Nature Humaine (amocalypse)
Informatique>Distrib et bureau Linux
Première version: 2007-05-09
Dernière version: 2022-12-02
Sommaire de la page
Bibliothèque = regroupement de programmes/fonctions écrits dans le même langage informatique.
Boot = "démarrage" en anglais. C'est toute la phase qui consiste en démarrage du PC et début du chargement de l'OS en mémoire vive.
Distribution = permet de différencier les différentes versions d'un système d'exploitation. Par exemple, Red Hat, Debian, et leurs enfants comme Ubuntu basé sur Debian, Lubuntu basé sur Ubuntu, etc.
LTS = Long Term Support. Version la plus stable possible, qui sort tous les ans (tous les 2 ans pour Ubuntu) et est maintenue à long terme (5 ans généralement, où les bugs et problèmes de sécurité seront résolus, et mis à jour automatiquement sur votre ordinateur). Vous pourrez utiliser la LTS pendant 5 ans sans avoir besoin de la réinstaller (mais vous n'aurez alors pas les évolutions apportées entre temps, comparé à quelqu'un qui réinstalle tous les 2 ans la dernière LTS à jour).
OS = Acronyme de "Operating système", ou système d'exploitation. C'est Windows ou Linux par exemple.
Wayland = bibliothèque logicielle libre disponible sur les systèmes d'exploitation GNU/Linux, plus puissante que son concurrent système X Windows. Fournit un serveur d'affichage minimal, léger et performant. Remplaçant du serveur X.Org.
C'est les contrôleur électronique de chaque carte ou appareils montés dans l'appareil. Le disque dur à un contrôleur, le processeur, le ventilateur, les mémoires, etc.
Le chargeur d'amorcage est un micrologiciel implanté dans la carte mère qui permet de dire quel périphérique va se lancer au démarrage (disque dur ou clé USB), qui regarde quels appareils sont présents dans la configuration (clés USB, disques mémoires externes et internes, lecteurs de DVD, etc.).
Le chargeur d'amorçage est paramétrable, on peut lui dire par exemple sur quel disque il doit chercher la première partition bootable (onglet "Boot option"). Par exemple, si on désigne la clé USB, il démarrera sur cette clé USB au lieu du disque dur. S'il ne trouve pas de partition bootable sur cette clé, ou si le fichier attendu ne s'y trouve pas, il ira lire le second appareil de démarrage (boot), à savoir le disque dur. On peut aussi définir les paramètres de lancement.
Une fois le scan de la configuration fait, il va regarder sur le disque dur de boot (démarrage, celui défini précédement par l'utilisateur) la première partition du disque rencontrée, et va chercher dans cette partition un fichier qui contient des instructions en langage BIOS. Le BIOS va alors suivre ces instructions qui lui disent par exemple dans quel endroit du disque dur il va trouver les fichiers de l'OS pour les mettre en mémoire vive. Ensuite, le BIOS n'intervient plus, il est juste là au démarrage. C'est l'OS qui parle directement au matériel via les drivers (des programmes qui traduisent des ordres logiciel commun en des commandes spécifiques à la machine). Ces drivers peuvent être libres ou non (dits alors propriétaires). Les constructeurs ont une facheuse tendance à transmettre les drivers à Windows mais pas à la communauté Linux.
Ces instructions bios dans le programme de chargement peuvent aussi afficher un menu à l'écran, pour demander quel système d'exploitation l'utilisateur veut utiliser. C'est le fameux Grub de linux, qui permet le dual boot (choix entre linux ou windows).
Ce chargeur d'amorçage est historiquement le BIOS. Au début des années 2010, le BIOS a été remplacé par l'EFI, même principe mais langage différent, et une volonté affichée d'interdire, ou du moins compliquer, l'installation de Linux. Tous les ordinateurs montés avec windows 8 sont EFI par exemple.
Avec l'EFI, le mode "boot secure" (démarrage sécurisé) permet de s'assurer que le système d'exploitation lancé est bien un windows. Ça a provoqué quelques cafouillages au début, mais Linux a su négocier pour être reconnu comme un programme autorisé. La plupart des distribution étant aujourd'hui signées, il n'est pas nécessaire de désactiver le mode "secure bios" dans les onglets “Security” ou “Authentication”.
Dans l'EFI, il peut exister un mode "legacy" (encore appelé "CSM", comme dans l'option "launch CSM") qui permet de simuler un BIOS. Vu que Linux travaille bien maintenant en EFI, ne pas activer ce mode. Dans l'EFI, mettre toutes les options à ce sujet en "disabled" ou "never".
