Nature Humaine (amocalypse)
Faits "inexpliqués">Pouvoirs
psys>Incorruptibilité
Première version: 2017-02-07
Dernière version: 2017-12-11
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Après le départ de l'âme, certains corps restent étonnamment incorruptible, c'est à dire qu'ils ne se décomposent pas. Je ne parle pas des phénomène de momification ou de saponification rencontrés dans des climats exceptionnels, ni de l'embaumement des corps qui conserve l'aspect extérieur, mais de la conservation fonctionnelle de tout le corps entier, avec guérison de ce qui a tué le corps. Aucun organe n'est enlevé, 100 ans après les viscères restent fraîches, la peau élastique, le corps souple (pas de rigidité cadavérique).
Les informations sur le sujet sont confidentielles, on retrouve souvent le "sub secreto" (top secret) de l'église catholique, qui comme on l'a souvent vu n'aime pas les phénomènes surnaturels, et tente par tous les moyens de faire disparaitre ces corps en les autopsiant puis en les dispersant à travers les églises.
Cette propriété miraculeuse a été énoncée par saint Cyrille, évêque de Jérusalem, au IVè siècle de notre ère : » Même lorsque l’âme s’est enfuie, sa vertu et sa sainteté imprègnent encore le corps qui l’a hébergée. »
Même s'il y a a chaque fois de nombreux témoins, une conspiration de certains membres de l'église et l'utilisation de produits conservateurs n'est pas à exclure, car depuis les pharaons les illuminatis ont dû faire des progrès dans l'embaumement (voir les rois de France avant que les révolutions ne détuisent leurs cadavres).
Harmonyum répond sur le sujet : "Ceux qui ont organisés ces conservations
se sont servi de substances chimiques, et le soin porté au corps fait le
reste. Rien à voir avec une quelconque sainteté ici, mais des intérêts
religieux. Un saint qui tombe en poussière, ce sont des 100aines de milliers
de touristes, pardon, de pélerins en moins.
C'est pas forcément l'Eglise centrale qui est derrière, mais plutôt des groupes locaux, ce qui peut expliquer les paradoxes des politiques derrières ces saints. Il était courant par exemple que les seigneurs acquièrent des reliques (ou en fasse faire des faux, comme le suaire de Turin), pour augmenter leur prestige. Il y a toujours autant de Ducs de Savoie de nos jours, et vu la renommée de personnages comme Pio, la machine à billet tourne à plein. Ce sont surement les reliques en plus mauvais état qui ont de plus grandes chances d'être des vraies en tout cas. Il se dit en passant que vu le nombre de dents de Bouddha officielles en circulation en Asie, que celui-ci devait avoir 75 molaires, et ce n'est pas mieux des clous ou morceaux de la croix du Christ avec lesquels on pourrait crucifier plusieurs personnes... et c'est sans parler des Graals, tous authentiques bien entendu. Il devait y avoir du monde à la Cène ou en dessous du Christ en croix pour récupérer son sang ! C'est partout pareil, chaque Temple ou Eglise (car c'est une tradition venue d'Asie) veut avoir sa légitimité. Alors quand tu as un saint qui vit dans ton secteur, je peux te dire que c'est Jackpot à sa mort si tu gères bien le corps. Pauvre Jésus, lui qui avait viré les marchands du Temple...".
AM : Voilà. Il s'agit en fait d'une vaste mise en scène. Harmonyum ayant répondu après que j'ai fait cette page, je vous laisse lire ci-dessous le résultat de l'enquête que j'avais menée. Il y a quand même quelques éléments troublants qui seraient à étudier plus avant, car on retrouve les mêmes choses dans d'autres religions.
Le Vatican officiel (le Vatican noir, donc le groupe de cardinaux Jésuites ?) a toujours évité de parler des miracles, et préfère les étouffer (comme à Lourdes). Est-ce leur volonté de réinstaurer l'ancien testament et de faire tomber le message de Jésus comme prophète (toujours pas reconnu comme tel par certains juifs Molochiens au pouvoir) ? Bref, il y a ce discours officiel.
