels souvent tarifés. Cette pratique a de nombreuse fois été condamnée par les sémites eux mêmes à cause des abus que cela engendrait. Cette prostitution masculine était principalement liée au culte de Baal et la scission religieuse qui a suivi dans le culte a grandement été influencée par cette prostitution qui était imposée même aux hétérosexuels. Ainsi, les hommes étaient obligés de coucher avec les prostitués mâles pour rendre culte à Baal, ce qui a largement traumatisé les gens. Baal est ainsi devenu par la suite l'archétype de Satan : précisons que c'est cette prostitution qui a mené à cette diabolisation et pas du tout les sacrifices humains comme cela a pu être dit, car le culte de Yahwé était également pratiqué via des sacrifices de jeunes gens, comme le prouve l'épisode où Abraham doit tuer son fils pour/par loyauté envers Yahwé. C'était la pratique courante à cette époque et Abraham rompt définitivement avec cette pratique le jour où il est arrêté par un ange alors qu'il était sur le point d'égorger son enfant.

La prostitution masculine n'a pas cessé pour autant dans certaines villes, car si les hébreux ont abandonné le culte de Baal, certains autres continuaient à le vénérer. C'est le cas dans la ville de Sodome. Ce détail a été élliminé de l'histoire parce que cela rappelait un passé peu glorieux aux israelites, tout comme la pratique des sacrifices humains, mais on en trouve des traces jusque dans le Coran qui parle bien de prostitution et de tarifage à Sodome, ce qui est typique de ce que l'on sait historiquement du culte de Baal. La suite n'est que de l'incompréhension et de l'hypocrisie, parce que que dans les écritures "Dieu" a condamné Sodome mais n'a jamais explicitement condamné l'homosexualité voulue et non cultuelle. Si un des commandements demande aux hommes de ne pas coucher avec les autres hommes comme on couche avec une femme, c'est dans cet esprit là, c'est à dire pour interdire les cultes de prostitués mâles en vigueur auparavant chez les sémites, puisque ces règles étaient avant tout destinées à ces mêmes sémites et n'avaient pas vocation à s'imposer à d'autres peuples.

Il est facile pour les religions judéo-chrétiennes de condamner l'homosexualité alors qu'à la base elles sont fondées sur des cultes mêlant sacrifices humains et proxénétisme cultuel des hommes. Les peuples n'ayant pas eu de contacts avec ces dogmes judéo-chrétiens n'ont pas d'a priori sur l'homosexualité, comme le montre les berdaches chez les amérindiens. L'homophobie suit de très près la diffusion des religions judéo-chrétiennes, ce n'est pas un hasard. Je ne justifie donc pas l'homosexualité de façon bancale, j'explique l'homophobie sur des critères historiques émoticône smile. A la base, les sociétés humaines sont plutôt neutres et tolérantes envers les homosexuels, c'est leur instrumentalisation récente qui en fait un problème.

Mais ce n'est pas mieux non plus à l'autre bord, parce que la théorie du genre est utilisée pour justifier n'importe quoi et que tout est fait pour bâcler le travail sur les droits des homos. Ca n'aide que l'extrème droite et cela est volontaire : plus l'extrème droite monte, plus la droite perd des voix.

Même idée, créons des homophobes, ça affaiblira la droite. C'est un jeu dangereux, parce qu'à appâter le fauve on finit par se faire bouffer un bras. Tant qu'on aura des Pierre Bergé qui imposent leur déchéance sexuelle et morale sur le monde homo d'un côté, et des Serge Dassault qui replongent dans les méandres homophobes nazi de la seconde guerre mondiale de l'autre, la société n'évoluera pas dans le bon sens…

Pierre Bergé derrière qui depuis le début manipule les droits des homos dans son propre intérêt. Car ce Monsieur impose son point de vue à toute la communauté, notamment à Paris. Je ne crois pas qu'aujourd'hui défiler en string sur des chars en dansant sur de la techno tout en se roulant des patins serve la cause, ni relayer dans des magazines comme Têtu des comportements libertins et instables. Quand la "culture gay" se fait manipuler par ce genre de bonhomme, je comprends largement les réticences de la population française sur l'adoption. A aucun moment je ne souhaiterais voir des gens obnubilés par leur sexualité adopter des enfants, mais c'est pourtant le modèle de comportement véhiculé par Monsieur Bergé via ses médias. Or Monsieur Bergé est un pilier pour les socialistes, il suffit de voir les rapports qu'il entretient avec eux depuis 1984 et sa rencontre avec Mitterrand (1984 date de création de SOS racisme aussi tient tient !). Pierre Bergé fait partie de la vieille école parisienne, celle où homosexualité était synonyme d'insouciance libertine égocentrique (ce qui en dit long sur l'appartenance spirituelle de ce Monsieur selon les ET). Cette vision est dépassée, la majorité des homosexuels aujourd'hui souhaitent une reconnaissance et une intégration, une stabilité dans leurs relations. On est bien loin de l'image qui est donnée par les Gayprides et les magazines gays, mais celle-ci perdure parce que ceux qui la propage sont toujours les mêmes vieux pervers.

Ceux qui critiquent ne connaissent que cette image, ils feraient donc mieux de rencontrer les gens normaux qui ont une vie rangée. Là ils verraient que ce n'est pas la gaypride à la maison et que l'environnement est tout à fait propice à l'éducation des enfants, parfois même bien mieux que chez de nombreux hétéros qui font des enfants sans les désirer et les traînent comme des boulets.

Les cas d'homosexualité liées aux incarnations sont ultra-minoritaires et fonctionnent de la même manière que les autres, c'est à dire dans ce cas que c'est l'âme qui provoque volontairement les changements chimiques dans le cerveau, au lieu des cas que j'ai décrit (stress utérin ou problème de confusion des rôles chez l'enfant). Une âme qui a un fond pacifique ne peut pas se reconnaître dans un rôle qui ne lui convient pas, surtout dans des sociétés où l'homme doit être dominateur et agressif aux dépends des autres et des femmes. C'est le cas si une âme a l'habitude effectivement de s'incarner en rôle de mère sur plusieurs incarnations. Derniers cas, plus rare encore, des soucis quand une âme est mal à l'aise avec son nouveau corps sexué. Chez les humains, il y a des âmes qui ne sont habituées à cela (qui peuvent venir d'autres planètes) où dans leur ancienne espèce la notion de sexe mâle femelle n'existe pas, ou même dans certains cas qu'il n'y a pas de sexe du tout. Les 95% des cas d'homosexualité chez les humains sont liées à des problèmes humains concrets, les âmes n'étant qu'une explication assez peu fréquente somme-toute.

La gestion de l'homosexualité

La gestion par les sociétés altruistes

Les sociétés traditionnelles savent reconnaitre les problèmes évoqués ci-dessus. Si l'enfant ou l'adolescent vient parler de son orientation sexuelle, il est déclaré 3ème sexe et peut s'associer avec d'autres 3 eme sexe selon son affinité.