Le mode "Fast Boot" accélère le démarrage. Uniquement s'il pose problème, le désactiver.
La plupart des EFI sont en 64 bits, mais certains micro PC type EEE Pc ont un EFI en 32 bits (machines avec moins de 2Go de mémoire) ce qui complique l'installation Linux dessus, car les distributions sont quasi toutes en 64 bits, et le processeur des ces EEPC est en 64 bits. Voir la page sur les portables minimalistes.
Il est lancé par le BIOS/EFI. Il est situé sur les partitions qui suivent celle de boot (la première du disque).
L'OS est constitué de plusieurs couches. Sous Linux, la première couche au dessus du matériel est le kernel (noyau), qui permet de lier l'hardware avec le software, en recevant toutes les informations des composants physiques pour les intégrer avec les couches supérieures de l'OS.
Le kernel restera actif tout le temps du fonctionnement de l'ordi. C'est lui qui discute directement avec le matériel en fonction des ordres envoyés par les logiciels.
Le disque est une mémoire non cloisonnée. Pour faciliter les choses, le disque est séparé en subdivisions virtuelles, les partitions.
A noter que les installations classiques ne créent pas la partition "/home", obligeant à passer par le mode personnalisé.
Les logiciels évoluent sans cesse. C'est pourqui une distribution est lâché en général en avril et en octobre, et que certaines sont plus fiables que d'autres, et seront corrigées plus longtemps. Les versions d'avril, les LTS (long term support) sont ainsi corrigées pendant 3 ans. Ensuite, il est préférable d'installer une nouvelle version.
2 types de distributions :
Les processeurs 32 bits n'existent plus depuis 2019 quasimment, c'est pourquoi la version 32 bit des distributions n'existe plus, excepté chez quelques un comme Debian.
La commande linux uname -r vous permet de savoir de quel type est votre processeur. Au delà de 3Go de RAM en général, vous êtes en 64 bits, en dessous c'est du 32 bits.
Pour une distribution comme Debian, vous pouvez choisir quelle GUI installer : LXQT, Gnome, KDE, Xcfe, LXDE, Mate, Cinnamon, Trinity…
Chez Ubuntu, il vous faut choisir une distribution affectée à un GUI : Lubuntu pour LXQt par exemple.
Pour avoir une interface graphique, Debian a besoin :
Debian est disponible sous plusieurs versions de développement :
La plupart du temps, vous prendrez stable voir oldstable.
Il est possible d'installer Linux à côté de Windows installé nativement sur votre nouvel ordinateur.
Je prends ici l'exemple d'un windows 11 sur un ordinateur Asus neuf, avec une clé USB bootable avec lubuntu 22.10 d'abord, puis ayant montré des problèmes de fonctionnement (plantage sur le mot de passe sur Asus, impossible de lancer le menu démarrer sur HP), avec lubuntu 22.04.1 dessus (donc aucun problème d'EFI ou de besoin de désactiver les "fast boot" et "boot secure control" dans le bios)
Il faut d'abord reparamétrer le Bios. Ordi éteint, mettre la clé USB de démarrage linux (créée avec Rufus dans windows) dans la prise USB (3 de préférence, pour la rapidité de transfert).
Dès l'appui sur la touche démarrer, appuyer sur une des touche suivantes, jusqu'à ce que le Bios s'affiche :
Dans le Bios, désactiver :
Mettre l'ordre de boot sur :
#1 : "clé lubuntu" #2 : "windows"
Redémarrer, l'ordi se lance à partir de la clé, affiche le bureau linux. Testez que tout marche bien (l'internet par exemple, si ne marche pas, utilisez le réseau internet, plus fiable que le wifi), puis lancez l'icône de bureau "installer linux". L'ordi redémarre et commence l'installation.
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Choisir le partitionnement manuel (sinon, une seule partition '/' créée, pas de séparation avec '/home').
Ne pas chiffrer (consomme des ressources de chiffrement/déchiffrement à chaque accès disque) sauf si la confidentialité est importante pour vous.
