Nature Humaine (amocalypse)
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Première version: 2017-03-21
Dernière version: 2018-08-07
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Voyons les principes qui permettent de créer rapidement un concept de base à partir d'un nombre réduit de mots. Je reprends des notions qui devraient être acquises depuis l'enfance (comme ce qu'est une simple division), mais que les anciens langages masquent au point qu'on emploie un concept par coeur (après l'avoir appris dans la douleur étant enfant) sans comprendre ce qu'est réellement ce concept.
Il faudra reprendre tout le vocabulaire ci-dessous qui a surement évolué en grande partie depuis l'écriture de cette page (voir le tableur sur l'adam).
V = voyelle et C = consonne.
Seulement des mots de base mono-syllabes 2 lettres (CV ou VC) ou 3 lettres (CCV ou VCC).
Les mots de grammaires commencent tous par i+V, et sont sur 2 et 3 lettres (iV ou iVC).
Les autres mots sont décrits à partir d'agglutination ou d'agglomération de mots de base, afin que le concept soit compris sans ouvrir un dictionnaire. Si pour définir un mot agglutiné il faut plus de 4 mots de bases, il nous faut alors recréer soit un mot de base soit un mot technique pour éviter de manipuler des mots trop long (compromis entre le nombre de mots à apprendre et la facilité d'utilisation de la langue).
Pour les espèces d'animaux (impossible à décrire simplement, les objets manufacturés ou leur caractéristiques, il y en a trop pour utiliser les mots de 3 lettres. On utilise donc les préfixes "a" et "e" suivi d'un numéro d'ordre naturel (minéral, végétal, animal, produit manufacturé et concept) pour tous les concepts de ce type impossibles à décrire en moins de 4 mots.
Il y a beaucoup d'autres astuces, comme utiliser le sens réel des mots (une heure c'est un jour terrestre divisé par 24), les particules physiques ou hypothétiques notées par numéro (ce qui évite de créer un mot pour électricité (qui désigne un bijou en grec, aucun rapport avec l'électricité...), magnétisme, gravitation, chaleur, etc.
Les flux/débits de particules "la" sont repérées par les mêmes numéros que les particules constituant le flux, ainsi que les unités scientifiques (plus d'ampère, de m/s, de Tesla, etc. mais sy1, sy2, etc.).
la = vitesse, mais aussi dérivée mathématique, vu que c'est la même chose (inutile de créer 50 mots pour le même objet).
Idem pour les mois, fini les noms à la cons pour se rappeler que Jules César (juillet) était empereur avant auguste (aout). C'est mois + numéro de 1 à 12.
Plus de notion de maître, patron, directeur, contremaître, uniquement celui qui donne les ordres. Celui qui obéit est l'exécutant, qu'importe qu'il soit esclave ou rémunéré pour obéir. Ça permet de se rendre compte qu'il n'y a pas de différence entre les 2 états quand on est au boulot...
Pareil, notion de numéros pour les couleurs. On ne prends que les couleurs qui se différencient bien à l'oeil nu et sont à utiliser souvent. Inutile de définir l'indigo de Newton (il voulait faire coller les 7 couleurs de l'arc-en-ciel avec la notion occultiste de fréquence musicale) alors que dans ces couleurs là l'oeil humain est en limite et fait peu de différence. Par contre, rajout de l'orange et du marron dans les rouges, couleurs largement discréminées par l'oeil.
Pareil pour les ascendants (numa = parents, grands parents = numaF = ascendants de niveau 2). Evitera les termes de arrière-grand-trisaïeules et autres horreurs ! :)
Fini les préfixes en hecto, kilo, méga, téra. On utilise directement les puissances de 10, qui en adam sont presque aussi courtes à prononcer que les abréviations du français. hecto (cent) = deF, kilo (mille ou mega) = deP. Le chiffre derrière indique le nombre de zéros.
Les modificateurs du concept aggloméré ne sont pas collés au mot construit (sinon ils s'appliqueraient au mot de base / brique de construction qui les suit). Tout les mots de base qui peuvent être collés (sans ambiguité avec le modificateur du qualifiant qui s'applique à tous les mots qui suivent) le sont (pour la facilité de lecture, tous les qualifiants agglomérés sont agglutinés dans un seul mot).
Ex : Si les mots sont agglutinés, "ias" et "ios" sont nécessaires : "noiasdisu" pour la nuit. Si "no disu", "ias" est facultatif car l'espace indique que "no" s'applique aux mots qui suivent.