A côté de cela, il y a des communautés locales qui récupèrent l'argent des fidèles, et attirent beaucoup de fidèles à chaque miracle (plus il y a du fric, plus c'est facile d'en détourner une partie avant que la maison mère Vaticane ne récupère l'ensemble...). Eux sont tenté de passer outre les ordres d'en haut et d'instaurer un culte au saint ou aux reliques locales. Business is business !
A la fin du XIXe siècle, le père Herbert Thurston fit la première étude sérieuse des cas d’incorruptibilité.
Il nota que les corps présentaient six phénomènes caractéristiques mais pas forcement simultanés:
Je rajouterais une peau ferme restée élastique, des suintements huileux pendant des dizaines d'années. Des émissions de lumières autour du corps, ou en surface au dessus de la tombe (pas des feux follets dûs aux dégagement de méthane provenant de la décomposition), ou encore des apparitions indiquant la tombe à déterrer.
A ces manifestations » physiologiques » concrètes, on peut ajouter toute une série de phénomènes mystérieux, d’ordre surnaturel, qui sont souvent associés à l’incorruptibilité du cadavre. Ainsi, bien souvent, le lieu de sépulture inconnu, ou oublié, de quelque saint a été révélé grâce à un rêve ou une vision. Quelquefois, l’inhumation elle-même s’est accompagnée de prodiges révélateurs, comme les étranges lumières qui sont apparues près du tombeau de saint Charbel Makhlouf. Il arrive encore que les restes du saint – ou de la sainte – exsudent une huile odorante et limpide, parfois abondante, dont on ignore l’origine et la composition. C’est la cas de sainte Walpurgis, morte en 779 et dont les os n’ont cessé de distiller une huile réputée miraculeuse.
Ces corps incorruptibles ne se retrouvent pas que chez les catholiques. Les hindous ou les tibétains ont aussi des cas de ce genre.
Le seul recensement dont nous disposions est due à une Américaine de la Nouvelle-Oeléans, Joan Cruz, qui a entrepris de compléter les travaux du père Thurston, à l’aide de toutes les sources écclésiastiques connues.
Dans un ouvrage publié en 1977 et intitulé The Incorruptibles, elle signale ainsi 102 cas authentifiés par la Congrégation des rites de l’Eglise catholique romaine. Mais, ajoute-t-elle, il est probable qu’il en existe bien d’autres, dont le tombeau a conservé le secret, ou qui n’ont jamais été rendus publics par le Vatican. La encore, on peut s’étonner que tous les cas troublants recensés par la littérature hagiographique n’aient suscité aucune étude scientifique véritable, si l’on excepte les examens ordonnés par les par les autorités écclésiastiques.
On peut s’étonner qu’un phénomène aussi extraordinaire n’ait pas suscité plus d’études approfondies. Surtout si l’on songe aux enquêtes minutieuses et aux preuves irréfutables exigées par la très sérieuse Congrégation des rites lors des procès de canonisation. Sans nul doute, les documents et les rapports ecclésiastiques méritent d’être pris en considération, car les exhumations et les examens anatomiques ont toujours eu lieu en présence de nombreux témoins, y compris des membres du corps médical et des scientifiques. Et il semble à peine croyable que des faits aussi rigoureusement établis n’aient pas davantage retenu l’attention des savants.
Ces corps ont souvent été détruits par les tenants d'une autre religion, comme les anglais en France avec Saint Amadour, les huguenots, etc. Quand ce n'est pas l'église elle-même qui va enterrer les saints dans les lieux les plus humides ou dans la chaux vive, ou éclatant les corps en plusieurs morceaux. C'est souvent à force d'insister par le feu que les "casseurs" arrivent à faire disparaitre un corps incorruptible.
L’incorruptibilité des corps n’est pas définitive. Ainsi saint Charbel s’est décharné rapidement après sa dernière inhumation en 1965 (même si ses ossements conservent un caractères miraculeux). Certaines incorruptibilité ne durent que 10 ans.
Par contre, le corps de sainte Roseline de Villeneuve, morte en 1329, a été conservé dans son intégrité à Celle-Roubaud près des Arcs, Var (France) jusqu’en 1894, date à laquelle il fut attaqué par les insectes et dut être embaumé. Depuis, il s’est momifié. Il est donc resté intact, c’est-à-dire d’apparence vivante, pendant 565 ans.