Faire le partitionnement manuel sur /dev/nvme0n1 (1 seul disque, un SSD), afin de rajouter dès maintenant une partition supplémentaire pour les données utilisateur /home :
partition : point de montage (flags) - utilisation (taille sur disque) - type de partition
sdb1 : /boot/efi ("esp" + "boot") - amorce boot (260 Mo)
sdb2 : - tech windows (16 Mo)
sdb3 : - windows11 (système + documents) (53 Go)
sdb6 : '/' - système lubuntu (40 Go) - ext4
sdb7 : '/home' ("home") - données utilisateur lubuntu (tous les Go qui restent) - ext4
Sdb4 : - restauration windows (1Go)
sdb5 : - Myasus (200 Mo)
Nous ne faisons donc que redimensionner la sdb3 windows (laisser 6 Go de marge), puis de créer sdb6 et sdb7 en ext4 dans l'espace ainsi récupéré de windows, puis d'indiquer les points de montage des partitions 1, 6 et 7.
A noter qu'il y a un bug sur l'installateur lubuntu 22.10, windows 11 mets la partition système EFI (le démarrage, la première) à 260 Mo (moins pour les versions précédentes de windows), et l'installateur mets un message d'alerte car il attends 300 Mo minimum. Faire ok et passer outre.
Une fois installé, aller dans discover, et faire les mises à jour.
Firefox, qui marchait en live sur la clé, ne se lance plus. Il faut le désinstaller puis le réinstaller depuis discover.
Une librairie de fonction est une liste de programmes informatiques. Ces programmes font une tâche précise, cette tâche étant nommée une fonction.
Exemple, quand je clique sur l'icône d'une application sur le bureau, une fenêtre s'ouvre. L'ouverture de fenêtre est une fonction.
Au fil des années, les mêmes fonctions ont été écrites de manière différentes dans plusieurs librairies concurrentes : chacun a travaillé de son coté, car plusieurs entreprises de logiciels étaient en concurrence. La parfaite illustration du gâchis de ressources que provoque la concurrence au lieu du partage et de la coopération : pour ouvrir une fenêtre firefox, ce sera un autre programme que pour ouvrir une fenêtre Libre Office, bien que ce soit la même fonction.
Le but est d'avoir une bibliothèque unique, avec des logiciels tournant tous avec les mêmes programmes de base, ce qui évite d'avoir une grosse taille de mémoire vive. En effet, aujourd'hui, il faut charger la bibliothèque firefox + la bibliothèque libre office + la bibliothèque Qt pour le système d'exploitation + la bibliothèque GTK pour Gimp. Ce qui va utiliser 40% de la mémoire vive pour avoir les mêmes fonctions, mais écrites dans plusieurs langages. Sans parler des temps de démarrage au départ du PC pour charger tout ça en mémoire. Charger une seule de ces bibliothèques, de préférence la plus rapide et plus efficace, améliorerait grandement la vitesse de tout le système.
Pour ne charger qu'une seule bibliothèque en mémoire, mieux vaut donc n'utiliser que les logiciels utilisant la même bibliothèque que le bureau. Ainsi, la fonction ouverture de fenêtre n'est présente qu'une fois pr exemple, une chose critique pour les petits ordinateurs comme les smartphones, tablettes ou raspberry Pi.
Il y a les librairies graphiques écrites en C, les GTK, et les librairies graphiques écrites en C++, les Qt.
Le C++ est une évolution du C, en technologie objet, méthode de programmation plus récente que le C (1990 au lieu de 1960). Qt étant non libre, de nombreuses applications ont été écrites en GTK (licence GNU). Depuis 2010 et la libéralisation de Qt, c'est ce dernier, plus puissant, qui prends l'avantage, mais l'absence de décision forte provoque encore quelques années une grosse dispersion des efforts, avant que Qt ne gagne définitivement la partie.
Il y avait aussi 2 philosophies derrière le choix d'une librairie :
Qt offre énormément de possibilité pour l'interface, est très pratique pour le développeur, facilite énormément le développement des applications, ce qui donne plus de temps pour travailler l'ergonomie, la stabilité...
C'est parce que KDE a compris cela (et parce qu'ils ont une bonne méthode de développement) qu'ils sont aujourd'hui capable d'accomplir les prouesses qu'ils accomplissent.
Les applications phares du libre, comme Firefox ou Libre Office, ont leur propre environnement de programmation, ce qui expliquent qu'elles soient gourmandes en ressources mémoires et lourdes à charger. Des projets se sont lancés au milieu des années 2010 pour les réécrire sous Qt, mais pas encore aboutis en 2022, même si une grosse partie de LibreOffice a été rapatriée en Qt.