C'est d'ailleurs la seule gestion possible, car ces êtres sont incarnés, ils ont leur chemin de vie à faire (par exemple, si on avait Alan Turing à son adolescence comme une aberration de la nature, Hitler aurait peut-être gagné la seconde guerre mondiale, et l'informatique n'aurait jamais vu le jour), et ils ne font de mal à personne. De toute façon, les couples hétérosexuels seront toujours majoritaires, et l'homosexuel seul dans une petite communauté souffrira toujours d'un décalage.

Par contre, pour éviter les excès de sociétés hiérarchiques comme les grecs, il est très mal vu de pratiquer la luxure si l'on n'est pas 3eme sexe, pour éviter toutes les déviances malsaines.

Sachez qu'il existe aussi des homos chez les ET sexués (pas chez les altairans qui sont hermaphrodites) comme les zétas, et qu'ils y sont acceptés comme des individus à part entière. L'homosexualité est un accident de parcours dans le développement biologique et comme il prennent soin les uns des autres, pas de souci de ce côté là. Il n'y a pas de "culture gay" ni de "Ghetto Gay", les zétas homos sont des "citoyens" ordinaires qui n'imposent rien aux autres et ont des mœurs en adéquation avec celles des hétérosexuels. Un modèle à suivre je pense entre les LGBT extrémistes et les homophobes extrémistes. Et puis le sexe ce n'est pas tout dans la vie, non ? L'amour peut être aussi fort dans un couple homo que dans un couple hétéro mais ça on oublie souvent de le rappeler... l'être humain ne se ramène surement pas à sa seule sexualité !

Les tolérances de façade (gestion conscient/inconscient)

Les 3 religions du livre (judaïsme, catholicisme ou islam) sont toutes homophobes (à quoi sert le bétail qui ne peut se reproduire?). Cela nous est inculqué dès le plus jeune âge au fond de notre inconscient (les a prioris profonds et les tabous). La stigmatisation des homosexuels par DAECH est identique sur le fond (spirituel) à celle des populations occidentales. Qu'en serait il si la France devenait un état de non droit comme en Syrie, qu'en adviendrait il des homos? Regardez ce que certains américains s'autorisent à proférer, comme vouloir le droit de tirer une balle dans la tête des homos comme bon leur semble...

En occident, sur l'endoctrinement religieux, nous avons ensuite été éduqué, au niveau du conscient, pour des principes d'évolution spirituelle et des respect des autres (les grands principes humanistes / républicains inculqués par la société), à accepter l'homosexualité.

Pourtant, ce n'est qu'une "tolérance" de façade, car quand nous voyons 2 hommes qui s'embrassent, nous sommes toujours un peu gêné, d'une part car c'est nouveau, ensuite parce qu'il y a toujours ce décalage conscient-inconscient. Ce malaise est le symptôme d'un paradoxe, d'un conflit intérieur.

Ce n'est pas que la tolérance n'est pas honnête, mais qu'elle n'est cependant pas complète.

L'homosexualité génère des peurs et les intolérances. Le mariage pour tous à été l'occasion de ressortir les a prioris et vieux arguments moisis, inculqués dans l'inconscient :

- la contre nature,

- les parents homos ne peuvent pas former un foyer épanouissant pour un enfant,

- les homos sont des personnes à risque pour les transfusions,

- l'homosexualité se soigne,

- les homos sont des pédophiles,

- l'homosexualité met en péril l'espèce d'un point de vue démographique,

- etc.

Suite à la bourde de Hollande qui dit que les homo-sexuels choisissent leur sexualité.

Dépasser le formatage judéo-chrétien

Si ce formatage n'était pas si puissant et ancré dans votre inconscient, vous n'auriez pas de gène face à deux personnes qui se montrent des signes de tendresse, peu importe que ce soit une femme à barbe, un homo, un cul de jatte ou une personne défigurée à l'acide. Si cette gène existe, c'est que ce que vous voyez sort des rails, et cette gène est justement la pression qui vous y ramène inexorablement : vous êtes des esclaves conditionnés.

Prendre compte de ce décalage, l'accepter, c'est progresser et déformater progressivement notre inconscient. L'homophobie est le résultat d'un formatage plutôt qu'une réaction naturelle.

Dans un futur pas si lointain où les ET vont intervenir pour nous apporter les clés de notre inconscient, de notre vivant, cela pourra être problématique et source de conflits émotionnels.

La plus grosse bataille que nous avons à mener pour notre épanouissement spirituel est à l'intérieur de nous, pas à l'extérieur. C'est pour cela que le monde, les catastrophes, sont des remises en question non pas externes, mais internes. L'élévation spirituelle est un processus lié à l'âme, pas un processus externe à l'individu.

La tolérance est une façade, qui même si elle est sincère, ne représente que 10% de soi même, en l'occurrence, ne concerne que son conscient. La gène démontre que 90% de notre cerveau, et en plus celui qui est directement en contact avec son âme, ont encore des progrès à faire.

Cela viendra, mais ce progrès (qui peut être rapide) ne peut passer que par une acceptation de la situation : oui, notre tolérance n'est qu'une façade, donc il faut travailler sur soi même pour voir ce qui coince exactement. L'homosexualité n'est qu'un petit élément du formatage.

Ce n'est nullement un jugement, juste un constat de situation, une situation qui évolue et évoluera bien entendu parce que vous êtes dans une volonté de progrès spirituel. Le temps et les efforts paieront, mais il reste encore un peu de route.

Dans un état d'éveil et d'élévation spirituelle où la Vie n'a plus le même sens , il n'y a plus la question de Homme ou Femme mais de l'Unité , il faut sortir du stéréotype animal , mais je comprends la réaction fasse à ce monde actuel où nous devons vivre et survivre avec cela, tant qu'un nouveau système de chose n'arrive pas l'éveil ne se fera pas ou pour peu de personnes ....

Résumé des cas d'homosexualité

L'homosexualité est une sexualité minoritaire chez les humains et doit le rester, ce sont juste des cas particuliers et exceptionnels, cela ne doit en aucun cas devenir la règle. Donc si Jésus était homosexuel, cette sexualité n'est pas du tout un modèle à suivre, bien au contraire. Elle est liée à des problèmes d’incarnation (pas le temps de s'adapter au nouveau corps et à la nouvelle espèce), c'est une sorte d'effet secondaire du à une incarnation trop brutale.

Il y aussi des cas de personnes qui ont trop souvent été plongées dans le corps de femmes (et vice versa d'hommes pour les lesbiennes) et qui ont du mal à s'adapter au changement. Enfin une autre grosse partie de l’homosexualité est liée au fait que les rôles dans la société occidentale (et même ailleurs) ne sont pas naturels mais dictés par un héritage annunaki fortement misogyne. Si le caractère profond (de l'âme) d'un individu est trop en contradiction avec le rôle social de son sexe, il va choisir le rôle social de l'autre sexe.

Enfin une toute petite minorité est liée à des déviances sexuelles, comme par exemple un narcissisme exacerbé (l'individu cherche un clone de lui même) ou une hyper-sexualisation (l'individu couche avec n'importe lequel des deux sexes, ce qui l’intéresse c'est le sexe tout court).

