Nature Humaine (amocalypse)
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Première version: 2001-11-08
Dernière version: 2001-11-09
Sommaire de la page
1) Gestion du
ralenti
2) Accélérations et décélérations
3)
Coupure de l'injection quand on lève le pied
4)
Gestion des phases transitoires (démarrage à froid
par exemple)
Nous devons définir tous les points de fonctionnement possible du
moteur, et la manière dont il devra se comporter pour ces divers cas
de conduite.
Nous avons précédemment défini les valeurs de base
à donner au temps d'injection, ainsi qu'au moment de l'injection et
de l'avance à l'allumage, pour un régime optimal stabilisé. Nous
allons voir les corrections à apporter à cette valeur pour les
différents régimes et les diverses sollicitations du moteur.
Cette carte est principalement constituée des composants
électroniques d'alimentation du microcontrôleur, ceux-ci devant
permettre de résister à des microcoupures, aux vibrations, etc.
Les étages de puissance ( les circuits électroniques de
commande des actuateurs) sont en général situés à l'extérieur du
boitier électronique, afin de ne pas provoquer une élévation de
température à l'intérieur du boitier, néfaste à la fiabilité du
microcontroleur.
A froid, la combustion se fait mal, il faut donc enrichir le mélange. A l'origine, on tire un starter qui bloque l'accélérateur à une position plus enfoncée que celle du ralenti normal, et qui ferme le volet d'admission pour enrichir le mélange. Il nous faudra donc, pour l'injection électronique, mettre un coefficient qui augmente le temps d'ouverture de l'injecteur, pour injecter plus d'essence et ainsi enrichir le mélange.
Un autre effet du froid, c'est que la vitesse de combustion est plus lente qu'à température nominale. Il faudra donc avancer le point d'allumage pour délencher l'étincelle plus tôt dans le cycle afin d'avoir une combustion complète.
à suivre...