A noter que les logiciels qt commencent généralement par Q ou K (knode, konqueror, qedit).
LXQT en Qt5
KDE
Unity (à partir de la version 8)
Ubuntu Touch
Lumina
WebOs
"Muon" pour gérer les paquets des dépôts, "discover" pour gérer les logiciels hors dépôt type amaya ou pour servir de logithèque.
"PcManFM" comme gestionnaire de fichier presque parfait, excepté les stats dans les répertoires (mais K4DirStat, autre utilitaire léger, le remplace sans problème). Il permet aussi de se connecter à un serveur distant et de le gérer via le transfert FTP (en cliquant que aller>serveur> renseigner l'hôte, le protocole FTP, L'identifiant. Une fois le répertoire distant ouvert, l'ajouter aux signets si on y revient souvent. Filezilla est inutile du coup). Pour modifier les fichiers système, outil>ouvrir en tant que root. Pour voir les partitions qui ne seraient pas montrées, aller dans /media/"nom user". Elles peuvent être montées depuis des disques physiques /dev/sda ou /dev/usb, ou des partitions physiques /dev/sda1. On monte toujours une partition, pas un disque. Dans affichage, il est possible d'afficher le filtre ou la barre de chemin plutôt que les boutons. Ctrl+F (Outil>trouver des fichiers) il est possible de chercher des fichiers dans le répertoire).
Par rapport à 1.1.0, le gestionnaire de fichier a été bien amélioré.
Basé sur Qt 5.15, la dernière version LTS de Qt5
LibFM-Qt / PCManFM-Qt : Gestionnaire de fichier.
Panneau LXQt
QTerminal / QTermWidget : mode console
Gestion de l'énergie de LXQt
Session LXQt
LXImage Qt
libQtXdg
ScreenGrab
Mêmes logiciels que 1.2.0.
lxqt-desktop - cœur des composants LXQt ;
pcmanfm-qt - gestionnaire de fichiers et de bureau (portage Qt de pcmanfm) ;
openbox - gestionnaire de fenêtre par défaut ;
lximage-qt - visionneuse d'image LXQt par défaut ;
qterminal - Terminal léger Qt ;
obconf-qt - portage Qt d'Obconf, l'outil de configuration d'OpenBox ;
lxqt-lightdm-greeter - fournit LXQt greeter pour le gestionnaire d'affichage LightDM ;
oxygen-icons - thème d'icone pour le bureau LXQt ;
qtcurve - fournit un thème compatible Qt pour le bureau LXQt ;
PCManFM (gestionnaire fichier) porté en Qt à partir de GTK.
konqueror (plus lourd que PCManFM)
Qlipper (Presse papier)
Kwrite (bloc note)
Kate (plus lourd que Kwrite)
Falkon (ancien Qupzilla)
konqueror (plus lourd)
Amaya (Open GL)
Calligra Suite (ancien KOffice, la suite des Kword, Kspread (tableur), kpresenter, Kexi (Base de donnée))
kplato (pour la plannification de projets type microsoft Project)
kivio pour les diagrammes (dia)
Kmail (calendar)
Krita (pixel, équiv de Gimp ou LibreOffice Draw)
Karbon (vectoriel, équiv inkscape)
Digikam (gestion d'archives de photographies)
VLC
Kdenlive (édition de vidéos)
Qt Creator
Virtual Box
JcArbGen : généalogie
Les logiciels GTK commencent généralement par G (gftp, Gimp, Gedit, etc.).
Gnome (GTK+)
LXDE, Xfce (GTK+ 2)
Mate et Cinnamon (GTK+ 3)
Unity (jusqu'à sa version 7, ensuite c'est Qt qui est utilisé)
Thunar (gestionnaire fichier)
Midori – Navigateur internet minimaliste
AbiWord - Traitement de texte
Gnumeric – Solveur type Calc
Ekiga (anciennement GnomeMeeting) – VoIP et video conference
Evolution – Gestionnaire de Messagerie (mail, carnet d'adresse)
Pidgin – Messagerie instantanée
GIMP – Editeur d'image style Photoshop
Inkscape – Vector graphics editor for SVG
LiVES – Video editor
Anjuta - Environnement intégré de programmation (IDE)
Geany – a lightweight cross-platform IDE and GTK+ text editor based on Scintilla.
gconfig – Linux kernel source configuration utility.