La grosse erreur est donc de faire un gros amalgame de tous les cas d'homosexualité. C'est comme si à chaque fois que quelqu'un avait de la fièvre, on disait qu'il avait la grippe. C'est plutôt un effet secondaire lié à des conditions spécifiques et variées.

La sexualité dans l'univers

Les espèces non sexuées ont de nombreux outils à leur disposition pour se reproduire, comme le font les animaux sur notre planète.

Par exemple, les hermaphrodites ont les deux sexes. Ils ne sont pas sexués dans le sens où il n'y a pas de mâles et de femelles, tout le monde est identique et peut se reproduire avec n'importe quel autre membre de l'espèce. C'est justement d'une de ces espèces que provient Jésus, ce qui explique son homo-sexualité. Ce n’est pas un cas isolé.

D'autres font de la parthénogenèse, d'autres encore échangent du matériel génétique par le toucher. D'autres enfin utilisent des spores comme les champignons. Sur Terre généralement, chaque “champignon” produit 3 types de spores différents qui doivent se combiner avec d'autres spores provenant d'autres champignons. Il existe aussi des espèces auto-fertiles (comme les végétaux), d'autres qui peuvent effectuer des "bouturages"etc...

Il existe aussi des espèces à 3 ou 4 sexes différents (comme les cloportes chez nous), et d'autres qui changent de sexe suivant les besoins, l'âge ou la taille (comme chez les mérous).

La plus grosse erreur des humains, c'est de penser que ce qui se passe chez nous est généralement ce qui se passe ailleurs. Or ce n’est pas vrai du tout. Les espèces humanoïdes sont rares par exemple, et les mammifères encore plus. Dans l'évolution normale de la vie sur les planètes, celle-ci se développe surtout autour des invertébrés d'abord, et surtout des créatures aquatiques ensuite (parce que les planètes habitables aquatiques sont les plus nombreuses). Sur Terre, Nibiru a forcé la nature à s'adapter aux catastrophes, et donc les premières espèces ont disparu pour laisser place à des plus complexes et ainsi de suite, c’est pour cela que nous sommes des mammifères terrestres à sang chaud, bipèdes et non des céphalopodes aquatiques avec 8 tentacules et une hémoglobine à base de cuivre.

Sur les autres planètes généralement, l’environnement est plus calme, et donc les formes de vie qui se développent jusqu'à devenir intelligentes ont tendance à partir sur des structures génétiques plus basiques : pieuvres, insectes, mollusques et j'en passe. Il existe aussi des espèces végétales, qu'on pourrait comparer à des arbres, et qui ont une activité plus lente que la nôtre, ce qui n'enlève rien à leur intelligence.

L'être humain est vraiment particulier, mais comme “on” a eu tendance à placer l'homme au centre de la création divine, notre vision est très biaisée. Nous ne sommes pas du tout au centre de la création, et Dieu a eu beaucoup d'imagination !!

Le clonage est utilisé par certaines espèces, comme les zétas, mais c'est rare. Il permet tout à fait l’hébergement d’âmes, un corps cloné n’est pas différent d’un corps formé “naturellement”. D’ailleurs, les ET qui se reproduisent par division, auto-fertilité, bouturage ou parthénogenèse font une forme de clonage aussi, mais sans technologie.

A trier, sexualité et formatage

Ce n'est pas une nouvelle "bourde", mais bien un symptôme grave qui démontre encore une fois que sous des apparences de tolérance, il y a une totale incompréhension. L'orientation sexuelle n'est pas choisie, qu'on soit hétéro ou homosexuel. Un hétérosexuel restera un hétérosexuel, il ne choisit pas d'un seul coup de devenir homo (et inversement). Considérer que c'est un choix sous entend que ce choix peut être conscient, ou qu'il y a une passerelle entre hétérosexualité et homosexualité. C'est une erreur qui est souvent reprise par les religions, le cinéma ou les homophobes. Non un coup sur al tête ne vous fera pas devenir homo si vous êtes hétéro. Non, si vous côtoyez des homos vous ne le deviendrez pas, non si certains extrémistes LGBT (qui existent malheureusement) font de la propagande, cela ne fera pas "virer" la cuti des hétéros. Le monde entier ne se transformera pas en une vaste gay pride et ne disparaitra pas parce que toutes les femmes et hommes seront devenus homos etc... L'homosexualité ne touche et ne touchera qu'une partie restreinte des personnes pour les raisons que j'ai expliqué à plusieurs reprises, et restera minoritaire. Elle ne "contaminera" pas l'Humanité. Or la vision de personnes comme Hollande peut effectivement laisser supposer que on peut forcer le "choix" d'orientations sexuelles des gens, notamment avec une propagande homophile extrême. Si l'homosexualité a été défendue dans les sociétés"modernes" dites civilisées, c'est uniquement pour des raisons marketing, car les homos, qu'on pousse à être des célibataires endurcis à dessein en leur donnant une fausse image d'eux mêmes / des modèles pervertis du couple, sont logiquement une cible de choix. C'est d'ailleurs toute la société qui est poussée par le marketing vers le célibat, puisque ce qu'on veut ce ne sont pas des couples bien établis, mais une parcellisation des foyers : deux personnes séparées sont plus rentables, parce qu'elles doivent tout avoir en double (pour leurs enfants) : appartement, l'électroménager, etc... C'est donc tout bénéfice. Les homosexuels souffrent beaucoup dans leurs modèles de cette main mise du marketing à la "Pierre Bergé", parce que deux homos en couple, c'est deux fois moins rentable que deux homos célibataires. Or il est bien plus facile de donner aux homos un modèle individualiste et corrompu qu'aux hétérosexuels, parce que vivre ouvertement son homosexualité dans la société est une chose récente, et les homos n'ont aucun recul sur leur situation. Beaucoup pensent que la seule vie qu’ils peuvent avoir est une vie de célibataire constamment à la recherche de partenaires. C'est le ghetto gay, qui est loin de représenter la majorité, mais qui bénéficie seul de la médiatisation. Des magazines comme Têtu sont extrêmement destructeurs au niveau social car ils ne donnent que des modèles libertins aux homosexuels. Cela change, parce que des couples stables sont de temps en temps montré (notamment les couples de stars) et bizarrement, on s'aperçoit que dans le showbizz, les couples homos sont les plus stables de tous. Cela n'est pas très intéressant pour le marketing, mais très utile pour faire le scoop ("les 20 personnalités que vous n'auriez jamais pensé homo"), dans un contexte de retour à la foire aux monstres.

Ce qu'il faut retenir, que ce soit pour les homos ou pour toutes les personnes différentes, il y a une nouvelle tendance qui, sous un aspect de compassion et de tolérance, n'est qu'un prétexte pour faire le buzz, tout comme les cirques attiraient les gens avec leurs monstres. C'est la mode de faire défiler des mannequins amputées, des trisomiques ou toute sorte de particularité. On emballe cela dans de la tolérance, on montre ces gens qui s'assument etc..., mais tout le monde s'en fout, la plupart ne sont là que pour voir du monstre. Les défilés de haute couture qui ont des mannequins "spéciaux" sont ceux qui ont le plus de succès, surtout auprès des Elites et des médias, et les gens spéciaux qui tombent dans ce piège, pensant au contraire prouver des valeurs humaines, ne sont qu'un instrument : c'est le syndrome du diner de con (fin de la parenthèse).