Aux dernières nouvelles (1952) le corps de sainte Thérèse d’Avila, morte en 1552, est toujours intact.
Certains de ces saints au corps miraculeusement préservé présentaient des stigmates de leur vivant, et ces saintes blessures ont été généralement conservées par-delà la mort. A moins que le trépas ne les fasse subitement surgir, au contraire : sainte Catherine de Sienne prétendait porter les marques invisible de la passion du christ ; après sa mort, on vit apparaître les traces de la crucifiction sur ses mains et ses pieds, ainsi qu’une blessure au côté. Lors de la translation de ses restes en 1597 ( son corps fut séparé en diverse parties qui devinrent autant de reliques ), on pouvait toujours voir, sur son pied gauche, l’une de ces marques parfaitement conservée. De même la dépouille mortelle de sainte Osanna de Mantoue ( morte en 1505 ), qui est toujours exposée trois fois par an dans la cathédrale de cette ville, présente des stigmates plus accentués que du vivant de la bienheureuses. Les témoins qui ont vu le corps en 1965 l’ont décrit comme » désséché, bruni et recroquevillé, mais ne montrant aucun symptôme de putréfaction.
Le plus confondant, dans les cas évoqués, n’est pas l’incorruptibilité elle-même, mais le fait que cette incorruptibilité se manifeste dans des conditions qui auraient dû normalement entrainer le processus habituel de putréfaction. Par exemple, lorsque la mort est causée par une maladie, ou lorsque le coprs est ihumé en compagnie d’autres cadavres ayant subi une décomposition avancée.
Certains saints, comme sait Charbel, sainte Catherine de Bologne ou saint Pacifique deCerano, ont été inhumés directement dans le sol, sans que l’on ait constaté aucune dégradation de leur cadavres, à l’exception d’une légère déformation due à la pression de la terre. D’autres corps ont survécu – si tant est que l’on puisse employer ce mot – dans des terrains particulièrement humides, tandis que leurs vêtements se désagrégeaient sur leur chair intacte, comme sainte Thérèse d’Avila et sainte Catherine de Gênes. Le cerceuil de sainte Catherine de Sienne ( morte en 1380 ) fut laissé quelques temps exposé à la pluie avant d’être enfermé dans une crypte. Et lorsque le corps de sainte Catherine Labouré fut exhumé à Paris en 1933,cinquante-sept ans après sa mort, on trouva son corps intact bien que son triple cerceuil ait été rongé par la moisissure.
L’exemple est typique : Maria Anna Ladroni mourut à Madrid en 1624. Cent sept ans plus tard exactement, sa dépouille mortelle fut exhumée sur l’ordre des autorités religieuses lors de son procès de béatification. Voici quelle furent les conclusions de cet examen :
» Il n’y eu pas moins de 11 docteurs et chirurgiens, et parmis les plus réputés de la Cour de la ville de Madrid, pour procéder à l’examen de la dépouille mortelle et pour déposer en tant que témoins. Ils ont pratiqués, à l’aide de leurs instruments, diverses incisions sur le cadavre. Les uns se sont penchés sur la poitrine, les autres sur les divers organes internes, d’autres encore scrutèrent tout particulièrement les orifices par où l’on aurait pu introduire des substances aromatiques destinées à prévenir la corruption des chairs. Toutes ces recherches aboutirent ainsi à une dissection quasi complète de ce corps innocent : les viscères, les organes et les tissus apparurent dans un parfait état de conservation, encore humides, fermes et élastiques au toucher. Le cadavre tout entier était imprégné d’une sorte de fluide odorant, qui répandait des effluves d’autant plus pénétrants que les incisions étaient plus profondes… »
Un des plus célèbres corps préservés de l’histoire religieuse est celui de sainte Thérèse d’Avila. La grande carmélite mourut le 4 octobre 1552 et fut enterrée dans le cimetière du couvent d’Alba de Tormes. On l’exhuma le 4 juillet 1583. Malgré l’eau qui le baignait et avait corrompu ses vêtements, son corps recouvert de mousses avait conservé son intégrité et semblait dormir. Il en émanait goutte à goutte de l’huile d’où s’exhalait une odeur délicieuse. Le corps fut de nouveau exhumé en 1585 (pour sa translation à Avila), 1586, 1592. Lorsque des fidèles trop zélés voulurent prélever une main et un bras pour en faire des reliques, il en sortit du sang frais. Plus tard, le Saint Siège dut prendre des mesures pour interdire cette mutilation. On ouvrit encore la châsse en 1604, 1616, 1750 et 1760, puis en octobre 1952, dernière en date des exhumations. Du corps toujours frais et souple émanait le même parfum suave. Je ne sais pas pourquoi, contrairement aux autres corps, elle n'est pas exposé.