Ardour - Montage audio numérique
Gramps – Logiciel de généalogie
Cette distribution permet de s'affranchir de toutes les difficultées apportées par l'EFI pas géré sur les versions 32 bits des autres distributions (les ordis 32 bits n'étant plus suivis au moment où l'EFI a remplacé le BIOS).
Au vu de tout ce qui précède, c'est le bureau LXQt qui a été retenu. Et comme les distributions qui l'utilisent ne sont pas pléthores, c'est le système d'exploitation Lubuntu qui est retenu.
Depuis 2013 et les liens automatiques vers Amazon, cette distribution a basculé du côté obscur. Celui qui gère Canonical est un milliardaire, donc a priori qui ne va pas dans le sens de l'intérêt commun mais de l'intérêt du contrôle au profit des milliardaires qui dirigent le monde..
Richard Stallman dénonçait en 2013 la présence d'un logiciel espion dans Ubuntu. Bien que désactivé depuis Ubuntu 16.04, le principe même d'avoir introduit un logiciel espion en dit long sur la volonté cachée de Canonical...
De plus, Ubuntu devient trop lours pour les architectures informatiques légères (Raspberry).
Linux Kernel 5.19
LXQt 1.1.0
Qt 5.15.6
Mozilla Firefox (version 105.0.1) encapsulé dans un partage snap.
LibreOffice 7.4.2.3
Thunderbird 102.3.2 (gestionnaire de mails, agendas, travail collaboratif, etc.)
VLC 3.0.17
Featherpad 1.3.0
Vi editor 9.0.242
Discover Software Center 5.25.5 : logithèque et gestion des paquets Debian pas dans les dépôts
Muon package manager 5.8 : Gestionnaire de paquets déposés dans les dépôts officiels
Pipewire remplace PulseAudio : Gestion du son.
IWD remplace wpa_supplicant pour gérer les connections Wi-Fi.
L'équipe réussit enfin l'implémentation de LXQT en remplacement de LXDE (qui n'avait pu être faite en avril 2018). Lubuntu fournit ainsi un bureau simple sur une distri simple. Seul désavantage l'appartenance à la galaxie ubuntu et la fuite des données, mais c'est la distrib lxqt la plus simple à installer et pour l'instant (octobre 2018) la mieux intégrée question logiciels qt.
KDE partition - partition de disque
Discover - logithèque et gestion des paquets Debian pas dans les dépôts.
Muon - Gestionnaire de paquets déposés dans les dépôts officiels
Un petit pense-bête des choses à régler pour adapter la distrib à mon utilisation d'internet, vous aurez probablement une autre utilisation donc d'autres réglages.
(Menu>Préférence>LXQT paramètrage du système>centre de configuration).
Apparence>Style des widget : Style breeze, augmenter la différence entre les teintes + "activer l'élément en un seul clic"
Apparence>Police : Taille du point : 15 (sur les écrans haute définition)
Apparence>Curseur : Breeze puis taille 40, faire appliquer (la taille de police change), puis redémarrer (mais en 2023, la mémorisation de la taille du curseur ne se fait toujours pas).
bureau>général : texte de l'étiquette "ubuntu 15" + espacement 1pxx1px + marge zone de travail 8px + "éléments restent en position"
bureau>avancé : décocher tous les raccourcis visibles (ils sont accessibles via le gestionnaire de fichier)
clavier et souris>souris : vitesse de défilement 6 lignes + "clic simple pour activer les éléments"
clavier et souris>souris et pavé numérique : sensibilité et accélération tout au max à 110
paramètre de luminosité>éclairage écran : régler la barre de luminosité.
paramètre de gestion de l'alimentation>demander quand la batterie est faible + arrêter ordi si moins de 15% de batterie (avertir 90 secondes avant). hiberner si inutilisé 6 minutes sur batterie, suspendre si sur secteur (équivalent screensaver noir) ou fermeture capot. Hiberner pour tout, mais ça si le mode hivernation est pris en compte. Sur 22.04 et Asus ça ne marche pas par exemple (le tester avec le menu), donc mettre suspendre au lieu d'hibernation. Couper le moniteur si inactivité sur secteur.
paramètre de la session LXQT>lancement automatique>décocher + "lxqt-config-touchpad-autostart"
parametreur de session lxqt :
lancer gestionnaire de fichier (PCManFM), édition>préférence, ouvrir avec un seul clic, affichage en liste détaillée, confirmer avant de supprimer, fichier supprimés vers la corbeille, cocher "monter automatiquement les volumes au démarrage du programme" (il ne monte pas les partitions windows inutilisées, et celle sur le 2e disque ne seront montées que si on clique dessus ou si un programme pointe dessus).