On essaye de mettre le modifiant sur le mot de plus bas niveau d'importance. Par exemple la nuit (partie de la rotation de la terre sur elle-même en 24 h où le soleil n'est pas visible) peut être exprimée par no pi disu (l'opposée de la partie du jour avec soleil) ou dinosu (partie du jour sans soleil visible). Dans ce cas-là le mot technique est plus compréhensible.
Le qualifiant s'applique à tous les qualifiants précédents (concept déjà construit). Par exemple, fo (excès) appliqué à "laFnome" (mince) indique dans le sens appliqué précédemment, donc trop mince (= maigre). On aurait pu mettre laFnomenofo qui voulait dire mince en dessous de la limite (maigre aussi), mais il est inutile de rajouter en permanence les "no" si ça se comprends bien. On mets donc laFnomefo (excès de minceur).
3 événements spatiaux dictent le temps : le temps de rotation de la terre sur elle-même (1 jour), le temps de révolution de la lune autour de la terre (1 mois lunaire) et le temps de révolution de la terre autour du soleil (1 an terrestre).
Le jour "se" est celui de 24 h, temps de rotation de la terre sur elle-même, comprenant le jour (soleil visible) et la nuit.
On peut séparer ce jour en fonction de durées fixes, les heures (valables toute l'année) ou en fonction du soleil (dont la durée varie entre l'été et l'hiver).
C'est la durée d'une journée qui dicte tout. Il faut donc la diviser en périodes pour compter le temps. En base 6, nous comptons D00 heure par jour (36 h) = sede-F, D heure = D00 min = sede-L, D min = D00 sec = sede-DD.
sesu = jour solaire (temps entre le lever (apparition du haut du disque
solaire à l'horizon) et le coucher (disparition du haut du disque solaire à
l'horizon).
senosu = nuit (pas de soleil visible dans le ciel)
Une année terrestre est le temps mis par la terre pour tourner autour du soleil (ordre svc : de quoi on parle : la terre, action : tourne autour, référentiel : soleil). Ce concept d'une année terrestre s'écrit avec les mots si (terre), su (soleil) et le (tourner autour), c'est à dire "silesu" (terre tourne autour soleil). On devrait normalement rajouter oK devant pour indiquer qu'on parle de temps, mais c'est implicite.
Sur le même principe que l'année, avec "iu" la lune, on a "iusaia" pour parler de la durée de révolution lunaire autour de la terre (29.5 j). On devrait ajouter "luiusaia" pour indiquer la durée de révolution apparente (28 j, car la terre se déplace entre temps, le cycle de la lune parait plus court).
Les mois sont numérotés pour savoir où on est dans l'année solaire. Par contre, le mot pour dire mois lunaire dans année terrestre devient long, on abrège en le notant iusu ("lune dans soleil", premier mot de "mois lunaire" et dernier mot de "année terrestre")
seiu + numéro = numéro du jour dans le mois lunaire (de 1 à 30)
La semaine lunaire fait 6 jours, formant une semaine/septaine. Pour simplifier, en adam le jour de la semaine (lundi, mardi, etc.) est seDDle suivi du numéro de jour (D = lundi, F = mardi, etc.).
Couleur est le mot "fi. Toutes les couleurs sont préfixées par fi.
Seules les couleurs les plus courantes sont nommées, en leur affectant un numéro. fiD, fiF, etc.
Quand on ajoute 2 couleurs, il faut prendre l'ordre croissant de fréquences/énergie (du noir/rouge vers le blanc/bleu) pour que ces associations soient toujours dans le même sens et faciles à décrypter par la suite.
Pour les cris d'animaux, on ne va pas se rappeler que la poule caquète, que l'âne braie, que la vache meugle, etc. L'animal pousse son cri ou marmonne des sons moins sonores (comme la poule qui glousse ou qui caquette).
L'origine des axes est au niveau du nombril. On peut ainsi défini les membres négatifs (inférieurs) des membres positifs (supérieurs). On aurait pu prendre haut ou bas sur l'axe des Z (positif vers le haut). L'axe X part devant soit (on avance en positif et on recule en négatif). On se déplace latéralement en Y (positif à gauche, négatif à droite suivant le repère orthonormé direct).
Le mot "outil" sert à la construction de nombreux mots, pour désigner un
outil par rapport à sa fonction première, même si cet outil peut servir à
autre chose.
Ex : un couteau sert à couper mais on peut aussi s'en servir pour autre
chose.
à suivre...