Thérèse d'Avila De Ahumada inhumée en 1515 en odeur de sainteté, entendez par là que son corps exhalait des odeurs «suaves» de lys, de jasmin et de violette.
En 1598, on avait érigé un monument de pierre sur l'emplacement de la sépulture primitive, le corps fut déposé dans une châsse splendide donnée par la Duchesse d'Albe et l'on grava sur la pierre une inscription où l'on pouvait lire «...Sous ce marbre repose, non sa cendre, mais sa chair flexible, incorruptible dont le parfum très suave est le signe merveilleux de sa gloire».
Exhumée 11 fois dans le but de constater son état de conservation entre 1515 et octobre 1952 , on constata que le temps n'avait eu aucune emprise sur son corps.
Elle mourut dans la nuit du 4 au 15 octobre 1582, quand l'Espagne et le monde catholique basculèrent du calendrier julien au calendrier grégorien. Sa dépouille fut enterrée dans le couvent de l'Annonciation de la ville, une main ayant été sectionnée et conservée dans un reliquaire d'Avila (le père Gracián en coupa le petit doigt).
Les bollandistes et ses historiens en témoignent : «L'odeur que l'on avait déjà remarquée à diverses reprises durant sa vie, beaucoup plus pénétrante pendant sa dernière maladie, le devint encore davantage après sa mort, si bien que les religieuses durent laisser la nuit entière la porte et la fenêtre ouvertes malgré la saison. Le lis, le jasmin, la violette, semblaient avoir uni leurs plus suaves senteurs dans cet arôme auquel rien ne pourrait être comparé. ». La foule remarqua tout de suite le parfum merveilleux qui émanait de Thérèse pendant le transport du corps sur un brancard. Le corps fut déposé sans être embaumé dans un cercueil de bois. Il fut descendu dans une fosse très profonde recouverte d'une grande quantité de pierres, de chaux, de terre humide et d'une pierre sépulcrale. Pendant les neuf mois qui suivirent les obsèques, le parfum, traversant l'épaisse couche de pierres et de terre sous laquelle reposait le corps.
Le 1er janvier 1586, les religieuse se rendîrent au monastère des Carmélites et ouvrirent la châsse ... Elles observent la sainte très attentivement. Son corps était entier, intact, et d'une odeur céleste. Les os étaient si bien joints, les nerfs si bien liés les uns avec les autres, qu'il se tenait debout à l'aide du moindre appui. La chair était si souple, si tendre, si flexible, qu'elle s'abaissait quand on y mettait le doigt, puis se relevait comme si la sainte Mère eût été en vie ; et, bien qu'elle eût conservé son embonpoint, le poids du corps était léger comme celui d'un enfant de deux ans. » Les historiens de la sainte insistent tous sur la suavité de l'odeur que répand son cadavre, sur la fraîcheur des chairs qui semblent encore en vie. En 1598, un monument de pierre fut érigé sur l'emplacement de la sépulture primitive. Le corps de sainte Thérèse fut transféré dans une somptueuse châsse offerte par la duchesse d'Albe.