Depuis Discover, désinstaller xscreensaver (verrouillage session et économiseur d'écran, inutile si le gestionnaire d'énergie éteint le moniteur, sauf que sur 22.04, le bureau mets un message d'erreur si en sortant de la veille du gestionnaire d'énergie il ne trouve pas screensaver, donc juste désactiver screensaver sans le désinstaller), toutes les applis fcitx et ibus (préférences ibus et méthodes d'entrée), inutiles si on n'écrit pas en caractères asiatiques (dans le 22.04, ils ont tous été désinstallés d'origine).
désinstaller le jeu 2048-qt.
writer
affichage, décocher "barre d'état"
outils - option - chargement/enregistrement- général, enregistrer les infos de la récup auto toutes les 15 minutes
outils>autocorrection>options d'autocorrection>décocher auto-complétion.
En 2023, l'interface est directement en français. Mais pour les versions d'avant, la manip était la suivante : Dans console, pour installer l'interface utilisateur et l'aide en français de libreoffice , taper sudo apt-get install libreoffice-l10n-fr libreoffice-help-fr.
Juste pour préciser la commande au dessus : l'interface en français et l'aide français hors ligne des 2 dernières versions (stable et celle d'avant) se trouvent à cette adresse : https://fr.libreoffice.org/download/telecharger-libreoffice/
Mais il vaut mieux les prendre dans les paquets canonical (soit par Muon, installer libreoffice-l10n-fr, puis libreoffice-help-fr, soit par sudo apt-get install libreoffice-l10n-fr libreoffice-help-fr). l10n n'a rien à voir avec une version de libreoffice, ce sera ln10n pour toutes les versions futures.
Une fois chargée l'interface utilisateur, même après 2023, il faut charger le dictionnaire grammatical complet ici : https://extensions.libreoffice.org/en/extensions/show/grammalecte (contient déjà le dictionnaire orthographique (prendre version classique recommandée), pour avoir la correction orthographique et la césure automatique des mots français). L'installer dans Libre office (Outil>gestionnaire des extensions>ajouter).
Mettre Falkon en navigateur par défaut, sinon le fichier html d'aide libreoffice ne marche pas avec Firefox. (le faire dans "centre de configuration lxqt">association de fichiers>application par défaut, puis dans paramètres de la session lxqt>environnement>Browser, mettre falkon au lieu de firefox).
Dans libreoffice>Outils>Personnaliser>clavier, dans Alt+V, mettre la commande édition>coller texte non formaté (idem CTRL+shift+alt+v).
Récupérer ses profils (dans ~/.config/falkon/profiles/defaut, mettre les marques pages du précédent falkon et firefox). Faire la même chose pour les signets du gestionnaire de fichiers PCManFM-qt (pour les liens vers les sites internet, recopier le lien ftp du signet, la connection se fera juste en mettant le mot de passe).
Dans le fichier /etc/default/grub ouvert en root, mettre grub_timeout=1, sauver puis dans un terminal lancer sudo update-grub (permet de ne laisser qu'une seconde le choix entre ubunutu et windows lors du démarrage de l'ordi).
Clic droit sur la barre de tableau de bord en bas (hors d'une appli), configurer tableau de bord>cliquer sur "auto-escamotable" (masquage automatique" sur 22.04). Cocher "masquer uniquement sur chevauchement d'une fenêtre"
firefox : installer privacy badger, cookie autodelete, adblock.
Dans console, sudo apt-get install unrar (installe dans "lxqt file archiver" la gestion des fichiers rar)
Pour ne pas abimer le SSD, nous ferons les manips suivantes sur les partitions (voir plus loin comment faire) : passer en ext4, activer "discard" (triming, n'écrit pas toujours au même endroit, ce qui abime le cluster en question) et "noatime", pour enlever la journalisation.
Pour faire ce paramétrage, dans /etc/fstab ouvert en mode root (avec pcmanfm et option "ouvrir en mode root"), sur les partitions / et /home placées sur SSD, remplacer defaults,discard par defaults,noatime,discard (annule la journalisation). On rajoute donc juste "noatime" entre defaults et discard).