Dans le cas de l'homosexualité donc, sous une couverture de tolérance, se cache une homophobie de fond, et cela ne fait que s'aggraver avec la polarisation spirituelle. L'attaque d'Orlando ne joue pas forcément en la faveur des homosexuels, car là encore, c'est l'image du gay libertin qui en ressort, dans la mesure où le Club était connu pour être très "chaud". Une partie des homosexuels n'a pas compris que se trimbaler en string sur des chars ce n'est pas de la fierté gay, c'est au contraire renforcer les clichés. Il est compréhensible qu'avec ce modèle, les gens soient embarrassés quand on pose la question de l'adoption, parce que vu sous cet angle, ce n'est effectivement pas responsable de donner le droit à la GPA ou à l'adoption à des fêtards qui niquent tous les soirs avec 3 inconnus différents à l'arrière d'un club gay. C'est cet image entre la drag queen et le gay ultra libertin qui sont négatives, car cela ne représente qu'une minorité d'individus, comme il y a une minorité de nymphomanes et d'ultra-libertins chez les hétérosexuels. Une des choses les plus paradoxales dans ce massacre et donc les plus significatives, c'est que les homosexuels n'ont même pas le droit de donner leur sang pour soutenir ceux qui ont été blessés à Orlando. Or les homosexuels sont ils plus à risque que les hétérosexuels ? Les études ont démontré que non, mais comme les gens et surtout les politiques ont encore une image faussée et archaïque, remplie de préjugés sur les homosexuels, tous sont mis dans le même paquet que les ultra libertins qui effectivement sont des populations à risque. Il existe des populations hétérosexuelles bien plus à risque encore que les homosexuels, notamment par rapport à l'industrie du sexe. Etrangement, un homo n'a pas le droit de donner son sang, mais une prostituée peut le faire, la prostitution n'étant pas punie par la loi française et ne faisant pas l'objet de restrictions particulières (c'est le racolage qui est interdit, c'est à dire de toucher de l'argent ou d'en demander. De nombreuses prostituées se font payer avec des objets de valeur, et payent des impôts sur leurs activités en toute légalité).

Quand je vous dit que l'homosexualité sera le dernier tabou à tomber parce que c'est celui qui est le plus profondément installé, ce ne sont pas des paroles de militant. C'est une réalité tangible, car la tolérance envers l'homosexualité est institutionnelle, elle n'est pas profonde et réelle chez la plupart des gens. La société mène toujours un double langage, où la tolérance est rattrapée par des a prioris farouches. Le tueur d'Orlando, d'après le témoignage de ses parents, a piqué une colère noire quelques temps avant de passer à l'acte parce qu'il avait vu deux hommes s'embrasser. Or qui, aujourd'hui et honnêtement, ne ressent pas un malaise en voyant deux hommes s'embrasser ? Ceux qui ont une haine profonde et des problèmes de violence passeront à l'acte, mais dans le fond, l'homophobie est encore généralisée, et ce n'est pas en la condamnant juridiquement qu'on la fait disparaitre. On parle d'islamophobie, mais les djihadistes eux mêmes ne sont ils pas de grands homophobes ? C'est comme un consensus des extrêmes, on se bat les uns contre les autres, mais dès qu'il s'agit des homos, on est tous d'accord, qu'on soit nazi, extrémiste musulman ou ultra orthodoxe juif ou chrétien. Quand on voit des pasteurs américains médiatisés demander aux gens de tirer une balle dans la tête des homos dans la rue, comme des chiens, on ressent une haine qui est encore bien plus profonde que ce qu'on trouve contre les noirs (et pourtant les USA sont encore très racistes). Ce que les Trump et autres extrémistes blancs demandent, c'est que les immigrés et les noirs soient de dociles serviteurs. Ce qu'on demande pour les homosexuels, c'est une extermination. Ce n'est pas dit ouvertement par tous, pour des raisons politiques, mais c'est le mouvement sous-jacent. Les politiques français, sont comme beaucoup d'autres, ils affichent un sourire de façade mais n'en conservent pas moins un dédain et un dégout pour les homosexuels (voir les arguments publics repris des nazis par Serge Dassault, élu Républicain). Les autres n'osent pas mais n'en pensent pas moins.

Alors d'où vient réellement cette homophobie ? ce qui est mal connu, c'est que l'homosexualité n'a jamais été condamnée par les religions avant l'arrivée de Jésus, même s’il existait déjà des tabous sur les actes homosexuels entre hétéro (liées aux moeurs sexuelles à but de domination entre mâles annunakis, j'en avais déjà parlé, à l'image de ce que pratiquent les singes bonobos). Ce sont surtout les juifs de cette époque qui ont monté le mythe, notamment par une lecture corrompue du Lévitique, seul texte à condamner l'homosexualité. Or le Lévitique a été traduit de façon erronée, car le vrai texte exhorte seulement les hommes à ne pas se comporter comme des animaux avec leur femme en matière sexuelle. Comme ce texte est ancien et que très peu de personnes étaient capables de le lire, il est facile ensuite pour les maîtres d'en faire une traduction arrangée qui restera incontestée (vue l'absence de contestataires). Cette version du Lévitique n'existait pas avant le premier siècle, pour la bonne raison qu'il a été inventé pour contrer Jésus. Jésus était un rabbin juif, c'est à dire un maître, et était très versé dans la Torah de son époque, il a toujours été reconnu comme tel. Son message et son travail s'adressaient donc aux juifs eux mêmes. Or le monde juif de l'époque est loin d'être homogène, il est composé de divers courants concurrents, essayant chacun de ramener le plus de sémites de son côté. Quand Jésus a commencé son ministère, attirant une masse très importante de la population juive dans son mouvement, les autres sectes ont ressenti qu'elles allaient être submergées, c'est d'ailleurs pour cela qu'elles ont poussé les romains à condamner Jésus, et notamment les autorités juives de l'époque (le Sanhédrin) qui collaboraient avec les romains et qui avaient la main mise sur la Palestine. Ces rabbins et ces maîtres de la Torah se sont vite aperçu que même après sa mort officielle, le mouvement lancé par Jésus attirait un nombre de juif énorme, et de façon exponentielle, même dans des zones éloignées au niveau de la diaspora comme dans les villes et ports grecs. Il n'est pas encore question à cette époque d'y faire entrer des non juifs, le "christianisme" des origines étant encore réservé pour l'heure aux seuls juifs et convertis juifs. Il a donc fallu pour ces autorités religieuses combattre le danger avec cette fuite soutenue d'adeptes, et il y a eu une vaste campagne de décrédibilisation et de harcèlement des juifs-chrétiens. Jésus étant homosexuel, c'est sur cet aspect que les autorités ont insisté, car la sexualité et la pudeur extrême des juifs étaient un terrain d'attaque privilégié. On ne trouve pas plus pudique qu'un homme ou qu'une femme juive à cette époque. Ruth (la mère de David) était connue par exemple pour son extrême pudeur, elle qui ne se baissait jamais en avant pour qu'on ne puisse voir sa poitrine quand elle était aux champs, et cela même si il n'y avait aucun homme à proximité (les djihadistes n'ont rien inventé avec le Hijab). Transformer un commandement du lévitique pour faire de l'homosexualité une abomination (punie de lapidation) a donc fait immédiatement de Jésus lui aussi une abomination aux yeux des populations juifs, ni plus ni moins, et la sexualité de Jésus est alors devenue tabou, même pour les premiers juifs convertis au christianisme. C'est pour cette raison qu'elle a été occultée par la suite, car elle a été une gène pour les premiers chefs des chrétiens dans leur propre communauté. L'évangile selon Saint Marc a par exemple été amputé de tous ses passages qui parlaient de la relation de Jésus et Lazare. Or pour preuve supplémentaire que l'homosexualité n'était pas interdite à cette époque antérieure, on a le cas très net du Roi David et de sa relation privilégiée avec Jonathan. Il est connu aussi que de nombreux maîtres juifs au cours des âges n'avaient aucun enfant, et ce n'est pas pour des raisons de stérilité. Derrière la pudeur envers leur femme se cachait tout simplement une homosexualité refoulée.