A son exhumation le 25 novembre 1585, découverte incorrompue alors que les vêtements avaient pourri, on y laissa un bras et le reste du corps fut envoyé à Avila, dans la salle du chapitre du couvent de Saint-Joseph. Le transfert se fit un samedi du mois de novembre de 1585, presque en secret. Les religieuses du couvent d'Alba de Tormes demandèrent à conserver un bras comme relique. Quand le duc d'Alba se rendit compte du transfert, il se plaignit à Rome et entama des négociations pour le récupérer. Le corps fut renvoyé à nouveau à Alba de Tormes, par ordre papal (1586). En 1598, un sépulcre fut édifié. On y transféra son corps, toujours intact, dans une nouvelle chapelle en 1616, puis en 1670, dans une chasse d'argent.
Après ces événements, on ne fit plus d'autres atteintes à ses restes. Ils sont désormais dans plusieurs endroits :
Son pied droit et une partie de la mandibule supérieure sont à Rome.
Sa main gauche à Lisbonne
Son œil gauche et sa main droite à Ronda (Espagne).
Son bras gauche et son cœur dans des reliquaires du musée de l'église de l'Annonciation d'Alba de Tormes.
Ses doigts sont conservés dans divers endroits d'Espagne.
Charles de Sezze repose à l'église l’église San Francesco a Ripa de Rome. Je n'ai pas trouvé grand chose sur le suivi de son cadavre, si ce n'est qu'il a l'air bien conservé pour quelqu'un mort en 1670, 340 ans avant la photo. Masque de cire? Ça n'a pas l'air, idem pour ses mains. Chair intacte, peau élastique et corps souple? je rage de ne pas avoir plus d'infos! Tout ce que j'ai pu trouver c'est qu'après sa mort ils se sont empressés de l'ouvrir comme d'hab, pour s'apercevoir qu'il avait bien les stigmates sur son coeur.
Bernadette Soubirous, dont le culte commence à s’établir (après les apparitions de Lourdes dont elle est la témoin et les guérisons miraculeuse dont bénéficient ceux qui viennent la voir), devient génante pour l'église et elle est envoyée au couvent de Nevers (il faut appeler les choses par leur nom, elle est isolée du public (éviter les guérisons et surement qu'elle dévoile la vraie nature des révélations de l'apparition, qui ne sont pas celles dévoilées par l'église) et retenue contre son gré en prison, elle fera d'ailleurs des tentatives d'évasion), loin de Lourdes, où elle termine sa vie prématurément, rongée par la maladie (tuberculose osseuse et asthme chronique), en 1879.
Son corps subi 3 exhumations (1909, 1919 et 1925). Les corps à côté se corrodent normalement, ses vêtements sont moisis et décomposés, mais pas son corps (malgré une forte humidité et sa tuberculeuse osseuse).
Pour sa béatification en 1929, une autopsie à été faite, montrant le corps intact, souple et peau élastique, si ce n'est une légère coloration de la peau du visage et des mains, suite à une lavage trop énergique au détergent agressif lors de la précédente exhumation. Les organes internes étaient intact, comme si elle allait se réveiller d'un long sommeil.
Depuis, elle a été placée dans une chasse visible au public, seul un voile de cire sur les mains et le visage pour masquer la coloration du visage. On voit entre les photos d'époque et celles de maintenant que le corps a été changé de position, rendu possible par les articulations toujours souples.
Quand le corps de Catherine Laboure (2 mai 1806- 31 décembre 1876) fut exhumé en 1933, 57 ans après sa mort, on trouva son corps intact bien que le triple cercueil ait été rongé par la moisissure. Ses yeux avaient gardé un bleu profond et brillant (bleu éblouissant d'après le médecin qui l'a examinée).
De sa vie déjà, des médecins affirmaient que Pio était déjà mort! (vu la quantité de sang qu'il perdait via ses stigmates, et le fait qu'il ne mangeait pas, il était censé être mort).
Le padre Pio, dont il faut bien rappeller que 40 ans après sa mort en 1968, quand il a été exhumé en 2008, il était toujours intact, son sang coulait rouge vif et ses organes internes intacts. Contrairement à une légende tenace, son visage n'était pas décomposé, mais par contre le voile de lin posé dessus s'était lui décomposé, en déteignant sur la peau du padre. Un mince film de silicone fut projeté sur le visage pour masquer cette coloration qui ne doit rien à une quelconque décomposition. On voit bien que l'article de wikipédia ne correspond en rien à la réalité (reportage France 2, ou encore le dictionnaire de l'impossible de Van Cauwelaert) mais montre bien la volonté de certains de cacher cette réalité (volonté de faire tomber le catholicisme?).