Puis ajouter à la fin du fichier :
tmpfs /var/lock tmpfs defaults,noatime,mode=1777 0 0
tmpfs /var/run tmpfs defaults,noatime,mode=1777 0 0
Il faut passer par un fichier swap au lieu de la partition swap (ça se fait tout seul à l'install, on le vérifie dans le /etc/fstab avec la ligne /swapfile swap swap). Le fichier est réécrit à la volée à chaque session, il s'écrit à chaque fois à un endroit différent, c'est ce qu'on cherche pour ne pas écrire effacer toujours sur le même cluster.
Si seulement un disque ssd, on pourrait chercher à mettre à 5 la partition swap (au dela de 1% restant de mémoire vive on passe sur SSD). Si disque dur à côté du SSD (et qu'il n'est pas éteint la plupart du temps), mettre la partition de swap sur ce dernier : surtout sur les grosses mémoires vives (plus de 6Go), les rares fois où il faudra de la swap, ça lancera le disque dur qui ne tourne jamais sinon.
La swap toujours d'au moins la quantité de mémoire vive pour les hibernations (toutes la mémoire vive est recopiée sur le disque).
Les fichiers temporaires ou de blocage de fichiers doivent être stockés en mémoire vive plutôt que sur le disque ssd. C'est fait nativement dans le noyau Linux depuis 2018 (pour les blocages de modification ou d'exécution), mais pour les anciens, vérifiez qu'on a ça à la fin du /etc/fstab :
tmpfs /tmp tmpfs defaults,noatime,mode=1777 0 0
tmpfs /var/lock tmpfs defaults,noatime,mode=1777 0 0
tmpfs /var/run tmpfs defaults,noatime,mode=1777 0 0
Voir aussi la configuration du fstab.
À ajouter avec Discover. Éviter tout objet plasma ou KDE intégré, ça fait planter amaya par la suite.
KDE partition en Qt pour gérer les partitions disques.
Falkon (navigateur internet plus léger et rapide que Firefox, évite les pubs. Écrit en Qt. Avec l'amélioration de l'antipub Firefox, vers 2018, Falkon a été remplacé par Firefox dans Lubuntu).SI ça ne s'ouvre pas dans firefox, essayer Falkon, et inversement.
QT Creator (développer des logiciels).
Calibre (gestionnaire de documents et livres numérisés (epub ou pdf))
Ajouter un gestionnaire KDE de sauvegarde, comme luckybackup en Qt toujours.
Krita (logiciel de dessin comme Gimp)
SimpleScreenRecorder (permet de faire une vidéo youtube (screencast avec son, au contraire de VLC).
DB Browser for sqlite
Blender (DAO, animation, montages vidéos)
K4DirStat (pallie le manque d'afficher le nombre de fichiers dans un répertoire de PcManFM),
QStarDict. Puis dans muon, charger le paquet stardict-xmlittre (dictionnaire français). Dans cette page, récupérer les dictionnaires de traduction. Les décompresser et les placer (en mode root) dans /usr/share/stardict/dic.
kdiff3-qt (comparaison et fusion de fichiers ou répertoire)
GoldenDict (gestion de pages wiki, traductions)
Notepadplusplus (pour la recherche dans les fichiers type eclipse).
audacity (pour gérer les enregistrements de son)
installer avec muon "libdvd-pkg" pour lire les dvd, puis dans une console faire sudo dpkg-reconfigure libdvd-pkg.
Pilote de tablette graphique XP-Pen Star G430S.
Installer dgikam (inutile de tout installer pour KDE).
Ne marche plus sur 22.04 (libssl0.9.8_0.9.8o-7ubuntu3.2.14.04.1_amd64.deb ne s'installe plus).
Amaya (éditeur wysiwig html).
Au fil des années, Amaya, arrêté en 2012, fonctionne de plus en plus mal avec son exécutable qui ne suit pas l'évolution de Qt (il faudrait le recompiler).
Premièrement, ouvrir discover (bug de discover qui ne marche pas si on double clique sur le .deb sans discover allumé et mot de passe déjà saisi).
Récupérer depuis les dépots d'ubuntu trusty (14.04LTS) puis les installer les paquets suivants :
Récupérer la version 11.4.4 d'amaya pour ubuntu du site officiel w3c. Puis installer Amaya via son paquet deb en AMD64.
Comme Amaya n'a pas suivi les mises à jour de sécurité, éviter d'utiliser le PUT pour mettre en ligne, utiliser plutôt un accès ftp comme PCManFM (gestionnaire de fichier).
à suivre...