L"homophobie est donc une réaction face au succès du ministère de Jésus, et les autorités juives de l'époque se sont servi de la sexualité pour freiner son succès dans sa communauté, la sexualité étant très aisée à tourner en tabou surtout dans une culture très pudique. Reste maintenant l'affaire Sodome. L'histoire ne dit pas que les habitants de Sodome étaient des homosexuels, mais que surtout ils s'adonnaient à la luxure au sens large : individualisme, société du plaisir et donc forcément du sexe. C'était le même type de société que celle dans laquelle nous vivons, en plus dépravé encore. Seul comptait l'argent et les plaisirs, la vie humaine n'avait aucune importance :esclavagisme, prostitution, libertinage, pédophilie etc... Les gens faisaient des enfants et les abandonnaient parce qu'ils étaient une gène, ou les prostituaient pour gagner de l'argent. Tout était permis pour devenir riche, et c'est d'ailleurs ce qui a attiré Loth dans cette ville, lui qui était fou d'or et de richesse à en être malade. Le Coran qui reprend aussi cet épisode spécifie juste que la ville a été détruite pour ses "turpitudes", et il n'a jamais été question de la punir seulement pour ses moeurs homosexuelles. Mahomet n'a jamais condamné l'homosexualité et c'est après sa mort, du temps des usurpateurs Ommeyades, qu'un de ses soit disant compagnons a donné des hadiths homophobes, en l'occurrence Abu Horaira. Or ce personnage a été un outil pour le pouvoir dictatorial des Ommeyades pour pervertir l'Islam. Abu Horaira n'a connu Mahomet que 3 ans, mais c'est quand même lui qui a été la source (unique souvent) d'une grande majorité des hadiths sur lesquelles s'appuient, en plus du Coran, les sunnites (et la charia est très liée à ces textes). La légitimité de ce personnage est déjà douteuse en elle même. Ensuite, quand on regarde son histoire, elle est tout à fait révélatrice : c'était un homme en bonne santé quand il a connu Mahomet, mais par lâcheté et feignéantise, il se réfugiait parmi les mendiants pour éviter de partir à la guerre ou d'avoir à travailler. Il vivait de mendicité et quand il a entendu parler de Mahomet, il s'est empressé d'aller rejoindre la Mosquée où le prophète avait l'habitude de recueillir les plus pauvres. C'est à cette occasion que les deux hommes ont fait connaissance, et que Abu Huraira s'est accroché comme une sangsue à Mahomet, et ce pendant 3 ans. Lors des différentes batailles qu'il y eu à la succession du prophète, entre les Ommeyades et le fils de Mahomet, Ali, Abu Huraira s'est rangé du côté du plus fort, c'est à dire des Ommeyades. Le Calife Ommeyade l'engagea alors pour se servir de lui en le proclamant "saint" ou "abu" (qui veut dire "père", "patriarche"), et Abu Huraira s'est mis alors à inventer des hadiths pour satisfaire son mentor. Il fut très critiqué parce que sa lâcheté et sa cupidité faisait honte même aux Ommeyades, c'est pour dire. Il a même avoué lui-même que Mahomet n'avait pas dit toutes les choses qu'il avait rapporté, on s'en serait douté. Les lois islamiques et surtout sunnites étant liées à cette période, et Abu Huraira ayant constamment été mis en avant comme un témoin clé de la période prophétique, ses hadiths homophobes ont donc entaché tout l'Islam par la suite. Or qui était le premier ministre des califes Ommeyades, si ce n'était systématiquement des conseillers juifs, eux même très marqués par la campagne homophobe menée depuis 600 ans par leurs maîtres religieux depuis la "mort" de Jésus. L'influence des autorités juives après Jésus a donc contaminé le califat Ommeyade, et Abu Huraira a servi à légitimer de nombreuses règles et lois qui n'ont rien à voir avec l'Islam d'origine, mais bien plus avec la tradition juive de l'époque : on retrouve donc dans cet islam perverti, sans surprise, la disqualification de la femme, une pudeur exacerbée, des interdits alimentaires et tout un tas de choses accompagnant l'homophobie, qui ne sont pas d'origine islamique réelle, mais orthodoxes juives. Si les musulmanes portent des Hijabs, c'est parce que les juives de cette période portaient des tenues comparables, et cela n'a rien à voir avec Mahomet. Au contraire, les femmes étaient respectées et protégées dans l’islam d'origine. Elles avaient aussi ne forte influence politique qu'elle ont ensuite perdu quand les Ommeyades, influencés par l'orthodoxie juive, ont établi les bases de la charia et de la sunna.