Charbel Makhlouf mourut en 1898 à l’ermitage Saint-Pierre et Saint-Paul du monastère matonite d’Annaya, au Liban. Selon la coutume de cet ordre, son corps fut déposé directement dans la terre, sans cerceuil. Pendant plusieurs semeines, d’étranges lumière apparurent près de sa tombe ( comme ce fut le cas pour saint Jean de la Croix, mort en 1591, et dont le corps, exposé pour la dernière fois en public en 1955 à Ségovie, était toujours souple et ferme, quoique légèrement décoloré ).
Ces lumières insolites poussèrent les autorités monastique à ordonner l’exhumation, et la fosse fut ouverte 45 jours plus tard. Le corps de saint Charbel était parfaitement intacte, en dépit de la pluie et des inondations qui avaient transformé la tombe en bourbier. La cadavre fut alors lavé et revêtu de vêtements neufs avant d’être placé dans un cerceuil de bois dans la chapelle du monastère. Au bout d’un certain temps, un liquide huileux ayant l’odeur du sang frais commença à sourdre des pores du saint. Cet épanchement devint bientôt si abondant que les vêtements durent être changés deux fois par semaine, et les lambeaux de linge ainsi imbibés furent gardés comme autant de précieuses reliques auxquelles on attribua nombre de guérisons miraculeuses.
Les reste de saint Charbel demeurèrent en cet état jusqu’en 1927, date à laquelle un examen médical fut ordonné. Le corps fut placé dans un autre cerceuil de bois doublé de zinc, et un document contenant les observations faites par les médecins fut scellé dans un tube de zinc et déposé aux pieds du saint. Puis le cerceuil fut lui-même emmuré au milieu d’une paroi du monastère.
Vingt-trois ans plus tard, en 1950, des pélerins venus visiter le sanctuaire remarquèrent qu’un curieux liquide suintait hors du mur renfermant le cerceuil, qui fut à nouveau ouvert, toujours en présence d’autorités religieuses et médicales. Saint Charbel restait parfaitement conservé : son corps, souple, gardait toutes les apparences de la vie, alors que ses vêtement, imbibés par l’étrangre fluide, tombaient en lambeaux.
Le tube de zinc, par contre, apparaissait fortement corrodé.
Depuis cette date, la tombe a été ouverte chaque année et le corps très soigneusement examiné. Chaque fois, il est apparu dans un ineplicable état de fraicheur, et le fluide huileux est précieusement recueilli en vue d’obtenir des guérisons miraculeuses.
De nombreux corps, qui avaient tenus des siècles, se dégradent subitement entre 1800 et nos jours (chute de la royauté puis du catholicisme après la seconde guerre mondiale).
Les saints dont le culte s'affaiblit, ou suite aux attaques contre l'église depuis 1800, ou les manipulations nombreuses depuis 1800 par l'église pour semble-t-il accélérer la mort de ses saints (produits asséchants, chasse sans oxygène), font que souvent, des corps restés intacts pendant 300 ans avant se mettent d'un coup à sécher ou moisir. Comme Virginie Centurione, morte en 1651, dont le corps fut retrouvé parfaitement intact, souple et flexible, en 1801 (150 ans), puis en 1803 (on peut le mouvoir et le laver plusieurs fois), est toujours intact, mais raidi, en 1910 (259 ans). Que mettent-ils comme produit dans leur lavage? Toujours cette manie de faire des autopsies et de découper partout ces corps, ce qui entrainerait la rigidité par la suite. Difficile à dire, tant le sujet n'"intéresse" pas les médecins et scientifiques.
Outre le fait qu'un corps ne se corrode pas, on trouve d'autres aberrations dans ces phénomènes :
Certains de ces corps avaient subis des stigmates de leur vivant, comme le Padre Pio. D'autres, comme Catherine de Sienne, avaient ressentis ces stigmates sans les matérialiser sur leur corps, et ce n'est qu'à leur mort que ces stigmates apparurent sur leur cadavre.