Toute cette homophobie, qui est aujourd'hui exacerbée ar la polarisation spirituelle comme toutes les autres haine de l'autre, n'est que la conséquence d'une tentative de stopper et décrédibiliser le christianisme. La réaction des chrétiens a alors été de taire cette "honte", et de suivre le mouvement par peur de perdre leur succès. les musulmans et l'Islam corrompu par les Ommeyades n'ont fait de perpétuer cette propagande farouchement hostile au Jésus historique. Non les homosexuels ne sont pas des pervers ultra libertins en string sur des chars. Cette vision est complètement fausse. Il y a eu de grands homosexuels comme il y a eu de grands hétérosexuels, cela n'enlève rien à leur valeur. Une fois que cela sera remis d'aplomb, alors là oui, on aura fait tomber une immense barrière de préjugés et d'erreur spirituelle. Les amérindiens avaient bien compris cela, et les "two hearted", les "deux coeurs" comme ils appelaient les homosexuels, étaient souvent les maitres de cérémonie et de puissants shamans. Ils étaient aussi souvent arbitres des couples ou du clan, car ils étaient entre les deux, aussi bien capable de comprendre la situation des femmes que celle des hommes dans les conflits. Là encore, après l'arrivée des missionnaires chrétiens, l'homosexualité est devenue tabou dans les différents peuples amérindiens, et aujourd'hui les berdaches et autres shamans homosexuels sont passés sous silence dans les cultures natives actuelles, parce que cela nuit à l'image de guerriers farouches qu'ils aiment à se donner, intégrant eux mêmes les clichés hollywoodiens que les européens leur ont appliqués. L'homophobie joue sur les faiblesses des hommes et du manque de confiance en leur propre virilité. Un homosexuel est considéré comme un hétérosexuel faible qui se laisse dominer par les mâles, c'est une vision de l'homo looser contre l'hétéro winner. Chez les amérindiens, il y a eu de farouches guerrières lesbiennes qui étaient extrêmement craintes pour leur bravoure et leur force au combat. Chez les grecs, les couples maîtres et élèves étaient mises à profit dans des corps d’armée d'élite qui ont fait trembler toute la région pour leur opiniâtreté au combat. les homosexuels ne sont pas des tantes effarouchées ou des précieuses endimanchées. Chez les celtes, certains guerriers renommés se faisaient un honneur de donner leur corps comme récompense, et ils prenaient très mal un refus qui était pour eux une extrême offense. Comme chez les amérindiens, les homos ont simplement intégré les clichés "cage aux folles" qu'on leur a étiqueté sur le front et font ainsi leur propre malheur. La fierté "gay", ce n'est pas de défiler à poil sur des chars fleuris avec de la techno. Tant qu'on sera sur cette ligne, les homosexuels dont le ghetto gay ne représente qu'une façade minoritaire, en paieront le prix.

La forme d'homosexualité liée des problèmes de sexualisation de la société, qui représente la majorité des homosexuels aujourd'hui en Occident, était absente chez les amérindiens. Les homosexuels sont donc plus généralement liés à des problèmes d'incarnation (notamment extérieure à la Terre), et c'est pour cela qu'il se révélaient suite à des rêves initiatiques et devaient de puissants shamans. Il faut donc bien faire la différence entre les différents types d'homosexualité, qu'elles soient incarnatoires ou liées à une culture trop rigide sur les modèles féminins et masculins (l'âme ne se reconnait pas dans le rôle qu'on lui impose et suit alors le comportement du l'autre sexe). De même, il faut différencier l'homosexualité individuelle des pratiques homosexuelles chez les grecs ou les celtes. Ces pratiques n'étaient pas liées à l'homosexualité réelle, mais à une culture puisque les hétérosexuels pratiquaient ces relations. Ces exemples (grecs et celtes) m'ont juste servi à illustrer le fait qu'il n'y avait pas d'interdit et qu'au contraire, il pouvait y avoir un déséquilibre dans l'autre sens (homophilie contrairement à l'homophobie). C'est avec la judéo-christianisation (arrivée des romains christianisés) que ces tabous se sont installés en Europe celtique, en parallèle avec la misogynie d'ailleurs.

il ne faut pas confondre la sexualité reproductive, celle qui lie et attire les hommes et les femmes, de la sexualité émotive, celle qui fait s'attirer les gens parce qu'ils se sentent proches l'un de l'autre. En ce sens, ou pourrait dire que que l'amitié, c'est de l'amour sans sexe. Là où les limites varient, c'est dans l'expression de cette amitié hors couple. Chez de nombreux populations d'Afrique, il est commun de voir des hommes se tenir par la main dans la rue, alors que la culture est au contraire profondément homophobe (et parfois punie pénalement). Ce n'est pas du tout un acte "amoureux" ou sexuel, c'est un façon de signifie une amitié platonique entre deux personnes (les femmes font aussi la même chose). Faites cela en France et vous verrez les regards :). Dans certaines cultures, les limites entre les marques d'affection amicales et celles vraiment liée à du sexe sont plus floues ou différente. Chez les celtes apr exemple, contrairement aux grecs, les relations entre hommes étaient davantage une marque affective "entre amis" et compagnons de combat qu'un acte "sexuel" au sens reproducteur. Comme en Afrique on se donne la main, les celtes avaient poussé le partage affectif plus loin. Chez les grecs c'est différent, c'est lié à des relations de pouvoir dominant et dominés, maîtres et élèves (ces relations maîtres élèves ne commencent qu'après la puberté, ce n'est pas de la pédophilie comme certains ont pu le dire). Les mêmes relations maîtres apprentis se retrouvent chez les samouraïs au Japon. En ce sens, les celtes tout comme d'autres peuples pratiquant ces rapports amicaux extrèmes, sont différents de ce qu'on trouve au Japon ou en Grèce, puisque chez les celtes c'est une faveur ou un partage qui n'a rien à voir avec un acte de domination. Tout dépend donc de la culture et des limites ou tabous qu'elle pose sur les actes. Si en Europe se donner la main est un acte déjà sexuel, cela ne l'est pas en Afrique. Même chose avec la fellation, qui n'est pas considérée comme un acte véritablement à sens sexuel chez les américains, et il est courant que les jeunes filles rendent ce "service" à leurs copains. la culture est donc très importante pour différencier ces actes, et donc l'attirance que l'on peut ressentir pour une personne, de même sexe ou non. Une amitié très forte, qui peut être liée à des affinités incantatoires, peut effectivement dépasser les tabous sexuels d'une culture. Il existe par contre des interdits qui empêchent ces marques /expressions affectives de se manifester, parce que ce la est tabou. Un homme qui caresse le bras d'une femme pour qui il ressent une amitié particulière, sans forcément d'attirance de type sexuelle, sera mal interprété. Maintenant, il faut aussi comprendre que chez les humains, comme chez la plupart des primates, les marques d'affection sont souvent à connotation "sexuelle", tout en restant non reproductive. L'humain étant un primate, il conserve ces instincts qui sont en suite bridés par l'éducation et les interdits sexuels. Ils existent mais sont refoulés. Cela n'a rien à voir avec de l'homosexualité, car l'attirance sexuelle reproductive reste hétérosexuelle. En revanche, l'expression de l'affinité affective peut mener à une attirance sexuelle, dans le sens qu'elle est un partage de plaisir mutuels, une sorte de communion. Il y a énormément de confusion au niveau du vocabulaire au sujet du sexe. Beaucoup de couples parlent de faire l'amour, alors que dans 90% du temps, c'est simplement décharger des pulsions sexuelles sans aucun partage affectif réel. La majorité des couples fonctionnent sur ce principe de l'envie et de la satisfaction de l'envie, et ne se "connaissent " pas pour un partage bien plus intime, qui touche à la fois au corps et à l'âme. Pour faire simple et cru, la plupart des gens disent faire l'amour alors que ce n'est que de la "baise" la plupart du temps, c'est très hypocrite.

les satanistes sont surtout des âmes hiérarchistes qui "jouissent" spirituellement quand elles peuvent abuser de leur pouvoir. Abuser de son pouvoir, c'est notamment pouvoir faire ce qui est interdit aux autres en toute impunité. Les "satanistes" et les Elites sont donc forcément friandes de chasse à l'animal protégé en voie de disparition, à polluer si ça leur chante ou à tirer sur des chevreuils avec une mitrailleuse anti aérienne (cas véridique, voir chez Monsieur Dassault). C'est aussi pour cela qu'elles aiment l'ivoire ou que les milliardaires chinois raffolent du rhinocéros ou du tigre, ou encore que les riches japonais mangent encore de la baleine. La vraie fourrure, les cuirs ou les plats exotiques interdits sont très prisés pour cette raison. C'est pour cela aussi que l'esclavagisme existe toujours, même à Paris. Ce plaisir de l’interdit s'exprime encore plus en matière sexuelle puisque c'est dans ce domaine que nos sociétés comportent le plus de tabous. Beaucoup d'orgies libertines sont liées au pouvoir et à son abus, comme on l'a bien vu avec l'affaire DSK à New York, où il est habituel d'abuser les femmes de ménage des hôtels de luxe en toute impunité. Chez les plus extrêmes et les plus avides de pouvoir, on arrive même à des orgies pédophiles entre "riches" (voir les virées de Clinton à Cuba avec ses amis milliardaires), parce que c'est le comble de l'interdit sexuel par excellence, et donc le plus à même de les satisfaire quand ils en sont accros. Il n'existe pas vraiment de religion sataniste, mais des comportements qui sont proches de l'image qu'on a des rituels de ce type. Torturer, tuer un enfant, ou le violer, est une source de satisfaction extrême pour les âmes les plus hiérarchistes, parce que non seulement c'est interdit, mais c'est aussi dominer et faire souffrir un innocent incapable de se défendre. Tout comme la compassion est une nourriture spirituelle pour les altruistes, l'abus de pouvoir est une drogue pour les âmes hiérarchistes, et ceux qui y ont gouté vont toujours de plus en plus loin pour satisfaire leur dépendance.

Camille Lerac : Est-ce que ça peut être un problème d'incarnation, les personnes qui ont une attirance sexuelle particulière pour les parties du corps humains peu "commune" (genre limite un focus parfois) en dehors des parties "intimes" du moins chez la culture occidentale ?

Harmo : Non ce sont des problèmes de construction de l'érogène. Dans des conditions particulières, une personne peut associer le plaisir (ou la montée du plaisir, c'est à dire le caractère érogène d'une situation ou d'un objet) à quelque chose qui au départ n'a pas de connotation sexuelle. Ceci est la base du fétichisme, où l'objet devient nécessaire à la personne pour avoir des "envies" sexuelles. On connaît le gout de certains pour les sous vêtements, mais là on reste encore dans une certaine logique, puisque les premières femmes sur lesquelles un hommes se masturbent sont généralement celles des pages de lingerie des catalogues. Après, ces problèmes peuvent être plus graves si l'association, liée à des circonstances exceptionnelles lie un objet hétéroclite à l'excitation sexuelle. ce ne sont pas des "perversions" dangereuses, puisque elles ne font généralement de mal à personne, mais relèvent plus du cocasse. Il y a des cas d'école, comme cet homme qui ne pouvait avoir d 'érection sans porter des charentaises. L'explication est simple. Lorsqu'il a eu ses premières envies sexuelles, il était en pension chez sa grand mère, et il avait l'habitude de porter ses pantoufles. Il pris donc l'habitude de se masturber aux toilettes, avec pour seule vue les pantoufles, car il n'avait pas accès à d'autres moyens d'excitation. Le problème, c'est qu'en la matière, le cerveau fonctionne par stimulis à la manière du chien de Pavlov et il associe très vite le plaisir masturbatoire à l'environnement et aux sensations immédiates. Celles -ci sont définitives si elles entrent dans un contexte frustratoire (la grand mère ne lui laissait pas bien de liberté en ce domaine !) et la répétition sur de longues périodes. Donc parents, laissez un peu de libertés à vos enfants, cela évitera de les mettre dans des situations d'associations fétichistes. La frustration sexuelle (merci la culpabilisation religieuse) peut mener à des comportements hors champ. Plus l'environnement est restrictif, plus les risques d'associations érogènes déviantes sont possibles, elles sont d'autant plus présentes dans les milieux /cultures ultra stricts au niveau sexuel. Il faut donc savoir laisser un équilibre entre une éducation sexuelle progressive (ne pas laisser ses enfants devant internet SVP, ils y trouvent un modèle de sexualité sans limite, ce qui est aussi voire plus dangereux) et une interdiction au contraire de subvenir à leurs propres besoins naturels dans l'intimité.

Pour répondre plus spécifiquement à ta question, une personne qui est focalisée sur une partie inhabituelle du corps a connu les mêmes "problèmes" que les fétichistes, sauf que son stimulus s'est focalisé sur une partie du corps. Ce peut être les ongles, les cheveux, la base du cou, les doigts etc... ce sont toutes des associations inconscientes qui sont faites très tôt dans l'adolescence lors des premiers fantasmes et des premiers plaisirs sexuels intimes. Les odeurs peuvent être aussi un élément de ce type (comme certains parfums ou même des odeurs corporelles). Les femmes ne sont d'ailleurs pas exclues de ce type de phénomènes.

Si notre cerveau n'était pas coupé en deux (parts inégales 10% - 90%), il serait bien moins compliqué à gérer ! On ne maitrise pas 9/10ème de ce qu'il s'y passe, c'est clair que ça donne un peu la sensation de vertige et d'impuissance.

Vous savez, il y a bien plus grave encore concernant notre cerveau, vu que 90% de celui-ci ne fait pas la différence entre la fiction et le vécu. Imaginez à quel point nous pouvons être pollués.

A trier, amour de façade et société nous poussant à nous mettre en couple avec quelqu'un qui ne nous plait pas