Certains corps résistent au feu, comme Rose de Vitterbe, morte en 1252, en 1357 un incendie détruisait la chapelle où elle reposait, ainsi que la boîte en bois qui la contenait : le corps, aujourd'hui encore visible, n'a pas été touché par l'incendie, si ce n'est une légère coloration brune.
Albert le Grand : corps réduit en squelette, mais tête et yeux intacts.
Les corps restent souvent intacts pendant 400 à 500 ans, avant de se déssecher/momifier.
Les corps sont découverts après des apparitions (Saints Gervais et Protais) ou des lumières au-dessus de la tombe.
Le sang conservé dans une fiole de Patricia de Naples (morte en 665) et Saint Janvier se liquéfierait périodiquement.
Colman de Stockerau, mort en 1012. Pendant 18 mois, le corps de Coloman resta pendu sur le gibet, incorrompu et laissé intact par les oiseaux et les animaux.
Sans parler des miracles pour ceux qui approchent ces corps (mais difficile de dire si c'est la foi du guéri ou l'aura du corps qui entre en jeu, sachant qu'on peut se connecter à cette vibration à distance).
Etheldreda, morte d'une tumeur ouverte à la machoire, quand on exhuma son cercueil plusieurs années après, n'avait plus de blessure à la mâchoire juste une légère cicatrice.
Être spirituel ne semble pas être une condition nécessaire, comme Christian Kahlbutz, un chevalier allemand à la mauvaise réputation.
Les corps sont souvent agités de mouvements (Marie-Laurence Longo), par exemple un mouvement de bénédiction, même des centaines d'années après leur mort. Par exemple Sainte Rita de Cascia (1381-1457) a été retrouvé plusieurs fois dans de nombreuses positions différentes dans le contenant de verre, et que les yeux de la sainte se sont maintes fois ouverts, et fermés, sans assistance.
Roseline de villeneuve (http://lalumierededieu.eklablog.com/sainte-roseline-de-villeneuve-p117812) morte en 1329, ses yeux, conservants tout leur éclat en 1334 (première exhumation du corps toujours intact), furent sortis de leurs orbites et placés dans un reliquaire pour y être vénérés. Ce n'est qu'en 1894 que le corps commença à se faire attaquer par des insectes, puis noirci en 1929, avant d'avoir de straces de moisissures en 1951. Ses yeux restent à ce jour intacts, près de 700 ans après la mort.
Saint Camille de Lellis, corps réduit en squelette sauf son coeur et son pied droit...
Denys de la Nativité Berthelot, mort en 1638, dont le cadavre est resté intact, souple et frais durant 7 mois, malgré immersion dans la mer et abandon sur le sable (pour provoquer la corruption), environné durant les premiers jours de lumières éclatantes.
JACINTHE MARTO, petite voyante de Fatima, morte en 1920, un an après son petit frère. Le corps de JACINTHE fut déterré et retrouvé parfaitement intact, répandant une odeur suave, en 1935 et 1950. Alors que son petit frère, qui était présent lors des apparitions et les avait vu comme elle, qui était enterré dans la même tombe, avait subi une décomposition naturelle.
Marie Gabriella Saggheddu, morte en 1939, Corps intact et souple en 1957, décomposé en 1975, sauf les avant-bras et les mains jointes dans l'attitude de la prière.
Yvonne-Aimée de Malestroit, morte le 3 février 1951. Son corps, ayant débuté son processus de décomposition avant son inhumation, fut retrouvé parfaitement intact en 1957.
Maria Alvarado de San José, augustine Récollet, morte en 1967. L'exhumation en 1994 trouve son corps incorrompu, au milieu de la destruction presque totale de l'urne en bois et l'humidité du sous-sol. Son corps intact, son habit religieux en parfait état, de même que la croix de bois et le bouquet de lys dont les feuilles sont encore vertes.
Yves Herbo qui fait comme d'habitude une enquête fouillée et très documentée, en montrant bien la volonté du Vatican à faire disparaître ces corps.
Liste de saints incorruptibles.
Une vidéo reprenant pas mal de corps catholiques exposés.
Analyse de saint charbel makhlouf.