Harmonyum : Le pape touche ici à un problème de fond. Ce n'est pas seulement lié qu'au mariage catholique. Tout fonctionne de plus en plus sur ce modèle, où seule l'apparence importe. On ne parle pas que de l'apparence physique, mais de l'apparence aussi sur la forme en géréral, sur le spirituel, sur l'institutionnel. La notion de parole, d'honneur, d'engagement perd complètement toute cohérence, et les mots sont vides. J'en avais déjà parlé en vous disant que les relations dans les couples étaient bien plus fondées sur un amour conditionnel, c'est à dire lié à des conditions matérielles et sociales, qu' un véritable amour spirituel. Il y a une énorme confusion derrière les mots, et bien des gens pensent s'aimer mutuellement alors qu'en réalité ils aiment un statut social, une situation matérielle ou une apparence physique. Si ces conditions changent et ne sont plus remplies, la relation "amoureuse" change elle aussi, car elle n'est que superficielle. La sincérité des gens n'est pas à remettre en question parce que tous sont persuadés de leur bonne foi, mais en réalité, la plupart des couples, avec ou sans mariage catholique, sont caduques et ne reposent pas sur des liens amoureux réels. C'est aussi valable pour le lien parental, car de nombreux parents aiment leurs enfants avec un amour conditionnel (idem pour les animaux de compagnie etc...) Tout cela est important, car en cas de changement grave de la société et du système, les conditions évoluent très vite et comme ces "amours" dépendent uniquement de ces conditions, ils disparaitront. Les enfants (et les parents - grands parents et on ne parle même pas des animaux) seront abandonnés en masse, les couples resteront peu nombreux dès les premières difficultés. Tous ces liens qui sont maintenus par le système montreront leur vrai visage quand celui-ci ne sera plus là pour les nourrir. C'est déjà le cas parfois, où les circonstances fragilisent les couples (le chômage, l'age, l'argent, la possibilité de facilement rencontrer d'autres personnes sur internet etc...), mais ce sera bien pire si la pression sociale n'est plus là. Aujourd'hui, combien voit on de parents à la sortie des écoles qui discutent entre eux en marchant et laissent leur enfant 30 mètres derrière sans jamais se retourner. On a l'impression que ce ne sont pas des enfants, mais des charrues ou des chiens. Un exemple parmi d'autres qui montre tous les jours que les enfants ne sont que des charges malgré le beau discours d'amour des parents. Enlevez les risques juridiques liés à un abandon ou le jugement des proches, et ces mêmes parents laisseront leurs enfants derrière eux sans aucun remord. Vous serez même surpris de découvrir le vide qui existe derrière certaines personnes que vous pensiez à l'abri de ces considérations.

Vous savez, une fois qu'on a les bonnes clés de décryptage et qu'on voit au delà des apparences, on a vite le vertige tellement que le monde et les gens sont vides. Heureusement, tous en le sont pas, mais reste une très grosse majorité quand même. Petit exemple de la vie courante, demain mon ami va au mariage d'une collègue. Rien que 'entendre ce qui est prévu et dans quelles conditions ce mariage se réalise, c'est un cas d'école. Multiples séparations antérieures, un enfant pour essayer de ressouder les liens, l'achat d'une maison en commun pour exactement les mêmes raisons et maintenant mariage en grandes pompes (comme le dit le pape, par envie de faire la fête et de porter du blanc). L'enfant au même niveau que la maison, finalement :( Je suis pas certain qu'il y ait 200 invités pour le divorce.

Le tout est de trouver la bonne personne, et parfois cela prend du temps. Le problème de beaucoup de couples c'est que c'est précipité et fondé sur des choses superficielles (comme le sexe, l'argent etc...). Beaucoup ont fait l'erreur et beaucoup peuvent en témoigner. La question est donc de savoir pourquoi il faut absolument faire vite, se "caser" etc... C'est juste du formatage social, et c'est vrai que la Religion catholique a grandement œuvré à cela, c'est paradoxal avec la position actuelle du pape. En ce sens, c'est une forme d'aveu mais aussi de réforme. Pousser les gens à se marier et avoir des enfants, c'est pas une solution viable. Par contre à leur apprendre au contraire à réfléchir et ne pas s'emballer juste sur un premier sentiment amoureux, faire comprendre la profondeur d'un engagement quel qu'il soit, c'est cela que les religions, les parents et tout ce qui contribue à l'éducation des enfants devraient pourvoir. Le mariage qui peut être officiel ou non, c'est plus ici à prendre comme un accord entre deux personne pour se soutenir et être ensemble pour le meilleur et pour le pire. Pas besoin forcément de cérémonie, cela peut tout à fait être tacite. Il y a aujourd'hui plus de vrais couples solides et soudés non mariés que de couples mariés, c'est donc qu'il y a un problème. Et je suis tout à fait d'accord avec Jeanne, être bien accompagné, c'est infiniment mieux ! En attendant, mieux vaut être seul que de s'engager par dépit

Tant que dans un couple, le partage des tâches est équilibré, peu importe de laver les chaussettes des uns ou des autres. Après c'est certain, certains couples sont franchement déséquilibrés. Un mari qui passe son temps à dépenser des sous dans les bières à regarder le foot, pendant que sa femme non seulement travaille la journée, fait les tâches ménagères et élève quasi seule les enfants, c'est pas un bon modèle. Mais je ferais remarquer que la tendance est aussi déséquilibrée dans l'autre sens aujourd'hui. On ne compte plus les "mères de famille" qui font tout gérer à leur copain/mari pendant qu'elles vont voir des strip teasers entre copines ou sont constamment en vadrouille avec elles. Je crains cette misandrie ambiante, parce que même si elle est fondée par des abus connus de la part des hommes, ce n'est pas un prétexte non plus pour faire l'inverse. Vous avez remarqué, ce sont toujours les hommes qui roulent les poussettes aujourd'hui, et un homme qui laisse à sa femme le soin de le faire est regardé de travers. Les temps changent, mais faut pas qu'on passe non plus d'un extrème à un autre.

C'est pas une question de jugement, chaque choix de vie doit être respecté, c'est justement la beauté du libre arbitre. Ce que je regrette, c'est peut être que tu généralises trop. Tous les hommes ne sont pas des Homer Simpson, loin s'en faut. J'ai juste le sentiment que ta vision est un peu trop stéréotypée. Elle n'est pas fausse, de nombreux hommes se conduisent mal envers leur épouse (et même chez les homos on retrouve ces attitudes dans les couples), c'est clair. C'est donc pas ton choix que je juge (c'est ton choix et il est aussi valable que tout autre, nous sommes fondamentalement libres), mais ta vision de l'homme un peu trop tranchée que je trouve inexacte.

Après je me doute bien aussi qu'on a tous des histoires différentes, et que se ramasser 15 grosses baffes de suite, ça vaccine. On a pas tous de la chance dans nos rencontres, et ça peut aller très loin. Ce ne sont pas les femmes battues qui me contrediront. Par contre, on ne peut pas faire payer à tous les erreurs de certains. Mon grand père a été vendu aux allemands par le curé de son village, c'est pas pour cela qu'il n'a pas envoyé ma mère chez le suivant qui était un homme réellement bon et compatissant, aimé de tous. Qu'on tire des leçons pour soi même et qu'on se protège, c'est une chose, mon grand père ne pouvait plus être catholique après cela, un traumatisme reste un traumatisme. Alors s'il maudissait les curés qu'il appelait les corbeaux, ou qu'il parlait des boches, cela ne l'a pas empêché quand il était prisonnier dans les camps de partager sa pomme de terre quotidienne avec les allemands eux aussi prisonniers qui mourraient de faim à part de l'autre côté du grillage. Tout comme une victime d'attentat terroriste va prendre ses distances avec un certain nombre de choses, c'est pas pour autant qu'elle doit devenir islamophobe (ou alors elle n'a rien compris). De la même manière, tu peux bien prendre tes distances avec les hommes, en être heureuse (et c'est ton droit le plus absolu), et pour autant ne pas mettre tous les hommes dans un même panier de crabe

à suivre...


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